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Devenir astrophysicien


BlackHoleCandidate

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Bonjour, J'ai 14 ans (15 ans mai) et depuis quelque mois je me passionne pour l'astronomie et la physique, depuis toujours, j'ai toujours eu des idées sur mon métier a venir, mais je passais en un mois de pilote de formule 1 a photographe animalier en passant par courtier en bourse et je savais pertinemment a chaque fois que ce n'étais que superficielle. Mais voila, cette année, je suis arrivé en seconde et chaque cours de physique est pour moi le meilleur moment de la semaine, peut importe le sujet, tout me semble intéressant (ce qui n'est pas le cas de toute ma classe :D). Je regarde aussi un grand nombre de documentaire d'Astrophysique et commence a lire des livres sur cette thématique. Et je suis maintenant persuadé du métier que je souhaiterais faire plus tard : Astrophysicien.  Quand je regarde sur internet, je ne tombe que sur des approximations vague du cursus a suivre dans ce but. J'ai pu lire quelques articles sur le MIT et je suis conscient que très peu d’étudiant étranger on l'opportunité d'y rentrer et je pense donc qu'il est préférable de commencer en étoffant sont dossier en passant par des  écoles françaises. Je sais avec certitude que ce que je vais dire est très ambitieux mais voila ce qu'est pour moi le trajet optimal a suivre pour se métier. terminale spécialité physique, classe préparatoire math sup math spé, polytechnique et pour finir, le Massachusetts institute of technology. (Je sais qu'un forum sur ce sujet a déjà été lancé mais il n'est pas très récent.)

 

Le trouvez vous pertinent, j'attend vos conseil et remarque avec impatience :)

merci d'avance

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Il va sans dire qu'il n'y a pas que les maths et la physique dans lesquelles tu dois exceller, le français fait aussi partie de la donne. Une même copie au concours de Polytechnique retournée avec et sans faute d'orthographe n'aura pas du tout la même note.

 

Sinon, oublie la recherche en France. Tu y seras exploité et sous payé, jusqu'à finir dégoutté du système. 

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Citation

J'ai pu lire quelques articles sur le MIT et je suis conscient que très peu d’étudiant étranger on l'opportunité d'y rentrer 

 

Selon ce que j'en sais, environ 10% des étudiants du MIT viennent de l'extérieur des États-Unis. 

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Comme d'autres oublies peut être la France, j'ai aussi étudié aux US, les universités ont des budget à faire pâlir certains fleurons de l'industrie française et puis les études aux US c'est plus enrichissant (mon, cas perso) l'enseignement y est aux antipode de la pratique en France (c'est tout un sujet que je ne pourrai développer ici). Je ne parle même pas de la plupart des labos de fac de chez nous que j'ai côtoyé, qui sentent le renfermé et où traîne de vieux ordinateurs d'un autre age, du matériel hors d'usage (ce que j'en ai vu dans plusieurs facs en province et à Paris) sans parler des rémunérations pratiquées etc ... Sinon le MIT c'est super mais le ticket d'entrée est très élevé (niveau requis et finance) et ça ne te garantie pas de bosser dans l'astrophysique à la fin, un domaine de la recherche fondamentale proposant peu de place. Après il y a d'autres moyen d'accès, je pense à l'informatique très porteur en astrophysique. Mais en France aussi, par ex je connais un ancien collègue de boulot qui a débuté comme simple informaticien de gestion et qui a ensuite bossé au JMMC sur les données du VLTI (interféromètre) pour déterminer les diamètres des étoiles comme quoi plusieurs chemins peuvent te mener vers cette science :) 

 

Je pense que d'autres ici plus directement impliqués dans ce domaine pourront t'aiguiller également.

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Je pense que le plus important, c'est que tu sois passionné de sciences physiques. Pour moi c'est la critère n°1 pour réussir. Mais entretiens ta passion : lis des livres de vulgarisation, quitte à choisir des livres assez ambitieux. Tu peux même essayer d'apprendre toi même certaines notions de physique. Par exemple de nos jours on n'enseigne plus l'optique géométrique au lycée, mais ça figurait dans l'ancien programme (en première S et en spécialité de terminale S), donc il doit être facile de trouver des cours sur Internet. Et les notions mathématiques nécessaires sont celles du collège (théorème de Thalès). Du coup je pense qu'un lycéen autodidacte motivé doit pouvoir apprendre ça. (L'électricité aussi est un gros morceau qui a été supprimé des programmes du lycée − je ne sais pas si on en fait en seconde, mais il n'y en a plus en première et terminale S −, mais ça a moins de rapport avec l'astronomie.)

