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Choix d'un cheshire


JeeWee

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Bonjour à tous !

 

Nouveau venu dans le monde de l'astro, je possède un 150/750 qui aurait bien besoin d'une petite collimation. Je me penche donc sur l'achat d'un cheshire comme premier accessoire, mais je me pose quelques questions.

 

On trouve toutes les tailles, et tous les prix. Comme c'est un instrument de réglage, je voudrais éviter d'y mettre trop cher, mais je n'ai pas envie non plus de dépenser 40 euros dans un outil pourri qui ne servira à rien.

 

Du coup, que penser des cheshire d'entrée de gamme type Omegon ? Faut-il privilégier une marque ou un modèle en particulier ?

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Débutant de mon coté et aux prises avec un 150/750 aussi, pour le moment je me suis bricolé un simple viseur avec un trou de 2mm pour aligner, mais le cheshire fait parti des outils qui vont m'être utiles.

 

D'ailleurs, version courte ou version longue... qu'est-ce que ça apporte ou dans quel cas l'un est plus adapté que l'autre...?

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La longueur doit te permettre de voir le reticule plus net que dans la version courte ce qui doit te faciliter la tâche.

 

Après si tu es un peu bricoleur tu peux t'en fabriquer un avec un bout de pvc et de la ficelle.

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J'ai bien sur prévu de le faire moi même, et du coup, j'ai le choix de la longueur :D

 

Du coup, connaître 'la bonne longueur' serait un plus :D

 

J'ai prévu aussi de faire un réticule en 'fil' tendu (pourquoi pas des cheveux en effet)

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J'ai un cheshire long et le simple œilleton mis en lien au début:

http://www.telescopes-et-accessoires.fr/fr/outils-de-collimation/170-oculaire-de-collimation-sky-watcher.html

 

Eh ben le cheshire prend de la poussière: le réticule m'emmerde plus qu'autre chose!

 

Je dirais go pour le petit bidule à 20 balles!

 

Patte.

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Eh ben le cheshire prend de la poussière: le réticule m'emmerde plus qu'autre chose!

 

Pareil, cette croix floue est rédhibitoire !

Rien de mieux qu'un oeilleton et un laser (surtout sur le flextube, ou toute autre structure ouverte : on voit le retour laser sur le secondaire, ça facilite).

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Il faut d'abord savoir ce qu'est la collimation. Elle se fait en 4 étapes.

1) réglage du secondaire pour qu'il paraisse bien circulaire et centré dans le porte oculaire :

- le centrage dans l'axe longitudinal se fait en avançant ou en reculant le secondaire à partir de sa vis centrale et des 3 vis poussantes

- le centrage dans l'axe perpendiculaire à l'axe du télescope se fait en réorientant le porte oculaire et surtout pas en touchant aux pattes de l'araignée.

Pour cette opération on se servira d'un oeilleton ou d'un cheschire utilisé comme un oeilleton. Le laser ne permet pas de faire cette étape.

2) Orienter l'axe du secondaire sur le centre du miroir primaire

La rotation du secondaire se fera finement à partir des 3 vis poussantes de son support. Le but est d'amener l'oeillet collé sur le primaire à l'intersection de la croix du cheschire, ou le rayon laser au centre de l'oeillet.

3) Alignement de l'axe optique du primaire.

En touchant aux trois vis de réglage du primaire, on amène l'image du trou du cheschire au centre de l'oeillet, ou on amène le retour du rayon laser au centre de la cible gravée sur le laser.

 

On se rend compte que le laser ne permet pas de tout faire. Il ne permet que les étapes 2 et 3 alors que le cheschire peut tout faire.

 

Si vous avez bien lu, j'ai parlé de 4 étapes. La dernière étape est le peaufinage sur une étoile qu'on effectue avec un oculaire permettant de voir les anneaux d'Airy, mais c'est plus facile à dire qu'à faire quand le ciel turbule ou quand on a un miroir de gros diamètre (>= 200 mm).

 

Avantages et inconvénients

 

Laser

 

C'est bien

 

- C'est moderne, high tech, effet Star Wars techno garanti pour les spectateurs.

- Quand on a un télescope de plus d'1 m de focale, on peut facilement faire les étapes 2 et 3 sans faire des aller-retours au porte oculaire.

 

Mais

 

- Le laser doit absolument être collimaté (le rayon laser doit bien partir dans l'axe du tube qui le contient, et le réglage usine n'est quasiment jamais bon. Il faut faire ce réglage assez souvent et ce n'est pas d'une simplicité enfantine.

- Le laser ne permet pas de faire l'étape 1 de la collimation.

- Par temps froid, les piles du laser tombent vite. Évidemment, loi de Murphy oblige, c'est lors de la soirée "du siècle" qu'elles seront à la ramasse et que vous aurez oublié les piles de rechange.

