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radio astro amateur


albert galilée

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Salut la compagnie,

Ca rigole pas sur ce forum! A peine évoqué, sitôt créé:)

 

 

Un collègue de boulot se débarrassait d'une parabole, quel heureux hazard:D

Je suis donc en chemin pour faire un radiotéléscope style LUCIE

Le satfinder est commandé sur e..y, et j'attends des échantillons de convertisseurs A/N des US.

Je gamberge sur une alim 15 V de voyage mais à part mettre deux batteries en série et faire chuter la tension de 24V à 15V et de la réguler...

Les quazards n' ont qu'à bien se tenir! c'est pas une tite quéquette de parabole, je savais pas qu'il y en avait de si grande!:o une offset en plus.

il y aura un peu de carrosserie et de peinture mais bon...pour l'instant je m'en contenterais.

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Invité shf

Ok, pour éclairer ma lanterne, que sont les convertisseurs A/N ?

 

D'autre part, pourquoi veux-tu 15V de tension régulée pour alimenter la lnb :

 

en général, les lnb travaillent avec deux tensions 13.5V en polarisation verticale, et 18V en polarisation horizontale.

 

Selon moi, pour le genre d'application ici envisagée, peu importe que la polarisation soit horizontale ou verticale, de toute manière les sources radioélectriques à capter en radioastronomie sont tellement lointaines que cela n'a guère d'importance, d'autant plus que la polarisation sera peut-être circulaire (gauche ou droite) et que dans ce cas, à la réception, que tu soies en polarisation horizontale ou verticale, tu perds théoriquement 2 à 3 db, mais vu le coefficient d'amplification de la lnb et son rapport signal/bruit, ça n'est pas grave.

 

Selon moi, mais je me trompe peut-être, une batterie 12V (qui débite en fait dans les 13V) suffit (tu restes en polarisation verticale) et tu alimentes tous le bazar via le coaxiale de la lnb.

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Invité shf

citation:

 

salut à tous :)

 

Maintenant que c'est créé, il faut que ça vivie ;)

Tout d'abord je propose un p'tit site qui explique un peu la radioastronomie et un montage amateur pour tous ceux qui seraient intéressés ;)

 

Un chouette site que je vous invite à aller visiter :)

 

http://www.astrosurf.com/radioastro/

 

A+ :)

 

Eh bein, super super, ça avance, merci aux administrateurs:be: pour la création de cette nouvelle rubrique, et d'accord avec Albert Galilée !!!!!

 

Je partage totalement ses idées, voir aussi mon dernier message sur la rubrique radioastronomie du chapitre général webastro (je l'aurais d'ailleurs posté ici si je m'étais tout de suite rendu compte que cette nouvelle rubrique était ouverte !!!)

 

Beaucoup de succès à ceux qui essaye(ront) de s'y lancer:be:

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A/N = CONVERTISSEUR ANALOGIQUE>NUMERIQUE également analogique/digital pour passer d'une tension variable à des paquets de bits lisibles par un logiciel

Pourquoi 15 V? parce que!...ben sur le site ci dessus en lien (le radio télescope LUCIE) ils indiquent une alim en 15V, comme ça à l'air de fonctionner....L'expérience des ainés...Tout ça.....

Maintenant cela ne coute rien de tester en 12V, mais pour avoir quelque chose de stable, donc régulé, on risque fort d'avoir au final bien moins que 12v, même si la batterie était à bloc et à 13.5v au départ.( ce qui est un état éphémère). Donc test en vue;)

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Si vous ne voulez pas vous prendre la tête avec les alims, choisissez quelque chose de sérieux, c'est TRES important l'alim en HF, une mauvaise alim génère des parasites, bruit de fond et autres joyeusetés. Une alim réglable en tension de 0 à 30V et en courant de 0 à 2,5A est tout à fait polyvalente et recommandée. En plus ça sert à plein d'autres choses.

 

Je recommande : http://www.selectronic.fr/article.asp?article_ref_entier=70.8662-9999

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certes! certes! Mais 90 euros ça calme!

:(

En plus on récupère le signal qui est envoyé au buzzer! Le bruit de fond dans ce cas là:be:

Donc je pense qu'une tension stable suffit à reconnaitre une variation de tension du signal d'une variation de tension d'alim

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  • 2 semaines plus tard...

Bonsoir

 

Hé hé une bonne idée de se lancer dans la radio astronomie.

