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Orthographe Recommandée


Me_Capello

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"Pinaillage orthographique"... Non mais qu'est-ce qu'il ne faut pas entendre.

L'exemple de Maître Capello était de montrer qu'il se commet des énormités, oui, je dis bien des énormités, et ce tout les jours.

Autre énormité du genre à laquelle s'ajoute une hypocrisie gluante : le fameux "Française, français" qui commence chaque discours politique. Je ne vois pas en quoi on devrait préciser "française". Quand on s'adresse aux français, on englobe les français masculin ET féminin, et ce en vertu d'une règle simple que l'on apprend dès la primaire : le masculin l'emporte dans un groupe de personne, même si le nombre de personnes féminines est majoritaire. D'autres variantes dans le même genre "je m'adresse à vous tous et à vous toutes". Sous-entendu "eh les filles, j'ai dit 'toutes'. Eh, pensez à moi dans l'urne!". Hypocrisie quand tu nous tiens. Tout ça pour éviter de paraitre phallocrate auprès des coincées du MLF... Désespérant.

 

Vous en voulez encore de l'absurdité de langue? "Se suicider". Erreur. Grosse erreur. On commet là un pléonasme. En effet, "se" signifie "soi-même". Or, si l'on décompose "suicider", on voit "sui = soi-même" et "cid = tuer". En gros, lorsqu'on dit se suicider, on dit : "je me me tue". Nous devrions dire plus correctement : "je suicide" du verbe suicider et pas "se suicider".

 

Et je ne vous parle pas des "je marche à pied", "je descend en bas", "je sors dehors", etc... Tout aussi horripilants.

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Kenaroh, je ne délire pas, ce sont plutôt certaines règles de notre chère orthographe qui sont délirantes...:D

C'est fou ça, je ne vois pas en quoi accorder le verbe au sujet est une règle délirante ?!? :?:

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Quand on s'adresse aux français, on englobe les français masculin ET féminin, et ce en vertu d'une règle simple que l'on apprend dès la primaire : le masculin l'emporte dans un groupe de personne, même si le nombre de personnes féminines est majoritaire.
Ouais, enfin la règle ce n'est pas ça, ça ne dépend pas de personnes féminines ou masculines, c'est lié au genre (le genre masculin l'emporte sur le genre féminin). Il se trouve que les mots désignant des humains font, généralement, coincider le genre avec le sexe de la personne visée par le mot. Mais ce n'est pas toujours le cas (ministre, auteur, professeur (*), mais aussi victime, balance, vigie, mots de genre féminin pouvant désigner des humains masculins...).(*) d'où l'inanité des féminisations absurdes telles que "auteure", "professeure", pourtant préconisées par des personnes pourtant bien intentionnées.
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Il me semble que se sont les intéressés qui ont effacés leurs paroles.

 

Au passage, les interpellations personnelles, c'est en MP pour le confort de tous. Restons calme, courtois et ne nous fâchons pas. ;)

D'avance, merci.

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Kenaroh, ce n'est pas l'accord des verbes que je qualifiais de délirant, mais tous les trucs complètement illogiques qui font paraît il le charme de notre langue, Roger nous en a cité quelques uns, et il y en a plein.

 

Fourmi, moi il y a plein de choses qui m'horripilent beaucoup plus que quelques fautes de français, faut relativiser.;)

 

Je préfère lire ou entendre une pensée, un concept intéressant, même avec quelques fautes, qu'un texte académique, pédant, creux, mais dans un français impeccable, je préfère le contenu au contenant.

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Je préfère lire ou entendre une pensée, un concept intéressant, même avec quelques fautes, qu'un texte académique, pédant, creux, mais dans un français impeccable, je préfère le contenu au contenant.

 

 

Un des aspects facinants de la langue, c'est l'interaction profonde, intime, entre la forme et le fond, le contenu et le contenant...

 

Un texte académique est chiant, et ce n'est pas du "bon" français. La langue française proche de la perfection, Racine, Boileau, c'est tout sauf chiant. Le plaisir de le lire est inépuisable, et tant de choses sont dites en si peu de mots, ajustés avec une précision diabolique, et d'une poésie infinie.

 

Prends par exemple ce vers de Baudelaire, sur la beauté :

 

Je suis belle, ô mortels, comme un rêve de pierre.

 

C'est presque surhumain de penser que tant de choses (sur le temps, la beauté, l'impermanence, l'atemporalité du rêve, la froideur de la perfection....) sont dites en un seul vers, avec ce rythme, cette métrique impecccable.

