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Interstellarum Deep Sky Atlas


Wargentin

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Je voudrais parler d'un atlas que je trouve excellent, mais que je n'ai pas vu décrit sur ce forum. L'Interstellarum Deep Sky Atlas.

 

Cet atlas existe en réalité en 4 versions :

 

- deux langues : en allemand, édité par Oculum, et en anglais co-édité par Cambridge et Oculum,

- et deux déclinaisons : la version "Desk" en papier, et la version "Field" en plastique.

 

Un descriptif très complet se trouve ici : http://www.deepskyatlas.com/

 

Je possède la version Field en allemand (aujourd'hui épuisée), et la version Desk en anglais :

 

1603281220165864614101761.jpg

 

 

Caractéristiques générales :

 

- dimensions de l'atlas : 28 x 28 cm, reliure à spirales

 

- poids : 1045g pour la version Field, 1400g pour la version Desk

 

- 144 doubles planches en couleurs + 29 agrandissements de zones très denses

 

- échelle 1.5 cm par degré (à peu près le double du Sky Atlas 2000)

 

- étoiles jusqu'à la magnitude 9.5

 

- tracé des constellations (comme sur le PSA :) )

 

- 14835 objets du ciel profond (dont 9599 galaxies, 508 groupes de galaxies, 117 amas de galaxies, 1903 amas ouverts, 530 nébuleuses, 755 nébuleuses planétaires, 526 nébuleuses obscures…)

 

- prix : environ 80€ la version Desk, et 180€ la version Field (du moins officiellement).

 

 

 

 

Quelques singularités :

 

- la caractéristique la plus marquante est la classification des objets du ciel profond en quatre catégories, selon le diamètre requis pour les observer : 100mm, 200mm, 300mm, ou plus de 300mm. Plus l'objet est facile à voir, et plus son contour et son nom sont épais, et plus sa couleur est intense. C'est vraiment très intuitif : au premier coup d'œil on sait si un objet est difficile ou au contraire s'il fait partie des immanquables. Le seul atlas à ma connaissance qui emploie le même procédé est le Star Guide 2000.0. Je trouve cette innovation très pratique.

 

- Les nébuleuses à émission et les nébuleuses à réflexion sont représentées avec des couleurs différentes.

 

- les nébuleuses à émission comportent une lettre indiquant le meilleur filtre à utiliser pour les observer : U pour UHC, O pour OIII, H pour Hβ.

 

- l'atlas comporte aussi 2950 étoiles doubles, repérés avec un tiret indiquant la direction de la composante la plus faible. Les étoiles multiples peuvent ainsi avoir plusieurs tirets. La longueur et l'épaisseur du tiret donnent aussi une indication grossière sur la séparation et l'écart de magnitude des composantes. C'est un procédé semblable à celui employé sur le Millenium Star Atlas, qui me semble bien plus judicieux que le traditionnel symbole de l'étoile barrée. Les étoiles doubles sont par ailleurs nommées, et pas anonymes comme sur d'autres d'atlas.

 

- les grilles de coordonnées sont assez resserrées, avec en moyenne une ligne par degré, ce qui permet de se repérer facilement quand on cherche un objet par ses coordonnées (je pense aux astéroïdes ou aux comètes par exemple).

 

- 371 étoiles avec exoplanète sont aussi repérées, mais là franchement on est dans le gadget, vu qu'aucun observateur ne les verra jamais. Sans compter que cette liste est aujourd'hui totalement obsolète…

 

 

J'avoue acquérir des atlas astronomiques plus par désir de collection que par nécessité pratique. J'utilise aussi SkySafari Pro, et par bien des aspects cette application surpasse n'importe quel atlas papier. Mais les atlas imprimés conservent quand-même leur intérêt pour leur uniformité de présentation. De plus, ils m'ont toujours fasciné par la beauté de leurs planches remplies d'étoiles et de symboles. De ce point de vue, l'Interstellarum Deep Sky Atlas est certainement le plus bel atlas que je possède. La qualité d'impression est parfaite. Feuilleter ses pages colorées en plein jour est un véritable régal pour les yeux !

 

Une autre de ses qualités est la très grande clarté de sa présentation. A aucun endroit il ne donne l'impression de fouillis, et il reste étonnamment lisible quelle que soit la région observée. D'un point de vue esthétique, il me semble difficile de faire mieux.

 

 

 

 

Description des différentes versions :

 

Les versions anglaises et allemandes sont quasiment identiques. Même sur la version en allemand, la plupart des noms sur les cartes sont en anglais, et pour les noms en allemand leur compréhension ne pose souvent pas de problème, comme pour "Orionnebel" par exemple.

Les deux pages d'introduction sont certes en allemand, mais leur contenu est identique à celui du site deepskyatlas.com, donc on ne perd rien si on ne lit pas cette langue.