 

Je connais bien la radio (radioamateur HF et VHF "indicativé" depuis 1982) et j'ai connu des "OM" (= radioamateurs) qui se sont lancés dans ce domaine passionnant. C'est toute une spécialité. On peut commencer par écouter le VHF avec des "rateaux" pas trop difficiles à concevoir, puis le centimétrique (vers 1.4 Giga si j'ai bon souvenir) avant de s'attaquer au millimétrique...

 

Bonne continuation.

 

A trés bientôt pour les 1ers enregistrements SWL astro. (SWL = "écouteur radio")

 

 

Amicalement

 

Christian

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  • 6 mois plus tard...
Bonsoir

 

Hé hé une bonne idée de se lancer dans la radio astronomie.

 

Je connais bien la radio (radioamateur HF et VHF "indicativé" depuis 1982) et j'ai connu des "OM" (= radioamateurs) qui se sont lancés dans ce domaine passionnant. C'est toute une spécialité. On peut commencer par écouter le VHF avec des "rateaux" pas trop difficiles à concevoir, puis le centimétrique (vers 1.4 Giga si j'ai bon souvenir) avant de s'attaquer au millimétrique...

 

Bonne continuation.

 

A trés bientôt pour les 1ers enregistrements SWL astro. (SWL = "écouteur radio")

 

 

Amicalement

 

Christian

 

 

Bonjour Christiand,

 

Tout à fait, il y a pleins d'expériences relativement simple à faire en radioastro. amateur.

 

SOLEIL :

 

Personnellement, le plus "simple" (façon de parler) est de recevoir des signaux du Soleil sur 12 GHz avec une simple antenne parabolique de 80 cm et un boitier Satellite-Finder (satfinder). C'est déjà un premier ESSAI en radioastronomie! :)

 

Ensuite, tout dépend si la personne aime bidouiller un peu en électronique, puisqu'il y a une petite modification à faire dans la satfinder, afin de pouvoir exploité les signaux reçu sur un ordinateur avec un logiciel spécifique (souvant en version de démo ou totalement gratuit sur Internet).

 

METEORE :

 

Une autre expérience facile (..) à mettre en oeuvre, c'est la détection des échos météoriques (les fameuses étoiles filantes!), pour cela, ce qui coute le plus cher, c'est l'achat d'un récepteur scanner (récepteur large bande) de bonne qualité, par exemple, si je prend le type de récepteur le plus utiliser dans ce domaine, l'ICOM PCR-1000 et 1500, il faut prévoir près de 600 euros neuf. Après, l'antenne ne coute presque rien, puisque l'on peut la construire sans problème sois même "très facilement", comme par exemple une Dipôle 50 MHz.

 

Dommage qu'il ne soit plus possible de faire de la détection de météores à très faible prix, avec un banal poste de radio FM (radiodiffusion), à cause de la sur-occupation des fréquence entres 88 et 108 MHz.

 

JUPITER :

 

Enfin (je n'ai pas encore testé!), on peut aussi tenté la réception des signaux de la planète Jupiter en HF (onde-courte) dans les 20 MHz, il faut un récepteur HF avec la BLU (bande latérale unique), un cordon jack pour relier le récepteur à la carte son d'un PC, et une antenne filaire (un simple long bout de câble électrique de qq mètres, devrait parfaitement être suffisant en provisoire!).

 

73

 

david vincent

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J'ai l'impression de prêcher dans le désert, mais je le répète une fois de plus, la SDR (software defined radio) est la solution à la portée de tous, généralement moins chère et plus performante que le récepteur de trafic.

De plus il ne faut pas être un as du fer à souder pour ceux qui veulent réaliser leurs propres montages.

Quelques liens:

 

http://f6gia.no-ip.org/sdr_gia/sdr_rx.html

http://radiotrans.over-blog.com/article-3401315.html

[/url]

http://yu1lm.qrpradio.com/

 

http://www.arrl.org/tis/info/sdr.html

http://www.qrz.lt/ly1gp/SDR/

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J'ai l'impression de prêcher dans le désert, mais je le répète une fois de plus, la SDR (software defined radio) est la solution à la portée de tous, généralement moins chère et plus performante que le récepteur de trafic.

 

Il ne faut pas abusé, le SDR n'est pas aussi performant qu'un récepteur de trafic, sinon, les radioamateurs, radioastronomes ou non, utiliserait ce type de récepteur :b:

 

Personnellement, sur la liste radioastronomie_amateur, une référence en France sur tout ce qui concernent les discutions techniques sur la pratique de la radioastronomie, je n'ai jamais entendu parler de SDR (ou alors juste à titre d'information).

