Nébuleuses d'Orion

Hello,

Pour faire suite à mon précédent CROA sur les amas d’Orion et des Gémeaux, voici la suite de mes pérégrinations dans ces mêmes constellations. C’est cette fois une version plus « profonde », vu que la lune n’était pas là. La transparence était bonne sans plus, avec une légère diffusion (humidité de 60%), tout comme la turbulence qui ne permettait pas une mise au point très précise dès les moyens grossissements.

Le froid de 0° sous abri au début de la séance était un peu moins mordant que les fois précédentes. Il s’agit de ma dernière sortie, car avec la douceur revenue la météo s’est complètement dégradée ! Le manque d’étoiles se faisant de plus en plus criant – notamment en ce week-end prolongé pour moi, que c’est cruel ! – je vais donc revivre cette séance avec vous bien volontiers !

Le thème majeur de ce CROA sont les nébuleuses d’Orion, mais vous verrez que j’ai aussi visité d’autres types d’objets.

Comme presque toujours, j’attaque avec un objet facile afin de m’habituer au noir sans trop de conséquence sur l’objet observé.

L’amas de l’arc d’Orion NGC 1662 est idéal pour cela, brillant et compact à 31 X. A 53 X il est assez grand, nettement en forme de B majuscule, et ressort bien dans un champ assez pauvre. La partie centrale est plus brillante et dense, et contient un étoile nettement jaune. On note rapidement 20 étoiles facilement visibles. Il me semble qu’une astramette habituée de WA qui est passée aux oubliettes depuis, fort dommage d’ailleurs, y voyait un c_l et non un B (probablement que si Orion se lève, avec l’orientation de l’amas et l’inversion N/S du Newton on peut obtenir cette ressemblance !).

C’est bon, je suis à peu près adapté au noir pour attaquer le vif du sujet, bien positionné au Sud : l’Epée d’Orion ! La météo qui a suivi cette séance m’a donné raison de me focaliser tout de suite sur ce morceau de choix, sait-on jamais quand la grisaille est ainsi installée, au moins c’est pris …

Donc, l’Epée, c’est un gros morceau qui ne me laisse jamais indifférent. Du nord au sud, je commence par l’amas brillant, étendu, épars et facile de NGC 1981. Comme le précédent, c’est un objet qui souffre peu d’un ciel incorrect. Il n’y a pas grand-chose à dire sur l’amas lui-même, si ce n’est bien sûr qu’il est dans le même champ magnifique que les autres objets de l’Epée que nous verrons ci-dessous. Cet amas me fait penser à un animal haut sur pattes vu de côté, comme un cerf par exemple, avec une tête pointue d’étoiles plus brillantes à l’est. 2 doubles faibles marquent les extrémités est et ouest.

On descend ensuite vers le Running Man, la nébuleuse diffuse NGC 1977. Elle est bien visible en croissant autour de quelques étoiles très brillantes, plus développée à l’Ouest mais ne paraît guère plus étendue qu’à la 80ED. Le ciel serait-il trop diffus ? Par contre nouveauté, je note presque immédiatement une vague zone plus noire entre les deux étoiles principales. D’après les photos, cela semble correspondre à une jambe du Running Man. Par contre, je ne vois pas le reste du bonhomme plus au nord mais je perçois bien les petites nébuleuses NGC 1975 et surtout NGC 1973, petites diffusions autour d’étoiles doubles.

Tout cela confère une certaine notion de richesse, impression plus que renforcée par les classiques que l’on trouve juste au sud :

M42 et M43 !

M43 tout d’abord au Delos 14 offre une vision assez remarquable par rapport à la 80ED, la forme en coquille étant bien mieux et rapidement vue, le contraste avec le ciel proche noir profond saisissant, et on devine même des irrégularités prémisses d’une surface complexe.

M42, même si les conditions ne sont pas parfaites, honore fort bien sa réputation ! Que dire de ce monstre, archi-connu des observateurs ? Je ne me lancerai pas dans une description point à point, mais soulignerai juste les aspects propres à mon nouvel instrument. Ce fut l’an dernier le premier objet pointé avec ma nouvelle FC-100 DF, mais je n’avais alors pas trouvé de changement frappant par rapport à la 80ED, lors d’une rapide observation.