- un laser prend autant de place qu'un cheschire, mais il faut en plus un oeilleton pour faire l'étape 1 et des piles de rechange

 

Cheschire

 

C'est bien

 

- Ca ne tombe jamais en panne

- On peut entièrement faire les 3 étapes de la collimation avec

 

Mais

 

- Ca fait rétro et ringard

- La nuit c'est plus difficile à utiliser (mais avec la lampe frontale, on s'en sort très bien, si si)

- C'est chiant à utiliser quand on a plus d'1 m de focale.

 

Je pense avoir résumé les deux outils...

Modifié par Fred_76
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Je plussoie, parfaitement résumé, Fred_76 !

 

Cheshire, ou œilleton, c'est de toute façon l'outil de base à posséder !

 

Le laser en plus, si bien collimaté lui-même, pas de souci.

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Il faut d'abord savoir ce qu'est la collimation. Elle se fait en 4 étapes.

1) réglage du secondaire pour qu'il paraisse bien circulaire et centré dans le porte oculaire :

- le centrage dans l'axe longitudinal se fait en avançant ou en reculant le secondaire à partir de sa vis centrale et des 3 vis poussantes

- le centrage dans l'axe perpendiculaire à l'axe du télescope se fait en réorientant le porte oculaire et surtout pas en touchant aux pattes de l'araignée.

Pour cette opération on se servira d'un oeilleton ou d'un cheschire utilisé comme un oeilleton. Le laser ne permet pas de faire cette étape.

2) Orienter l'axe du secondaire sur le centre du miroir primaire

La rotation du secondaire se fera finement à partir des 3 vis poussantes de son support. Le but est d'amener l'oeillet collé sur le primaire à l'intersection de la croix du cheschire, ou le rayon laser au centre de l'oeillet.

3) Alignement de l'axe optique du primaire.

En touchant aux trois vis de réglage du primaire, on amène l'image du trou du cheschire au centre de l'oeillet, ou on amène le retour du rayon laser au centre de la cible gravée sur le laser.

 

On se rend compte que le laser ne permet pas de tout faire. Il ne permet que les étapes 2 et 3 alors que le cheschire peut tout faire.

 

Si vous avez bien lu, j'ai parlé de 4 étapes. La dernière étape est le peaufinage sur une étoile qu'on effectue avec un oculaire permettant de voir les anneaux d'Airy, mais c'est plus facile à dire qu'à faire quand le ciel turbule ou quand on a un miroir de gros diamètre (>= 200 mm).

 

Avantages et inconvénients

 

Laser

 

C'est bien

 

- C'est moderne, high tech, effet Star Wars techno garanti pour les spectateurs.

- Quand on a un télescope de plus d'1 m de focale, on peut facilement faire les étapes 2 et 3 sans faire des aller-retours au porte oculaire.

 

Mais

 

- Le laser doit absolument être collimaté (le rayon laser doit bien partir dans l'axe du tube qui le contient, et le réglage usine n'est quasiment jamais bon. Il faut faire ce réglage assez souvent et ce n'est pas d'une simplicité enfantine.

- Le laser ne permet pas de faire l'étape 1 de la collimation.

- Par temps froid, les piles du laser tombent vite. Évidemment, loi de Murphy oblige, c'est lors de la soirée "du siècle" qu'elles seront à la ramasse et que vous aurez oublié les piles de rechange.

- un laser prend autant de place qu'un cheschire, mais il faut en plus un oeilleton pour faire l'étape 1 et des piles de rechange

 

Cheschire

 

C'est bien

 

- Ca ne tombe jamais en panne

- On peut entièrement faire les 3 étapes de la collimation avec

 

Mais

 

- Ca fait rétro et ringard

- La nuit c'est plus difficile à utiliser (mais avec la lampe frontale, on s'en sort très bien, si si)

- C'est chiant à utiliser quand on a plus d'1 m de focale.

 

Je pense avoir résumé les deux outils...

 

L'étape 2 peut être faite à l'oeilleton ; on contrôle les pattes de retenu du primaire qui doivent apparaître dans les mêmes proportions. C'est plus précis qu'au laser.

 

L'étape 3 au laser n'a pas besoin d'un laser "collimaté", un simple premier prix tordu fait aussi bien qu'un modèle deluxe collimaté aux petits oignons.

 

D'ailleurs l'étape 2 n'est pas critique, on va pas sortir tout l'arsenal et les euros juste pour cette étape. Surtout qu'en plus on ne fera pas mieux qu'avec un simple oeilleton.

 

En parlant d'oeilleton un Kinder surprise percé fait très bien le job.

 

Bref pour moi, un kinder, un laser premier prix et une barlow et on ne pourra faire mieux que sur une étoile à 3D les très bons soirs.

