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eVscope ça décolle très fort


jldauvergne

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L'addition d'image automatique marche très bien, on ne fait pas mieux en manuel, d'ailleurs les logiciels de traitement d'image l'intègrent depuis longtemps.

 

De plus, il s'agit d'un capteur CCD très sensible. Je connais quelqu'un qui m'a montré des images faites avec une petite caméra CCD ZWO, donc avec un capteur du même type, et on a comparé avec ses photos prises avec un APN. Les images avec la petite caméra étaient des test de 30 secondes je crois, et elles montraient une magnitude limite supérieure à celle des photos APN (où le temps de pose était classique, genre 20 minutes, je ne me souviens plus).

 

Et puis je ne suis pas sûr que le temps de pose unitaire soit limité à quelques secondes, puisque le capteur CCD permet des temps plus longs. Évidemment, on ne pourra pas avoir de poses unitaires trop longues, puisque la monture ne le permettra pas, mais il suffit d'en aditionner suffisamment pour améliorer l'imagine finale. On sait que 60 poses de 30 secondes ne sont pas équivalentes à 1 seule pose de 30 minutes, ni même à 3 poses de 10 minutes. Mais pour peu que le bruit de lecture soit faible, la différence ne sera pas énorme. Je ne serais pas étonné, par exemple, que 120 poses de 30 secondes (total 1 heure) soit équivalent à 3 poses de 10 minutes. Quelque chose comme ça.

 

Enfin, ce télescope permet de récupérer les images brutes sur son ordinateur. On pourra donc faire de l'imagerie « normale ».

Modifié par 'Bruno
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Les pipelettes du sujet

Les pipelettes du sujet

Tu peux sauver les fits et les empilés après, mais comme le dit julon2000 on est en pose courte

et on ne reste pas sur un objet assez longtemps pour cumulé assez de fits pour arrivé vraiment au niveau astrophoto et l'empilage en direct a une limite dans le temps, tu gagne beaucoup en détail

dans les premiers temps de poses mais après les détails arrive tout doucement et si c'est pour rester

plus d'une heure sur un objet autant faire dans ce cas des vrais prise pour un empilage de qualité après.

Le résultat issus du visuel même avec un bon niveau sous PS ou Pix n'arrivera jamais au niveau de l'astrophoto, même si souvent je suis étonné du résultat que j'obtiens, de plus on n'est pas sous la contrainte de échantillonnage et tout le reste.

Pour moi le fait de pouvoir garder l'image c'est un peu comme quand je dessinais

ce que j'observais en visuel, un souvenir d'une observation et des images pour illustré un croa :)

Mais je te rejoint sur le point que cela peu permettre d'imagé son ciel simplement mais avec une limite de qualité si c'est imagé que l'on veut faire.

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Tu peux sauver les fits et les empilés après, mais comme le dit julon2000 on est en pose courte

Courte comment ? Si c'est 30 secondes de pose, je suis persuadé qu'additionner 120 poses de 30 secondes (temps total 1 heure) donnera un résultat très intéressant, genre proche d'une pose unique de 15 minutes. Et une pose de 15 minutes avec un capteur CCD, c'est très bien.

 

(Quand je faisais de l'imagerie, j'avais fait des calculs en utilisant les valeurs de ma caméra CCD de l'époque ─ tout dépend du bruit de lecture ─ et j'avais été étonné de constater qu'on ne perd pas tant que ça à fractionner ses poses, du moins si on ne fractionne pas en trop court. Par exemple entre 60 poses de 1 minute et 1 pose de 60 minutes, la différence devait être de l'ordre d'une magnitude, je crois, et encore. Mais bon, ça dépend du bruit de lecture.)

 

Je ne comprends pas ta remarque à propos de « si c'est pour rester plus d'une heure sur un objet autant faire dans ce cas des vrais prise pour un empilage de qualité après ». Ben justement : faisons de vraies prises (le maximum que permet la monture).

 

Bon, on verra bien quand l'appareil sortira...

Modifié par 'Bruno
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Justement tu pense photo et nous visuel :p

ex: il m'arrive de rester plus de 30mn sur un objet et de sauver mes fits en même temps que l'image

finale de mon visuel, je suis sur un moyenne de 30s de pose, si je suis obliger de rester justement 30mn

c'est que c'est un objet difficile, et c'est pas avec 30mn en pose de 30s que tu tire la quintessence

d'un tel objet difficile.

Sur les objets facile je ne reste que 5 à 10 minutes, largement suffisant pour ce faire plaisir

sur M27 ou M42.

Comme je te l'ai dit sur le principe tu as raison, tu peux faire de l'imagerie avec,

mais la philosophie d'utilisation n'est pas la même, si tu veux faire de l'imagerie

d'autres logiciels et matériels seront plus performant.

