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Mois d'Août


paolo31

Messages recommandés

Premiers information du jour l'ancien directeur de la NASA a survécu a un crash Alaska.

 

Dans un communiqué laconique, EADS North America, filiale du géant européen de l'aéronautique, a annoncé que son directeur général, Sean O'Keefe, était à bord de l'avion privé qui s'est écrasé à 500 kms d'Anchorage (Alaska) lundi. Selon l'agence américaine de sécurité des transports ( NTSB ), cinq passagers sur les neuf que transportait l'appareil (un De Havilland Canada DHC-3 Otter), seraient décédés. Mais il y a des survivants, assure la Garde nationale qui a envoyé des équipes de secours sur place. On ignore encore l'identité de ceux qui ont survécu ou pas.

 

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Certains ont immédiatement commencé à spéculer sur l'impact d'une éventuelle disparition de Sean O'Keefe sur la politique d'EADS aux États-Unis. Hormis les aspects humains, l'impact doit être minimisé. Cet ancien président de la NASA (de 2001 à 2004) et ancien secrétaire à la Marine de George Bush est arrivé récemment chez EADS.

 

SOURCE:Le figaro

 

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Aujourd'hui l'observation du soleil ce fera uniquement depuis la méditerranée.

Apres les observations du nuit elle se fera dans le Nord et l'Est de la France.

 

Et pour nos amis Belges une petites carte.Seul le Nord et l'Est aussi pourront observer le soir.

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Avant le coucher de Jupiter vers 8H00 Europe passe derrière elle.

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La Nasa va envoyer un robot anthropomorphe sur l'ISS

La Nasa a mis au point son dernier jouet : le robot R2. Ce robonaute devrait être le premier robot anthropomorphe à voyager dans l'espace, puisqu'il doit rejoindre la Station spatiale internationale (ISS) le 1er novembre prochain. Son programme : aider les humains. Développé pour être un assistant de premier ordre, à l'intérieur comme à l'extérieur de la Station, il sait tenir de nombreux outils et même utiliser les ordinateurs. Sa dextérité lui permet d'utiliser "les mêmes accessoires que les astronautes", selon la Nasa. "Il est aussi utile qu'une infirmière dans une salle d'opération", s'amuse Nicolaus Radford, un des chefs du projet.

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R2 ne sera gêné par ses 136 kilos que lors du lancement de la navette et lors de son retour sur Terre (non planifié), au cours desquels il subira des vibrations extrêmement puissantes. Durant son séjour en orbite, il profitera de l'apesanteur, comme les passagers humains. Dépourvu de jambes, pour le moment, R2 a une envergure de 2,4 mètres (bras déployés) et ne peut se déplacer aussi facilement que les astronautes. Pour sa première mission, il sera donc confiné dans Destiny, module laboratoire américain de l'ISS.

 

SOURCE:Le point

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Les pipelettes du sujet

Les pipelettes du sujet

Premiers information du jour la mort de l'ancien directeur de la NASA.

 

Mais pourquoi tout le monde dit qu'il est mort ?! ca fait deux sites ou je vois cette infos. IL EST VIVANT ! :)

 

http://news.google.fr/news/more?q=Sean+O'Keefe&hl=fr&prmd=nilo&resnum=1&um=1&ie=UTF-8&ncl=dJjX5X-IMA2I-BM-qFDXTBA9Jd9KM&ei=H6BiTJSxBI-LOLSmhbQM&sa=X&oi=news_result&ct=more-results&cd=1&resnum=1&ved=0CCQQqgIoADAA

 

Pour le robot c'est une sacré révolution... j'ai hâte de le voir a bord !

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Aujourd'hui le temps est plutôt mauvais seul les gens qui habite a l'Est pourront observer le soleil.

Pour les observation du soir c'est assez mauvais. Exception pour les environs de Bordeaux et Montpellier.

Vous pourrait tout de même observer les Etoile filants si ils n'y a pas trops de nuage ;)

Pour le savoir cliquer ici.

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Et pour nos amis Belge une petite carte tout aussi décevante...

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Aujourd'hui malgré le mauvais temps les Perséides sont au maximum avec un ciel sans lune !;)

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ISS: succès de la 2e sortie dans l'espace pour réparer une climatisation

 

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"Les opérations se sont très bien déroulées aujourd'hui", a affirmé le commentateur de la Nasa à l'issue de l'intervention des astronautes Doug Wheelock et Tracy Caldwell Dyson à l'extérieur de la Station, à 350 km au dessus de la Terre. Leur sortie s'est achevée à 19H53 GMT et a duré 7 heures et 26 minutes.

Les deux astronautes avaient tenté sans succès samedi de retirer la pompe défaillante lors d'une sortie qui avait duré huit heures, la plus longue sortie dans l'espace dans l'histoire de l'ISS et la sixième plus longue jamais réalisée.

Ils doivent désormais remplacer la pompe par un module de rechange de 355 kg, lors d'une troisième sortie prévue "au plus tôt" dimanche.

La pompe a cessé de fonctionner le 31 juillet. Si la deuxième unité de climatisation venait à tomber en panne, ce que l'Agence spatiale américaine juge improbable, les trois astronautes américains ne seraient cependant pas en danger immédiat, car ils pourraient trouver refuge auprès de leurs trois collègues russes, qui habitent une partie de l'ISS disposant de sa propre unité de climatisation.