 

Amicalement Vincent

Modifié par Daube-sonne
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Étape 2) à l'oeilleton en se fiant aux fixations du primaire

 

Oui à condition qu'on les voit ! Avec un œilleton bien rentré, ça le fera mais ça ne sera pas super précis. Et ça ne va que si le secondaire a été parfaitement centré dans le PO ce qui n'est pas non plus aussi simple à faire qu'à dire sur les télescopes du commerce.

 

J'ai oublié de dire qu'en étape 0, il fallait absolument aligner les pattes de l'araignée pour éviter les aigrettes difformes. Pour bien des télescope du commerce, ça revient à positionner le secondaire là où il tombera et non là où on veut qu'il soit. On ne contrôle bien que la position longitudinale du secondaire et sa rotation.

 

Ce n'est pas grave si le secondaire n'est pas parfaitement centré dans le PO. Un PETIT décentrement n'influera QUE sur le vignettage. Ce qui importe c'est qu'il soit bien orienté et que le rayon issu du centre du PO dans l'axe du PO tape bien le centre du primaire après avoir été infléchi par le secondaire, et qu'une fois réfléchi par le primaire, ce même rayon revienne bien à son point de départ. C'est ce que fait le rayon laser à condition qu'il soit bien aligné avec l'axe du PO (exit donc les lasers tordus), ou le reflet du trou du cheschire.

 

Étape 3) Un laser tordu ferait l'affaire ??? Franchement, Vincent, explique pourquoi et comment.

 

Kinder : ça fait environ 5-10 ans que les œufs Kinder ont changé de forme et ne s'adaptent plus aux PO...

 

Un laser astro (au diamètre adapté) premier prix, c'est déjà 49 EUR. Il faut ajouter un jeu de piles de rechange et éventuellement un oeilleton (ou mieux et gratos, un bouchon de PO avec un petit trou au centre). Avec risque de panne...

 

Un cheschire premier prix (tube long), c'est "seulement" 35 EUR. Un tube court sera à 20 EUR. Et ça marche à tous les coups, même par -50°C ou qu'on soit en nuit noire ou en plein soleil.

Modifié par Fred_76
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Étape 3) Un laser tordu ferait l'affaire ??? Franchement, Vincent, explique pourquoi et comment.

 

Kinder : ça fait environ 5-10 ans que les œufs Kinder ont changé de forme et ne s'adaptent plus aux PO...

 

Un laser astro (au diamètre adapté) premier prix, c'est déjà 49 EUR. Il faut ajouter un jeu de piles de rechange et éventuellement un oeilleton (ou mieux et gratos, un bouchon de PO avec un petit trou au centre). Avec risque de panne...

 

Un cheschire premier prix (tube long), c'est "seulement" 35 EUR. Un tube court sera à 20 EUR. Et ça marche à tous les coups, même par -50°C ou qu'on soit en nuit noire ou en plein soleil.

 

Il me semble bien que les Kinder s'adapte toujours à merveille au PO. A vérifier.

 

Lors de l'étape 2, pour être au top faut avancer ou reculer le PO pour voir le primaire remplir complètement le secondaire. C'est à cette position que le réglage 2 doit être fait.

 

Pour le laser tordu :

Le truc c'est de ne plus toucher au secondaire une fois qu'on a finalisé son réglage. Donc à l'étape 3, où classiquement on utilise à nouveau les 3 vis du secondaire pour amener le laser au centre de l’œillet, on va seulement titiller le laser à la main pour le faire aller au centre.

 

Je te renvoie à ce post que j'avais fait justement pour combattre cette idée du laser "parfait" indispensable.

 

Amicalement, Vincent

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Il me semble bien que les Kinder s'adapte toujours à merveille au PO. A vérifier.

 

Lors de l'étape 2, pour être au top faut avancer ou reculer le PO pour voir le primaire remplir complètement le secondaire. C'est à cette position que le réglage 2 doit être fait.

 

Pour le laser tordu :

Le truc c'est de ne plus toucher au secondaire une fois qu'on a finalisé son réglage. Donc à l'étape 3, où classiquement on utilise à nouveau les 3 vis du secondaire pour amener le laser au centre de l’œillet, on va seulement titiller le laser à la main pour le faire aller au centre.

 

Je te renvoie à ce post que j'avais fait justement pour combattre cette idée du laser "parfait" indispensable.

 

Amicalement, Vincent

 

Ah non, c'est à l'étape 2 qu'on touche au secondaire pour amener le laser au centre de l'oeillet. A l'étape 3 on ne touche qu'au primaire.

 

Et comment fais tu pour "titiller" ton laser ? Là où ta méthode pèche, c'est ta phrase sibylline après la titillation :

 

De là faut s'assurer que le laser ne bouge plus,

 

Tu fais comment ?

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Le problème est la position du secondaire. Dans le cas idéal, vu du PO, il est parfaitement centré dans le porte oculaire.