 

En suite, sur l'un de tes liens, un radioamateur dit que celui-ci produit de "nombreuses fréquences images", c'est justement le genre de produit que par exemples les radioamateurs par satellites (amsat) et les radioastronomes amateurs et professionnels, fuient !! :o

 

De plus il ne faut pas être un as du fer à souder pour ceux qui veulent réaliser leurs propres montages.

 

Oui, et bien, tu n'a pas bien lu ce qu'a écrit le radioamateur d'un de tes liens, qui justement explique le contraire.. le montage de ce SDR doit être minutieux, pas le droit à l'erreur :be:

 

http://radiotrans.over-blog.com/article-3401315.html

 

Ceci étant dit, je pense que dans un avenir assez proche, ce type d'équipement deviendra plus stable et performant, pour un prix assez faible par rapport à un récepteur de trafic.

 

Le hic, c'est que si ton ordinateur tombe en panne, fini la réception satellite ou les échos météores :(

 

 

73

 

david vincent

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Bonjour,

 

Les principaux freins au développement de la radioastronomie amateur selon mes frustrations personnelles :

 

1. Pas de possibilité de tester avant d'acquérir un matériel onéreux.

En optique, on peut se rendre à une soirée d'observation et jeter un oeuil dans un ou plusieurs téléscopes, afin de voir ce qui nous plaît le plus et quoi acheter.

En radio, avant de trouver un radioastronome amateur dans les environs il faut s'accrocher, aller chez lui pour voir les installations, etc. Son matériel sera probablement plus ou moins spécifique à son type d'observations.

 

2. Pas de possibilité d'acheter un matériel -prêt à utilliser- même de mauvaise qualité ou limité.

En optique on peut acheter des jumelles bas de gamme ou une petite lunette pas cher. On ne verra pas la même chose que dans un 300mm mais on verra mieux qu'à l'oeuil nu.

En radio, c'est un peu tout ou rien.

 

3. Corrolaire du 2, quasi obligation de tâter du fer à souder, et d'avoir une formation de base en électronique, ( en plus des connaissances sur la propagation des ondes qui font bien sûr partie de l'activité d'observation, comme).

Tout le monde n'a pas de garage. Et madame n'est pas toujours contente de voir la table du salon transformée en établi.

Tout le monde n'est pas passionné de bricolage. Tout le temps passé à construire ou réparer son matériel est en compétition avec le temps d'écoute.

 

4. Pas d'affranchissement facile de la pollution radio.

En optique, si l'on habite en ville, on peut toujours se faire des petites virées régulières au spot noir le plus proche.

En radio, on est coincé à la maison. Si le voisin possède un appareil qui crache sur des fréquences proche de ce qu'on veut écouter, il faut modifier le matériel pour contourner le problème... quand c'est possible.

 

 

voilà...

 

La radio n'est pas l'optique. C'est une philosophie complètement différente.

Son centre de gravité est décalé vers la partie technique des sciences-et-techniques.

Ca ne m'etonne pas que la discipline soient presque exclusivement pratiquée par des radioamateurs s'intéressant à l'astronomie, plutôt que par des astronome amateurs s'intéressant à la partie radio du spectre. :p

 

Je souhaite acquérir un appareillage me permettant de visualiser les échos de météoroïdes sur les hautes couches de l'atmosphère.

Pour cela je dois débourser des centaines d'euros avant même de savoir si mon antenne est opérationnelle, si l'exposition de mon balcon permet tout espoir, si l'aéroport internationnal situé à 15Km de là ne va pas rendre caduque toute tentative, et si je pourrais contourner les problèmes lorsqu'ils se présenterons... Franchement c'est dur.

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Il ne faut pas abusé, le SDR n'est pas aussi performant qu'un récepteur de trafic, sinon, les radioamateurs, radioastronomes ou non, utiliserait ce type de récepteur

 

C'est relativement neuf et les gens sont toujours "frileux" envers ce qu'ils ne connaissent pas, et surtout s'ils ont acheté un matériel souvent coûteux et se sont investis dans des montages conséquents, comment renoncer à tout ça !:?:

 

Personnellement, sur la liste radioastronomie_amateur, une référence en France sur tout ce qui concernent les discutions techniques sur la pratique de la radioastronomie, je n'ai jamais entendu parler de SDR (ou alors juste à titre d'information).

