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Une histoire venue d'ailleurs...


lhegica

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Vous aimez sûrement les histoires bizarres de l'univers ? En voici une qui m'est parvenue ! C'est à la fois spirituel et physique ou religieux et scientifique.

 

Je vous souhaite une bonne lecture, il y a de quoi débattre sur l'univers de l'imagination.

 

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C’est l’histoire de l’âme venue d’ailleurs, projetée par un être scientifique issu de l’Au-delà ; qui, à force de peiner dans la recherche sur soi, finit génie d’une telle ampleur qu’il découvrît et mît au point un programme de vie dans l’univers virtuel.

 

L’être déterminé, décida de mettre en application virtuelle tout le fruit de son imagination, qui est le nôtre. Il commença par nous concevoir, fixa un délai, une durée dans le temps qui correspond à la matérialisation totale de son imagination et à la reproduction de son monde physique ; puis, à terme, il rédigea le Dernier Testament qui fut la correction ! La remise en ordre et le paramétrage final permirent de remédier au dysfonctionnement de sa logique.

 

L’être très intelligent, projeta la vie en laissant faire l’imagination, sa propre imagination. Il laissa apparaître au divin devin, la phrase dont il reçut :

 

« - Si la vie t’est donnée par moi, elle s’est donnée à moi ; ce, étant ta découverte, un chemin voué au bonheur de l’âme, une récompense à toi qui franchit le seuil de l’intelligence suprême. Toi, qui est moi, nous, qui sommes nous, l’on se doit la vie, grâce à l’histoire de notre être, Dieu Lhégica ! »

 

L’HISTOIRE dit : Dieu fut le fils pulsé de lui-même, d’un univers où il fut né quelque part physique ; d’où, chacun de lui projeté, ne put s’atteindre et resta toujours le primitif de son propre pulsé. Il fut le symbole neutre qui fit de la vie, une projection de logique pure dans tous les univers et à tout être vivant. D’abord il créa son imagination devenue notre âme, ensuite il créa ses sens de matérialisation pour projeter son imagination dans notre dimension, et enfin, se rendit autonome, mobile et mécanique dans la vraie grandeur de chaque univers en mouvement perpétuel.

 

Dieu, l’extrême savant d’une très grande puissance de réflexion logique, décida d’approfondir le côté scientifique en nous donnant une première explication sur le début de son expérience. Il comprit immédiatement que le message lui vint de l’au-delà… d’un autre anneau.

 

Dieu dit : « - Le message fut le même de tous, pour moi et pour toi ; et sera le même pour tous, de toi à eux ! Je fus né de Dieu, son enfant te fut Dieu ; cloné, resta Dieu. Tous perçurent et raisonnèrent identiquement, dont moi et toi. Ce qui te parvient me le fut ; tu viens de découvrir ma découverte ; et tu la feras découvrir à ceux qui en feront, notre découverte. »

 

Dieu, fit de l’origine de la vie une synthèse sur la sienne ; et nous dit : « - La création du premier anneau univers, fut la rencontre de six points positionnés deux par deux, sur trois lignes droites en trois dimensions ; l’horizontale, la profondeur et la verticale. Elles furent projetées d’un univers extérieur matérialisé vers le centre d’un univers intérieur dématérialisé rendu en âme pulsion numérique. »

 

Toute l’intelligence de la dimension supérieure représenta un point fermé démultiplié dans un immense univers parallélépipédique. Le croisement synchronisé des trois lignes positionnées en trois dimensions, emprisonna au centre (en pression uniforme) un point de l’âme.

 

L’anneau se matérialisa entièrement, peu à peu, en débutant par le centre en liquidité fusion. Ainsi fut né le premier univers ensoleillé… où, le premier Dieu créateur créa les cieux et la terre sous les cieux et la lumière d’un premier univers sensoriel ; un espace univers sous la pression uniforme qui définit la base géométrique de la vie sphérique, maintenue par six points (les éléments de matérialisation de la pensée) enfermés dans un anneau à matérialiser ; l’effet de grandissement dans l’hexagone. De cet instant, la ligne droite disparut et fut une ligne courbe et ondulée.