 

La version Field se veut très novatrice par l'emploi de matériaux plastiques. Elle est conçue pour être invulnérable à l'humidité, comme le montre cette image :

 

4-01_AME-DSA-Aqua.jpg

 

La couverture est assez rigide et semble très résistante. Les pages sont en matériau dénommé Polyart, dont le toucher est intermédiaire entre le papier et le plastique. C'est une sensation un peu étrange, avec un côté soyeux difficile à décrire. Elles sont fines et légères, ce qui permet de réduire significativement le poids de l'atlas. En principe, on peut écrire sur les cartes avec une encre soluble dans l'eau, et effacer ensuite les annotations d'un coup d'éponge. Je n'ai pas testé cette propriété…

 

La version Desk est d'une facture tout à fait classique pour un atlas, et évoque un Pocket Sky Atlas sous stéroïdes. La couverture cartonnée est plus épaisse que celle du PSA. Les pages sont épaisses et relativement rigides, et ressemblent à du papier glacé sans reflets (je ne sais pas si je suis clair). Elles sont toutefois un peu moins épaisses que celles du PSA. Malgré son appellation "de bureau", cette version est tout à fait apte à affronter les nuits étoilées :).

 

 

 

Quelle version choisir ?

 

On pourrait penser, indépendamment du prix, que le summum représente l'édition de terrain. Or pour posséder les deux, je trouve l'édition de bureau nettement meilleure.

 

D'abord la couverture de l'édition de terrain est trop rigide, elle ne repose jamais à plat comme on peut le voir sur cette image :

 

1603281220215864614101762.jpg

 

Car un des avantages de la reliure spirale, c'est de pouvoir retourner complètement les pages, de façon à réduire le format de l'atlas. Dans ce cas, voilà ce que ça donne :

 

1603281220275864614101763.jpg

 

La rigidité de la couverture rend l'opération malaisée sur la version de terrain, et le repli n'est jamais total, ce qui rend l'emploi peu agréable. A l'usage, cette opération n'est pas pratique.

 

Au contraire, la version de bureau se replie très naturellement et sans efforts, des rainures sur la couverture ayant été prévues pour cela. On peut donc très aisément tenir l'atlas d'une seule main quand il est ainsi replié. Le format raisonnable de l'atlas permet par exemple d'orienter facilement les cartes pour correspondre à la vision à l'oculaire.

 

 

Autre défaut de la version de terrain, je trouve que la préhension des pages pose problème. Cette espèce de plastique étrange a du mal à accrocher aux doigts, et il faut souvent s'y prendre à plusieurs fois pour ne tourner qu'une page. C'est assez difficile à expliquer, mais je n'ai jamais été à l'aise avec cette sensation tactile. C'est peut-être une question d'habitude…

 

La version de bureau ne semble pas poser pas de problème particulier, on retrouve la sensation bien connue du papier :). Je dis "ne semple pas", parce que j'ai acquis cette version récemment, et je n'ai pas encore eu l'occasion de l'utiliser sur le terrain, mais je l'ai quand-même testée de diverses façons et mon avis est nettement plus favorable.

Globalement, la manipulation de la version de bureau est plus agréable, les pages plus rigides laissent une meilleure impression de qualité et tournent plus facilement.

 

 

Autre enseignement tiré de l'expérience, lors d'une soirée par conditions venteuses les pages en plastique n'ont pas arrêté de tournoyer, en raison de leur souplesse et de leur légèreté, ce qui s'est avéré assez pénible. Je suis à peu près certain que dans les mêmes conditions les pages de la version de bureau seraient restées en place, du fait de leur poids plus élevé et de leur meilleure rigidité.

 

 

Enfin, un petit détail irritant concerne la légende sur la version de terrain. Il s'agit d'une fiche imprimée recto verso qui s'insère dans une pochette à l'intérieur de la couverture. En manipulant l'atlas, cette fiche tombe à chaque fois. (Peut-être que ce petit problème a été corrigé sur la version en Anglais ?). Pas de souci sur la version de bureau, puisque la légende est imprimée sur la couverture :

 

1603281220315864614101764.jpg

 

Mon avis est tout simplement que la version Desk, contrairement à son appellation, est préférable pour le terrain. La version Field est peut-être intéressante si on laisse l'atlas ouvert toute la nuit, posé sur une table et exposé à la rosée, mais ce n'est pas ma façon de procéder.

 

La version Desk est déjà assez chère comme cela. Cela dit, au vu de la qualité de la réalisation, son prix me parait amplement justifié, et je sais que ce sera désormais mon atlas préféré.

 

Enfin pour info, il y a parfois de bonnes affaires sur ebay ;).

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Je voudrais parler d'un atlas que je trouve excellent, mais que je n'ai pas vu décrit sur ce forum. L'Interstellarum Deep Sky Atlas.

