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Mission ExoMars 2018 (Rover)


montmein69_2

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La mission ExoMArs 2018 est uen collaboration entre l'ESA et Roscosmos (l'agence spatiale russe). Elle fera suite à ExoMars 2016.

L'atterrisseur développé par les russes débarquera un rover conçu par l'ESA. Il est équipé d'une foreuse pouvant descendre à 2m de profondeur et disposera d'instruments d'analyses (roches, détection de molécules organiques et biologiques)

exomar12.jpg

 

Le site d'atterrissage du rover sera très probablement le site Oxia Planum qui vient d'être sélectionné par le comité. (choix entre les 4 sites repérés par les points rouge ci-dessous)

 

http://www.esa.int/fre/ESA_in_your_country/France/Le_site_d_atterrissage_d_Exomars_2018_a_ete_propose

 

choix_10.jpg

 

NASA-OxiaPlanum-LocationMap-20151021.png

 

Si quelqu'un peut afficher une carte globale de Mars avec la position du site ..... les coordonnées du quadrangle auquel il appartient sont données ici :

http://www.topicway.com/dictionary/Oxia%20Palus%20quadrangle

 

PS : A noter qu'il est envisagé un back-up de la mission en 2020.

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La mission ExoMArs 2018 est uen collaboration entre l'ESA et Roscosmos (l'agence spatiale russe). Elle fera suite à ExoMars 2016.

 

moi qui croyais que Exomars 2018 était celle de 2016 qui avait loupé sa fenêtre !! :wub: Il y a tellement de missions réprogrammées qu'on finit par s'y perdre !

 

Merci pour ce début de ce qu'on peut espérer sera un jour riche de 100 pages.

 

Pour bien faire, on aurait besoin d'un fil de désambiguïsation (suivant le vocabulaire du Wiki) intiutlé missions Exomars (Europe).

Il contiendrait un lien vers le fil pour chaque mission avec un résumé de ce qu'elle est prévue pour réaliser puis son devenir. Il sera le reflet surWebastro de ce site! exomars.cnes.fr

 

Pareillement, on peut espérer voir la liste s'allonger 2016, 2018, 2020...

 

En tout cas, c'est une belle ambition mais aussi une réalisation compliqué. J'ai fait un peu de forages et sais à quel point c'est difficile avec deux bonshommes sur place et un fourgon d'outillage à 100km de la maison. Déplacer le tout à 50 à 200 Millions de km. Diviser par trois la gravitation, donc l'appui au sol. Enlever le fourgon et l'équipe. Faire le tout télécommandé avec caméra interposé. Et on a une petite idée. La culture et la technologie "rugueuse" de la Russie sera un atout non négligeable.

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Pour bien faire, on aurait besoin d'un fil de désambiguïsation (suivant le vocabulaire du Wiki) intiutlé missions Exomars (Europe).

 

Je ne saisi pas vraiment l'intérêt de ce FIL spécial .... il suffit de regarder :

- le FIL sur ExoMars 2016 ...... pour avoir des infos sur ExoMars 2016

- le FIL sur ExoMars 2018 ...... pour avoir des infos sur ExoMars 2018

et bien sûr les sites de l'ESA, du CNES, de Roscosmos .....

 

Par contre question de "désembiguiser" (on n'est pas à un barbarisme près :be:) il faudra écrire Europe + Russie sinon on a raté un épisode :p

 

Pareillement, on peut espérer voir la liste s'allonger 2016, 2018, 2020...

 

Pas de mission nouvelle en vue, pour 2020, ni même pour après (il a déjà été difficile de boucler les budgets pour les deux missions avec l'apport de l'aide russe - rappelons-le suite au désistement intempestif de la NASA -)

Par contre on voit apparaitre la possibilité d'un report en 2020, si la fenêtre de lancement pour 2018 ne peut-être tenue .... Bref .... sans préjuger il y aura peut-être du retard pour la seconde mission.