 

MAIS ce n'est que l'idéal. On obtient cet idéal quand on réalise soit même son télescope. Mais dans la réalité, avec les télescopes du commerce, le secondaire est très rarement correctement collé sur son support.

 

On peut alors le régler d'avant en arrière facilement avec la vis centrale, mais pas de haut en bas. Pour cela il faudrait déplacer les pattes de l'araignée et donc elles ne seraient plus alignées et on aurait des aigrettes dédoublées affreuses. La solution est soit de décoller et recoller correctement le secondaire, soit de faire des trous oblongs pour les pattes de l'araignée (celles qui sont dans le plan du PO) pou pouvoir les déplacer, soit de tout laisser tel quel. J'ai constaté sur les Skywatcher qu'il y avait une imprécision pouvant aller jusqu'à 2-3 mm sur la position du secondaire.

 

Quand on le laisse tel quel, il n'est plus possible de répartir de la même façon les fixations du primaire. Le faire, ce serait provoquer une légère rotation du secondaire et donc une décollimation.

 

De plus, rien ne dit que les fixations du primaires sont nécessairement de même dimension et toutes placées de la même façon...

 

Donc la position des fixations du primaire n'est pas un repère fiable pour la collimation. Au mieux, elle permet de la dégrossir. C'est d'ailleurs comme ça que les tutoriels de collimation l'indiquent.

 

C'est pour cela que le laser bien réglé est un préalable nécessaire, ou bien un cheschire. On y revient !

 

Et plus c'est rustique, mieux c'est, surtout quand ça fonctionne bien !

 

Je ne parle pas de ceux qui ont un primaire reposant sur un barillet plus sophistiqué ou sur un câble...

Modifié par Fred_76
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Ah non, c'est à l'étape 2 qu'on touche au secondaire pour amener le laser au centre de l'oeillet. A l'étape 3 on ne touche qu'au primaire.

 

En fait pour moi y a deux étapes ; celle qui consiste à régler son champ de pleine lumière et sa planéité au mieux. Ça c'est le réglage du secondaire.

S'il parait bien rond et bien centré dans le PO on est bon pour la planéité du champ. Si le primaire semble bien centré dedans on est bon pour le centrage du champ de pleine lumière.

 

Ces réglages du secondaire sont les plus complexes à réaliser, et pourtant les moins critiques. En général même un peu dans les choux ce n'est pas sensible à l'oculaire.

 

Et celle qui collimate vraiment l'instrument. Centrer l'axe du primaire dans le PO.

 

Comme je ne touche jamais aux premiers réglages, le secondaire ne bougeant pas dans les transports, je ne touche jamais aux vis du secondaire pour collimater au laser.

 

Bon bien entendu tous les 2 ou 3 ans je nettoie le secondaire, le démonte et refais sa "collimation".

 

 

Pour que le laser ne bouge plus dans le po, il faut rendre le jeu dans le coulant un peu caoutchouteux, mais je t'accorde que ça peut être très chiant selon le matériel que l'on a.

 

Enfin on ne va pas s’arrêter en si bon chemin, y a une astuce énormissime, la barlow, qui supprime tout problème de "titillage/blocage" avec en bonus, un très gros gain sur la précision du centrage du spot. Le centrage du spot laser dans l’œillet est vraiment critique !

 

Et là toi tu fais ça en étape 2 comme s'il s'agissait d'un réglage du secondaire... essai de te placer dans ma logique (2 étapes : réglages du secondaire (vraiment secondaires) et réglage du primaire (critique)). Tu peux comprendre que je préfère distinguer ce qui relève d'une manipulation certes pratique (vis du secondaire pour l'orienter au mieux vers le primaire), d'un réglage essentiel et critique (centrer le spot précisèment).

 

Bon il est évident pour moi que le centrage de ce spot dans l'oeillet fait partie de la collimation du primaire. La preuve si tu es imprécis sur ce centrage tu ne dégraderas pas perceptiblement le champ de pleine lumière ni la planéité (qui dépendent tous deux du reglage du secondaire) alors que ta netteté d'image va chuter énormément (réglage du primaire qui permet de centrer la zone de moindre coma au centre du PO).

 

Mais je répète que je suis d'accord sur le fait que titiller le laser à la main et le faire tenir, n'est pas simple. C'est juste une étape qui me parait pratique pour comprendre pourquoi un laser tordu peut réaliser une aussi bonne collimation, et pourquoi un parfait sera de toute manière mal "incliné" par le serrage et le jeu naturel du PO.

 

En utilisant une barlow, on n'a plus besoin de titiller ni de centrer quoi que ce soit, on éclaire juste l’œillet avec la lumière étalée du laser.

 

Très amicalement, Vincent

Modifié par Daube-sonne
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