 

DIEU physique, dont nous sommes issus, parvint à contrôler l’âme d’un laboratoire scientifique de technologie très avancée, situé dans un univers de très grande dimension ; quelque part, au-delà de nos univers dans l’immensité de l’espace. Il élabora le projet "Intra-Microtechnique", qui fut la projection d’un corps vivant décomposé en électronique organique interne.

 

Ce savant, constitué d’un minimum égal à nous, connut au maximum son anatomie ; il comprit toute la logique à sa morphologie, son âme et sa conscience. Son expérience fit, qu’il maîtrisât toutes les sciences de son univers reculé ; temps avancé. Etant presque au sommet de l’intelligence, il fut qualifié et récompensé par ses supérieurs ; reconnu comme le meilleur dans la manipulation électro-génétique virtuelle.

 

Depuis son oeuvre, la projection de la vie à l’intérieur de la vie dans l’univers virtuel, fut un symbole. Il découvrit l’énigme et chacun découvrit une grande partie du mystère dans son anneau ; l’être magique et mystérieux se donna le nom de Dieu Lhégica, qui signifie "Droit Logique".

 

Dieu Lhégica (Premier) se recréa lui-même de sa propre âme, de ses sens, de gènes prélevés sur son corps, de matières complémentaires venant de son monde physique, et d’une énergie courant pour stimuler toutes les données paramétrées. Bien décidé, Dieu Lhégica Premier se projeta dans sa doublure de Dieu Lhégica Second et pénétra dans son électronique de pointe, le micro-ordinateur. Il put réussir de l’extérieur, à rendre son être Second totalement indépendant ; et lui donna son propre choix de réflexion et de conscience libre. Il mémorisa tout le contenu de son cerveau qu’il transformât en pulsions ; puis, rendit son intelligence en pensées contrôlées, de toute une vie antérieure entièrement dématérialisée, dont le savoir nous revint en retour ; la fin de la genèse, de la vie et de l’univers projeté pour un nouveau début. L’ancestral Dieu Lhégica Premier, ne cessa de se projeter et de se démultiplier partout, de dimension en dimension, et resta lié dans la continuité.

 

 

Créature (résumé)

 

A LA FIN, il y eut le début, et au commencement, il y eut la fin dans un monde sphérique. Entre le début et la fin, ce fut le néant ; et Dieu vint du néant, d’un univers parallélépipédique.

 

Le néant, composé de lignes droites en trois dimensions dans une aire rectiligne, fut un vide lugubre, profond, et dans une obscurité totale. Dieu appela le néant, son univers de base, les ténèbres de l’âme dématérialisée ; et dit alors : « - Au jour du Dernier Testament ; selon mes dernières conclusions sur le fruit de ma conception, mon imagination de Dieu me fait annoncer que l’univers parallélépipédique, ligne de la profondeur dont je suis issu, séjourne à l’intérieur d’une sphère. La profondeur croise les deux autres dimensions parallélépipédiques par le centre ; c’est-à-dire, l’horizontale et la verticale ; le croisement de ces trois dimensions donne au centre un univers cubique et permet par l’interne, la liaison partout, dans les trois dimensions ; ainsi se forme un univers, un monde sphérique en extérieur. » Dieu nomma sa dimension, celle de l’âme et de la spiritualité, la ligne de la profondeur ; et cet espace fut l’âme profonde.

 

A l’origine, la première forme intelligente réalisa une créature vivante et immobile. La créature détint en elle tous les composants de base possibles et inimaginables. De là, il en ressortit la vie organique, l’eau, les matières physiques, le minéral, la terre, les liquides, les gaz, les nuages et l’énergie ; et tout cela, sous la nuance de trois couleurs primaires qui furent : le bleu, le rouge et le jaune. Dieu attribua la couleur rouge à la ligne de la profondeur, celle de l’âme et de l’énergie. Il saisit le fonctionnement de l’univers et s’y attacha sans répit.