 

A further recommendation was made to also consider Oxia Planum as one of the two candidate landing sites for the backup launch opportunity in 2020, with a second to be selected from Aram Dorsum and Mawrth Vallis.

source : http://exploration.esa.int/mars/56686-landing-site-recommended-for-exomars-2018/

 

[HS]

Mon souhait personnel .... c'est que pour l'avenir, l'ESA se lance (seule ou en collaboration) pour réaliser la mission de retour d'échantillons martiens (MSR) dont on parle depuis bien longtemps et qu'aucune agence spatiale n'a vraiment envisagé de mener à bien. Mais jouer le "chef de file" d'une telle mission d'envergure ... l'ESA (et les décideurs européens) en auront-ils les "coucougnettes" ?

dycoll10.jpg

 

[fin HS]

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En tout cas, c'est une belle ambition mais aussi une réalisation compliqué. J'ai fait un peu de forages et sais à quel point c'est difficile avec deux bonshommes sur place et un fourgon d'outillage à 100km de la maison. Déplacer le tout à 50 à 200 Millions de km. Diviser par trois la gravitation, donc l'appui au sol. Enlever le fourgon et l'équipe. Faire le tout télécommandé avec caméra interposé. Et on a une petite idée.

La culture et la technologie "rugueuse" de la Russie sera un atout non négligeable.

 

Le rover et sa foreuse devraient être construits par l'ESA (il y aura peut-être un regard croisé avec les russes sur certains points techniques délicats ? mais l'ESA en a la responsabilité globale)

Du côté russe, ils fournissent le lanceur Proton (Angara 5 n'est pas encore opérationnelle) et aussi l'atterrisseur. Ils ont effectivement une expérience, mais cela remonte à l'époque de l'URSS .... les ingénieurs concernés ont du bien blanchir depuis :rolleyes:. C'est à une nouvelle génération de se colleter avec le problème (normalement le module expérimental Entry, Descent and Landing Demonstrator Module (EDM) d'ExoMArs 2016 devrait avoir fourni des données cruciales ... mais pourront-ils en tenir compte pour construire l'engin pour 2018 .... c'est peu probable d'où une possible raison pour un report en 2020 (je suppute...) ?

 

lanceu11.jpgmissio10.jpg

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...

 

Merci pour toutes ces précisions !

 

J'avoue que j'étais un peu deçu de me trouver tout seul à répondre sur ce fil dont le sujet mérite une participation plus large... en espérant que d'autres viendront apporter leur grain de sel.

 

Pour ce qui est le retour d'échantillons, je suis bien conscient que un échantillon entre les mains des laboratoires terrestre fait gagner peut-être deux ordres de magnitude en valeur scientifique.

 

Mais (en reproduisant une échange avec webastram albatros en 2014), je pense qu'on a besoin d'un meilleur taux de réussite pour les atterrisseurs avant d'envisager un retour. Un taux de réussite se gagne avec les statistiques d'une longue série et un retour d'expérience parfois coûteux car il s'agit d'échecs. Si le taux de réussite pour un aller simple est actuellement 50%, un aller-retour est dans les 25%.

 

D'ailleurs, pour une mission retour, je fais la même remarque que pour le robot de forage. Sauf information de dernière minute, il n'y a personne sur Mars avec un tournevis et une clé à molette. Il ne faut pas d'imprévu technique.

 

Et en cas d'échec, le "stress post-traumatique" pourrait toucher durablement les projets futurs. Mais encore, dans ce domaine, un point de vue en vaut un autre.

 

L=181

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J'avoue que j'étais un peu deçu de me trouver tout seul à répondre sur ce fil dont le sujet mérite une participation plus large... en espérant que d'autres viendront apporter leur grain de sel.

 

D'autant que c'est l'Europe qui en a pris l'initiative, et qu'il se trouve un peu trop souvent à mon goût, des commentateurs européens prêts à cracher dans la soupe ou même à se tirer une balle dans le pied quand ils évoquent le spatial européen [même si je pense que dans certains cas .... on peut y penser fortement ;)]

 

Mais (en reproduisant une échange avec webastram albatros en 2014), je pense qu'on a besoin d'un meilleur taux de réussite pour les atterrisseurs avant d'envisager un retour. Un taux de réussite se gagne avec les statistiques d'une longue série et un retour d'expérience parfois coûteux car il s'agit d'échecs. Si le taux de réussite pour un aller simple est actuellement 50%, un aller-retour est dans les 25%.