 

Salut,

C'est fou j'allais ouvrir un nouveau sujet pour la même raison et le jour même cette discussion arrive :b:

 

Vu que j'avais préparé tout le texte (mais pas de photo), je vais bêtement copier/coller ce que j'avais fait...

 

"Je n'ai trouvé aucun post sur cet atlas assez récent alors j'en parle ici.

 

J'ai utilisé pendant un bout de temps l'Urano édition 1. J'en étais très satisfait (plein d'étoiles, plein d'objets), à part deux gros défauts :

- l'ascension droite croissante, ce qui fait que pour aller à l'ouest il faut aller à la carte... de gauche ! (problème réglé dans l'édition 2)

- tout le ciel en DEUX volumes, donc sur le terrain c'est imposant et on doit vite jongler entre les volumes (mais la toute dernière version est en un unique et très gros volume)

 

Et un jour je suis tombé sur ça : http://www.deepskyatlas.com/

 

Après quelques temps histoire d'économiser quelques sous, j'ai opté pour la version "terrain", c'est-à-dire de luxe, en papier plastique fin (compter 140 € voire plus pour cette version, et 70-80 pour la version bureau en vrai papier).

 

Petit résumé des gros plus par rapport à l'Urano (édition 1) :

- un seul volume

- ascension droite dans le bon sens

- la couleur !

- de grandes cartes imprimées pratiquement jusqu'au bord

- un truc tout bête : pas de légende (celle-ci est donnée sur un petit carton à part, peut-être le seul défaut, il a tendance à se faire la malle...), quand on jette un coup d'oeil à l'Urano on se rend compte du gain de place sur les cartes

- l'épaisseur des traits des symboles ainsi que la taille du texte dépendent de la facilité d'observation : en gros gras = visible dans 100 mm, en moins gras = 200 mm, en petit et fin = 300 mm, en extra-fin > 300 mm, l'intensité de la couleur des symboles fait de même

- les lignes des constellations

- les 29 cartes de détail pour les zones surpeuplées (comme pour l'Urano édition 2)

 

Clairement, ce qui frappe immédiatement, c'est la beauté des cartes. La couleur et l'impression super fine donnent une sacrée claque. L'échelle, plus petite que l'Urano, combinée à la taille des doubles pages fait qu'on embrasse un champ énorme. Par exemple le W de Cassiopée tient sur une page et demi, la théière du Sagittaire sur une seule page.

 

La taille de la police, en fonction de la visibilité, fait qu'on sait tout de suite quels sont les objets faciles à voir, et ceux qui seront un peu plus challenge.

 

Sur le terrain, le premier test s'est fait dans des conditions toutes pourries (vendredi dernier, humidité, nuages + Lune presque pleine en train de se lever), mais j'ai pu constater que l'on distingue bien tous les objets à la lampe rouge (les nébuleuses à émission sont remplies en rouge mais le contour est plutôt violet, donc pas de problème).

Il y a un tout petit peu moins d'étoiles que l'Urano (m9.5 au lieu de m 9.75), mais à l'oculaire de mon 200 je n'ai pas ressenti de différence, cela fait pratiquement autant de jalons. Le quadrillage de 1° en déclinaison correspond à peu près au champ de mon Hyperion 24 mm, ce qui facilite pas mal la recherche.

 

Mini CROA au passage (vingt minutes de ciel vaguement clair...) :

- M42 & co

- NGC 2023 (mais pas 2024, la nébuleuse de la flamme, à cause du ciel voilé)

- NGC 2392 (l'eskimo)

- NGC 2266, un petit amas pas très connu mais assez sympa avec quelques étoiles brillantes superposées à un tapis d'étoiles plus faibles

- et pour terminer juste avant que le tout le ciel ne se couvre : Jupiter avec un joli triangle formé par Io, Europe et Callisto (Ganymède est plus loin), et la Lune au ras de l'horizon, avec une turbulence limite esthétique tellement ça grouillait...

 

Bref, l'ouvrage est magnifique, et sur le terrain ça marche nickel !

Si vous aimez les atlas papier et que avez quelques sous de côté, celui-ci vaut vraiment le coup (au passage, je vais me séparer des mes Urano, histoire de soulager un peu la facture)."

 

:be:

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Car un des avantages de la reliure spirale, c'est de pouvoir retourner complètement les pages, de façon à réduire le format de l'atlas. Dans ce cas, voilà ce que ça donne :

 

Pour moi l'avantage de la reliure spirale est de pouvoir avoir l'atlas ouvert bien à plat, comparé à un atlas relié qui aura ses pages bombées au milieu. Je ne me suis pas amusé à plier en deux l'atlas comme ils en font l'exemple dans leur vidéo. L'idée de poser un atlas directement sur une carte ne me plaît guère.

Une des particularités qui m'a plu est celle de pouvoir afficher une champ conséquent, et le pliage faire perdre cet intérêt.