Ce soir, c’est plus marqué, même si la turbulence ne me permet pas de grossir pour mettre en évidence les 6 composantes du Trapèze. Trapèze que je trouve au passage différemment coloré à faible grossissement.

Cet immense et magnifique oiseau de nuit se développe un peu plus dans ses parties diffuses et sombres à l’ouest, et juste au sud du triangle central. Contrairement à beaucoup de nébuleuses ce soir, le filtre UHC est ici efficace et montre bien plus facilement ces parties secondaires en donnant à M42 un aspect plus bloc et uni. La différence de brillance avec les parties principales est alors amoindri. La masse diffuse ouest montre des différences de luminosité, notamment une vaste zone sombre.

Le bras Est présente une extension secondaire au niveau du coude, il est plus largement entouré de gaz, on devine des zones lumineuses ça et là notamment au sud du triangle. Les zones les plus brillantes commencent à montrer – et ce dès les faibles grossissements – des structures en moutonnements irrégulières, dans lesquelles on pourrait déjà se perdre pendant de longues minutes. Bref, il y a de quoi faire et on sent que l’on est à deux doigts de percevoir de nouveaux menus et furtifs détails, et la description serait très longue …

Après cette razzia visuelle, descendons un peu vers l’amas NGC 1980. Superbe objet esthétique et irrégulier, constitué d’une étoile principale très brillante et d’une vingtaine d’étoiles plus variées en éclat et espacement, dont une double remarquable. La double et surtout la principale sont entourées de belles nébuleuses rondes faciles, sur lesquelles le filtre UHC est inefficace.

Encore au sud (même si en fait je l’ai observé après M78), se trouve la petite NGC 1999, nébuleuse par réflexion présentant une tâche sombre.

La nébuleuse est évidente dans un champ riche dès 31 X, même si elle est petite. A 53 X elle ressemble à une planétaire, à peu près ronde et restreinte autour d’une étoile assez brillante. En grossissant elle semble s’évaser vers le Nord, mais ne montre pas vraiment sa zone sombre, qui est seulement peut-être devinée vers 150 X ?

C’est presque à 31 X que je la préfère, avec NGC 1980, car un peu décevante en grossissant.

Avec la lunette, l’ensemble de l’Epée est particulièrement impressionnant et esthétique, puissant et riche, à faible grossissement dans le même champ (Panoptic 24 donnant 31 X par exemple). Mais on peut encore renforcer le contraste au Delos 14 (53 X) ou zoomer certains détails au 8 mm par exemple (92 X). C’est un objet de vue d’ensemble mais riche en détails aussi !

Après cela je passe sur la Flamme NGC 2024, fort décevante par contre. L’UHC ne sert pas, et il faut éloigner au maximum Alnitak à près de 100 X pour deviner une faible zone plus pâle que le ciel, vaguement séparée verticalement par un chenal sombre. J’avais un meilleur souvenir à la 80ED, notamment d’irrégularités dans la partie la plus éloignée d’Alnitak.

Cette nébuleuse dépend vraiment fortement de la transparence du ciel. A retenter dans les Hautes-Alpes !

Passons aussi par NGC 2023 toute proche, c’est juste une diffusion nébuleuse autour d’une étoile de mag 9 environ, plus évidente et étendue en grossissant mais ne réagissant pas au filtre.

Le complexe M78 – NGC 2071 est plus intéressant !

A 53 X M78 est évidente sans être contrastée, et montre assez bien sa forme caractéristique : assez nette et restreinte à l’Ouest des 2 étoiles qu’elle contient, et étendue en éventail et diffuse au SE, un peu cométaire. En grossissant une 3ème étoile apparaît dans le halo, tout comme de vagues irrégularités d’éclat, de texture.

NGC 2071 reste une nébulosité mal définie autour d’une étoile de mag 10 environ, un peu au Nord.