Pour moi qui utilise une atik, pour le visuel assisté rien ne vaut l'infinity mais si je doit faire de l'imagerie j'utiliserai plutôt leur logiciel d'acquisition artemis.

Il est vrai qu'avec les nouveaux capteur tu obtient de très bon résultat en prise très courte,

mais c'est une accumulation de beaucoup de temps de poses et plus de temps encore en traitement,

et c'est pas ce que l'on recherche.

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Je pense que la différence entre ces jumelles et l'eVscope' date=' c'est que dans le cas des jumelles l'image reste analogique, et dans le cas de l'eVscope elle est numérique, c'est pourquoi il me semble qu'il faut bien appeler ça de l'imagerie.[/quote']

 

Tu as raison, mais là pour le coup je ne vois vraiment pas ce que ça change. La différence dont il est question ici est la même qu'entre un écran de tv à tube et un écran numérique de PC, ou entre un vinyle et un CD.

D'ailleurs, dans les jumelles de vision nocturne il y a de moins en moins de systèmes analogiques et de plus en plus de systèmes avec CCD. C'est logique, ça permet d'avoir de bien meilleurs définitions et surtout, les systèmes à tubes amplificateur et avec les bruits de lectures qui deviennent très bas, l'avantage va de plus en plus au numérique. Dans les système à tube ceux qui sont de très bonne qualité sont interdits pour des usages civiles.

 

Dans l'utilisation d'une paire de jumelles amplifiée on regarde des choses jamais identiques. Si on vise le ciel avec un EV, là on a 90% des cibles immuables. D'où les railleries de certains, que ce système c'est comme une image piochée sur le web. Mais le principe est pourtant le même que celui de la paire de jumelles avec des fonctions en plus de reconnaissance du champ et de stacking.

C'est le ciel qui est comme ça il ne bouge pas. On peut aussi dire à quelqu'un qui fait du visuel de plutôt aller voir sur le web, les images seront meilleures et ça lui coûtera moins cher :)

 

Là, on a un instrument qui permet de faire de l'imagerie, alors que les jumelles à vision amplifiée ne le permettant pas (puisque les images sont analogiques).

Oui, mais non, comment penses tu que l'on faisait pour faire des images avec des sondes spatiales ou de la tv avant l'invention du CCD ? Tout était analogique et ça produisait des images.

Les photos sur pellicules étaient elles aussi analogiques.

La question porte plutôt sur le taux de rafraîchissement. Si pour vraiment bien voir il faut intégrer 5 à 10 s (ce que je pense pour aller à la mag 16), on est en effet dans un mode plutôt imagerie. Mais si on a un rafraîchissement relativement rapide d'au moins 4 ou 5 images par seconde, là on est dans quelque chose qui se rapproche vraiment des jumelles amplifiées. Tel que j'ai compris le principe de l'eVscope je pense que c'est paramétrable, mais on verra bien en testant. A la louche je pense qu'avec ce capteur là, il faudra au moins intégrer 0.5 à 1 s pour commencer à voir un peu des nébuleuses et des galaxies. Si c'est ça c'est un peu un entre deux, ce n'est pas totalement live, mais c'est encore un peu court pour de l'imagerie.

Pour avoir du vrai live à 15 ou 20 fps, on le sait ce qu'il faut : un télescope f/3 à f/4 plus un as7 modifié. Les pixels sont bien plus gros que sur l'imx224.

 

Ce côté vision numérique en temps réel tu l'as vraiment dans un sony a7s. Une fois en laponie, en sortant d'un resto je regarde le ciel -normal-, et là je vois un genre de nuage clair, mais timide. Je n'arrive pas à savoir si c'est un vrai nuage ou un début d'aurore car c'est faiblement lumineux, donc pas de perception de couleur (plus les lampadaires). J'avais le sony sur moi, je le braque dans cette direction avec le 24 mm, et hop, là je vois que c'est bel et bien vert. Et on voit bien mieux qu'à l’œil car il y a la perception franche des couleurs. Typiquement on est dans un usage très semblable à celui des jumelles amplifiées, mais on est bien en numérique. Et ce n'est pas de l'imagerie car en ville comme ça, je n'allais pas faire des photos.

Modifié par jldauvergne
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Pour aller dans le sens de Jean-Luc, 2 exemples récents :

- L'image d'Exaxe en poses très courtes cumulées sur un T300 : http://www.webastro.net/forum/showthread.php?t=152848

 

Ce n'est pas du visuel assisté, c'est vraiment de l'imagerie en poses courtes

 

- la vidéo de mon copain DarkD avec un A7S sur un T400 : http://www.webastro.net/forum/showthread.php?t=150814

 

La en revanche c'est de la vidéo en temps réel, qu'on peut associer cette fois à du visuel assisté puisqu'on observait l'image en temps réel sur l'écran du boîtier, on aurait aussi pu le faire dans le viseur électronique.