Sans système de climatisation et de chauffage, la température grimperait à 120 degrés dans l'ISS lorsqu'elle est exposée au soleil et chuterait à -150 degrés lorsqu'elle est plongée dans l'ombre sidérale, selon la Nasa.

L'ISS est un projet de cent milliards de dollars débuté en 1998, auquel participent seize pays, mais surtout financé par les Etats-Unis.

 

SOURCE:L'express

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Mauvais temps mauvais temps Aujourdh'ui seul la méditerranée aura un beau soleil bien que voilé

Pour le soir seul la côte Atlantique et le Nord Est auront un ciel dégager 72460484.jpg

 

Et pour nos amis Belges un petite carte avec un assez beau temps le soir ;)

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La Lune s'invite le soir aux côtés de Mars, Saturne et Vénus. La configuration est encore plus intéressante le 12 mais la Lune ,trop basse ,est inaccessible en France.

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Un module américain de l'ISS envoyé vers un astéroïde après 2020 (NASA)

 

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La NASA envisage d'envoyer le module Tranquility de la Station spatiale internationale (ISS) vers un astéroïde après la fin d'exploitation de la station en 2020, selon les documents de l'atelier de travail de la NASA consacré à l'étude des objets spatiaux proches de la Terre, qui se déroule à Washington les 10 et 11 août.

"On organisera des missions vers les astéroïdes à l'époque où la station prendra sa "retraite", il est donc logique d'envisager la possibilité d'utiliser les fragments de la station pour une nouvelle mission", a indiqué mardi Brian Wilcox, responsable du Laboratoire de propulsion à réaction (JPL) de la NASA, cité par la revue The New Scientist.

Selon un projet, le module Tranquility servira de base pour un vaisseau spatial habité. Il sera doté de deux autres modules de l'ISS d'une moindre taille dont l'un permettra aux astronautes de s'approcher plus près de l'astéroïde.

 

SOURCE:Rianovosti

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Désoler je ne peut plus vous donner la carte de la météo temporairement.

Aller voir ici pour la connaitre.

 

Aujourd'hui rien côté observation :confused:

Mais l'ESA et la NASA viennent de donner la liste des instrument de ExoMars

Les gaz « trace »

 

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Orbiteur Trace gas orbiter (TGO) de la 1ere mission Exomars en 2016. Crédits : ESA.

 

En tout et pour tout, ce sont 4 instruments américains qui iront scruter la planète rouge et un instrument belge.

 

Et parmi eux, 2 s’intéresseront directement à la composition chimique de l’atmosphère martienne : MATMOS et SOIR-NOMAD.

 

Objectif : aller dénicher les gaz « trace », gaz en quantité infime qui sont autant d’indicateurs de l’activité à la surface et dans l’atmosphère de la planète rouge.

 

 

 

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Concentration de méthane à la surface de Mars. Crédits : NASA.

 

Les regards se portent notamment sur le mystérieux méthane détecté dans l’atmosphère de Mars en 2003 par la sonde européenne Mars Express.

 

« Il y a une incompatibilité entre les mesures du méthane effectuées par Mars Express et depuis des observations sol et le modèle développé par François Forget au LMD*, souligne Francis Rocard, responsable des programmes d’exploration du système solaire au CNES. Nous avons des doutes sur la fiabilité des mesures de la sonde. Quant aux observations depuis le sol, elles sont difficiles à valider étant donnée que l’atmosphère terrestre, à travers laquelle on observe le méthane de Mars, contient elle-même du méthane. Enfin, les modèles globaux de circulation atmosphérique révèlent une incohérence sur la durée de vie du méthane sur Mars. »

 

 

 

Origine biologique ou minérale

 

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Francis Rocard, responsable des programmes d'exploration de l'Univers au CNES. Crédits : CNES/O. Pascaud.

 

Quoiqu’il en soit, ce méthane attise la curiosité des scientifiques. Il pourrait être produit par des bactéries martiennes et donc prouver qu’il y a actuellement de la vie sur Mars.

 

Mais pas seulement. « Le méthane peut également avoir une origine purement minérale, explique Francis Rocard. C’est la réaction de serpentinisation dans laquelle le CO2 en présence d’eau et au contact de roches à haute température riches en fer produit du méthane. »

 

Et dans ce cas, il pourrait exister sur Mars des niches écologiques où l’environnement serait propice au développement et au maintien d’une forme d’activité biologique.

 

 

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: Ill. Sonde Mars Express, en orbite autour de Mars depuis 2003. CréditsESA.

Au total, une dizaine de scientifiques français du CNRS vont travailler sur les données de 4 instruments de la sonde TGO d’Exomars.

 

Lors de cette 1ère mission en 2016, un atterrisseur européen de démonstration sera embarqué pour acquérir et valider les technologies très exigeantes permettant l’atterrissage sur Mars.

 

En 2018, un nouvel atterrisseur devrait emporter 2 robots mobiles : un européen équipé de la charge utile Pasteur et d'un système de forage, et un américain capable d’analyser et de stocker des échantillons pour un éventuel retour ultérieur sur Terre.

 

Les missions Exomars pourraient apporter des informations capitales sur la question de la vie sur Mars. Elles visent aussi à préparer une future mission de retour d’échantillons martiens envisagée pour le milieu de la prochaine décennie.