Je n’affirmerai pas avoir vu NGC 2067, pâle nébuleuse proche de M78 du côté des 2 étoiles, mais j’ai comme deviné une zone plus sombre, un couloir juste collé à M78, couloir séparant les deux nébuleuses.

Je ne parlerai pas des autres très faibles nébulosités au sud de M78 car accessibles à bien plus gros diamètre, même s’il m’a semblé deviné un cocon nébuleux dans ces parages.

Juste à l’ouest de M42 se trouve une faible galaxie, NGC 1924 (mag 12,4), que je ne perçois que par rares intermittences à 92 X. A 148 X elle semble un peu moins difficile, voire plus contrastée au centre.

NGC 2141 est un amas ouvert très difficile aussi, c’est simplement à ce diamètre une zone un peu plus claire que le ciel, mal définie, mieux repérée en faisant bouger le tube dans un champ riche. Je ne l’avais pas vu la dernière fois avec la lune, et pour cause !

On arrive enfin au cas de Abell 12, petite nébuleuse planétaire extrêmement facile à repérer car presque collée à l’étoile Mu. A ce jour je crois bien l’avoir vue mais n’en suis plus très sûr, tant la diffusion autour de la brillante Mu était importante ce soir-là et tant la nébuleuse est faible. Il m’a bien semblé apercevoir avec le filtre OIII, à 92 X et 148 X, une condensation ronde et unie dans la diffusion de l’étoile, par intermittences moyennes à assez fréquentes.

Mais c’est le genre d’objet qu’il faut avoir vu une fois à plus gros diamètre d’abord …En tous cas, dans ce genre de configuration, NGC 404 est bien plus facile !

Pour finir avec les nébuleuses d’Orion, passons à la belle NGC 2174.

A 31 X sans filtre, c’est déjà une belle diffusion large et unie baignant un bel amas en arc d’une dizaine d’étoiles, dans un champ très riche ! Elle est certes un peu pâle et peu marquée.

A l’UHC, la nébuleuse ressort bien mieux, bel ovale N/S, mais sans détail de brillance ou de forme.

Pour finir, j’avais quelques objets faibles en reste dans les Gémeaux, situés très haut à cette heure-ci.

La petite et faible galaxie NGC 2339 est moins extrême que NGC 1924. Elle est perçue comme une tâche floue au sud d’un triangle de mag 10-11. Elle est bien confirmée au Delos 8 (92 X), quasi visible en permanence en vision indirecte, et semble allongée N/S avec un centre plus marqué.

La petite nébuleuse planétaire PK 189+7.1 donnée pour mag 13,0 semble un peu plus brillante que cela. Même si elle est invisible sans filtre, elle apparaît pas trop difficilement avec le OIII, de 31 X à 92 X comme une minuscule nébuleuse quasi stellaire juste à l’Est d’une étoile de mag 12 – 12.5, de même éclat en gros. Elle est à peine floue, comme une étoile peu nette, et reste ronde. Ainsi, proche de l’étoile, on dirait une étoile double.

Pour honorer notre plus digne représentant de ciel extrême, à noter juste au nord le beau petit amas ouvert Pothier 1, petite ligne granuleuse est-ouest d’une dizaine d’étoiles de mag 12 à peine résolues. En vision oblique, il est peu lumineux mais évident et ressemble à une galaxie vue de profil.

Enfin, pour finir, Abell 21, la nébuleuse de la Méduse, toujours dans les Gémeaux.

Au Nord d’un duo de mag 8 et 10, je découvre en vision oblique à 31 X à l’aide de l’OIII une vaste nébulosité ovale N/S, assez facile mais pâle et pas détaillée, avec peut-être une partie plus marquée. C’est le genre d’objet comme Helix craignant les ciel moyens, car étendu et très pâle.

D’ailleurs, en montant à 53 X toujours avec OIII elle disparaît presque, tout comme à 31 X UHC.

A la 80ED je l’avais notée plus difficile.