C'est tristement vrai, donc il faudrait des pionniers. :) encore qu'en cherchant..http://www.astrosurf.com/luxorion/satellites-artificiels5.htm

 

En suite, sur l'un de tes liens, un radioamateur dit que celui-ci produit de "nombreuses fréquences images", c'est justement le genre de produit que par exemples les radioamateurs par satellites (amsat) et les radioastronomes amateurs et professionnels, fuient !!

 

Tous les montages ne se valent pas et ce n'est pas pour ça qu'il faut jeter le bébé avec l'eau du bain.

 

De plus il ne faut pas être un as du fer à souder pour ceux qui veulent réaliser leurs propres montages.

 

Oui, et bien, tu n'a pas bien lu ce qu'a écrit le radioamateur d'un de tes liens, qui justement explique le contraire.. le montage de ce SDR doit être minutieux, pas le droit à l'erreur

 

C'est un avis, et c'est évidemment de la HF mais il existe des circuits imprimés ou des cartes montées, pour moi c'est moins difficile que de bobiner des bobines trifilaires sur des tores introuvables.

 

Le hic, c'est que si ton ordinateur tombe en panne, fini la réception satellite ou les échos météores

Cet argument est valable pour n'importe quelle partie d'un équipement et ça peut s'appliquer à une panne de courant ou à un bris d'antenne.:( et pour les échos météores c'est le système idéal, beaucoup d'amateurs l'utilisent:

http://www.tvcomm.co.uk/radio/

 

Pour résumer mon opinion, un bon récepteur est très cher, la radio logicielle est nettement plus abordable, ont peut écouter, voie, mesurer et enregistrer.

Que demander de plus ? :rolleyes:

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Bonjour,

 

Les principaux freins au développement de la radioastronomie amateur selon mes frustrations personnelles :

 

1. Pas de possibilité de tester avant d'acquérir un matériel onéreux.

En optique, on peut se rendre à une soirée d'observation et jeter un oeuil dans un ou plusieurs téléscopes, afin de voir ce qui nous plaît le plus et quoi acheter.

En radio, avant de trouver un radioastronome amateur dans les environs il faut s'accrocher, aller chez lui pour voir les installations, etc. Son matériel sera probablement plus ou moins spécifique à son type d'observations.

 

Malheureusement c'est vrai qu'il est très dur de trouver des radioastronomes amateurs en France :confused:

 

2. Pas de possibilité d'acheter un matériel -prêt à utilliser- même de mauvaise qualité ou limité.

En optique on peut acheter des jumelles bas de gamme ou une petite lunette pas cher. On ne verra pas la même chose que dans un 300mm mais on verra mieux qu'à l'oeuil nu.

En radio, c'est un peu tout ou rien.

 

Cela va peut-être changer d'ici quelques temps, si j'arrive à réalisé mon projet pro dans ce domaine, je n'en dirais pas plus pour le moment :rolleyes:

 

3. Corrolaire du 2, quasi obligation de tâter du fer à souder, et d'avoir une formation de base en électronique, ( en plus des connaissances sur la propagation des ondes qui font bien sûr partie de l'activité d'observation, comme).

Tout le monde n'a pas de garage. Et madame n'est pas toujours contente de voir la table du salon transformée en établi.

Tout le monde n'est pas passionné de bricolage. Tout le temps passé à construire ou réparer son matériel est en compétition avec le temps d'écoute.

 

Il est vrai qu'il est rare d'avoir une femme aimant voir son salon et la table à manger transformer en établi :be:

 

d'ou mon projet.. :rolleyes:

 

4. Pas d'affranchissement facile de la pollution radio.

En optique, si l'on habite en ville, on peut toujours se faire des petites virées régulières au spot noir le plus proche.

En radio, on est coincé à la maison. Si le voisin possède un appareil qui crache sur des fréquences proche de ce qu'on veut écouter, il faut modifier le matériel pour contourner le problème... quand c'est possible.

 

Au niveau des météores, j'ai déjà fait des essais en extérieur (alimentation du récepteur avec l'allume cigare), ça fonctionne très bien :)

 

 

voilà...

