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A des petits problemes de compréhension


Flo-rian

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:)Bonsoir, je suis tout nouveau ici,

j'explique mon problème, j'ai une partie de dossier sur l'astronomie à faire pour mon bac, mais problème, j'ai des termes a expliciter, et je ne trouve rien qui me plaise sur Internet, je me tourne donc vers vous.

 

Par exemple, qu'est ce que c'est la longueur focale ou le rapport d'ouverture f/D.

 

J'espère que vous pouriez m'aider :)

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oula tu a le choix ici en terme d'explications :)

tu a beaucoup de tuto pour t'aider .

 

Hé ben, qu'elle rapidité, c'est super :be:

 

tu aurais une idée de tuto, j'ai bien trouvé un Glossaire, mais je n'ai pas vus d'explication sur la longueur focale, y serais je passé dessus par idnavertance ?!

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Salut,

La longueur focale, c'est la distance entre le miroir ou la lentille, là ou la lumière est recueillie, et le foyer de l'instrument (lieux ou les rayons convergent). Sur les télescope SC ou Mak, la focale est multipliée par un miroir sphérique (je crois).

Le F/D, c'est tout simplement la focale divisée par le diamètre, cela permet de calculer les grossissements et plein d'autres choses :be:.

J'espère t'avoir aidé.

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Sa y est, j'ai compris, un petit shéma et c'est dans mon dossier.

 

On me demande aussi, ce que c'est l'objectif

"L’objectif est constitué d’un système de lentilles pour les lunettes et de miroirs pour les télescopes. Plus son diamètre est important, plus il capte de lumière." C'est le tube donc ?!

 

 

 

Suis-je bon ?

 

F/d, la focale divisée par le diamètre, la focale = la longueur focale ? le diamètre, celui du télescope ?

 

 

Merci pour tes conseil, depuit le temps que je chercher la longueur focale ;)

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lunoscope je ne suis pas d'accord avec toi. Le grossissement ne dépend que de la focale de l'instrument et de la focale de l'oculaire, le diamètre de l'instrument ne joue aucun rôle. En fait, le rapport F/D c'est l'ouverture de l'instrument (comme en photo).

 

Donc F c'est bien la focale de l'instrument et D, le diamètre du miroir primaire du télescope ou de la première lentille d'une lunette.

 

Si tu veux un peu plus d'info. regarde ici: http://www.jerome.alleyn.net/fichier/TM%20version%203.pdf

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Flo-rian : l'objectif, c'est bien ce que tu as écrit, c'est-à-dire la (ou les) lentille(s) ou le miroir. Donc ce n'est pas le tube ! C'est juste la lentille ou le miroir.

 

Dans le F/D, F est la longueur focale de l'objectif (de la lentille / du miroir) et D est le diamètre de l'objectif (de la lentille / du miroir).

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Que d'activité en mon absence :be:

 

pour le rapport F/d j'ai trouvé sur Wikipédia

 

"Le rapport focale/diamètre est le rapport de la longueur focale du miroir primaire et de son diamètre, exprimés bien sûr dans la même unité. Un faible rapport f/D donne un instrument compact, donc stable et facile à manier et transporter. Néanmoins, la précision de collimation croit comme (D/f)². En d'autres termes, un télescope ouvert à f/D=5 sera deux fois plus difficile à collimater qu'un télescope ouvert à f/D=7. Un rapport supérieur ou égal à f/D=5 est très satisfaisant ; au-delà de f/D=10, l'instrument a un champ limité mais une faible obstruction, ce qui est favorable en planétaire. En outre, les oculaires pouvant être de focale plus longue, le recul d'œil et donc le confort sera meilleur. Pour faire de l'astrophotographie un f/D de 4 sera acceptable surtout si l'on améliore le champ avec un correcteur de Ross à deux lentilles."

 

 

 

Qu'est ce que c'est la précision de collimation, que veut dire collimater ?