 

Ensuite, tu as plusieurs façons de devenir chercheur. Pour t'ouvrir un maximum de portes possibles, il faudra avoir le meilleur dossier possible.

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Il y a 1 heure, 'Bruno a dit :

Ensuite, tu as plusieurs façons de devenir chercheur. Pour t'ouvrir un maximum de portes possibles, il faudra avoir le meilleur dossier possible.

Je sais, je me met au travail de plus en plus en ce moment car jusqu'au dernière vacances, je me mettais aux devoirs le vendredi après-midi  et je n'étais vraiment pas sérieux, ce qui ne m’empêche pas d'avoir 16.5 de moyenne en physique mais dans des études supérieur, je sais que l'on ne peut plus se reposer sur ses acquis, j'essaye donc adopter une meilleur attitude de travail. Pour avoir un meilleur dossier, j’espère changer de lycée l’année prochaine car le miens est bien mais pas excellent ( Racine a paris). Je me rend vraiment compte que j'ai beaucoup de chance d'habiter a paris au niveau des études. :)

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Je n'approuve pas trop l'idée de changer de lycée. Comme si le fait d'être dans un autre lycée allait améliorer tes résultats. Les profs sont vraiment meilleurs ? Ce ne serait pas en fait les élèves qui sont meilleurs ? (Mais je me trompe peut-être.)

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Le 23/03/2018 à 14:35, Fred_76 a dit :

Au fait, sans aller aux USA, il y a aussi l'EPFL (École Polytechnique Fédérale de Lausanne).

Mouais, c'est avant tout une école d'ingénieurs, et la recherche qui y est faite est nettement orientée applications plutôt que recherche fondamentale; du coup assez moyen pour y étudier l'astrophysique.

 

En passant, ce sous-forum concerne l'astrophysique, il y a un autre sous-forum concernant les métiers https://www.webastro.net/forums/forum/13-les-métiers/

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Il y a 10 heures, julon2000 a dit :

Mouais, [l'EPFL] est avant tout une école d'ingénieurs, et la recherche qui y est faite est nettement orientée applications plutôt que recherche fondamentale; du coup assez moyen pour y étudier l'astrophysique.

 

Pourtant l'IAP (Institut d'Astrophysique de Paris) y a une équipe permanente.

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Le 24/03/2018 à 16:21, 'Bruno a dit :

Je n'approuve pas trop l'idée de changer de lycée. Comme si le fait d'être dans un autre lycée allait améliorer tes résultats. Les profs sont vraiment meilleurs ? Ce ne serait pas en fait les élèves qui sont meilleurs ? (Mais je me trompe peut-être.)

Le niveau de mon lycée est vraiment bas, le lycée dans lequel je souhaite allé est reconnu comme un des meilleurs lycée scientifique de paris, sans doute les élèves sont plus rapide la bas. Dans ma classe, on peut passer 2 cours sur une leçon qui ne nécessiterai que 45mn de cours en temps normal, les élèves posent des questions sur des mots de vocabulaire français de base et se plaignent et râlent continuellement devant une petite difficulté Donc oui, ce n'est pas la méthode ou le niveau des profs qui peuvent améliorer le niveau mais bien les éleves qui doivent avoir un meilleur niveau. Aussi l'ambiance du lycée n'encourage pas au travail. Les résultats au bac du lycée que je vise sont supérieur a mon lycée actuel ce qui n'est pas anodin

donc je suis presque certain que cela me permettra d'avancer plus vite

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Il y a 17 heures, BlackHoleCandidate a dit :

Le niveau de mon lycée est vraiment bas, le lycée dans lequel je souhaite aller est reconnu comme un des meilleurs lycées scientifiques de Paris, sans doute les élèves sont plus rapides là bas. Dans ma classe, on peut passer 2 cours sur une leçon qui ne nécessiterait que 45mn de cours en temps normal, les élèves posent des questions sur des mots de vocabulaire français de base et se plaignent et râlent continuellement devant une petite difficulté. Donc oui, ce n'est pas la méthode ou le niveau des profs qui peuvent améliorer le niveau mais bien les élèves qui doivent avoir un meilleur niveau. Aussi l'ambiance du lycée n'encourage pas au travail. Les résultats au bac du lycée que je vise sont supérieurs à mon lycée actuel ce qui n'est pas anodin

donc je suis presque certain que cela me permettra d'avancer plus vite.