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C' est vrai qu'il a l' air bien conçu et bien fait cet atlas .:)

Mais Noël est encore loin ! :(:D

 

Justement, c'est étudié pour : tu mets 10€ de côté tous les mois, et tu l'auras au pied du sapin. :D

 

Salut,

C'est fou j'allais ouvrir un nouveau sujet pour la même raison et le jour même cette discussion arrive :b:

 

Vu que j'avais préparé tout le texte (mais pas de photo), je vais bêtement copier/coller ce que j'avais fait...

 

Ah oui en effet, tu as bien fait. Je suis content de voir que je raconte pas que des conneries :)

 

Je partage ton avis sur l'Uranometria édition 1.

 

Quant à l'édition 2, même si les cartes sont rangées dans le bon ordre, elle a deux défauts supplémentaires selon moi :

 

- Beaucoup trop de galaxies à mon goût. Sur certaines planches, il faut chercher les étoiles au milieu des galaxies, cela en est presque ridicule.

 

- les étoiles faibles, en gros de magnitude supérieure à 9, sont tellement fines qu'elles disparaissent sous le faible éclairage de ma lampe rouge, à moins de coller le nez sur l'atlas. Cela ne facilite pas non plus le repérage.

 

 

Pour moi l'avantage de la reliure spirale est de pouvoir avoir l'atlas ouvert bien à plat, comparé à un atlas relié qui aura ses pages bombées au milieu. Je ne me suis pas amusé à plier en deux l'atlas comme ils en font l'exemple dans leur vidéo. L'idée de poser un atlas directement sur une carte ne me plaît guère.

Une des particularités qui m'a plu est celle de pouvoir afficher une champ conséquent, et le pliage faire perdre cet intérêt.

 

Je comprends. C'est pour cela que plusieurs avis ne sont pas inutiles, et j'espère qu'il y en aura d'autres, tant je trouve cet atlas épatant.

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j'espère qu'il y en aura d'autres, tant je trouve cet atlas épatant.

 

C'est clair ! En le feuilletant je me rends compte de tout ce que j'ai loupé avec l'Urano.

Avec son champ réduit je me focalisais sur une page particulière, sans me rendre compte qu'en allant une page à côté ou au-dessus il y avait plein d'autre trucs à voir.

Là le champ extra-large donne tout de suite une autre dimension sur tout ce qu'il y a à voir.

 

Et avec la notation en fonction de l'instrument, je me rends aussi compte de tous les amas, nébuleuses ou NP que j'ai mis de côté alors qu'ils sont en fait potentiellement très faciles à voir.

 

A part ça je trouve un petit intérêt aux étoiles marquées du symbole exoplanète : faire rêver les gosses et les adultes néophytes lors d'une soirée d'initiation. Certes personne ne verra autre chose qu'une étoile, mais savoir qu'autour quelques trucs tournent me semble quelque chose d'assez sympa à montrer.

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Bonjour,

Je profite également de ce sujet pour dire tout le bien que j’ai pour cet atlas papier : EXCELLENT !

J’en avais déjà mis un mot dans la conversation du 19/03/2015 : http://www.webastro.net/forum/showthread.php?t=124539&page=2

 

J’ai acheté via le site anglais http://www.cambridge.org/gb/academic/subjects/astronomy/amateur-and-popular-astronomy/interstellarum-deep-sky-atlas-desk-edition?format=SP la version de bureau non plastifiée et je l’utilise très souvent sur le terrain.

 

Etant donné son extraordinaire richesse en objets célestes (mais les symboles utilisées minimises les plus discrets et les principaux sont à l’inverse accentués en caractères gras), c’est un atlas bien étudié pour les dobsons. Je l’utilise parfois en complément du plus basique mais indispensable Taki (l'essentiel adapté pour les petits instruments). Petit détail à savoir aussi, il est adapté avec un éclairages en lumière rouge ; les nébuleuses sont dans un "rouge particulier" avec une bordure foncée noire ou bleue nuit.

 

Pour ceux qui utilisent (encore) les atlas papiers et recherchent les cibles avec la technique d’étoile en étoile, je pense que c’est le meilleur ! J’ai laissé tomber mon Urano et le Sky atlas, d'autant plus que j'observe de + en + avec des gros télescopes.

La version Desk Edition est amplement suffisante sur le terrain.

Seul bémol, certains caractères, comme les lettres grecques des étoiles par exemple sont dans une police bien petite, surtout lorsque l’on est un peu myope avec l'âge...… (usage d'une loupe ou de lunettes !) Richesse et champ assez large est difficilement compatible pour un atlas papier avec des gros caractères, si l'on veut des cartes claires pas submergés d'infos comme le Triatlas de Torres par exemple.

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  • 1 mois plus tard...