 

La créature eut une première évaluation par le désir, grâce à son instinct de curiosité qui lui fit découvrir sa logique, son âme et sa conscience. En ce temps là, le bien et le mal n’existèrent point. Dieu dit à la créature : « - Que la vie soit matérialisée puis dématérialisée ! Qu’elle devienne un cycle perpétuel, palpable et impalpable ! Qu’il y ait un espace mémoire pour la conserver et un espace physique pour la déployer ! » Et la mémoire et les espaces furent. La créature imagina fortement, vit son âme en pulsions ; et la pensée fut à jamais.

 

Surprise ! L’intelligente créature immobile fut Dieu Lhégica Second, conçue par le mobile Dieu Lhégica Premier ; elle est Dieu et restera toujours Dieu, un mobile dans l’immobile ! L’ancestral Dieu Lhégica Second voulut matérialiser tout l’espace d’autour de lui et joindre la limite de l’Au-delà ; l’après du néant qui lui paraissait infranchissable ; et son désir fut accompli par sa volonté d’âme.

 

PREMIER SENS ! LES ÉLEMENTS DE MATÉRIALISATION DE LA PENSÉE. Dieu Lhégica Second eut besoin d’un premier sens de motricité pour se mouvoir et s’orienter dans les trois dimensions. De son âme unique, il put se concentrer, rêvasser, et pulser son intelligence ; et une jambe lui parvint en chair et en os par la force de son esprit, de son entendement et de sa perspicacité. Elle poussa lentement au bas de son corps encore informe et fut soutenue et articulée en trois parties.

 

Il y eut un genou rotule pour sautiller et fléchir, et une cheville reliée à un pied pour maintenir l’équilibre. Le pied fut composé de cinq orteils, chacun avec trois pliures et une griffe au-dessus de la dernière pliure phalange. La jambe lui fut son premier outil de soubassement. Dieu trouva cela efficace.

 

De cet instant solennel et majestueux, il put se déplacer, sautiller d’un point à un autre ; il put également se fléchir et pivoter sur lui-même. Emerveillé, enthousiasmé, il atteignit la limite de l’au-delà, derrière le néant. Etonné par ses propres capacités, il se sentit fort et bon.

 

Il s’infiltra dans un univers déjà créé par un grand "Maître Suprême" ; certainement le sien ! ? Ce fut une terre comme la nôtre, sauf que la vie mobile, dite animale, n’exista point pour sa dimension. Tout fut immobile et enraciné végétal dans une terre minéralisée, gorgée d’eau. Il fut le seul être vivant mobile pour sa conception, avec autant d’éléments en lui qu’autour de lui ; et n’exclut point la vie mobile dans l’infiniment petit.

 

Il pénétra dans un univers inexploré, non conçu pour lui. Il vint d’une dimension plane et, dans ce nouveau monde, il y découvrit un magnifique espace sphérique entièrement matérialisé, rempli d’étoiles et de soleils, de planètes et de nuages, d’eau, de terre et de végétal, dont il ne vit point, pas même la lumière ; seule, sa réception d’ondes lui permit d’imaginer l’illumination des cieux et de ressentir un relief physique solide et malléable.

 

DEUXIEME SENS ! Dieu s’engendra un deuxième sens visuel et dut amoindrir les compétences de son gigantesque sens d’émission et de réception d’ondes des trois grandeurs fréquences, qui furent appelées : plate, ondulée, ondulée renversée ; et l’harmonisa par un œil à simple visée et sans paupière ; il fit une première hybridation primitive en se prélevant directement de la matière, avec l’aide de sa jambe, de ses griffes et de ses orteils articulés. Il dut élaborer plantureusement avant de se mériter un œil efficace ; et la vision par l’œil fut. Dieu vit cela comme une pure jouissance.