 

D'ailleurs, pour une mission retour, je fais la même remarque que pour le robot de forage. Sauf information de dernière minute, il n'y a personne sur Mars avec un tournevis et une clé à molette. Il ne faut pas d'imprévu technique.

 

Et en cas d'échec, le "stress post-traumatique" pourrait toucher durablement les projets futurs. Mais encore, dans ce domaine, un point de vue en vaut un autre.

 

L'appréhension d'un échec .... est inhérent à la conquête spatiale.

Préparer une mission MSR de retour d'échantillons, ne veut pas dire qu'on se lance bille en tête. Il faudra peut-être une ou deux missions préparatoires avant, pour tester progressivement des techniques ... mais c'est une question de budget. On a vu le "bide" de la mission Phobos Grunt des russes où la sonde n'a même pas quitté la Terre ... du fait d'une défaillance du lanceur.

Mais cela dit ... si on ne tente pas ... où est la satisfaction ?

 

La NASA vient de publier son nouveau plan pour les missions habitées martiennes :

- Phobos 2033

- Mars 2039

http://www.nasaspaceflight.com/2015/09/nasa-considers-sls-launch-sequence-mars-missions-2030s/

 

Cela implique en tout 22 (10 + 12) lancements de leur nouveau lanceur SLS et bien sûr du matériel à créer et embarquer .... faire voyager, atterrir etc ....

Je vous laisse faire une estimation du coût total. Et bien que la NASA privilégie une gestion raisonnée des risques (une certaine forme de "principe de précaution") le nombre d'opérations à réaliser laisse forcément en suspens la possibilité de perte de l'équipage. Tenteront-ils ? ou pas ?

 

L'Europe peut à coup sûr, se placer leader sur la mission automatique MSR pour une fraction de la somme que la NASA engagera ..... il faut en avoir d'abord la volonté.

 

Car il n'y a pas de problème insoluble ... seulement des solutions à trouver (financièrement acceptables s'entend) :rolleyes:

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il n'y a pas de problème insoluble ... seulement des solutions à trouver (financièrement acceptables s'entend) :rolleyes:

 

financièrement donc politiquement donc auprès du contribuable. J'aime autant ne pas vivre dans un système où ce genre ce considérations n'existent pas et il suffit d'un grand Sergueï Korolev prêt à risquer sa tête pour recevoir le financement d'un dictateur !

 

Pour "vendre" une mission de retour d'échantillons, il serait intéressant de prévoir une mission de base avec un petit rover et un labo simplifié sur place. Et une deuxième partie libellé "mission technologique".

 

Le rover filmerait à distance le décollage de la partie retour. Et si ça devait exploser à 1km devant les yeux du monde, eh bien ce n'était qu'une tentative.

 

L’essentiel est que la télémétrie d'une réussite, comme d'un échec puissent alimenter le processus décisionnel de tous dont les concurrents quel qu'en soit le pays.

 

On n'oublie que le verbe "concourir" signifie "courir ensemble" (Je cite Jacques-Jean Caubet dans Nous, Enfants Perdus du Moyen Age. Sa pensée rejoint celle exprimé dans Slide Rule de Nevil Chute ou plus près de l'actu, les communications de Elon Musk le patron de Space X et Tesla.

 

L=325 !

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Pour "vendre" une mission de retour d'échantillons, il serait intéressant de prévoir une mission de base avec un petit rover et un labo simplifié sur place. Et une deuxième partie libellé "mission technologique".

 

Le rover filmerait à distance le décollage de la partie retour. Et si ça devait exploser à 1km devant les yeux du monde, eh bien ce n'était qu'une tentative.

 

La NASA/JPL avait étudié un scénario un peu dans ce style. Mais sans mettre l'accent sur une visée "show médiatique en direct" ... qui ne peut-être qu'un élément accessoire pour les décideurs.

Cela devait impliquer l'ESA

C'était deux missions décalées. D'abord le rover qui butinait, collectait et conditionnait des échantillons et les plaçait dans un étage ascensionnel qui restait en attente.

Ensuite venait la seconde partie de la mission, un orbiteur (envoyé par l'ESA) devait se mettre en orbite. L'étage ascensionnel montait en orbite et il devait être attrapé par l'orbiteur (un RdV en orbite suivi d'une capture)

Le container d'échantillons était alors couplé à un étage propulsif de retour .... qui revenait à la maison.