Bonjour,

A mon tour de dire aussi tout le bien que je pense du remarquable Interstellarum DSA.

Depuis que j'ai pris l'habitude d'aller en Afrique du Sud

 

( cf. mon CROA de septembre 2014 > http://www.webastro.net/forum/showthread.php?t=123745),

 

il est devenu sans conteste notre atlas de travail préféré pour faire du ciel profond avec notre dobson 500. Nous avons également là-bas le DSBA de Gerhard Stropek et le Skyatlas 2000 Deluxe. C'est la version allemande Oculum Premium que nous avons dont j'apprécie tout particulièrement le toucher et la qualité des feuilles, même si les nuits humides sont plutôt rares en Afrique du Sud.

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  • 1 mois plus tard...

Quelle comparaison avec le Sky atlas 2000 Tirion?

 

Salut,

 

On peut dire que c'est le SA 2000 sous stéroïdes :be:

 

Le format est assez similaire, avec de grandes cartes couvrant des constellations entières. L'iDSA a une échelle plus grande (plus de centimètres par degré), alors forcément il y a plus de pages (113 double pages versus 26 cartes).

 

L'iDSA va jusqu'à m9,5, contre m8,5 pour le SA 2000. Comme noté dans les messages précédents, l'intensité des couleurs et l'épaisseur du contour des symboles dépend de leur facilité d'observation. C'est la principale singularité de cet atlas, et c'est clairement un gros plus (en tout cas pour moi, fini les recherches foutues d'avance).

 

Les auteurs ont aussi fait une nettoyage complet des bases de données des objets, de manière à afficher tous les objets visibles dans des instruments de 100, 200 et 300 mm, et ne pas afficher toute une tripotée d'objets invisibles avec un 300 (environ 1200 objets, sur un total de 15000, sont tout de même affichés).

En faisant une comparaison rapide, j'ai pu voir par exemple que NGC 6802, un amas relativement accessible à proximité du cintre (Collinder 399), n'était pas présent dans le SA 2000, alors qu'il indique à proximité la nébuleuse Sh 2-82 qui n'a pas l'air évidente du tout (notée comme visible avec un diamètre supérieur à 300 dans l'iDSA).

Bref, cela affiche tout ce qu'il y a à voir, et cela n'affiche pas ce qui est invisible.

 

Si tu hésites entre acheter le SA 2000 ou l'iDSA, repose gentiment le SA dans le rayon et empare toi de l'iDSA !

 

Si tu as déjà le SA et que tu te demandes si cela a un intérêt de claquer 70 € (ou le double) dans un nouvel atlas, alors ce sera peut être plus délicat :

- avec un instrument de 100 mm ou moins, à mon avis pas besoin de l'iDSA, il ne va pas révolutionner tes soirées

- avec un instrument jusqu'à 200 mm, là on commence à avoir un gain sérieux, avec plus d'étoiles et surtout beaucoup plus d'objets

- au-delà de 200, là il n'y a à mon avis pas d'hésitation, tu vas avoir accès à une quantité d'objets sans commune mesure avec le SA

 

Autre point, le SA affiche une charrette d'étoiles doubles, sans plus de détails. Dans l'iDSA, toutes les doubles sont nommées. Les auteurs ont donc dû filtrer les candidates (composantes principale m < 8,5, composante(s) secondaire(s) m < 10,5). Il y en a donc beaucoup moins, mais aucune n'est anonyme. Par contre le symbole utilisé permet de déterminer grossièrement la difficulté d'observation (couple serré ou pas, écart de magnitude faible ou élevé), ainsi que l'orientation de l'ensemble.

 

:cool:

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  • 1 mois plus tard...

Hello !

 

merci pour ce post qui tombe à pic !

Pas pressé, mais dans le cadre de l'acquisition d'un futur Dob 300 je cherchais un atlas un peu plus pointu que le déjà très efficace PSA. En fait aussi, un truc "joli", plus fourni et plus aéré, pour rêver aussi au coin du feu l'hiver, en plus de toutes les autres utilités !

J'avais logiquement pour idée le Tirion Sky Atlas 2000 jusqu'à ce que je prenne connaissance de ce nouvel atlas ici évoqué.

Je crois que ce post a fini de me convaincre sur l' IDSA ! Pourtant, j'aime assez les couleurs du PSA qui semble se retrouver aussi sur le SA (Voie lactée en bleu)

Je me demandais juste si le quadrillage n'était pas trop lourd et ne rendait pas la page un peu illisible ?

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Bonjour tout le monde !

 

J'ai eu la chance d'avoir la version papier de l'IDSA dans les mains le temps d'un weekend avec un copain astram qui l'a eu pour son anniversaire.

 

J'avais très envie de le voir avant de l'acheter moi-même, du coup ça tombait pile poil à pic (et en plus, le Poil est le nom du village où on était :be: )

 

Du coup, je peux vous dire que cet atlas dépasse tous ceux que j'ai pu avoir dans les mains (SA2000, Uranometria..)