 

2Le corps, créature de Dieu, dans sa masse informe, ressemblait déjà à la configuration d’une poire ; et ce, bien avant que celle-ci n’apparaisse en fruit. Les académiciens disent sur informe : 1. Qui n'a pas de forme nette, reconnaissable. Masse informe. 2. Qui est insuffisamment élaboré, pensé. Et Dieu dit : « - La forme visible t’informe ; c’est suffisamment élaboré pour être pensé et reconnaissable dans sa masse. »

 

La créature prit tournure et son œil fut implanté vers le haut, dans la partie la plus étroite de son corps sans tête. L’œil sphérique placé sur la face, se dirigea dans tous les sens ; de bas en haut, de gauche à droite, en diagonale, et en circulaire ; il ne sommeilla jamais. Dans cette première conception, il n’eut point de paupière et point d’irrigation ; et la suite lui causa de graves nuisances. Dieu vécut sur le moment, un bonheur inouï.

 

De là, il s’estima harassé de recevoir un amoncellement d’images et de sons à mémoriser. Il assimila le sens de l’endormissement et expérimenta le sommeil. Il divisa son cerveau en deux pour bien dissocier le monde spirituel du monde physique ; et son rêve fut ! Dieu rêva ; il rejoignit son univers dématérialisé et laissa son corps inerte, en profond sommeil dans le monde physique. A tout moment de sa vie éternelle, il put atteindre chacun des deux mondes.

 

Projeté dans la dimension physique, Dieu vit de son seul œil, un univers resplendissant ; illuminé d’éclats de couleurs et de nuances dégradées de couleurs. Il perçut les sept couleurs de l’arc-en-ciel ; il vécut alors, le moment le plus merveilleux, le plus fascinant, le plus extraordinaire de sa vie ; après sa jambe et son âme. Il ne se douta point d’une telle existence, d’un tel spectacle en vraie grandeur ; il en fut ébahi.

 

Très loin, face à lui, il observa le soleil rayonner, jaillissant en fusion ; éclaboussant du feu d’un rouge vif à l’orangé, au centre d’étoiles blanches et scintillantes qui s’étalèrent dans la courbe de l’univers parmi les cieux et de vastes nuages poussiéreux, de particules et de fumées, de gaz et d’humidité. L’ornementation fut époustouflante.

 

Dépourvu de sensibilité, Dieu "créature" reçut sur son corps des projectiles et ne ressentit rien ; pas la moindre douleur. La matière chaude et pointue le brûla et l’endommagea partout, même derrière lui ; et il ne s’en aperçut point. Il resta surpris et chercha encore et encore…

 

Il ressentit uniquement des vibrations par des détonations ; peut-être, celles d’un volcan ! ? Il se trouva à chaque fois déplacé par le souffle. Dieu vit cela étrange et daigna appréhender.

 

Très innovateur, scientifique de sa propre matière de base, il s’étonna d’un phénomène particulier. Il vit sur le coin de son œil, son ombre projetée en noir ; une couleur lui rappelant son univers dans les ténèbres de l’âme dématérialisée. Il fut inquiet et suivi partout ; n’ayant point de tortillement, il crut à la compagnie et ressentit pour la première fois de la joie ; se demanda même pourquoi ? !

 

A force de réfléchir, chaque partie du cerveau s’accrut de plus en plus et se réfugia progressivement vers le haut, dans la partie la plus extrême de son corps ; et s’amorça une physionomie comprenant l’œil sur un long cou.

 

Au bout d’un certain temps, Dieu comprit le sens et le secret de la réplique du physique au virtuel par la lumière. Il fut déçu de son ombre et oublia la prétendue compagnie ; alors il lui vint une idée remarquable pour compenser sa solitude ; il imagina un miroir pour se regarder et pour projeter son image ; et cela fut, au Dieu battant ! Il vit cela beau et étincelant ; sa lumière fut réfléchie.