 

Bon, OK, c'est un cas extrême, mais clairement, définitivement, séparer le fond de la forme est une quête illusoire. On pense dans une langue, on aime dans une langue, on habite une langue...

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Salut Jeff,

Bel alexandrin en effet, mais je ne possède pas hélas ta sensibilité littéraire, ton amour de l’agencement des mots. Je dis hélas parce que quand je lis l’enthousiasme, la plénitude que tu éprouves, je me sens un peu comme un aveugle face à un voyant en train de s’extasier sur un coucher de soleil.

Pourtant je suis un garçon assez sensible, mais pas à cet art, moi c’est plutôt les arts graphiques et surtout la musique, avec son orthographe et son langage logique et universel.

Par exemple, l’intro de piano de Winton Kelly dans “Someday my prince will come”, avec Miles Davis, me mets sûrement dans un état d’extase proche du tien à la lecture du vers de Baudelaire.

C’est d’ailleurs la grande force de la musique, l’intro dont je te parle pourra aussi bien émouvoir n’importe qui sur Terre, alors que le vers de Baudelaire ne pourra toucher profondément qu’un francophone.

Donc, vive le globish !;) ;)

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Il est intéressant d'observer à quel point ce fil de discussion dérive de son sujet initial. Enfin, je suis heureux de voir que nous avons ici de fervents défenseurs de notre belle langue française, cela me réjouit.

 

Autre sujet de contrariété, toutefois en ce qui me concerne mais je suis sûr de ne pas être le seul : la prononciation de certains nombres et, surtout, quand ils précèdent la dénomination de notre monnaie européenne, j'ai nommé : l'Euro !

 

Combien de fois entendons-nous des énormités comme cent Z'Euros, vingt Z'Euros et même huit Z'Euros ! Le pire c'est qu'il n'y a aucune ambigüité lorsqu'il s'agit d'autre chose. Ces mêmes personnes diront la Guerre de Cent Ans en faisant la bonne liaison (le 't' est sonore), "On a pas tous les jours vingt ans !" et voici une fillette de huit ans. Pourquoi les Euros ont-ils hérité de cette aberration ? Certains disent que c'est l'usage qui fait la langue (!), il va donc falloir modifier le nom de notre monnaie et parler alors du ZEuro !

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Zorro Zorro ZORRO ZORROOOO!!

 

 

Hum, désolé :D

 

En plus, par rapport à l'Euro, il est invariable. On ne doit pas mettre de S au pluriel pour cette unité de monnaie. J'ai 200 Euro, et non pas 200 Euros. Regardez sur les billets de banque, et vous verrez que même sur un billet de 500, il n'y a pas 500 Euros... que dis-je... Euro :p.

Bref, passons le Cif avec javel.

 

Je connais un poème qui doit être un des plus courts, écrit par Victor Hugo me semble-t-il :

Fort

Belle.

Elle

Dort

 

Il y a un procédé de style amusant : c'est le zeugma. Un procédé qui consiste à rattacher dans 2 groupes de mots, un verbe avec lequel des 2 il n'est pas censé se rapprocher. Exemple?

 

"Je vais devoir prendre le train de 9 heure et mon petit déjeuner"

Ou bien

"Jean-Marc prit feu et un cachet d'aspirine"

Mais encore, plus tordu, le double-zeugma, bien connu, de Pierre Desproges :

" Après avoir sauté sa belle sœur et le repas du midi, le Petit Prince reprit enfin ses esprits et une banane ".

Vu?

Demain, interro surprise, vous devrez réviser votre leçon et le bloc moteur de votre voiture.

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En plus, par rapport à l'Euro, il est invariable.

Désolé, mais ça c'est faux ! :p Euro s'accorde au pluriel avec un "s" : deux Euros. Les billets ont été unifiés pour l'ensemble de la zone euro (sans majuscule) et ne sont pas représentatifs de l'orthographe française (voir ICI).

 

L’Académie française rappelle que le mot euro prend la marque du pluriel : on écrit un euro, des euros (Cf Journal officiel du 2 décembre 1997). La centième partie de l’euro doit se dire et s’écrire centime (Communiqué de presse du 13 décembre 2001).

La marque du pluriel n’étant pas la même selon que l’on utilise telle ou telle langue de l’Union européenne, c’est la forme euro qui figure sur les billets et sur les pièces. Elle peut être considérée comme un symbole et non comme l’indication de n unités monétaires. (Cf site de la Banque de France). Son abréviation est, selon la norme ISO, EUR.

 

 

Mais c'est vrai que c'est incroyable que certains disent 100 Z'Euros ! :rolleyes:

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Il est intéressant d'observer à quel point ce fil de discussion dérive de son sujet initial. Enfin, je suis heureux de voir que nous avons ici de fervents défenseurs de notre belle langue française, cela me réjouit.