Voilà une belle virée que j’aurais bien souhaité compléter par l’exploration des galaxies du Lièvre, histoire de voir si à la FC-100 elles sont aussi extrêmes qu’à la 80ED. Mais la météo n’a pas l’air conciliante en ce moment. Dommage, car il y a aussi toute la zone Grand Chien, Licorne et Poupe qui se profile et peut occuper des semaines rien qu’à elle …

Bon ciel à vous !

Waow! Tu as bien épluché la région d'Orion avec ta lunette ! Y en a pour des heures là !

Un CROA qui me donne envie de suivre le même parcours avec ma lunette de 70mm.

Belles observations, merci de les avoir partagées !

Bon ciel à toi

Salut Etoilesdesécrins,

Belle exploration des beautés d'Orion. E et F du trapèze sont visibles avec la FC100, tout au moins dans les conditions qui sont celles de la Réunion. Des reflets ocres sur une aile sont également perceptibles que ce soit dans les bas de l'île qu'au volcan. Au Nagler 31mm, cette région est sublime à la lunette.

Difficile dès que je prépare une sortie au volcan, de me dire allez je laisse le T280 pour prendre la FC100, voulant tellement explorer les méandres du ciel profond.

J'ai bien hâte cependant de tester le Nagler 17mm sur la lunette : pour des régions riches en amas ouverts, les résoudre sans trop, cela va être de toute beauté.

Tu utilises visiblement un filtre OIII. Je devais en acheter un à Paris mais la grippe m'a totalement démotivé. C'était à ce point ! Je suis allé récupérer mon achat et suis retourné à l'hôtel, sans prendre le temps de flâner comme à l'accoutumé dans une célèbre enseigne rue de Rivoli !

bon ciel à toi !

Peut-être une nouvelle envolée au volcan mercredi soir...A voir à voir ! Une vraie drogue l'astronomie !

Encore un CROA à éplucher, garder, pratiquer.

Cette région fourmille de petits bijoux et tu les présentes avec goût et précision.

Pour ceux qui aiment lui consacrer des heures, n'oublions pas l'immense foule des étoiles

multiples...

Bravo encore.

Salut !

merci pour vos passages !

Daniel : à la 70 ça risque d'être difficile pour ce qui est hors Epée d'Orion, hors NGC 1662 et M78. Mais faut tenter ! L'Epée est chouette par contre même aux jumelles !

ptitprince974 : oui j'ai un OIII Astronomik en 2'', assez bluffant sur les NP !

Hier curieusement en repassant sur M42 il m'a effectivement semblé percevoir une nuance dans les pourpres très clairs sur l'aile Est ...Suggestion après avoir lu ta réponse ?

Par contre pas retenté le Trapèze

Sinon hier j'ai eu un bol monstre ! Depuis 1 semaine le temps s'est très dégradé en se radoucissant.

Mardi soir déjà, vers 22h15 le ciel s'est totalement dégagé contrairement aux prévisions mais j'étais trop fatigué pour sortir. Dommage ! Regrets !

Hier, la grisaille vers 18 h a laissé placé à de larges éclaircies vers Vénus et la Lune. J'ai vite sorti la lunette, et entre 2 tâches domestiques j'ai eu la chance d'avoir une superbe Vénus, peu turbulente, avec pour la première fois des formations très faibles mais sûres sur le disque, dans les trous de turbu ! Miam !

Mais ce n'est pas tout ...Peu à peu les voiles déjà présents se sont fait plus denses, jusqu'à donner à la Lune l'aspect d'une galaxie elliptique !

Vers 21 h, tout couvert, je rentre le matos, les prévisions étant très mauvaises. Vers 22h20, les yeux piquants de fatigue nous décidons d'aller faire un tour dans notre campagne déserte, avant d'aller dormir. Et là, miracle, grosse fenêtre sur une magnifique Orion, et tout s'est dégagé peu à peu pendant la ballade ! Inutile de vous dire que les yeux étaient tournés vers le ciel, et l'esprit vers la lunette et tout à ressortir malgré l'appel du lit ! A 22h45 donc, hop, dehors, heureusement avec 10° pas besoin de prendre trop de temps à s'habiller. 2 minutes plus tard à froid j'étais déjà à la recherche de ma première "cible" des galaxies du Lièvre que je convoitais depuis des jours : NGC 1964 !