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Concernant l'utilisation du SDR en radioastronomie, tu pourrais être l'un des pionniers en France dans ce type d'usage :)

 

Il est vrai aussi que de nombreux radioastronomes amateurs utilisent du matos très couteux et qu'ils ne souhaitent pas forçément admettre que l'on peut faire "pratiquement" la même chose avec bien moins cher et parfois même en plus performant.

 

Le plus triste en fait, c'est que de toute façon, même si demain il y avait des "kits" près à l'emploi pour faire de la radioastronomie amateur, il n'y aura pas vraiment plus de "nouveaux" radioastronomes dans notre pays.

 

Notre peuple n'aime pas pratiquer des activités scientifiques, celui-ci préfère de loin faire du football, cela ne changera jamais.

 

Néanmoins, concernant les astronomes amateurs en optique, il y aurait surment plus d'entres eux découvrant et pratiquant la radioastro en plus de l'optique, s'il y avait des kits disponibles, mais peut-être que je me trompe aussi. La pratique de la radioastronomie amateur n'étant pas toujours bien acceuilli dans les associations d'astronomie! (j'en parle en connaissance de cause).

 

Ce qu'il manque aussi, ce sont des livres en français sur le sujet (il n'y en a aucun sur la pratique de la radioastronomie amateur!), comme il n'y a pas non plus d'association de radioastronomes.

 

Bref, tout est à faire en France dans ce domaine. Le problème c'est d'avoir la volonté de la faire et le temps disponible.

 

Enfin, ce n'est que mon avis personnel.

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Ce qui m'attire dans le SDR c'est qu'il est possible de bricoler un récepteur sans bricolage mécanique, pas de face avant, cadran, affichage et autres interrupteurs, tout se trouve sur l'écran du pc.

Par contre, ayant horreur de copier servilement un schéma, je cherche à comprendre et je suis plongé dans les circuits logiques et mélangeurs en quadrature mais comme je ne suis pas très rapide...

 

Un livre un peu dépassé mais très intéressant: La Radioastronomie collection Que sais-je, ou si tu lis l'anglais : Radio telescopes par W.N.Christiansen et J.A.Hogbom aux Cambridge University Press, pour moi c'est ce qui se fait de mieux.

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Salut Snark,

 

Il est clair que ce type de récepteur a de l'avenir, mais les vrais mordus de radio (enfin ceux qui en font depuis déjà de nombreuses années), préfèrent encore généralement les bons vieux récepteurs "hardwares" :)

 

Pour les livres sur la radioastronomie au sens large, j'en possède une petite collection dans ma bibliothèque. Malheureusement, la majorité sont en anglais en effet, mais compréensible pour qui possède déjà quelques notions d'anglais technique (en particulier radio). Mon dernier achat est un livre (plutôt manuel) professionnel édité par le Seti Institut : SETI 2020. Très complet pour ceux et celles qui s'intéressent très sérieusement à la recherche Seti par radio (j'en attend un autre, mais cette fois-ci sur l'OSETI).

 

73

 

david vincent ;)

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  • 3 semaines plus tard...

Salut salut !

 

[...] ICOM PCR-1000 et 1500, il faut prévoir près de 600 euros neuf.
Heu... wé enfin bon... ch'uis pas spécialiste non-plus mais des scanners ou transceiver portables chopant les 50 MHz ça existe aussi, nettement moins cher, et pourrais marcher tout aussi bien, non ?
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Salut salut !

Heu... wé enfin bon... ch'uis pas spécialiste non-plus mais des scanners ou transceiver portables chopant les 50 MHz ça existe aussi, nettement moins cher, et pourrais marcher tout aussi bien, non ?

 

Apparament non...

Sensibilité trop variable, problèmes de stabilité en fréquence, artefacts...

Et il faut également que le mode SSB soit présent ce qui n'est pas toujours le cas sur ces appareils...

 

D'autre part les emméteurs TV aux alentours des 50MHz sont en train d'être éteints les uns après les autres dans le cadre du passage au numérique.

Donc peut-être vaut-il mieux prévoir un matériel plus ambivalent...

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Apparament non...

Sensibilité trop variable, problèmes de stabilité en fréquence, artefacts...

Et il faut également que le mode SSB soit présent ce qui n'est pas toujours le cas sur ces appareils...

Oui enfin, attention, je ne parle pas moi de faire une manip' de la morkitu. Mais grosso-modo l'équivalent d'une LUCIE pour l'écoute des météorites : un truc pas trop cher à fabriquer, par des plus performants, mais qui suffit pour voir que ça marche.