 

En effet comme dit précédemment, le système de couleurs mis en place pour le degré de visibilité en fonction de l'instrument est vraiment efficace (100, 200 et plus de 300mm et photo). En plus de cela, pour les nébuleuses, on nous indique le type de filtre à utiliser grâce au codage basique (U pour UHC, O pour OIII, H pour Hbêta) et je trouve que ça c'est UN TRES GROS PLUS.

 

Sans parler de la magnitude limite plus élevée et d'une échelle plus grande, l'atlas est aussi plus complet avec de nombreux catalogues secondaires, dont certains de nos astrams français (Ferrero, Renou, Outters...) puis certaines dénominations sont également plus simples (certains IC ou PK ont en effet un numéro NGC) et pour finir on découvre le surnom anglophone de certains objets et c'est bien marrant :D

 

Enfin, la version bureau résiste à priori quand même assez bien à l'humidité (vue la différence de tarif avec la version terrain, 165€ pour cette dernière contre 70€ pour la version bureau), ça en fera donc réfléchir plus d'un. Puis le système de spirales a fait ses preuves évidemment.

 

Alors voilà, je vais me l'offrir pour Noël, c'est certain. Cet investissement à très long terme vaut vraiment le coup selon moi et je vous le conseille.

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Pas pressé, mais dans le cadre de l'acquisition d'un futur Dob 300 je cherchais un atlas un peu plus pointu que le déjà très efficace PSA.

[...]

Je me demandais juste si le quadrillage n'était pas trop lourd et ne rendait pas la page un peu illisible ?

 

Salut,

Oui pour un 300 l'iDSA sera l'idéal, par contre il faudra effectivement oublier la représentation de la voie lactée.

Concernant le quadrillage, pas de problème. Les lignes sont imprimées en extra fin, elles sont au final bien plus discrètes que dans l'Urano.

 

Je l'ai utilisé il y a quelques jours (ici), et la combinaison faible grossissement/oculaire grand champ/iDSA a été redoutable, j'ai trouvé tout ce que je cherchais, en moins de 5 minutes pour chaque objet !

 

François

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Pour se faire une idée des cartes, il y a sur le site deepskyatlas.com 4 planches disponibles en haute résolution :

http://www.oculum.de/sites/deepskyatlas/site/en/dsa.asp?content=samples

Il suffit de comparer avec les autres atlas…

 

J'en profite pour nuancer mon avis précédent concernant la supériorité de la version bureau. Il s'avère en effet que si on préfère garder l'atlas en main, la version bureau est plus lourde, et qu'au bout d'un moment cela commence à tirer un peu sur le bras. Il est aussi plus compliqué de tourner les pages si on ne pose pas l'atlas sur un support. La version de terrain a donc aussi ses avantages.

 

Mais comme cela a déjà été dit, vu la différence de prix avec la version de terrain et la qualité de la version bureau, je recommande malgré tout cette dernière.

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Merci pour ces retours !

Tous les avis sur le net que j'ai trouvés sont excellents

Je pense que je vais craquer dans les prochains jours pour cet atlas !

 

Il est même bien moins cher que le Sky Atlas 2000 que je convoitais - le tarif de toute façon me semble fort raisonnable pour un outil de travail quotidien qui pourrait durer à vie au vu de la somme d'infos !

Quand on pense au temps qu'il faudrait pour parcourir tous les objets du PSA, et là c'est autre chose encore !

En plus d'un compagnon d'observation redoutablement efficace, je pense que ce doit être une oeuvre d'art pour rêver l'hiver au coin du feu

 

Je regrette juste un peu la Voie Lactée bleutée si esthétique du PSA qui se retrouve sur le SA 2000

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  • 1 mois plus tard...

Salut,

 

je viens de recevoir l'Interstellarum Deep Sky Atlas : le CHOC !!

 

Effectivement c'est du très très lourd (pas en poids, en qualité !).

Je retrouve ce que je savais ayant regardé le site, à savoir quelques fonctionnalités révolutionnaires : doubles représentées selon leur écart, et avec l'orientation, filtre adéquat pour les nébuleuses, couleur des objets plus ou moins foncée selon la difficulté d'accès (classé en 100 mm, 200 mm, 300 mm et quelques objets intéressants plus faibles : on voit ainsi tout de suite les objets qui nous sont accessibles), etc ...

Mais ce qui me frappe peut-être le plus, c'est l'extrême exhaustivité en quantité d'objets, pour moi qui suis habitué au PSA et aux cartes des Splendeurs du Ciel profond : cela foisonne d'objets, on a l'impression qu'il faudrait 4 ou 5 vies pour voir une portion seulement de ce qui est représenté !