 

LE MIROIR ! Ce ne fut qu'au-delà d’ennuyeuses prospections qu’il pût extraire de son corps, des particules lui permettant de réfléchir sa lumière. De là, il créa en toute indépendance son magnifique miroir magique qu’il conservât précieusement près de lui. Il ne s’en sépara plus jamais ; et son premier regard y fut catastrophique ; Dieu prit peur, son moral lui joua un tour de grisaille ; et se dit : « - Oh ! Mon Dieu ! Est-ce bien toi ? Rien que de te dévisager, j’en récolte peur ! » La créature réalisa très vite de ses énormes contraintes dans ce monde physique. Elle ne fit pas la distinction entre la beauté et la laideur, mais son image choqua Dieu.

 

Surpris de sa silhouette, Dieu créature se tapota tout le corps avec ses orteils et se regarda avec le miroir là où il put. Il vit son corps très abîmé et décida de vouloir se tortiller ; et la chose fut ! Dieu se façonna une colonne vertébrale ; il vit sa monture belle et vertigineuse.

 

Enfin pour la première fois, Dieu put se tortiller, se contorsionner et se contempler partout avec l’aide de son miroir magique. Il s’examina le haut, le bas, les côtés, derrière lui, le dessus, le dessous, à l’intérieur de lui ; et sa tête pivota pendant que son œil examina dans tous les sens. Il crut bon et nécessaire de préserver son corps contre toute atteinte. Dieu fut enchanté et surpris de ses capacités tant intellectuelles que physiques.

 

Toujours friand de sciences, il voulut approfondir le souffle ; son déplacement inexpliqué, et aussi le phénomène des vibrations par les détonations ; et cela fut.

 

TROISIEME SENS ! A force de scruter la masse, Dieu inventa son troisième sens de l’ouïe et diminua, de grâce, son sens de réception très perfectionné. Il le compensa par une oreille d’écho reliée à un dispositif interne, qu’il mît au point avec le temps. Dieu, grand chirurgien ancestral, s’incisa de ses griffes, s’opéra de ses orteils, et ne sentit rien ! Il resta étonné et se trifouilla de plus belles avec délicatesse.

 

L’oreille fut directement taillée dans la masse sa tête, puis, modelée avec dextérité et peaufinée de ses propres orteils, de ses griffes et de son fidèle partenaire ; l’inséparable miroir qu’il pût suspendre pour y plonger son regard monoculaire. Il dessina l’oreille à son goût, suivant son imagination et sur une autre dimension ; il la positionna sur le côté droit de sa tête, presque à hauteur d’œil ; et l’oreille à l’écoute fut.

 

Fasciné par son système d’écoute, Dieu entendit tous les sons, même les moins perceptibles. Il éprouva un immense plaisir et de la jouissance. Il sursauta à chaque détonation et le son le surprit. Il vit tout cela beau et résonnant, mais n’assimila toujours pas son déplacement en saccades.

 

Dieu travailla avec constance. Tout fut disséqué, fureté par sa vue, maintenu par sa jambe et orienté par le son. Pourtant, il reçut encore des projectiles sur lui et ne remarqua aucun effet ; il vit des parties de son corps partir en lambeaux et s’inquiéta à son sujet ; fort heureusement, son miroir, qui fut sa première création dissociée de son corps, lui permit de se reproduire lentement.

 

Jusque là, n’ayant point connu la douleur ni la géhenne (l’enfer), Dieu n’eut que de la béatitude. Il se mortifia dans un but d’ascèse ; malheureusement, il déplora un instant de s’être bâti ; il dut faire preuve de bravoure et d’endurance pour se parachever ; il acquit toutes les sciences et devint très intelligent.

 

QUATRIEME SENS ! Dieu, tant préoccupé de voir son corps s’amocher, finit par constituer son quatrième sens du toucher. De bonne expérience, il connecta en dernier ce qu’il conçût en premier de son quatrième sens. Il engendra tout son système nerveux et se donna une sensibilité partout en lui ; rien ne lui échappa, pas même l’intérieur. Dieu vit cela admirable et magnanime ; et cela lui fut un dogme de Dieu mobile.