 

SOURCE:CNES.fr

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Bonsoir les amis

Le 14 de ce mois vers 22:30, j'ai vu Jupiter tout d'abord très brillante, et soudain sa luminosité commença a diminuer graduellement jusqu'à ce qu'elle devint invisible,et après 3 secondes elle réapparu comme un petit point de faible luminosité et se mi a reprendre graduellement sa luminosité initiale, ceci n'a pris que quelques secondes, et s'est reproduit une deuxième fois, en fait il n'y avais pas de nuages à proximité de la zone celéste ou apparait la planète, et ce qui s'est passé m'a donné l'impression comme si Jupiter avait disparru, pourriez vous me donner une explication?

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Bonjour

Le 14 à 22h30 Jupiter était très basse sur l'horizon est. Comme elle monte presque à la verticale ce ne peut être que des nuages qui étaient devant seulement ceux ci étaient aussi vu par la tranche (puisque à l'horizon) donc invisibles de nuit.

Tu peux aussi vérifier la météo de ta région.

Bonne journée.

Luc;)

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Toujours pas de météo alors en attandent je poste les images satelittes :

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Cassini zoome sur les geysers d'Encelade

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Le 13 août, la sonde Cassini est passée à 2502km de la surface d'Encelade, l'une des lunes glacées de Saturne. Objectif : photographier une nouvelle fois les geysers découverts en 2008 qui s'échappent des stries de son pôle Sud (les « griffures du tigre »), mesurer leur température à l'aide du spectromètre infrarouge de la sonde, et étudier la composition chimique de la région.

 

Dans la brume de Damascus

 

La vue la plus rapprochée réalisée par le système d'imagerie de Cassini montre un zoom de la fissure baptisée Damascus, prise à 2673km de distance. Sur l'image, une brume est parfaitement visible au-dessus de la fissure. Elle est probablement due à la diffusion de la lumière solaire par les particules projetées dans les geysers. Les points blancs, par contre, sont des artefacts provoqués par l'impact de rayons cosmiques sur le détecteur (l'image n'a pas encore été traitée).

 

La géométrie de ce survol était particulièrement favorable pour mettre en évidence les jets ténus de la petite lune. L'hiver plongeant actuellement l'hémisphère Sud d'Encelade dans le noir, les photographes de la Nasa ont bénéficié d'un arrière-plan sombre sur leurs clichés, les panaches de vapeur eux-mêmes étant encore éclairés par le Soleil.

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SOURCE:Ciel&Espace

 

L'orbite de l'ISS relevée de 2 km jeudi (TSOUP)

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L'orbite de la Station spatiale internationale (ISS) sera relevée jeudi de 2 kilomètres en vue du prochain arrimage du cargo Progress fixé au 10 septembre, ainsi que du retour du vaisseau habité Soyouz TMA-18 (24 septembre), a annoncé lundi le Centre russe de contrôle des vols (TSOUP).

 

"La manœuvre est appelée à créer des conditions optimales pour l'arrimage du cargo Progress M-07M et le retour du Soyouz TMA-18, programmés respectivement pour le 10 et le 24 septembre", stipule le communiqué.

 

La hauteur moyenne de l'orbite sera rehaussée de 2,2 kilomètres pour atteindre 355,5 km.

 

SOURCE:RIANOVOSTI

 

Le système de climatisation de l'ISS a été réparé

Deux astronautes américains ont réparé lundi le système de climatisation de la Station spatiale internationale (ISS) lors d'une sortie dans l'espace de plus de sept heures au cours de laquelle ils ont remplacé un module défectueux.

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Doug Wheelock et Tracy Caldwell Dyson se sont glissés hors du complexe pour la troisième fois en dix jours pour relancer le système en panne depuis un court-circuit survenu le 31 juillet.

A la suite de ce court-circuit, des mesures pour économiser l'électricité avaient été prises. L'alimentation en courant de plusieurs instruments avait été suspendue et les expériences scientifiques avaient été réduites de moitié.

Lundi, les deux "mécanos de l'espace" sont restés pendant sept heures et 20 minutes hors de l'ISS et ont placé la pompe de rechange avant de rebrancher des circuits électriques et des conduits par lesquels circule l'ammoniaque qui permet de refroidir la station.

 

SOURCE:L'express

Modifié par paolo31
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Le système de climatisation de l'ISS a été réparé

Deux astronautes américains ont réparé lundi le système de climatisation de la Station spatiale internationale (ISS) lors d'une sortie dans l'espace de plus de sept heures au cours de laquelle ils ont remplacé un module défectueux.

29406.jpg

Doug Wheelock et Tracy Caldwell Dyson se sont glissés hors du complexe pour la troisième fois en dix jours pour relancer le système en panne depuis un court-circuit survenu le 31 juillet.

A la suite de ce court-circuit, des mesures pour économiser l'électricité avaient été prises. L'alimentation en courant de plusieurs instruments avait été suspendue et les expériences scientifiques avaient été réduites de moitié.

Lundi, les deux "mécanos de l'espace" sont restés pendant sept heures et 20 minutes hors de l'ISS et ont placé la pompe de rechange avant de rebrancher des circuits électriques et des conduits par lesquels circule l'ammoniaque qui permet de refroidir la station.

 

SOURCE:L'express

 

Enfin!

Ça faisait longtemps quelle était en panne.

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Découverte d'un pulsar X à éclipse

Le satellite à rayons X de la Nasa RXTE vient de découvrir un objet bien étrange, dans le Sagittaire, à 22 000 années-lumière de la Terre. Plus massif que le Soleil mais à peine plus grand que Paris, ce phare à rayons X tourne sur lui-même 518 fois par seconde. Cette étoile à neutrons baptisée J1749 est accompagnée par une étoile qui vient l'éclipser toutes les 8 heures.

