Gaia : mission en projet à l'ESA pour les années 2010 !

Source ESA :

( traducteur internet... hum... ça rappelle parfois le sous titrage de Greedo face à Han Solo dans l'épisode de 1977 de Star Wars... "Jabba ne prendra pas votre bâteau..." )

Mission

Gaia est une mission qui conduira un recensement de mille millions d'étoiles dans notre galaxie. La sonde surveillera chacune de ses étoiles de cible environ 100 fois sur une période de cinq ans, avec précision dressant une carte leurs distances, mouvements, et changements d'éclat. On s'attend à découvrir des centaines de milliers de nouveaux objets célestes, tels que les planètes extrasolaires et les étoiles avortées appelées les naines brunes. Dans notre propre système solaire, Gaia devrait également identifier des dizaines de milliers d'asteroïdes.

Les avantages scientifiques additionnels incluent la détection et la caractérisation des dizaines de milliers de systèmes planétaires extrasolaires, un aperçu complet des objets s'étendant des nombres énormes des corps mineurs dans notre système solaire, par des galaxies dans l'univers voisin, à environ 10 millions de galaxies et à 500 000 quasars de distance. La mission fournira également de nouveaux essais rigoureux de relativité générale.

Quoi de neuf ?

Gaia se fondera sur les principes de la mission de Hipparcos de l'ESA pour résoudre un des défis les plus difficiles et des plus fondamentaux dans l'astronomie moderne : pour créer une carte tridimensionnelle extraordinairement précise de plus de mille millions d'étoiles dans toute notre galaxie et là-bas. Dans le processus, elle tracera leurs mouvements, qui codent l'origine et l'évolution des étoiles. Par la classification photométrique complète, elle fournira les propriétés physiques détaillées de chaque étoile observée en caractérisant leur luminosité, température, pesanteur, et composition élémentaire.

Ce recensement stellaire massif fournira les données d'observation de base pour aborder une énorme gamme des problèmes importants liés à l'origine, à la structure, et à l'évolution des phénomènes de notre galaxie.

Gaia réalisera ceci en mesurant à plusieurs reprises les positions de tous les objets vers le bas à la grandeur V=20. La détection à bord d'objet s'assurera que des étoiles variables, les supernovas, les sources d'éclat, les événements micro-lensed, et les planètes mineures seront détectés et tout catalogués à cette limite. Les exactitudes finales du microarcsec 10 au magnétique 15, comparables à mesurer le diamètre des cheveux humains à une distance de 1000 kilomètres, fourniront des distances précises à 10% jusque dans le centre galactique, à 30 000 années-lumière de distance.

La moisson scientifique prévue de Gaia est d'ampleur et d'implication presque inconcevables. Son but principal est de clarifier l'origine et l'histoire de notre galaxie, en fournissant des essais des diverses théories de formation, et de la formation et de l'évolution d'étoile. C'est possible puisque les étoiles de masse faible vivent pour beaucoup plus longtemps que l'âge actuel de l'univers, et maintient donc en leurs atmosphères un disque fossile de leur origine détaillée. Les résultats de Gaia identifieront avec précision des reliques des débris tidally abrupts d'augmentation, sonderont la distribution de la matière foncée, établiront la fonction de luminosité pour les étoiles pré-principales d'ordre, détecteront et classeront des phases stellaires évolutionnaires rapides, des contraintes sans précédent d'endroit sur l'âge, la structure interne et l'évolution par catégorie de tous les types stellaires, et classifient la formation d'étoile et le comportement cinématique et dynamique dans le groupe local de galaxies.

Gaia indiquera exactement les objets exotiques dans des nombres colossaux et presque unimaginable : beaucoup de milliers de planètes supplémentaire-solaires seront découverts, et leurs orbites et masses détaillées seront déterminées ; des nains bruns et les nains blancs seront identifiés dans leurs dizaines de milliers ; environ 50 000 supernovas seront détectées et des détails seront passés aux observateurs au sol pour des observations de suivi ; Les études de système solaire recevront une impulsion massive par la détection de beaucoup de dizaines de milliers de nouvelles planètes mineures, et même les nouveaux objets transport-Neptunian, y compris Plutinos, peuvent être découverts. Entre autres résultats concernant la physique fondamentale, Gaia suivra le recourbement de la lumière d'étoile par le soleil, au-dessus de la sphère céleste entière, et donc observe directement la structure du l'espace-temps.

Vaisseau spatial

À son coeur, Gaia contient un trio des télescopes optiques qui peuvent avec précision indiquer exactement l'endroit des étoiles et coupent leur lumière en spectre pour l'analyse. Le vaisseau spatial lui-même peut être divisé en deux sections : le module de charge utile et le module de service. La charge utile comprend les télescopes et les instruments. Le module de service contient le système de propulsion et les unités de communications, les composants essentiels qui permettent au vaisseau spatial de fonctionner et de renvoyer des données à la terre. La séparation du module de service et du module de charge utile est le sunshield et la rangée solaire.

Le module de charge utile est logé à l'intérieur d'un géométrique, dôme-comme la structure appelée la couverture thermique. À l'intérieur de sont trois télescopes, dont deux sont identiques. Ces deux instruments d''Astro 'sont consacrés à la mesure précise des positions stellaires. Chacun se compose de trois incurvés, miroirs rectangulaires pour focaliser le starlight. Le plus grand miroir dans chaque système de télescope est de 1.4 mètre de long. Chacun focalisera son starlight sur une rangée de détecteurs électroniques. Ils mesureront la position et l'éclat des objets célestes que Gaia détecte. Car ils mesurent à plusieurs reprises la position d'un objet céleste sur un certain nombre d'années, ils détecteront, par exemple, le mouvement de cet objet à travers la ligne de la vue.