Ça serait bien que tu améliores toi aussi un tantinet ton orthographe... 10 fautes en 6-7 lignes, ça fait beaucoup quand on cherche l'excellence !

 

Pour les "bons lycées" parisiens, il y a aussi Lacanal, Chaptal, Henri IV, Janson de Sailly, Louis le Grand, Stanislas... et un peu plus loin (en distance et au classement) au Raincy (93) : Albert Schweitzer, ou à Rouen (76) : Corneille (le poète dramaturge, pas le chanteur).

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Le 26/03/2018 à 11:38, Fred_76 a dit :

 

Pourtant l'IAP (Institut d'Astrophysique de Paris) y a une équipe permanente.

L'EPFL n'a pas de programme de master en astrophysique, et l'unique prof qui s'occupe de cosmologie a été engagé par l'université de Lausanne avant que le département de physique de cette dernière ne soit fusionné avec celui de l'EPFL.

 

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Il y a 8 heures, Fred_76 a dit :

Ça serait bien que tu améliores toi aussi un tantinet ton orthographe... 10 fautes en 6-7 lignes, ça fait beaucoup quand on cherche l'excellence !

 

Pour les "bons lycées" parisiens, il y a aussi Lacanal, Chaptal, Henri IV, Janson de Sailly, Louis le Grand, Stanislas... et un peu plus loin (en distance et au classement) au Raincy (93) : Albert Schweitzer, ou à Rouen (76) : Corneille (le poète dramaturge, pas le chanteur).

Merci de me le faire remarquer ;), je vais essayer de m'améliorer là-dessus mais la plupart du temps je ne suis pas mauvais en orthographe. J'ai écrit ça rapidement. Le lycée que je vise c'est Chaptal justement.

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Je crois que tu t'égares en cherchant à changer de Lycée. Tu verra en avançant que ce qui compte vraiment ce ne sont pas les profs, même si ça peut aider lorsqu'on est trop juste, mais le travail perso avant tout et surtout ta curiosité personnelle. Le plus souvent les meilleurs scientifiques français n'ont pas fait ces lycées élitistes qui font plaisir aux parents de certain milieux, ils ont fait comme tout le monde et ont fréquenté parfois des lycées en ZEP, je trouve que c'est bien aussi de côtoyer des élèves de tout milieux et de toutes ambitions, c'est ça la vrai vie qui t'attends dehors aussi :) 

 

L'école t'aidera surtout à canaliser ton énergie pour atteindre ton but mais le moteur c'est d'abord toi et puis c'est surtout après le lycée que les choses sérieuses commence vraiment ;)  

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Ce que dit JGricourt est tout à fait censé. Mais il est souvent préférable d'être dans un milieu qui motive. La différence entre ces soit-disants "lycées d'excellence" et les autres "bons lycées" ne tient qu'à la quantité d'élèves motivés qu'ils attirent. Il est plus facile d'avoir un bon pourcentage de réussite quand on a beaucoup d'élèves motivés que peu.

 

Par contre, même avec une super motivation, quand on est dans un lycée défavorisé et qu'on a la malchance de ne pas avoir d'enseignants motivés, on perd vite son temps... et on gâche son talent.  Malheureusement les profs motivés ne se trouvent que très rarement dans ces lycées, le serpent se mord la queue.

 

Conclusion, peu importe d'aller dans les lycées d'excellence, un simple "bon lycée" suffira si on a la motivation. Au contraire même, on peut aussi perdre la motivation en allant dans les "lycées d'excellence" (j'aime pas ce terme du tout), si on tombe sur une bande d’abrutis (élèves ou profs) qui dénigrent ceux qui réussissent un peu moins bien. Alors gare !

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En fait tout dépend de ce que tu préfères.

 

Si tu es dans un grand lycée, et bien... c'est plus dur, il y a du hors programme, enfin... il y a des cours qui étaient dans les programmes d'il y a 20 ans, et qui sont encore abordés. Ca c'est le gros avantage... avec de bons élèves, tu peux faire le programme officiel + du hors programme. Par contre il faut cravacher.