 

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Une première pour un pulsar X

 

« C'est la première fois que nous détectons en rayons X les éclipses d'un pulsar rapide qui accrète du gaz » précise l'astrophysicien américain Craig Markwardt, l'un des auteurs de la découverte.

 

L'astre compact arrache régulièrement de la matière à l'étoile. Celle-ci ne chute pas directement mais s'enroule autour de lui pour former un disque d'accrétion. Ce disque, lorsqu'il devient instable, propulse de la matière vers les pôles magnétiques de l'étoile à neutron, ce qui les fait briller en X (si nous ne percevons qu'un clignotement, c'est parce que les pôles magnétiques d'un pulsar ne sont pas identiques aux pôles géographiques ; les premiers tournent autour des seconds et nous ne les voyons donc que lorsqu'ils passent dans notre ligne de visée !).

 

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Un pulsar pour tester la relativité générale

 

Grâce à J1749, les astronomes ont déjà pu déterminer que le rayon de l'étoile compagne était 20% plus important que ce qu'il devrait être, compte-tenu de sa masse et de son âge. « Nous pensons que la surface de l'étoile est dilatée par le rayonnement du pulsar, qui n'est éloigné que d'un peu moins de 2 millions de kilomètres » explique Craig Markwardt. Mais d'autres résultats sont attendus. En particulier, J1749 doit permettre de tester certains effets prédits par la théorie de la relativité générale d'Einstein.

"http://www.youtube.com/watch?v=jdF7L4Ub2SY&feature=player_embedded" via YouTube
ERROR: Si vous lisez ce texte, YouTube est hors-ligne ou vous n'avez pas installe Flash

 

La station spatiale chinoise est construite

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18/08/2010 La Chine a terminé de construire le module Tiangong 1, qui constitue le premier élément de sa station spatiale. L'information a été diffusée par l'agence Xinhua, citant des sources militaires. D'un aspect similaire aux anciennes stations russes Saliout, Tiangong 1 devrait âtre lancé dans le courant de 2011. Le vaisseau Shenzhou 8 devrait s'y amarrer dans le deuxième moitié de 2011, ...

 

Stage de survie en Sardaigne pour Thomas Pesquet



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A la fin du mois de juin, Thomas Pesquet et ces cinq camarades candidats astronautes de l’ESA ont été largués d’un hélicoptère et abandonnés en mer à la dérive sous le brulant soleil de Sardaigne… Mais fort heureusement après un bon entrainement et sous bonne surveillance...

La suite ici

Modifié par paolo31
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Tu as oublié !

Aujourd'hui c'est les 50 ans de Spoutnik 5 qui a enmené 2 chien 40 souris 2 rats et des plantes quii sont tous revenues en vie se qui fait de spoutnik 5 le premiers appareil a ramener des êtres vivants en vie sur Terre

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18/08/2010 La Chine a terminé de construire le module Tiangong 1, qui constitue le premier élément de sa station spatiale. L'information a été diffusée par l'agence Xinhua, citant des sources militaires. D'un aspect similaire aux anciennes stations russes Saliout, Tiangong 1 devrait âtre lancé dans le courant de 2011. Le vaisseau Shenzhou 8 devrait s'y amarrer dans le deuxième moitié de 2011, ...

 

Mince je savais même pas qu'il était en train d'en construire une moi !

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VENUS AU PLUS HAUT!

Vénus atteint son élongation maximale dans le ciel du soir. Elle est est à 45° du soleil. C'est une période favorable pour l'observer.

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NEPTUNE AU PLUS PRES!

Après Vénus on passe a Neptune.

La plus lointaine planète du système solaire, Neptune ,passe a l'opposition. C'est le meilleur moment de l'année pour l'observer, elle est son satellite Triton;)!

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Pour la localiser retourner au 1er Message dans "la planète du mois".

 

Découverte d’une étoile à neutrons hors normes.

 

Une étoile d'au moins 40 fois la masse du Soleil semble être à l'origine d'une étoile à neutrons identifiée dans la Voie lactée par des astronomes européens. Or, selon les théories en vigueur, un tel astre aurait dû se transformer non pas en étoile à neutrons mais en trou noir.

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Anomalie dans un amas d'étoiles

C'est en observant avec le Very Large Télescope (VLT) de l'Observatoire européen austral (ESO), l'amas stellaire Westerlund 1, dans la constellation de l'Autel, à 16000 années-lumière, que les astronomes ont décelé l'anomalie. En analysant les mouvements des étoiles entourant un magnétar (étoile à neutrons au puissant champ magnétique), ils ont conclu que l'astre qui lui avait donné naissance devait avoir une masse initiale égale à 40 fois celle du Soleil.

 

Mais pour former une étoile à neutrons, une étoile ne doit pas excéder 25 masses solaires au moment où elle explose en supernova. Si c'est le cas, l'astre compact qui demeure au centre après le cataclysme devient un trou noir.

 

Gigantesque perte de masse

Pour expliquer le destin exceptionnel de l'objet, les scientifiques pensent que l'étoile de 40 masses solaires est née avec un compagnon stellaire. Les interactions gravitationnelles entre les deux astres lui auraient entraîné arraché une énorme quantité de matière. Si bien qu'une fois arrivée en fin de vie, elle n'aurait plus pesé que 25 masses solaires et donné naissance au magnétar observé. Le compagnon stellaire aurait quant à lui été éjecté par la supernova.