Sacré usine à gaz ! Cela a été considéré trop compliqué donc infaisable.

 

scynar10.jpg

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  • 4 mois plus tard...

Petit up pour ce FIL.

 

ExoMars 2016 est bien parti ..... et voyage vers Mars.

 

ExoMars 2018 est encore en préparation et a pris du retard.

L'ESA et Roscosmos sont en discussion, et il y a une forte probabilité que le lancement soit reporté à la fenêtre de 2020.

 

Affaire à suivre ......

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  • 1 mois plus tard...

L'occasion de parler de la mission russo-européenne qui suivra TGO+Schiaparelli actuellement en route vers la planète rouge.

Le report de son lancement à 2020 est très probable comme le signale Anatoli Zak sur son site. Il n'exclut pas que les problèmes de financement pourraient dans le pire des cas, mener à l'annulation pure et simple :confused:

http://www.russianspaceweb.com/exomars2018_2014.html

 

Dans un article de Futura Sciences il est même envisagé deux dates, et deux façons d'effectuer le voyage:

L’Esa travaille cependant, prudemment, sur des scénarios alternatifs de report de lancement. Le budget, en effet, n’est pas encore bouclé. Il devrait l'être durant la session du Conseil de l'Agence spatiale européenne au niveau ministériel, qui se tiendra fin 2016 et il n’existe aucune marge pour faire face à un problème technique pendant le développement.

 

Sans surprise un de ces scénarios prévoit d’utiliser la fenêtre de tir suivante, celle de 2020, avec un lancement le 5 août, et une arrivée le 19 avril 2021, mais un lancement avant cette date est aussi envisagé. L’idée serait de lancer la mission en 2019 avec une arrivée sur Mars à la même date qu'après un départ en 2020. La trajectoire serait plus longue, la route incluant alors un tour autour du Soleil.

 

source : http://tinyurl.com/h9avgaw

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Pourquoi tant de pessimisme ?

 

...Le budget, en effet, n’est pas encore bouclé. Il devrait l'être durant la session du Conseil de l'Agence spatiale européenne au niveau ministériel, qui se tiendra fin 2016 ..

 

Déjà, tu as répondu en partie, à ta propre question.

Quand on pense à ce qui est arrivé à Mars Insight avec une petite fuite sur le sismomètre, un tas d'imprévus sont prévisibles. Comment réagir à un défaut technique que découvrirait Schiaparelli ? Et si la fusée Proton avec son étage Brize-M faisait de mauvaises surprises entretemps ? Ou toute autre surprise telle qu'un retard dans le développement des roues * du rover, problème technique sur la foreuse. Sans marge au départ, comment gérer le temps de levée de fonds pour résoudre tout problème ?

 

Beaucoup de choses doivent s'enchaîner parfaitement et je l’espère.

 

* Pour ceux comme moi qui se demandent pourquoi on n'utilise de bons vieux pneus, voici une échange intéressante sur stackexchange. Je n'ai pas bien le temps pour traduire.

Pour résumer, les pneus ne supportent pas bien les températures basses, sont trop lourds et risqués en l'absence de réparateur sur place. Un pneu crevé et déchiqueté est davantage nuisible qu'une roue métallique abîmé.

 

En attendant, ces roues déformables donnent une option intéressante

 

RTEmagicC_exomars18_Curiosity_roues_TASturin_decourt.jpg

 

Mais j'aimerais être rassuré sur leur comportement dans le sable qui risque de s'insinuer dans les interstices.

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  • 2 semaines plus tard...
Bon, bin la mauvaise nouvelle semble se confirmer, à la fois pour des raisons techniques et financières : report à 2020...

 

http://www.marsdaily.com/reports/Phase_two_of_ExoMars_mission_delayed_to_2020_999.html

 

....C'est un avis personnel, mais je te trouve bien meilleur quand tu annonces de bonnes nouvelles :be:

C'est pas bien. T'as pas honte ???:(

Niman1992

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Communiqué commun de l'ESA et de Roscosmos

 

http://www.esa.int/fre/ESA_in_your_country/France/La_deuxieme_mission_ExoMars_est_reportee_a_la_prochaine_fenetre_de_lancement_en_2020

 

L'essentiel c'est que la mission n'ait pas été annulée, ce qui aurait pu être le cas si on ne se trouvait pas en collaboration avec les russes.