 

Autre sujet de contrariété, toutefois en ce qui me concerne mais je suis sûr de ne pas être le seul : la prononciation de certains nombres et, surtout, quand ils précèdent la dénomination de notre monnaie européenne, j'ai nommé : l'Euro !

 

Combien de fois entendons-nous des énormités comme cent Z'Euros, vingt Z'Euros et même huit Z'Euros ! Le pire c'est qu'il n'y a aucune ambigüité lorsqu'il s'agit d'autre chose. Ces mêmes personnes diront la Guerre de Cent Ans en faisant la bonne liaison (le 't' est sonore), "On a pas tous les jours vingt ans !" et voici une fillette de huit ans. Pourquoi les Euros ont-ils hérité de cette aberration ? Certains disent que c'est l'usage qui fait la langue (!), il va donc falloir modifier le nom de notre monnaie et parler alors du ZEuro !

 

Je pense que c'est le fait de dire souvent "les Z'Euros" ou bien "des Z'Euros" qui a déformé la prononciation de l'euro, mais pourquoi ne pas revenir tout simplement à notre bon vieux Franc :be:

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Dédé, viens dans ma boîte et tu entendras des "il faut 100 Z'heures pour fabriquer ça !", ce n'est pas propre à l'Euro. ;)

 

Si tu travailles plus vite, il n'y aura plus de problèmes, tu mettra qu'une "n'heure" et ton patron sera content :D

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dans notre série le CSA n'a rien d'autre à faire :

 

Le CSA s'attaque au "t" d'août

 

x.gifx.gif2348670_224.jpgx.gifx.gif2207192.gifCrédit Photo : TF1-LCI x.gifx.gif

x.gifx.gifx.gif2209841.gifLe CSA a enfin tranché sur un sujet ô combien épineux : le mois d'août doit se prononcer "ou" et non "out" et encore moins "a-out".

 

2209841.gifPas moins de quatre prononciations différentes existent pour le huitième mois de l'année, qui vient tout juste de commencer.

 

- le 01/08/2007 - 12h46

x.gif[/url]x.gifx.gifx.gifx.gifx.gifx.gifL'information ne vous a pas échappé : nous sommes aujourd'hui le 1er août. Mais là s'arrête le consensus. Le huitième mois de l'année est en effet prononcé de quatre façons différentes. Il y a ceux qui travaillent en 'a-ou', ceux qui prennent leurs vacances en 'a-out', ceux qui vont à la plage en 'out' et enfin ceux qui partent à l'étranger en 'ou'. Même les journalistes ne sont pas d'accord sur la manière de prononcer le mois d'août. Le Conseil supérieur de l'audiovisuel publie donc mercredi un petit récapitulatif des différentes prononciations admises et laisse aux professionnels de l'audiovisuel le soin d'en faire bon usage.

Le CSA rappelle ainsi que Pierre Fouché, dans le Traité de prononciation française, conseille la prononciation d''ou' et précise que "la prononciation 'a-ou' est archaïque ou dialectale. Il en est de même de 'out' et à plus forte raison de 'a-out'". Même chose du côté du Petit Robert et du Petit Larousse illustré, qui ont toujours considéré la prononciation 'ou' comme correcte, même s'ils ont tous les deux ajouté dans leur édition 2007 celle d''out'. Pour Joseph Hanse, dans le Nouveau Dictionnaire des difficultés du français moderne, "la prononciation 'a-out' est fautive alors qu'elle est correcte dans les dérivés aoûtat, aoûté et aoûtien".

Seul le Dictionnaire de l'Académie française est plus indulgent, estimant que le mois d' "août se prononce 'ou' plutôt que "a-ou", le "t" se fait parfois entendre". Reste qu'en cette période estivale, mieux vaut profiter de son mois d'août plutôt que de trop réfléchir à sa prononciation. Comme dit le dicton, "quand août est bon, abondance à la maison".

 

Moi je m'en fous, je prononce aoute, et j'ai pas l'intention de changer... :)

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C’est d’ailleurs la grande force de la musique, l’intro dont je te parle pourra aussi bien émouvoir n’importe qui sur Terre

 

En es-tu bien sûr ? Tu soulèves-là une question fort délicate et controversée : La part de l'apprentissage et de la culture dans la capacité à être touché par la musique.

 

L'expérience du premier contact avec des musiques hors de notre culture est toujours pour le moins dérangeante : Musique indienne, chants navajos, même la musique occidentale avant la gamme tempérée du grand Jean-Sébastien (les chants gégoriens par exemple), chants et percussions africains...