 

Ciel & Espace publie la nouvelle histoire de Mars

 

L'astrophysicien Jean-Pierre Bibring propose de revoir complètement la chronologie qui décrit l'évolution de la planète rouge. Dans Ciel et Espace de septembre 2010, en kiosques dès le 24 août, il détaille le nouveau scénario en s'appuyant sur dix années d'exploration à l'aide de plusieurs sondes spatiales.

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Pas d'océan global au nord

Selon Jean-Pierre Bibring, responsable de l'instrument Omega sur Mars Express, les grandes plaines lisses du nord de la planète rouge ne sont pas les vestiges d'un ancien océan. Et la plupart des traces d'écoulements visibles en surface ne sont pas liées à un cycle de l'eau. Ce sont juste les témoins de la fonte soudaine de glace résiduelle piégée en sous-sol. Ces événements auraient été provoqués par des remontées de lave voici 3,6 milliards d'années.

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Une planète rapidement asséchée

L'époque où l'eau coulait en abondance sur Mars aurait été bien plus courte qu'on ne le pensait. Il y a 4,1 milliards d'années, la planète avait déjà perdu ses étendues liquides.

 

Mais les traces de cette époque ne sont pratiquement plus visibles. Elles ont été effacées par le bombardement massif de la planète, il y a environ 3,9 milliards d'années, puis enfouies sous des couches de lave émises lors d'épisodes volcaniques ultérieurs.

 

Un témoin de l'apparition de la vie ?

Un océan global a malgré tout bel et bien existé sur Mars. En de rares endroits, l'instrument Omega a permis d'en découvrir la signature minéralogique, sous la forme d'argiles (ou phyllosilicates). « Les terrains martiens où affleurent ces phyllosilicates sont sans doute notre meilleur espoir, dans tout le Système solaire, d'obtenir un témoignage sur les conditions d'apparition de la vie » explique l'astrophysicien dans notre dossier de 14 pages.

 

Il y a plus de 4 milliards d'années, les conditions sur Mars et sur Terre devaient en effet être assez proches. Mais notre planète, contrairement à Mars, ne possède aucune roche si ancienne.

 

Ci-dessous, une animation créée spécialement par Ciel et Espace résume l'évolution de la planète Mars, telle qu'elle est proposée par Jean-Pierre Bibring.

"http://www.youtube.com/watch?v=surp3l-rxzc&feature=player_embedded" via YouTube
ERROR: Si vous lisez ce texte, YouTube est hors-ligne ou vous n'avez pas installe Flash
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Le matin, l'astéroide Iris (magnitude 9,8) est à seulement 16' du centre de l'amas M35.

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La Lune rétrécit !

 

Les images à haute résolution de la sonde Lunar Reconnaissance Orbiter (LRO) révèlent de nombreuses failles qui indiquent que la Lune a rétréci de 100 m dans un passé récent. Les spécialistes, qui publient leurs résultats le 20 août dans la revue Science, avancent moins d'un milliard d'années. Peut-être même quelques centaines de millions d'années.

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La Lune toujours active ?

Sur les 14 nouvelles failles découvertes dans la croûte lunaire et qui témoignent de sa contraction, les astronomes observent peu de cratères d'impacts, signe de leur jeune âge.

 

Ils observent même que les failles ont déformé des cratères très petits et très récents. C'est comme cela qu'ils estiment que ces formations figurent parmi les plus récentes de la Lune.

 

Ce rétrécissement, consécutif au refroidissement de la Lune, pourrait être encore en cours actuellement.

 

Des craquelures de la croûte lunaire

La plupart des failles ont une forme semi-circulaire et sont dites «escarpements lobés». Pour Thomas Watters, du Center for Earth and Planetary Studiesa, à Washington, principal principal auteur de la publication, elles sont caractéristiques d'une contraction d'environ 100 m sur son diamètre total de 3474,6 km. La croûte, peu élastique, a alors craqué et formé ces décrochements.

 

Le même type de failles a déjà été repéré sur Mercure, une planète dont la surface est similaire à celle de la Lune et dont on sait qu'elle a aussi subi un intense épisode de rétrécissement.

 

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Un escarpement exploré par des astronautes

En décembre 1972, les astronautes Harrison Schmitt et Gene Cernan, au cours de la mission Apollo 17, avaient exploré l'un de ces escarpements dans la vallée Taurus-Littrow. Avec leur « jeep », ils avaient franchi l'obstacle, haut de moins de 100 m et avaient réalisé des prélèvements à sa base.

 

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La plupart des failles découvertes par LRO sont similaires et n'excèdent pas 100 m de dénivelé. Elles se situent aussi bien sur la face visible que sur la face cachée.

 

Nouveau : une caméra ultra-sensible pour les astronomes amateurs

 

Ciel et Espace a testé les caméras EMCCD, nouvelles sur le marché, et qui laissent entrevoir des performances alléchantes pour les astronomes amateurs. En particulier, leur sensibilité extrême ouvrent la porte à de nouvelles applications, aussi bien en planétaire qu'en ciel profond.

 

Nous avons évalué leurs performances à travers différents tests sur une Merlin Raptor. Vous découvrirez les résultats complets dans le numéro de septembre de Ciel et Espace, disponible en kiosque dès le 24 août.

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Une caméra sans bruit électronique

Le principe d'une EMCCD est simple, elle comporte un capteur CCD classique, doté d'un registre de multiplication des électrons. Celui-ci permet de réduire le bruit de lecture à une valeur négligeable. Sur de courts temps de pose, tous les photons détectés apparaissent à l'image : il est alors possible d'observer des phénomènes rapides ou encore de figer la turbulence pour obtenir des images plus nettes qu'avec des CCD classiques.