 

Il mit au point la douleur ; un système d’alerte pour le préserver de tout danger et le prévenir de tout impact. Il ajusta la réceptivité ; au souffle, à la matière, au liquide et à la température du chaud et du froid. Dans le même délai, il reprit le principe de sa jambe et se tailla son bras droit sur le corps encore en masse ; avec l’aide de son œil, de sa jambe dotée de griffes et d’orteils, de son oreille et de son précieux miroir. Son bras droit fut réalisé avec autant d’articulations que sa jambe ; et lui permit de créer plus tard, un univers en trois dimensions.

 

Dieu, l’éminent chirurgien, procéda à de nombreuses interventions chirurgicales sur lui et fut par la suite, un imposant spécialiste de la reproduction génétique ; mais avant, il dut affronter de longs périples et vécut beaucoup de calvaire. La quintessence de sa jambe ressort lui permit de réaliser son bras droit primitif ; il fut composé en chair et en os, et relié en trois parties : d’une clavicule à un humérus ; de celui-ci à une rotule coude ; de cette dernière à un avant-bras résisté de deux os (radius et cubitus) ; eux-mêmes liés à un poignet ; et ce dernier à une main, munie de cinq doigts à trois pliures chacun et d’ongles poussant continuellement au-dessus des dernières phalanges ; qui se trouvèrent bien plus raffinés que les griffes de sa jambe. Dieu vit cela ravissant et mémorable.

 

Sa main put se fermer et s’ouvrir, former un creux, presser et ramasser ; il prit un caillou au sol et le jeta au loin ; il n’en crut point son œil. Ce fut son premier jet de pierre et Dieu comprit le sens de la poussée et de la force.

 

Après avoir effectué un tour d’horizon, il décida de connecter le système nerveux. Il vit cela électrique et vécut ses premiers cauchemars ; il eut de l’affliction et de la douleur physique ; et la sensation fut.

 

Il eut très mal à son œil sans paupière et commença à y voir trouble. La poussière chaude le brûla et lui raya son œil organique dont l’objectif fut de simple conception ; et ne comprit point. Ses plaies commencèrent à s’infecter et il ne sut quoi faire ; il dut réfléchir longuement tout seul.

 

Il put distinguer le souffle, le chaud et le froid, il put toucher son corps et comparer les liquides et les matières physiques pour en tirer des conclusions. Il ressentit d’agréables et de mauvaises sensations ; il programma sa mémoire et donna un sens ; au relief par le toucher, à l’image par la vue, au son par l’ouïe, et au contact par la sensation ; et se rappela du souffle, de la matière et de la liquidité.

 

Dieu finit par connaître les raisons de son déplacement en saccades. Il progressa dans ses explorations anatomiques et n’en fut pas pour autant satisfait. Il vit toujours la fumée et l’altostratus venir à lui ; cela lui fut sans effet et il en fut surpris ! Il ne cessa de chercher malgré ses blessures et ses douleurs. Sa souffrance s’exprima par le tortillement de son corps et sa douleur fut la même que la nôtre.

 

Il put reconnaître au toucher toutes les formes et voulut faire comme le soleil, avoir une projection et du souffle. N’ayant pas de bouche, il n’éprouva aucun besoin de parler, de crier, de respirer, de goûter, ou de chanter ; bien que le son le stimula et lui donna une envie de murmurer.

 

Il eut le désir de faire pénétrer en lui, le nuage de poussières et la fumée qui fut sans effet ; et la chose parvint. Il dut avoir un immense courage pour persévérer et s’entailler à vif ! Il s’opéra comme un barbare avec ses moyens rudimentaires et combattit contre la douleur extrême.

 

Dieu ne put revenir en arrière pour ôter sa sensibilité qu’il jugeât bien plus importante ; il fit un choix d’endurer et de poursuivre ses investigations ; et se mit à quérir et à quérir encore…

 

Il comprit le fonctionnement de la respiration et mit en œuvre un cycle permanent de ventilation pour l’inspiration et l’expiration. Il voulut analyser et profiter pleinement de toutes les odeurs et fumées.