 

En fait, l'EVScope c'est un mix de ces 2 techniques. Je pense que les gars d'Unistellar ont bien compris la tendance actuelle et ont capitalisé sur le sujet.

 

Personnellement je vois l'avenir un peu différemment : grâce aux capteurs de plus en plus sensibles, j'imagine qu'on tendra tous vers un seul instrument à tout faire, de grand diamètre (ou d'un diamètre conciliant une bonne transportabilité), en altaz motorisé, avec un boîtier APN ou autre autonome, capable de faire de la vidéo et de stacker les images en temps réel. On aurait alors un appareil tout en un, capable de visuel planétaire à haute résolution, de CP visuel à grand diamètre, mais aussi d'imagerie planétaire à très haute résolution avec correction de la turbulence en temps réel (grâce aux algorithmes de ms par exemple), et enfin d'imagerie CP mais aussi de visuel assisté, avec correction de la rotation de champ. On économise une monture équatoriale lourde et ce qu'on économise on peut le mettre dans l'optique et dans le capteur.

 

L'EVscope c'est l'étape intermédiaire, qui préfigure ce que demain pourrait être.

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Ca bouge vite, mais il y a des limites physiques et on s'en approche.

Le bruit de lecture on est tombé à 1 electron et moins que 0 ce n'est pas possible.

Les rendements quantiques on est à 70 voire 80%. En capteur pros on sait faire plus de 90% depuis longtemps. Et là c'est pareil, plus de 100% ce n'est pas possible.

Plus que les capteur, ce qui progresse se sont les algos, et ça dans notre domaine on a sans doute beaucoup de marge. Notamment sur la gestion des bruits.

Vos smartophone d'aujourd'hui font des super photo, et c'est bien plus les algo embarqués qui ont progressé les les capteurs eux même. De mémoire en 10 ans le ration doir être ne amélioration x10 avec un x5 pour les algo et un x2 pour les capteurs.

 

L'une des clefs aussi n'est pas nouvelle, ces capteurs à faibles bruit il faut qu'ils soient grands et avec de gros pixels comme dans le a7s. Ces capteurs là valent encore cher.

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Oui tu as raison, on s'approche petit à petit des limites physiques, il y a encore à faire dans le domaine de l'environnement logiciel embarqué, pour pouvoir faire du stacking temps réel par exemple avec un APN, sans passer par un pc... bref une cam dédiée astro avec un capteur comme celui du a7s mais avec un module informatique qui permette tout un tas de fonctionnalités sans avoir besoin de pc ce serait top... genre le module de l'evscope sans l'optique dédiée... ça viendra certainement rapidement :rolleyes:

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Oui tu as raison, on s'approche petit à petit des limites physiques, il y a encore à faire dans le domaine de l'environnement logiciel embarqué, pour pouvoir faire du stacking temps réel par exemple avec un APN, sans passer par un pc... bref une cam dédiée astro avec un capteur comme celui du a7s mais avec un module informatique qui permette tout un tas de fonctionnalités sans avoir besoin de pc ce serait top... genre le module de l'evscope sans l'optique dédiée... ça viendra certainement rapidement :rolleyes:

 

Les APN font déjà ça le stacking. Soit pour gagner en bruit, soit pour avoir une vraie info RVB sur chaque pixel.

Ces fonctions ne sont pas dédiées astro. Mais tu as raison, un a7s sans star eater, défiltré d'origine et avec des fonctions de stacking et de time lapse ce serait bien :) . Pour les time lapse ça arrive. Il y a ça sur les Sony et les Nikon. Sur les Nikon la fonction est vraiment bonne sur les derniers boîtiers.

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Personnellement je vois l'avenir un peu différemment : grâce aux capteurs de plus en plus sensibles, j'imagine qu'on tendra tous vers un seul instrument à tout faire, de grand diamètre (ou d'un diamètre conciliant une bonne transportabilité), en altaz motorisé, avec un boîtier APN ou autre autonome, capable de faire de la vidéo et de stacker les images en temps réel. On aurait alors un appareil tout en un,

Il restera l'inconvénient de devoir apporter une source de courant, peut-être de brancher quelques fils ou de faire quelques réglages. Il reste encore des gens (moi !) qui veulent juste poser leur télescope par terre et observer.

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Concilions les deux 'Bruno :)

Un système assisté pour les observations souvent faites chez soi avec des conditions de ciel

que l'on subit, et un bon télescope pour s'en mettre plein la rétine quand on a l'occasion de ce trouver

sous un ciel de qualité, où la oui on peu réellement faire de l'observation visuel.