 

Le clignotement du pulsar du Crabe

Pour pousser l'outil dans ses retranchements nous l'avons soumis à un test extrême : l'observation du pulsar du Crabe. De magnitude 16, il tourne sur lui-même 30 fois par seconde. Pour ce test, la caméra a été couplée au télescope de 1m de l'observatoire du Pic du Midi. Les données ont été traitées par Bernard Tregon (voir sa page web à ce sujet ainsi que celle portant sur l'études des étoiles doubles avec une EMCCD) . Verdict : le clignotement de ce résidu d'étoile est détecté sans ambigüité. Voici ci-dessous le résultat obtenu avec des temps de pose de 10 millisecondes :

 

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Vers la haute résolution

En permettant de faire des temps de pose très brefs sans dégradation du signal, l'EMCCD permet de figer davantage la turbulence qu'avec une caméra classique. Un avantage déterminant en photo planétaire.

 

L'image de Saturne ci-dessous, réalisée lors d'une nuit relativement turbulente avec le télescope de 1m de l'observatoire du Pic du Midi, donne un aperçu des performances possibles. A gauche, l'image brute ; à droite, l'addition des 84 meilleures images de la séquence de prise de vue.

 

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Le temps de pose est de seulement 1/50ème de seconde. Habituellement, il faut poser 5 à 10 fois plus long pour obtenir des données de qualité.

 

 

Pour tout savoir sur les EMCCD (prix, performances, points forts, points faibles, etc...),

 

L'orbite de l'ISS rehaussée à 355,5 km d'altitude

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Le Centre russe de contrôle des vols (TSOUP) a annoncé jeudi avoir rehaussé l'orbite de la Station spatiale internationale (ISS) à 355,5 km d'altitude en vue du prochain arrimage du cargo russe Progress M-07M programmé pour le 10 septembre.

 

"L'altitude moyenne de la station a été relevée de 2,2 km pour atteindre quelque 355,5 km. La station a reçu une impulsion supplémentaire de 1,3 m/sec", a indiqué un représentant du Centre de contrôle des vols.

 

Les huit moteurs d'arrimage et d'orientation du cargo Progress M-06M fixé au module de service Zvezda de l'ISS ont été allumés jeudi à 00h30 heure de Moscou (la veille, à 20h30 GMT) pour 658 secondes.

 

Cette manœuvre permettra à l'ISS d'accueillir le cargo Progress M-07M le 10 septembre et d'assurer l'atterrissage de l'équipage du Soyouz TMA-18 dans le secteur requis le 24 septembre.

 

Les ballons du CNES vont sonder l’Antarctique

 

La campagne Concordiasi devrait débuter le 2 septembre. Objectifs : comprendre le comportement des masses d’air au dessus du continent blanc mais aussi améliorer les observations satellite pour prévoir la météo.

 

Une meilleure connaissance du temps et du climat

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Lâcher de ballon lors de la campagne Vorcore sur la base de MacMurdo en 2005. Crédits : CNES/ P. Cocquerez.

 

C’est sur la base américaine de McMurdo, dans l’archipel des Kerguelen, qu’aura lieu l’étape la plus importante du programme Concordiasi.

 

A partir du 2 septembre, 18 ballons stratosphériques seront lâchés pour explorer et mesurer l’atmosphère de l’Antarctique.

 

A 20 km d’altitude, ils auront plusieurs rôles : « Il s’agit d’améliorer dans cette région du monde la prévision météorologique et la description du climat mais aussi mieux utiliser le sondeur infrarouge IASI, embarqué à bord du satellite Metop-A », explique Didier Renaut, responsable des programmes météo et climat au CNES.

VIDEO

 

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L'instrument IASI du CNES à bord du satellite Metop-A depuis 2006. Crédits : ESA/Ill. AOES Medialab

Il est effectivement plus difficile qu’ailleurs pour le spectromètre infrarouge de faire des mesures précises au dessus de l’Antarctique à cause du froid et des nuages qui rendent le signal plus faible.

 

C’est pour cela que, dans un 1er temps et sur une période d’un mois et demi, 600 dropsondes (ou sondes tombantes) seront larguées sur commande depuis 12 ballons. De nombreux profils verticaux de la troposphère seront ainsi obtenus jusqu’à 10-15 km d’altitude.

 

Certaines sondes seront larguées exactement au moment du passage de IASI pour valider directement ses mesures.

 

Jusqu’à 5 mois en vol

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Dropsonde sous parachute. Crédits : ill. NASA.

 

La 2e partie du programme concerne l’ensemble des 18 ballons.

 

En suivant les vents de haute altitude, ils collecteront des données relatives à la température, à la pression ou encore à l’ozone et aux aérosols, le tout grâce à des capteurs situés sur les chaînes de vol des ballons.

 

Il sera ainsi possible de mieux comprendre les mécanismes dynamiques, chimiques et microphysiques qui conduisent à la formation du trou d’ozone et à sa forte variabilité d’une année sur l’autre dans cette région du globe.

 

Les ballons devraient rester dans les airs en moyenne un mois et demi mais certains pourront voler jusqu’à 5 mois.

 

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Centre de contrôle des ballons du CNES à Toulouse. Crédits : CNES.

Le contrôle des vols et la réception des données seront réaliser depuis le CNES à Toulouse.