Il y a quand même des enjeux de haut niveau dans cette mission. Aller vers d'autres planètes ou lunes nécessite d'engranger de l'expérience.

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  • 3 mois plus tard...
Posté (modifié)

Une nouvelle que je n'avais pas relevée en juin.

Lors du conseil de l'ESA la décision de poursuivre la mission ExoMars 2020 a été décidée à l'unanimité et les quatre principaux contributeurs ont décidé d'une rallonge budgétaire de 77 millions d'euros.

« Il y a eu une décision unanime de tout le Conseil de l'ESA de continuer le programme », a-t-il ajouté. « C'est une confirmation importante du soutien des états membres de l'ESA au projet », a-t-il estimé.

 

Les quatre principaux pays qui participent à la mission (Italie, Royaume-Uni, Allemagne, France) ont accepté d'injecter 77 millions d'euros supplémentaires pour permettre à leurs industriels (Thales Alenia Space Italie, Airbus, OHB...) d'aller de l'avant dans la préparation du projet.

 

http://www.ouest-france.fr/sciences/espace/mars/la-mission-exomars-2020-recoit77-millions-supplementaires-4303492

 

PS : j' ai essayé de mettre le titre général du FIL à jour pour remplacer "Mission ExoMars 2018 (rover)" par Mission ExoMars 2020 (plate-forme scientifique + rover) , mais cela ne doit pouvoir être fait que par un modo ou un administrateur

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Un article de l'ESA précisant les instruments scientifiques qui seront embarqués à bord de la plate-forme scientifique (l'atterrisseur) qui déposera le rover.

 

http://exploration.esa.int/mars/56933-exomars-2018-surface-platform/

 

Cette plate-forme est construite et financée par les russes.

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  • 2 mois plus tard...

L'ESA va demander une rallonge de 300 millions d'euros pour la mission ExoMars 2020.

 

Réponse dans quelques semaines ....

 

Evidemment le contexte de la perte de Schiaparelli n'est pas le plus favorable. Mais comme c'est une mission en collaboration avec les russes (ils fournissent le lanceur Proton et la plate-forme qui véhiculera le rover européen) ... on espère qu'il n'y aura pas une fin de non-recevoir :confused:

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  • 5 mois plus tard...
Posté (modifié)

Confirmation du choix n°1 pour le site d'atterrissage soit Oxia Planum

Le site Mawrth Vallis reste en compétition.

Le choix définitif sera fait environ une année avant le lancement.

 

http://www.esa.int/Our_Activities/Space_Science/ExoMars/Final_two_ExoMars_landing_sites_chosen

 

Les cartes avec repérage des sites avaient été publiés en 2015 dans ce post

http://www.webastro.net/forum/showthread.php?t=133268#2122639

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  • 1 année plus tard...
Posté (modifié)

Essai de déploiement du plus grand des parachutes qui sera utilisé lors de la phase finale EDL de la mission européenne Exomars 2020

 

Largage sous un hélicoptère dans le froid et la neige (en Suède)

https://www.youtube.com/embed/7V0__xvwNk4

 

https://phys.org/news/2018-03-success-largest-mars-mission-parachute.html

 

Un autre test est prévu ultérieurement avec un largage d'une altitude de 30 000 m pour tester toute la séquence EDL.

 

La séquence des déploiements successifs des différents parachutes lors de l'arrivée dans l'atmosphère martienne

5abd2d75c0519_deploiementdesparachutes.jpg.57f6da7c7133c4fd66fcf3f91183477e.jpg

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Salut à tous,

Je trouve tous ce process un peu compliqué...pour une agence (l'ESA) qui n'a pas encore démontrée son aptitude à  se poser sur Mars....mais ça tombe bien...car je vais visiter l'ESOC à Darmstadt dans un mois et je vais en savoir plus sur le pourquoi du comment avec l'équipe d'Exomars 2020.
Niman1992

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