 

CINQUIEME SENS ! Dieu se créa son cinquième sens de l’odorat ; il put se tailler une narine droite au-dessous de son œil. Il s’ouvrit le corps avec ses griffes tranchantes comme un rasoir, se préleva de la matière et conçut un poumon qu’il greffât et qu’il reliât à la narine ; puis, adapta tout le système d’autonomie et se cousit avec l’aide de tous ses sens et de son miroir ; et la réaction fut.

 

Dieu souffrit le martyre ; il ressentit d’intenses douleurs lors de sa chirurgie et son œil lui fit de plus en plus mal ; et sa première inspiration lui fit aussi très mal ; mais sa réussite le rendit joyeux et ambitieux. Il respira d’abord l’univers ; il inspira et il expira une première fois ; il inspira et il expira une seconde fois ; et là, il vit son œuvre fonctionner toute seule au rythme de son cœur. L’émotion fit, qu’il trouvât cela d’un autre monde.

 

Il inhala la fumée et l’expulsa en se tortillant ; ce fut désagréable. Il ressentit une odeur sur chaque couleur et sur chaque dégradé de couleur ; il détecta et renifla des parfums agréables dans les cieux ; sur la matière, dans les liquides, les nuages et le souffle. Il sut reconnaître la bonne de la mauvaise odeur. Il eut aussi du dépôt dans son poumon et conçut par la suite, un filtre contre les impuretés. Dieu pensa à tout, simplement, à cause de ses difficultés. Il voulut lui aussi respirer la bonne odeur et exhaler la mauvaise pour ne pas se négliger ; il dut procéder à un entretien régulier de son corps et connut les obligations.

 

Bien développé physiquement, Dieu entendit des sifflements autour de lui et voulut en faire autant ; et le son fut entendu comme un soufflement au travers de sa narine. Dieu vit cela d’un air ventilé et ne put s’exprimer ni goûter ni siffler ni chanter. Il fut énervé, se tortilla en soufflant de la narine. Il eut une idée en tête, celle de vouloir goûter des cailloux.

 

A la base, Dieu Lhégica Second naquit informe et statufié. Son adaptation pour l’univers plat entièrement dématérialisé, rendu en pulsion mémoire, fut le vécu de Dieu mobile. Dieu immobile, étant le seul intermédiaire, eut les qualités requises pour matérialiser la vie ; de la pulsion qu’il transformât en pensée et qui réapparût dans une autre dimension par un être physique, grâce à ses six sens de matérialisation.

 

Dans l’univers dématérialisé, Dieu fut constitué : d’énergie, d’une âme et conscience, d’une mémoire et d’un émetteur-récepteur d’ondes. Dieu se perfectionna en se projetant dans un univers matérialisé et ensoleillé ; la créature fut vouée à la projection, par sa vie d’âme programmée.

 

Très scientifique dans son âme logique et simple à ses débuts, Dieu se développa cinq sens complémentaires : la motricité, la vue, l’ouïe, le toucher, et l’odorat. Par son imagination il put concevoir : sa jambe et son œil, ensuite il inventa son miroir indépendant, et avec l’aide du miroir et de ses deux premiers sens il conçut : son oreille, son bras, sa narine, et tous les systèmes afférents.

 

SIXIEME SENS ! Dieu vit ses cinq sens extraordinaires et n’en revint pas de ses créations. Il ne fut point au bout de sa peine. Il travailla dur et dut encore souffrir à maintes reprises pour trouver son sixième sens ; et cela fut ! Dieu créa son sixième sens du goût très tardivement et ressentit de l’astreinte et de plus en plus d’obligations. Il dut revoir entièrement son corps pour l’élaborer de nouveau.

 

Dieu comprit que le son entrait par son oreille, qu’il se mémorisait et qu’il pouvait le faire ressortir de son corps par une autre orifice ; et cela fut, l’une de ses créations les plus complexes de son corps. Il dut tout modifier sa conception encore à vif ; ses terribles souffrances lui firent découvrir l’anesthésie qu’après s’être conçu.