 

La force (l'énigme même) de la musqiue, est qu'elle véhicule d'un seul tenant la forme et le sens, en faisant l'économie sémantique que les langues ne peuvent contourner (sauf quelques poètes géniaux et isolés), et parle directement à l'âme.

 

Mais je me garderais bien d'affirmer que toute forme musicale est d'emblée universelle, et que l'apprentissage ne joue aucun rôle dans notre capacité à la traduire en émotions.

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Salut Jeff,

 

La musique occidentale, basée sur l’échelle des 12 sons de la gamme chromatique, quelle soit tonale ou non, est devenue universelle, prouvant par là quelle pouvait toucher tout le monde, de toutes ethnies ou cultures.

Dans tous les pays de monde, sur tous les continents, on enseigne, écoute ou pratique cette musique, il y a des conservatoires et des orchestres qui enseignent et jouent Vivaldi, Beethoven, Malher, Ravel, etc….

Chez nous, dans nos conservatoires ou orchestres, il y a beaucoup de musiciens asiatiques, arabes, africains et autres.

Par contre la réciproque n’existe pas, en Europe il y a très peu d’amateurs, de concerts ou d’écoles de musique japonaise, chinoise, indienne ou papou. Et encore moins de musiciens occidentaux pratiquants ces musiques.

 

Cela vient en partie du fait que la musique occidentale est la seule a avoir, depuis des siècles, une écriture, une théorie, des traités précis et écrits, toutes les autres musiques sont de tradition orale et demandent donc un apprentissage beaucoup plus long et laborieux, une quasi initiation.

Ces musiques sont cependant très riches, avec leurs subtilités, leurs micro-intervalles, leurs rythmes, leurs sonorités qui ont beaucoup influencés les compositeurs occidentaux au début du 20° siècles, quand ils les ont découvertes, et surtout les jazzmen.

 

Le jazz est lui l’exemple d’une symbiose parfaitement réussie entre la musique africaine, basée sur le balancement rythmique et la mélopée, et la richesse harmonique de la musique européenne, nettement moins swingante…;)

 

Mais il est vrai aussi que si l’intro de piano de Winton Kelly sur "Someday my prince will come", avec Miles Davis, peut toucher n’importe qui dans le monde, une mélopée africaine, arabe, ou aborigène le peut aussi.

 

Un vers de Baudelaire non, hors de la sphère francophone. :p

Ou alors il faut le traduire, mais ça perd toute sa saveur.:confused:

 

Conclusion, la musique est un langage universel et la musique occidentale, avec sa notation, est devenue universelle, comme le système métrique...et peut être bientôt le globish.;) ;)

 

Quoi, hors-sujet, non ???

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Aréole (quel sublime endroit du corps... :rolleyes:), tu as bien raison de continuer à prononcer Août avec les le T sonore.

Il est amusant de constater qu'au delà du 45ème parallèle de notre beau pays, on mange des lettres. "Mess" pour dire "MeTz". "Allo" pour dire "Allauch" qui devrait se dire "allauCHE". Ou bien "cassi" qui devrait s'entendre "cassiS". Et il y en a plein de lettres qui tout d'un coup on perdu leur existence phonétique. Etonnant, non? (au delà du 45è, on entendra volontiers : étonnont, nÔn?". Cela me fait penser à mon grand-père qui adore imiter le "francilien" comme il le dit lui-même, souvent en constatant qu'à la télévision, tout accent semblant être un peu méridional est absent (sauf pour quelques cas exceptionnels). Eh bien? Où c'est qu'elles sont les minorités visibles? :p

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il vaut mieux dire un nouvel ou bien un nouveau ?

 

C'est au choix non ? Pour des questions d'euphonie.

 

Un nouveau dobson mais un nouvel oculaire...Un nouveau oculaire ? ...Le beaujolais nouveau, un nouvel alcool... Mouais...

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Ou alors il faut le traduire, mais ça perd toute sa saveur.:confused:

 

Tiens, un truc marrant..."Longtemps, je me suis couché de bonne heure", célébre entrée en matière de la recherche du temps perdu, impossible à traduire en anglais.

 

Plusieurs traducteurs ont proposé des plus ou moins équivalences, mais rien ne colle vraiment. Le rapport au temps des anglais, qui se manifeste dans leur langue, ne permet tout simplement pas d'exprimer cette notion (complexe) d'actions ponctuelles, répétitives, étendues sur une certaine durée, mais qui n'ont plus lieu au moment de l'énonciation...

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