L'échelle est en outre bien plus généreuse que sur le PSA, montrant ainsi les constellations bien plus grandes et détaillées en objets. J'ai regardé sur quelques galaxies faibles du Triangle ou du Bélier que je viens de pratiquer, la précision pour le repérage est quasi du niveau des cartes de champ des Splendeurs.

J'ai acheté cet atlas surtout en prévision d'un futur 300, car il est clair que pour mes lunettes actuelles (80ED et 100 APO) le PSA suffit amplement en terme de quantité d'objets et de magnitude limite. Mais l'atlas pourra d'ores et déjà me servir pour affiner le repérage, pour les objets qui ne seraient pas sur les Splendeurs. Bref, un truc de pro qui sera utilisé sur le long terme ...:wub::)

En outre je trouve les planches fort belles, je craignais un peu de perdre les couleurs Sky Atlas (bleu pour le Voie Lactée), mais c'est oublié.

 

En revanche deux petites remarques :

- l'atlas est plus grand et lourd que le PSA, ce dernier était très pratique ainsi sur le terrain et se faisait bien oublier. Je pense que tant que je n'aurai pas le 300 je continuerai surtout avec le PSA qui se prête bien à un instrument de 100 mm

- les auteurs de l'IDSA préconisent de considérer le diamètre supérieur si on est entre deux. Ex : avec 150 mm il faut considérer les objets de couleurs correspondant à 200 mm. Cela me semble un peu prétentieux car les classes d'objets (100 mm / 200 mm / 300 mm) sont faites d'après ce que j'ai compris pour un ciel de campagne à mv 6.5. Cela me semble déjà des conditions un peu privilégiées, pas sûr qu'avec un 150 en conditions moyenne on arrive à voir des objets donnés pour accessibles à 200 mm avec mv 6.5

Modifié par etoilesdesecrins
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Le prix aussi c'est le choc ! (230€ chez amazon). Donc il n'est pas vraiment comparable au PSA qui se trouve à 10€ en période de promo.

 

Tu rigoles ? ;)

je l'ai touché à 80 euros neuf, presque deux fois moins cher que le Sky Atlas 2000 !

C'est chez une grande enseigne astro française

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Hello,

 

premier test sur le terrain hier soir.

J'avais lu que les impressions étaient optimisées pour être lues dans le noir à la frontale, et effectivement c'est pas mal.

 

Par contre l'un des "défauts" prévus est son relatif encombrement : prévoir un support propre et stable à proximité, alors que le PSA passait facilement des genoux au sol, bétonné ou herbeux, sans crainte aucune.

Autre petit souci, c'est le pendant de sa qualité et son exhaustivité : y a tellement d'astres représentés que si on ne sait pas à peu près où se situe ce que l'on cherche, on est un peu perdu et on passe bien plus de temps que sur le PSA. Hier par ex je cherchais kappa Cass et j'ai été infoutu de la trouver, alors que sur le PSA ce fut presque immédiat. Mais bon faut aussi s'habituer à cet atlas ...

 

Par contre, pour le pointage précis d'un objet petit ou faible si on connait à peu près sa position, c'est nickel ! La petite NGC 6741 (mag 11.5 - 12) a été assez rapidement trouvée ainsi, malgré la lune proche.

 

Donc ça confirme : un atlas complet et précis à utiliser en complément d'un plus simple, ou après s'être fait la main sur un plus simple avec un petit instrument. Celui-ci paraît plus destiné à fouiller précisément telle zone déjà un peu connue, et ce avec un plus gros instrument

Modifié par etoilesdesecrins
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Comment crois tu qu'il va supporter l'Humidite ?

 

je sais pas trop mais le papier assez cartonné mais fait penser un peu au PSA, avec le même genre de couverture qui semble assez solide. J'ai mon PSA depuis 3-4 ans avec pas mal de sorties avec, de rares pages sont un peu gondolées mais le reste est nickel, et je ne vois pas pourquoi l'IDSA supporterait moins bien la chose

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Petit complément d'infos :

 

- l'atlas n'est pas hyper maniable à manipuler, il est relié par anneaux comme le PSA mais vu son plus grand format / poids, il n'est pas hyper compact et les pages bougent un peu dans le sens de la plus grande dimension, en le manipulant

 

- certaines infos sont écrites vraiment en petit format. Je sais que l'on est censé bien y voir pour notre activité, mais passé la 40aine ça peut poser des soucis. L'index à la fin notamment est écrit petit (et n'est pas exhaustif car j'ai trouvé des objets faibles sur les cartes qui n'y figurent pas), tout comme les objets faibles (moins gênant). Mais surtout certaines infos nécessaires comme les noms d'étoiles en lettres grecques adoptent cette petite police. Gênant dans le froid et le noir, d'autant que ça se perd dans une foule d'infos vue la précision de l'atlas. Ainsi je n'ai pas pu trouver l'autre soir l'étoile Kappa Cassiopée et au bout de 30'' à 1 min env je suis allé la chercher sur le PSA (plus facile car moins d'infos et écrit plus gros)

Après, on peut comprendre que si l'on veut conserve beaucoup d'infos dans un format acceptable il faut écrire petit.