Dire qu'un télescopre a un champs limité, c'est qu'il "zoom" trop et nous empèche de voir la totalité d'un objets près ? Qu'elle est l'avantage d'avoir une faible obstruction ? <_<

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Je ne suis pas tout à fait d'accord avec cet article. Un faible rapport F/D ne donne pas nécessairement un instrument plus compact. Cela dépend de la formule optique de l'instrument. Un newton à F/D = 4 serra plus encombrant qu'un Schmidt-Cassgrain à F/D = 10 (pour le même diamètre). Ensuite cette précision de la collimation, c'est la première fois que j'en entends parler en fonction de l'ouverture. (Pour moi tout instrument doit être correctement collimater, qu'il soit très ouvert ou non !)

 

Tu es allé voir le document que je te propose au message 6 ?

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Salut,

D'après certains posts, les faibles ouvertures ont une collimation plus critique, ceci est peut-être du au champ, plus le champ est grand et mieux doivent être alignés les miroirs sous peine de voir des défauts apparaître (je suppose c'est tout). Il faudrait un expert sur ce point.

Sinon, une obstruction faible permet de mieux percevoir les détails sur les planètes et la lune en particulier.

Sinon POLLUX t'as effectivement donné un très bon lien que j'ai relu aussi :be:

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Je ne pensais plus au lien que tu m'avais passé POLLUX, en plus je l'avais enregistré sur mon ordi :b:

 

J'ai éffectivement trouvé mon bonheur, j'aimerais savoir si tu m'autoriserais à faire un copié collé.

 

" F/d caractérise l’ouverture de l’instrument, c’est celui-ci qui déterminer le type d’objet à observer. Un instrument avec une grande ouverture, c'est-à-dire petit rapport F/D (focale/diamètre) est plus adapté au ciel profond. À l’inverse, un instrument avec une petite ouverture donc un grand rapport F/D est plus adapté à l’observation des objets lumineux et de petites tailles, comme les planètes. "

 

Merci de vos réponse si RAPIDE :b:

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Je ne pensais plus au lien que tu m'avais passé POLLUX, en plus je l'avais enregistré sur mon ordi :confused:

 

J'ai éffectivement trouvé mon bonheur, j'aimerais savoir si tu m'autoriserais à faire un copié collé.

 

" F/d caractérise l’ouverture de l’instrument, c’est celui-ci qui déterminer le type d’objet à observer. Un instrument avec une grande ouverture, c'est-à-dire petit rapport F/D (focale/diamètre) est plus adapté au ciel profond. À l’inverse, un instrument avec une petite ouverture donc un grand rapport F/D est plus adapté à l’observation des objets lumineux et de petites tailles, comme les planètes. "

 

Merci de vos réponse si RAPIDE :)

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Ce que dit l'article sur la précision de collimation est tout à fait exact. (La collimation, c'est le réglage de l'alignement des optiques.)

 

Flo-rian : ne te disperse pas ! Le but, c'est de définir les données de base, ou de rentrer dans tous les détails (collimation, aptitude à l'astrophoto, recul d'oeil, champ...) ? Les détails en question ne sont pas notions qui s'expliquent en une phrase...

 

Dire qu'un télescopre a un champs limité, c'est qu'il "zoom" trop et nous empèche de voir la totalité d'un objets près ?

Oui : si le F/D est grand, c'est que la focale est grande par rapport au diamètre, ce qui est adapté à des grossissements relativement importants. Mais plus on grossit, plus on diminue le champ de vision. Avec ce genre d'instrument, on ne peut pas disposer de faibles grossissements qui permettraient de voir en entier les objets étendus (genre Pléiades ou galaxie d'Andromède, ou même parfois la Lune), ou alors il faut pour ça utiliser des oculaires haut de gamme donc plus chers (je ne rentre pas dans les détails, ça concerne le coulant des oculaires <-- précision destinée uniquement à ceux qui se demanderaient où je veux en venir).

 

Qu'elle est l'avantage d'avoir une faible obstruction ?