Je suis tout jeune dans la pratique de l'observation astronomique, dès le début j'ai énormément

pratiqué l'observation visuel et avec différents instruments et diamètres.

J'ai très vite vu les limites de mon ciel, et dès le début de ma pratique je me demandais pourquoi,

à l'heure actuel, il n'y avait rien sur le marché basé sur les dernières technologies capable de nous

aider à dépassé ces limites.

Il y a ceux qui peuvent attendre d'être sous un bon ciel et faire du pure visuel,

il y a ceux plus boulimique, un peu comme moi, qui ne peuvent pas attendre d'avoir ce beau ciel

pour chercher à voir ce qu'il y a la haut :p

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L'échantillonnage est de 1' date='7". Le capteur est un Sony IMX 224.

 

------------------

 

Je ne sais pas ce que ça peut bien faire, mais je sais que cet appareil fait de l'imagerie, c'est même son point de fort : de l'imagerie sans se prendre la tête (après, si on veut être plus ambitieux, l'appareil le permet puisqu'on peut récupérer les images). Quand on décrit un appareil, il faut employer les termes corrects, tu ne crois pas ?

 

 

C'est mon message que tu n'as pas compris. Je n'ai peut-être pas été assez clair ? Il me semble qu'on appelle imagerie astronomique la technique consistant à obtenir des images numériques ─ via une webcam, un APN ou une caméra CCD notamment. Là, on a un instrument qui permet de faire de l'imagerie, alors que les jumelles à vision amplifiée ne le permettant pas (puisque les images sont analogiques). Voilà tout. Je n'ai pas dénigré les jumelles à vision amplifiée ou autre et je ne vois pas le rapport avec le bio, j'ai juste dit que l'eVscope faisait de l'imagerie (suite au message de Wargentin qui considère que non).

 

En tout cas le débat est intéressant.[/quote']

 

ptdr.faut pas vous mettre dans ces etats. Calmez vous. C'est de l'imagerie numerique , mais qu'importe. Au meme titre qu'une lunette apo ne peut pas etre facilement recollimaté, ce scope a surement ses defauts. N'empeche , les types jettent un pavé dans la marre, et pourquoi pas , apres tout ?

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La plus grosse question que je me pose à propos de ce matos, concerne la qualité de l'image, quelle est la résolution de l'image en sortie ?

 

Une résolution de 1,7", ça correspond à une lunette de 70 mm. Et encore, c'est sans doute optimiste, car 1,7" c'est la "taille" d'un pixel. Si l'image d'une étoile est à cheval sur deux pixels, cela fait deux fois plus. La FAQ annonce qu'on peut voir l'anneau de Saturne, ce qui sous-entend que même la division de Cassini n'est pas accessible, sinon ils l'auraient signalé.

 

J'imagine que le piqué de l'image doit être correct à 50x, peut-être assez proche d'un rendu visuel, mais à 100x et 150x, les étoiles doivent sûrement apparaitre comme de petits disques.

 

A mon avis, la plus grande limitation pour ceux qui sont intéressés par l'observation à l'oculaire, c'est le champ apparent. 30' à 50x cela fait seulement 25°. Autant dire un trou de souris !

C'est surtout sur ce point que j'espère des avancées dans les années à venir.

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La plus grosse question que je me pose à propos de ce matos, concerne la qualité de l'image, quelle est la résolution de l'image en sortie ?
1280 x 960 pixels. Le grossissement paramétrable ne change rien à l'affaire : il n'est pas obtenu par une modification de la focale. Reste à savoir si l'écran a une résolution identique à celle du capteur ou si elle est inférieure. Sans le second cas, il y a un intérêt à augmenter le grossissement, au détriment du champ.
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Si la vue à l'oculaire utilise toute la largeur du capteur, le champ sur le ciel est de 0°28'. La F.A.Q. annonce « environ 30' », donc c'est bien ça. Un grossissement de x50 donne en effet un tout petit champ apparent. À vrai dire je ne comprends pas bien ces histoires de grossissements.

 

Concernant la résolution, elle me paraît correcte car un 115/450 a probablement un pouvoir de résolution qui, en pratique, ne dépasse guère les 2" (ça reste un télescope d'entrée de gamme).

 

Si le succès est au rendez-vous, ils pourront envisager un modèle supérieur, peut-être basé sur un Newton 200/800 (il faut garder un F/D court si on veut avoir suffisamment de senbilité, à moins d'utiliser un capteur avec des pixels plus gros ?). Ça coûterait encore plus cher, peut-être le prix d'un Dobson 500 mm, mais avec des avantages indéniables (compacité, transportabilité...)

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