 

Météo France aura en charge la conduite des mesures par dropsondes.

 

Leurs données seront quant à elles réceptionnées aux Etats-Unis, au NCAR*. Une dizaine de « ballonniers », comme on les appelle au CNES, seront sur place pour mener à bien cette mission dont la NSF** et plusieurs universités américaines sont également partie prenante.

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J'oubliais :

A deux pas du futur : une série de documentaires présentés par les Bogdanoff sur France 2

 

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Dans une interview, les frères Bogdanoff nous annonçait le prochain retour de Temps X . Mais leur actu sera bien chargée dès le 23 août 2010. Igor et Grichka présenteront en effet une collection de documentaires scientifiques inédits, A deux pas du futur, sur France 2.

 

Igor et Grichka Bogdanoff sont de retour sur France 2 les 23 et 30 août 2010 en seconde partie de soirée (juste apès la série policière Castle :))pour présenter une nouvelle collection de documentaires intitulée A deux pas du futur.

 

L’objectif de cette Collection est de mettre en lumière le fait que la science d’aujourd’hui va être la source d’immenses ruptures et de changements qui vont, pour la plupart, se produire dans les 10 à 20 prochaines années.

 

Igor et Grichka Bogdanoff nous préparerons et nous informerons sur ces révolutions qui vont bouleverser notre quotidien.

 

Rendez-vous donc le lundi 23 août en seconde partie de soirée avec le premier documentaire de cette collection : Feux de la Terre, feux du Ciel. Les colères futures de la Terre pourraient bien être aussi catastrophiques que les feux du ciel…Tremblez en compagnie de nombreux scientifiques qui nous éclaircirons quant au devenir de notre Planète.

 

Place ensuite au sujet qui préoccupent les Hommes depuis de nombreuses générations : Sommes-nous seuls dans l'Univers ? Quelles sont les conditions permettant l'apparition de la vie sur les autres mondes ? A quoi pourrait-elle ressembler ? Tant de questions qui restent sans réponse…

 

Le lundi 30 août 2010, toujours en seconde partie de soirée, les Bogdanoff se poseront la question : Que cache notre cerveau ?, suivi par Et si nous devenions immortel ? avec le témoignage de Brooke Greenberg, une jeune américaine de 17 ans qui a gardé l'apparence…d'un bébé de 9 mois.

 

Apprenez et rêvez en compagnie des frères Bogdanoff dès le 23 août 2010 sur France 2 !

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J'ai vu les deux émissions des frères Bogdanoff, super!

Pas de grandes révélations, mais quand même des infos intéressantes, entre-autres sur les effets d'un 'Gamma Ray Burst', le flash gamma causé par l'effondrement d'une étoile supermassive. Ils avancent l'hypothèse que le premier cas d'extinction biologique massive sur la Terre a été causé par un GRB. Effrayant et fascinant à la fois ;)

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J'ai vu les deux émissions des frères Bogdanoff, super!

Pas de grandes révélations, mais quand même des infos intéressantes, entre-autres sur les effets d'un 'Gamma Ray Burst', le flash gamma causé par l'effondrement d'une étoile supermassive. Ils avancent l'hypothèse que le premier cas d'extinction biologique massive sur la Terre a été causé par un GRB. Effrayant et fascinant à la fois ;)

 

Moi aussi je l'ia regardé, super!:)

Et vous, que pensez vous de cette émission.

 

Efflorescence de plancton en Atlantique



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Au large de l’Irlande, des myriades d’organismes microscopiques formant le plancton végétal dessinent au gré des courants d’étonnantes arabesques aux couleurs vives grâce aux pigments dont ils sont remplis.

 

À l’échelle de la planète, le plancton végétal, le seul à demeurer près de la surface lorsque le Soleil est levé, produit la moitié de l’oxygène que nous respirons en l’extrayant du gaz carbonique de l’atmosphère. Ce phytoplancton joue du même coup un rôle majeur dans l’équilibre climatique de la planète : ne représentant que 0,5% de la masse des végétaux de la planète, il capture à lui seul 45% du carbone piégé par photosynthèse.

 

Les proliférations de plancton, appelées efflorescences, comme celle photographiée ici par le satellite européen Envisat, peuvent avoir des causes naturelles ou être la conséquence de pollutions aux nitrates en provenance de la terre ferme. Les satellites sont un outil privilégié de surveillance des efflorescences dues à la pollution afin de prévenir la formation de « zones mortes » par appauvrissement en oxygène dissous dans l’eau. Avant d’en relâcher dans l’atmosphère, le plancton a en effet besoin de l’oxygène de l’eau pour transformer les matières organiques dont il tire sa substance.

 

L’étude de ces organismes unicellulaires revêt de nos jours une importance considérable car il semblerait que leur abondance diminue sans que l’on sache pourquoi. D’où l’intérêt de lancer des missions satellitaires de « Couleur de l’eau. » Le CNES réfléchit actuellement à la possibilité de mettre en orbite géostationnaire un instrument spécialement dédié qui pourrait ainsi scruter, à 36 000 km d’altitude, la « respiration » des océans.

 

 

Un lancement supplémentaire pour Atlantis?



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La navette Atlantis pourrait voler encore une fois. Le 20 août, le comité de la Nasa dédié à la sécurité (Aerospace Safety Advisory Panel) a approuvé l'envoi d'une dernière mission navette -STS 135- en plus des deux prévues actuellement pour clore le programme. Si le Congrès l'approuve à son tour et accepte de financer cette ultime mission, l'envol d'Atlantis vers l'ISS interviendrait le 28 juin 2011. La mission emporterait 4 astronautes pour une mission de 14 jours.