 

Dans un lycée plus normal, tu peux être au dessus de la mêlée en travaillant moins que dans les grands lycées.

 

Du coup... tout dépend du tempérament... soit tu aimes être meilleur que les autres, reste dans un petit lycée, par contre si le fait de te mêler avec des très bons te stimule pour te dépasser, et bien essaie un grand lycée.

 

Quand je pense à un grand lycée, je pense plutôt à HIV, LLG.

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HIV et LLG ne recrutent que parmi les meilleurs des meilleurs. En gros il faut finir le bac avec 20 ou plus de moyenne, à peine moins. Ils voient aussi d'un assez mauvais œil les "provinciaux" (à moins qu'ils ne viennent de Lyon ou de Bordeaux).

 

Janson, Stan, et St. Louis sont un peu moins élitistes, tout en assurant la même formation et affichant des résultats similaires aux concours.

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Je ne connais pas très bien HIV...

Mais pour LLG, au niveau du collège, le recrutement se fait assez largement (pour aller au lycée). Ca ratisse évidemment Paris, mais également la banlieue.

 

Pour ce qui est de la prépa, il vaut mieux être dans les 1er de la classe... et ça recrute partout partout. La sélection se fait évidemment sur dossier, et on est accepté bien avant d'avoir passé le bac. D'ailleurs j'ai été bien mauvais au bac, mais j'étais quand même pris (bon... ok j'étais déjà dans les locaux dès la 2nde).

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Le 26.03.2018 à 01:34, julon2000 a dit :
Le 23.03.2018 à 14:35, Fred_76 a dit :

Au fait, sans aller aux USA, il y a aussi l'EPFL (École Polytechnique Fédérale de Lausanne).

Mouais, c'est avant tout une école d'ingénieurs, et la recherche qui y est faite est nettement orientée applications plutôt que recherche fondamentale; du coup assez moyen pour y étudier l'astrophysique

 

En parlant de l'EPFL

 

Voir l'étoile la plus loin de l'univers, un record suisse http://www.20min.ch/ro/news/science/story/26025491

 

 

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Le 23/03/2018 à 11:22, BlackHoleCandidate a dit :

pour moi le trajet optimal a suivre pour se métier. terminale spécialité physique, classe préparatoire math sup math spé, polytechnique et pour finir, le Massachusetts institute of technology

 

Je trouve ça un peu flippant d'avoir cette idée de parcours idéal à 14 ans, en même temps on ne peut t'en vouloir car il te reste encore  un peu de temps avant d'arriver aux études, et je ne sais pas qui t'a renseigné sur le sujet. Ce parcours est vraiment un gros cliché tenace et très réducteur des études supérieures en France.

Histoire de démystifier cette vision, je vais citer deux passages d'un excellent ouvrage que je suis en train de lire : Le côté obscur de l'univers, d'Hervé Dole, chercheur à l'Institut d'Astrophysique Spatiale (IAS) à Orsay (pages 56 et 57) :

« Ma rencontre avec la cosmologie remonte à ma première année d'études en physique. Après un an de classes préparatoires  (où je ne me suis guère épanoui), j'ai rejoint l'université, offrant des cours et options liés à la physique contemporaine, en contact avec la recherche en train de se faire et ceux qui la font.»

[...]

« Les étudiants des universités sont en contact avec les acteurs de la recherche, qui repoussent les frontières de la connaissance au quotidien. Ce contact direct, pour une formation intellectuelle pluraliste, humaniste, épanouissante et de qualité (en plus d'être solide et professionnalisante), me semble être une chance et un enjeu citoyen. »

 

Il existe de nombreuses voies pour arriver au métier d'astrophysicien, et surtout il existe de nombreux métiers qui gravitent autour de l'astrophysique, de quoi combler n'importe quel rêve.

Pour ma part je suis passé par la fac (et l'apprentissage ! :D) et cela m'a permis de bosser là-dessus : https://jwst.nasa.gov/nirspec.html (et de près en plus, j'ai pu effleurer les miroirs). Je peux te garantir que très peu de polytechniciens peuvent se vanter d'avoir bossé de près ou de loin sur  le JWST ;)

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Il y a 11 heures, francheu a dit :

 

Je trouve ça un peu flippant d'avoir cette idée de parcours idéal à 14 ans, en même temps on ne peut t'en vouloir car il te reste encore  un peu de temps avant d'arriver aux études, et je ne sais pas qui t'a renseigné sur le sujet. Ce parcours est vraiment un gros cliché tenace et très réducteur des études supérieures en France.