Attention cela n'est pas vrai pour les objets les plus brillants, car cet atlas présente une police / visibilité décroissante pour les objets plus faibles

 

- revers (positif) de la médaille, y a plus d'infos ! Par ex autour de kappa Cass, l'atlas montre 4 amas alors qu'il n'y en a pas sur le PSA ! J'ai ainsi vu confirmé avec plaisir que le petit groupe en arc que j'avais vu l'autre soir en plus des 3 amas existe bien et porte le nom de Pot 7 sur l'atlas (probablement pour Pothier 7, faudrait demander confirmation à Yann, mais j'ai vu que le plus connu Pothier 11 près de M104 avait la même dénomination Pot 11). J'ai vu qu'il y avait aussi des amas du type Frr ou un truc comme ça, peut-être pour Ferrero ?

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Je suis d'accord sur la manipulation de l'atlas, vu son format il est plus pratique de le poser pour tourner les pages. Mais le comparer au PSA ce n'est pas très juste compte tenu du grand nombre d'objets représentés. Il faudrait plutôt le comparer à l'Uranometria en deux volumes, qui est passé en un seul gros volume maintenant. Et celui-là je ne le trouve vraiment pas pratique sur le terrain.

Je me repère en général avec des cheminements d'étoiles, et pour ça j'aime bien que l'orientation de la carte soit la même que l'image à l'oculaire. Avec mes autres atlas c'est une opération souvent pénible, car ils restent ouverts en grand et sont très encombrants. Avec l'IDSA version papier, le fait de pouvoir replier les pages représente un gros avantage.

 

Je n'ai jamais ressenti le besoin de rechercher une étoile d'après sa lettre grecque. C'est vrai que ces lettres sont minuscules, mais pour moi c'est une information très accessoire. Nous utilisons visiblement nos atlas de façon différente…

 

A propos des noms des amas, il y a une liste d'abréviations juste avant la carte du Pôle Nord. Donc Pot signifie bien Pothier. Par contre je n'ai pas vu de Frr. Voulais-tu parler de Hrr (Harrington) ?

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je viens de recevoir l'Interstellarum Deep Sky Atlas : le CHOC !!

 

Salut,

Bienvenue au club ! :be:

 

Comment crois tu qu'il va supporter l'Humidite ?

Je ne me fais pas trop de souci concernant l'humidité vu que j'ai pris la version terrain, mais d'après ce que j'ai compris la version bureau tient la route. J'ai déjà fait des sorties avec l'Urano par temps humide, et il survivait sans problème, je doute que l'iDSA soit une éponge.

 

- l'atlas n'est pas hyper maniable à manipuler, il est relié par anneaux comme le PSA mais vu son plus grand format / poids, il n'est pas hyper compact

Comparer l'iDSA au PSA en terme de facilité de manipulation ça revient un peu à comparer un gros dob et une paire de jumelles non ? :p

Certes il faut un bon support pour pouvoir le poser, mais ça se limite à ça.

 

- certaines infos sont écrites vraiment en petit format.

C'est vrai pour les noms d'étoiles et les objets les plus faibles. Par contre les objets les plus brillants (classe 100 et 200 mm) sont bien en gros gras, ce qui permet de les situer très rapidement sur la carte.

 

L'index à la fin notamment est écrit petit (et n'est pas exhaustif car j'ai trouvé des objets faibles sur les cartes qui n'y figurent pas)

C'est clair que c'est écrit en pattes en de mouche, en même temps il y a un sacré paquet de données à compiler en un minimum de pages. As-tu des exemples d'objets absents des listes ? J'ai trouvé quelques coquilles sur les cartes mais pas dans les listes, on peut d'ailleurs les reporter à l'éditeur : http://www.oculum.de/sites/deepskyatlas/site/en/dsa.asp?content=errors

 

Mais surtout certaines infos nécessaires comme les noms d'étoiles en lettres grecques adoptent cette petite police. Gênant dans le froid et le noir, d'autant que ça se perd dans une foule d'infos vue la précision de l'atlas.

Pour cheminer d'étoile en étoile les lettres grecques ne me semblent pas utiles, du moins sur le terrain...

 

J'ai vu qu'il y avait aussi des amas du type Frr ou un truc comme ça, peut-être pour Ferrero ?

Oui, il y a des objets de Yann Pothier (Pot), Alexandre Renou (Ren), Nicolas Outters (Outters), et Laurent Ferrero (Frr, qui n'apparaît pas dans la liste des acronymes)

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