C'est très anecdotique et souvent surestimé : l'obstruction diminue un petit peu le contraste, une faible obstruction permet de rendre cette diminution négligeable (toutes choses étant égales par ailleurs).

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Fais juste attention à ne pas faire de raccourcis. C'est effectivement plus adapté mais ne crois pas que ces instruments sont condamnés à leur domaine. Je te le dis juste car certains croient que f/d= ciel profond, f/d8 = polyvalent et f/d12 = planète.

Sinon oui fait attention certains se sont fait avoir pour plagiat, les profs ont des logiciels pour ça maintenant.

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Aucun souci Pollux, ton adresse est maintenant dans le dossier, tu as raison Bruno, on me demande juste je cite, "d'explicite les termes d'optique ". Je vais donc me limiter a ce que j'ai piquer à Pollux :be:.

 

Petit problème à l'horizon, j'ai trouvé comme formule pour définir le grossisement G = F/f avec F la longueur focale de l'objectif et f la longueur focale de l'oculaire.

 

F = 1250 mm, et il est fournie avec f = 26mm, cela nous donne 48, on est loin des 225 qu'il nous anonce. Sauf si on a un occulaire de 6mm, est ce que c'est possible ?

 

Après petite recherche sur internet, oui c'est possible un occulaire de 6mm, pas de soucis finalement ;)

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  • 1 mois plus tard...

Après un long moment d'absence je reviens avec une nouvel question, qui a t-il et combien y a t-il d' "objet" dans notre Galaxie, étoile, planète...tout confondus ?

 

J'attend avec impatience vos réponse

 

Chez moi il neige :)

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Ça dépend ce que tu entends par objets. On compte dans la galaxie quelque 100-200 milliards d'étoiles. Ça te donne une idée des proportions. Maintenant des objets observables, ça dépend de ton télescope, ça dépend si tu fais de la photo ou non. Tu peux éplucher les catalogues Messier, ngc, ic, etc. et soustraire toutes les autres galaxies (M31 par exemple qui ne fait pas partie de notre galaxie puisque s'en est une autre !!)

 

Voilà, je n'ai pas vraiment répondu à ta question, mais je t'ai donné des pistes ;)

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Dis donc Flo-rian, tu ne veux pas non plus qu'on passe le bac à ta place...? :mad:

 

Non, mais mon problème il est là, c'est qu'on nous dit un peu de partout que "Une galaxie est, en cosmologie, un assemblage d'étoiles, de gaz, de poussières et de matière noire et contenant parfois un trou noir supermassif en son centre" et nous on est où, il parle jamais de planètes, on rentrerais dans la case poussière ?

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Bonjour,

 

Qu'est ce qu'il y a dans une galaxie, peut-on dire que sa comprend principalement des étoiles, des planètes, de la poussière et quoi d'autre ?

 

Que c'est compliqué l'Astronomie :be:

 

 

Des satélites naturels; il ne faut pas les oublier!!!

 

Nous avons la Lune, Mars à Phobos et Deimos, Jupiter à 16 lunes dont les 4 visibles aux jumelles sont Io Europe Ganymède et Callisto.

 

Saturne a énormément de satellites, dont 53 ont été confirmés et nommés.

 

Parmi eux :

 

Titan (découvert en 1655)

Japet (1671 [2])

Rhéa (1672 [2])

Téthys (1684)

Dioné (1684)

Mimas (1789)

Encelade (1789)

Hypérion (1848 [3])

Phœbé (1899 [4])

Janus (1966

 

On trouve aussi beaucoup des nuages de gaz et de poussières, que l'on nomme des nébuleuses. Elles peuvent être planétaires, diffuses, ou encore en émission ou en réflexion ou en absorption. Parmi toutes ces sortes, on trouve Orion, Hélix, la Lyre, la Tête de cheval, Dumbell, la Rosette etc... On trouve aussi des rémanents de super nova, comme les Dentelles du Cygne, la nébuleuse du Crabe et d'autres.

 

Voilà, si cela peut t'aider...

 

Gil.

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