 

Comme je l'ai dis je ne suis pas spécialiste et encore moins radioamateur mais je ne suis pas certain que le SSB soit nécessaire, ni un trucs hyper sensible, vu que certains on déjà fait la manip' en reception AM avec un scanner pas des plus évolué (quoique déjà pas mal à mes yeux :)). Comme je l'ai dit la question n'est pas de comprendre ce qu'il se dit sur la radio ou TV captée, mais de voir qu'il y a une augmentation de signal dû au passage d'un météore.

 

Dans ces conditions, quel est à votre avis, le matériel de base pour pouvoir faire un tel truc ? (Parce qu'évidemment, après on peut s'équiper pour des milliers d'euros, renvoyer LUCIE aux oubliettes et se faire un radiotélescope interférométrique et compter les poils de cul des ET... je parle ici d'une manip' simple, et faisable à moindre coût quitte à aller plus loin ensuite... et me dites pas que c'est pas possible, didjû !!! :):lol: :lol: :lol: :lol:)

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Je serais heureux qu'il existe un tel matériel. Ca rejoint tout à fait mon message plus haut ("2. Pas de possibilité d'acheter un matériel -prêt à utilliser- même de mauvaise qualité ou limité.")

 

Dans ce cas, un recepteur d'occase pour le 144MHz qui pourrait descendre jusqu'à 143,050 MHz pourrait faire l'affaire.

(50 à 150 € ?)

C'est la fréquence du radar GRAVES qui balance un signal puissant et dirigé vers le ciel (détection de satellites et suivi de débris spatiaux).

 

Il y a eu pas mal de traffic à ce propos sur la mailing liste radioastronomie, apparament c'est actuellement la méthode la plus facile pour capter les échos.

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Pas mal ça...

 

D'autant que, si j'ai bien compris, je suis dans la bonne direction : il émet grosso-modo depuis la région lyonnaise et "atterri" au nord du Vaucluse. Étant situé au nord des Bouches du Rhône (voir encore plus stratégiquement si je monte à Sirene... ;)) ça pourrait le faire...

 

L'écho d'un météore serait-il vraiment "fort" ? Quelle sensibilité minimum est requise ? Et heu... comment on sait si on chope un écho ? :D

 

Je ne suis pas inscris aux discussions auxquelles tu fais références, y aurais-t-il des liens ou références intéressants à consulter ?

 

Merci :)

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Pas mal ça...

 

D'autant que, si j'ai bien compris, je suis dans la bonne direction : il émet grosso-modo depuis la région lyonnaise et "atterri" au nord du Vaucluse. Étant situé au nord des Bouches du Rhône (voir encore plus stratégiquement si je monte à Sirene... ;)) ça pourrait le faire...

 

D'après ce que j'ai compris il ne faut pas non plus être trop près (à cause de l'angle optimal des rebonds ?).

Les échos se font quand un météore ionise la partie de l'atmosphère qu'il traverse, et cela n'arrive que sur une plage d'altitudes données.

(Les objets traqués par le radar dans son utilisation officielle sont beacoup plus hauts)

 

L'écho d'un météore serait-il vraiment "fort" ? Quelle sensibilité minimum est requise ? Et heu... comment on sait si on chope un écho ? :D

 

On connecte la sortie audio du recepteur à la carte son du PC et on lance un logiciel d'analyse du spectre. Les échos sur météores font des formes caractéristiques qui fait qu'on ne les confond pas avec un écho sur un avion par exemple.

Voir les nombreuses photos d'écran dans la partie 'fichiers' du Yahoo Group.

(L'origine de l'apparence en 'tire bouchon' ou en 'epsilon' de certains échos est une question ouverte...)

 

Je ne suis pas inscris aux discussions auxquelles tu fais références, y aurais-t-il des liens ou références intéressants à consulter ?

 

Merci :)

 

Les archives du yahoo group constitue une bonne base de retours d'expérience pour ce qui est des aspects pratique / mise en oeuvre.

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Bonjour à tous,

 

Pour les formes d'échos météores sur un analyseur de spectre (software ou hardware), ils sont très diverses ! Les membres du réseau REFORME (professionnels et amateurs) tentent justement de comprendre pourquoi et de faire une sorte de catalogue des différents échos.

 

Par contre, il est très facile d'identifier les échos d'avions (ou de soucoupe volante hihi), ses échos ont tous la forme d'un S !

 

A+

 

Vincent

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