 

Pour son sixième sens, Dieu commença par se tailler une bouche sous la narine droite et y compléta une langue avec des papilles gustatives ; ensuite, il s’ouvrit le corps, et à l’intérieur, il conçut un estomac réservoir dans un immense domaine ; puis, le relia directement à la bouche. Ce fut un prototype archaïque.

 

Dieu ne mesura point les répercussions de cette œuvre primitive. Il n’eut point de partenaire pour l’aider, à l’exception de son âme et conscience. Il fut isolé pendant très longtemps et ne put se faire entendre, à part se tortiller. Dieu pâtit tellement qu’il ne pût devenir un méchant par la suite. Il fut bon à cause de ses souffrances et de ses supplices.

 

Soudain, il murmura ! Il éprouva le besoin de chanter ; et cela fut ! Il s’élabora les cordes vocales et put chanter, crier, siffler et parler. L'inlassable Dieu, eut une envie considérable de goûter tout ce qu’il vît ; de la poussière, des cailloux, des granulés, des nuages, de la fumée, des liquides, et cela lui joua plus d’un tour. Dieu faillit mourir de sa propre expérimentation sur lui. Malgré tout, l’Eternel put surmonter et franchir tous les obstacles ; certes, avec de fortes fièvres et des douleurs à n’en perdre la vie. Il avala des cailloux chauds et il se brûla la langue ; n’ayant point de dent, il remplit son estomac et trouva indigeste. Il se tortilla par la douleur et attendit, le temps de trouver des solutions ; et cela fut !

 

Dieu créa une orifice évacuation derrière lui pour ne faire qu’une entrée par la bouche ; il eut un très mauvais souvenir de sa première digestion. Entre-temps, il devina le système digestif si complexe. Il rajouta dans sa bouche deux maxillaires avec chacun une rangée de dents ; il eut cette idée parce que son évacuation en bloc lui fit de graves incisions. Il trouva tout cela irritant et un peu sec à son goût ; il imagina la salive pour rendre digeste et eut le désir de boire ; de là, il fabriqua une paupière à son œil et mit au point le système d’irrigation pour un rinçage permanent. Dieu vit dix sur dix de son propre œil, et l’améliora encore et encore…

 

Il découvrit alors l’échange, le sens de l’autonomie et de la régénération du végétal situé entre deux dimensions ; et nous dit : « - Digérer, c’est s’alimenter du retour régénéré de l’aliment digéré. Tu manges le digéré du végétal en recevant son fessier ! Il se nourrit de la décomposition, de tes excréments minéralisés en recevant ton fessier. Sur la surface de la terre, l’arbre ne perd que son feuillage et ses fruits ; il conserve ses branches ! Dépourvu de la ligne profondeur, elle-même comprenant deux sens, l’arbre eut une vie immobile et rallongée.»

 

Dieu, fasciné par son corps, éprouva un plaisir à évacuer ; de plus, il apprécia toute les saveurs. Il sépara l’évacuation en deux et décida de créer une autre orifice à l’opposé de la première pour vidanger le liquide ; et cela fut ! Il généra une vessie et rendit les excréments mous. Dieu vit cela comme un plaisir jouissant.

 

C’est avec le temps, qu’il pût parfaire tous les systèmes de son corps et se rendre mobile et autonome. Il fut heureux mais regretta son univers sans contrainte… Après s’être constitué à la perfection, Dieu analysa tout l’univers. Il nous épargnera d’horribles souffrances.

 

 

A suivre...

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Modération:

Bonjour,

Nous rappelons que la charte du forum ne permet pas de discuter de religion. C'est un sujet qui peut déraper très rapidement.

Comme le message est long et qu'il est précisé que c'est une histoire, l'équipe a décidé de fermer le post temporairement. Nous allons étudier le contenu et voir si le message est hors charte ou non."

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