Histoire de démystifier cette vision, je vais citer deux passages d'un excellent ouvrage que je suis en train de lire : Le côté obscur de l'univers, d'Hervé Dole, chercheur à l'Institut d'Astrophysique Spatiale (IAS) à Orsay (pages 56 et 57) :

« Ma rencontre avec la cosmologie remonte à ma première année d'études en physique. Après un an de classes préparatoires  (où je ne me suis guère épanoui), j'ai rejoint l'université, offrant des cours et options liés à la physique contemporaine, en contact avec la recherche en train de se faire et ceux qui la font.»

[...]

« Les étudiants des universités sont en contact avec les acteurs de la recherche, qui repoussent les frontières de la connaissance au quotidien. Ce contact direct, pour une formation intellectuelle pluraliste, humaniste, épanouissante et de qualité (en plus d'être solide et professionnalisante), me semble être une chance et un enjeu citoyen. »

 

Il existe de nombreuses voies pour arriver au métier d'astrophysicien, et surtout il existe de nombreux métiers qui gravitent autour de l'astrophysique, de quoi combler n'importe quel rêve.

Pour ma part je suis passé par la fac (et l'apprentissage ! :D) et cela m'a permis de bosser là-dessus : https://jwst.nasa.gov/nirspec.html (et de près en plus, j'ai pu effleurer les miroirs). Je peux te garantir que très peu de polytechniciens peuvent se vanter d'avoir bossé de près ou de loin sur  le JWST ;)

Ton message m'a beaucoup fait réfléchir, merci beaucoup :) 

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Le 4/2/2018 à 12:55, ch_porchet a dit :

 

En parlant de l'EPFL

 

Voir l'étoile la plus loin de l'univers, un record suisse http://www.20min.ch/ro/news/science/story/26025491

 

Je me demande vraiment qui a découvert cette étoile Icarus:

 

https://www.nasa.gov/feature/goddard/2018/hubble-uncovers-the-farthest-star-ever-seen

"The team — including Jose Diego of the Instituto de Física de Cantabpain, aria, Snd Steven Rodney of the University of South Carolina, Columbia — dubbed the star “Icarus,“ 

 

https://www.cnn.com/2018/04/03/us/hubble-discovery-farthest-star-icarus-trnd/index.html

"What's most interesting about this discovery is that it is a single star, said lead researcher Patrick Kelly, an assistant professor of physics and astronomy at the University of Minnesota-Twin Cities."

 

https://www.evolving-science.com/space-stars/icarus-new-astronomical-discovery-farthest-star-earth-00614

"The team of scientists, led by Patrick L. Kelly of the University of California's (Berkeley) Department of Astronomy, reported that Icarus happened to have a fortuitous placement relative to the gravitational lens."

 

Pour répondre à la question de BlackHoleCandid: la première chose c'est qu'il faut apprendre l'Anglais, même si tu n'iras jamais dans les pays anglo-saxon, la raison est que la vaste majorité des écrits scientifiques sont en Anglais. Ce n'est pas un choix.

 

 

 

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Il y a 14 heures, VNA a dit :

 

 

Pour répondre à la question de BlackHoleCandid: la première chose c'est qu'il faut apprendre l'Anglais, même si tu n'iras jamais dans les pays anglo-saxon, la raison est que la vaste majorité des écrits scientifiques sont en Anglais. Ce n'est pas un choix.

 

 

 

J'ai vécu deux ans aux US donc ça va niveau anglais. 

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Hello

Moi aussi je veux faire de l'astrophysique plus tard (enfin a la réflexion j'aime bien les maths et la physique quantique)

comme je me posais pas mal de question j'ai fait un stage a l'IAP  (institut d'astrophysique de Paris ) c'est pas mal , ca permet de mieux comprendre le milieu, de poser des questions a des chercheurs ...

Il y a plein de manières différentes d'accéder à ce métier !

Bref, je te conseille vivement de postuler pour un stage, etant donné qu'en 3 ème / 2nd c'est souvent obligatoire , on visualise bien mieux après 😊 

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