Ce fut un défilé-chrono dans l'oculaire, au vu des prévisions maussades à venir, et de la lune montante ! Toutes les petites galaxies de la liste y sont passées, et je peux vous dire que c'est chaud à ce diamètre ! La plupart ne sont que lueurs extrêmes devinées par intermittences. Il faut dire aussi que ma fatigue, et fatigue oculaire donc, n'ont pas facilité les choses ! Faut que je reprenne mes notes, mais je n'ai pas noté de grosse amélioration par rapport à la 80ED.

Mention pour NGC 1964 un peu moins hard, et NGC 1832, plage floue (très) faible sans plus, quasi collée à une étoile.

J'avais vu une différence notable entre la FC-100 et la 80ED pour des galaxies plus haut placées, mais je pense que dans le Lièvre l'absorption atmosphérique nivelle les choses. Faudrait voir plus au sud, sous ciel plus clair. Pourtant c'était pur hier.

J'ai fini en me détendant sur un magnifique M41 !

Content donc d'avoir cette fois saisi l'occase, au vu de la diète météo annoncée !

Agréable balade dans la mine prolifique d'Orion et aux alentours*!

Et dire que j'avais trouvé Pothier 1 en échouant à trouver PK189+07.1 (je m'attendais à plus grand à l'époque) avec un 200mm, bravo pour l'avoir trouvée avec la moitié du diamètre !

Pour NGC 2024, je confirme que les Alpes (enfin la qualité de ciel) sont utiles à une bonne observation...

Salut Étoiles,

Eh ben ! Tu t'es payé une belle traite avec tous ces beaux objets ! Dans tous ceux que tu mentionnes et que je n'ai pas encore vus, il y a Abell 12 qui pique ma curiosité. La comparaison avec NGC 404 est révélatrice. J'ai trouvé cette dernière plutôt facile à observer moi aussi, mais si tu dis qu'elle est "bien plus facile" qu'Abell 12, alors Abell 12 doit demander un certain doigté.

Merci pour ce croa plus qu'intéressant !

Oui, curieux pour la PK car j'étais avec le tome d'hiver du Ferrero qui contient des cartes bien précises, et je suis sûr de l'emplacement la preuve il y avait ton amas Pothier 1 juste au nord.

Sans OIII, pas de NP, et avec le filtre comme par miracle une faible "étoile" floue est apparue juste à côté d'une autre étoile, comme sur la photo des SCP. Je suis donc pratiquement sûr de sa vision.

Elle est donnée pour mag 13,0.

A la 80ED j'étais déjà surpris de voir (VI par intermittences bien sûr) certaines petites NP de l'Aigle par ex dépassant la mag 12, donc logiquement ça doit le faire.

Je ne sais pas si c'est rationnel ou pas mais j'ai souvent remarqué que les lunettes permettaient de monter assez haut en magnitude sur les petites NP, par rapport à d'autres objets diffus.

Par contre, concernant Abell 12, comme indiqué je ne suis pas sûr à 100 % de l'avoir vraiment vue, même si je suis quasi sûr.

Salut Etoilesdesécrins:)

Effectivement,il fallait profiter d'Orion car la Lune prochaine il ne sera déjà plus au méridien en début de nuit.Et de fait,tu l'as bien exploré!

Avec le mauvais temps,tu vas avoir un gros avantage à pouvoir sortir ta lunette rapidement dès qu'il y a une éclaircie.

Bon ciel à toi:)

Salut,

superbe compte-rendu.

Tes descriptions précises révèlent le souci de l'observation poussée.

Notamment sur le Running Man tu relèves des détails pas anodins, surtout avec 100mm.

En fait tu n'as pas besoin de te mettre au dessin, on reconnait très bien les objets juste en te lisant

Fred.

Salut Etoile

C'est un bien joli compte-rendu bien complet sur cette constellation incontournable qui me donne l'envie d'aller la revisiter