Le troisième télescope est d'une conception différente. Ce s'appelle l'instrument de 'Spectro 'et détectera vers si les objets célestes éloignent ou de nous. Cette information peut alors être combinée avec cela des instruments d'Astro, pour donner une pleine image de la façon dont l'objet céleste se déplace par l'espace. L'instrument de Spectro pourra également détecter l'éclat des objets célestes dans un certain nombre de différentes bandes de couleur - l'information valable que les astronomes emploieront pour déterminer les paramètres physiques des objets célestes. Tous les miroirs et instruments pour les trois télescopes sont fixés à un cadre hexagonal sous la couverture thermique. Trois fenêtres séparées dans la couverture ont les moyens les télescopes leurs vues de l'univers. Le vaisseau spatial tourne alors lentement, balayant ces vues à travers la sphère céleste.

Situé au-dessous du sunshield, totalement séparé du module de charge utile, est le module de service. Il sera construit de l'aluminium, façonné dans un cadre conique et plaqué dans les panneaux en plastique carbone-fibre-renforcés. À l'intérieur de la volonté soyez logé la propulsion et les systèmes de communications.

On s'attend à ce que Gaia communique avec la terre pendant une période de huit heures chaque jour. Pendant ce temps, il transmettra son signal de télémétrie de données et de 'ménage '. La puissance de l'émetteur de Gaia est juste 17 watts, moins d'un cinquième aussi puissant qu'une ampoule 100-Watt standard. Néanmoins, ce signal faible sera détecté facilement par la station au sol choisie, qui est le plat 32-metre par radio à Perth, Australie.

Gaia se dirigera toujours loin du soleil. Après le lancement, il dévoilera une 'jupe 'qui exécute deux fonctions. Le premier est comme parasol. Ceci ombragera de manière permanente les télescopes dans le module de charge utile et permet à leur température de chuter à -100°C. De cette façon, la stabilité du télescope et son système optique seront maintenus aux niveaux précis.

L'autre fonction du sunshield est de développer la puissance pour le vaisseau spatial. Car le dessous du bouclier fera face toujours au soleil, sa surface sera couverte de panneaux solaires qui produisent de l'électricité de la lumière du soleil. Le sunshield et le panneau solaire 'jupe 'est la seule structure deployable sur Gaia. Il se compose de six panneaux séparés qui seront pliés pour le lancement. Une fois dans l'espace, le vaisseau spatial dévoilera ces panneaux dans un ventilateur rudement circulaire, 9.5 mètres de diamètre.

Voyage

Gaia sera placé dans une orbite autour du soleil, à une distance 1.5 million de kilomètres de plus loin hors de que la terre. Cet endroit spécial, connu sous le nom de L2, suivra l'orbite de la terre - Gaia tracera les étoiles d'ici.

Cette position dans l'espace offre un environnement thermique très stable, une efficacité observante très élevée (depuis le soleil, la terre et la lune sont derrière le champ visuel d'instrument) et un bas environnement de rayonnement. Une vie opérationnelle de cinq ans est projetée.

Histoire

La mission de Hipparcos de l'ESA's exceded toutes les espérances et a catalogué plus de 100 000 étoiles à la précision très élevée, et plus de 1 million à peu de précision. Hipparcos était si sensible que, il ait été placé sur terre, il pourrait avoir détecté la croissance de 1 millimètre des cheveux humains simples à une distance de 1 kilomètre. La mission a produit 16 volumes de données.

En attendant, la technologie s'est améliorée. Les détecteurs sont meilleurs. Le traitement des données à bord, avec l'arrivée des processeurs plus puissants d'ordinateur, a plus de possibilités. Le systeme optique se sont améliorés avec l'arrivée de la technologie de carbure de silicium.

Les scientifiques se sont rendus compte qu'une autre mission pourrait être envoyée dans l'espace avec les objectifs cataloguants semblables comme Hipparcos mais avec un remboursement beaucoup plus ambitieux.

Une nouvelle mission a pu maintenant cataloguer 1000 millions d'étoiles. Basé sur terre elle aurait la sensibilité équivalente d'observer des cheveux humains se développer à une distance de 10 000 kilomètres. Les 16 volumes de Hipparcos seraient à la place 160 000 volumes et au lieu de remplir une étagère normale, cette étagère devrait étirer la distance équivalente de Paris à Amsterdam.

La mission de successeur à Hipparcos, Gaia, a été approuvée dans 2000 comme mission de pierre angulaire d'ESA à lancer autour de 2010.

Associations

Gaia est dirigé scientifiquement par l'équipe de la Science de Gaia (GST). Les membres du GST représentent les conducteurs scientifiques et techniques du projet de Gaia. Le comité comporte approximativement 10-12 personnes, élues pendant les trois années finissant en 2004. Les membres de comité prennent la responsabilité des tâches spécifiques, fournissant des entrées à la conception de projet, et coordonnant des contributions de d'autres comme priées. La composition reflète la compétence scientifique et technique, mais reflète également la participation d'Etat membre d'ESA dans Gaia.

Dernière mise à jour : 25 juin 2004[/b]

J'ai pas eu le tps de tout lire mais cette mission a l'air vraiment ambitieuse. Enfin une mission de grande envergure à l'ESA !

En tout cas, vive la traduction automatique : "à une distance 1.5 million de kilomètres de plus loin hors de que la terre"

Il me semble qu'on en parlait déjà à l'époque de la sonde Hipparcos, si c'est bien comme ça qu'elle s'appellait. (à ben oui, je viens de le lire )

C'est la suite en plus grand et plus précis.