 

Noubliez pas a partir d'aujourd'hui les revues "Ciel & Espace" et "Astronomie Magazine" sont disponible en magazin ;)

Les Dossiers du mois:

Ciel & Espace: Mars, la nouvelle histoire.

Astronomie Magazine: Jupiter, que se passe t'il?

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Beau ciel au pic du midi :o!

 

Le 27 août, Mars ne détrônera toujours pas la Lune

 

Le courrier électronique anonyme prétendant que Mars serait plus grosse que la Lune le 27 août a la vie dure ! L'an dernier déjà, abondamment diffusé, il nous promettait le même spectacle. Or, le 27 août 2010, il se passera exactement la même chose que le 27 août 2009, c'est-à-dire : rien du tout !

LuneMars360.jpg

 

Un canular céleste éventé

Le fait que la planète Mars apparaisse plus grosse que la Lune dans le ciel nocturne est un canular déjà désamorcé en détail sur le site de Ciel et Espace dans un article du 18 août 2009.

 

Vous pouvez lire également à ce sujet l'article «La nuit des deux lunes» sur le site Hoaxbuster, qui traque les canulars reçus par courrier électronique.

 

Le contenu de ces articles est toujours valable, à ceci près que, depuis un an, les positions de Mars et de la Lune ont changé.

 

Mars prend ses distances

Mars risque d'autant moins de faire de l'ombre à la Lune en termes de luminosité et de taille apparente qu'elle se situe actuellement à plus de 300 millions de km de la Terre, contre 55,8 millions de km lors d'un rapprochement très favorable comme celui de 2003. Autrement dit, elle est se situe à un peu plus de deux fois la distance Terre-Soleil. Elle continuera à s'éloigner jusqu'au 8 janvier 2011, pour atteindre une distance de 356 millions de km.

 

Pour qui sait la localiser, Mars reste néanmoins observable dans le crépuscule du soir. Son éclat est comparable à celui d'une étoile de magnitude moyenne. Une carte du ciel précise serait nécessaire pour la repérer si l'étincelante Vénus située juste en dessous d'elle ne nous offrait pas un excellent jalon, comme le montre la carte ci-dessous (notez la présence de Saturne à leurs côtés)

 

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La Lune, reine de la nuit

Si Mars se fait discrète, il en va tout autrement de la Lune, très présente en ce moment puisqu'elle est pleine le 24. Autant dire qu'en cette fin de mois d'août, même si les scientifiques ont découvert qu'elle avait rétréci, elle domine le ciel sans rivale. Le 27, elle est gibbeuse, éclairée à 70%, et elle culmine à plus de 40° de hauteur vers 3h20, heure locale.

 

Des planètes pulvérisées autour d'étoiles doubles

 

Des cataclysmes en cascade ont sans doute réduit en poussière les planètes qui se sont formées autour d'étoiles doubles serrées. Ces planètes, rocheuses ou massives, seraient entrées en collision les unes avec les autres.

PulPlanets360.jpg

 

Poussière planétaire récente

L'équipe de Jeremy Drake, du Harvard-Smithsonian Center for Astrophysics (Etats-Unis), a découvert ce qu'il en reste, sous la forme de nuages de poussière chaude (environ 1000°C), autour de trois couples stellaires très rapprochés ; dans les trois cas, les deux étoiles liées par la gravitation ne sont séparées que par 3 millions de km.

Ces poussières ne peuvent pas provenir de la matière qui a servi à fabriquer les planètes. Les étoiles autour desquelles elles ont été trouvées ont 1 milliard d'années, ce qui est assez âgé pour que les disques de poussières initiaux aient forcément disparu.

 

Collisions de planètes

Pour les chercheurs, qui ont obtenu ce résultat en analysant les données de l'observatoire spatial Spitzer, ces nuages de poussière inattendus (en bleuté sur l'image ci-dessous) sont les stigmates de violentes collisions planétaires.

binarystars400.jpg

 

Les collisions entre planètes auraient eu lieu à mesure que les binaires se sont rapprochées. Car ces étoiles possèdent de puissants champs magnétiques qui produisent d'intenses vents stellaires. Ces vents ralentissent la rotation des étoiles, ce qui a pour effet de rapprocher les étoiles des couples. En se rapprochant, elles perturbent les orbites des planètes, qui se retrouvent vite catapultées les unes sur les autres, comme l'illustre cette animation vidéo:

 

 

"http://www.youtube.com/watch?v=qgm8eJM30k8&feature=player_embedded" via YouTube
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Un système planètaires de 5 planètes!

Un cortège d'au moins 5 planètes, peut-être 7, tournent autour d'une étoile de type solaire, HD 10180. C'est ce que déduisent des astronomes des observations réalisées avec l’instrument Harps équipant un télescope de l’ESO, à La Silla au Chili. On commencerait donc à découvrir des systèmes planétaires se rapprochant du Système solaire...

 

Depuis ce lundi 23 août 2010 se tient le colloque Detection and dynamics of transiting exoplanets à l’Observatoire de Haute-Provence. Rappelons que c’est précisément avec un télescope de cet observatoire que Michel Mayor et Didier Queloz avaient découvert la première exoplanète, 51 Peg b. Un an d'observations réalisées à l'OHP avec le spectrographe Elodie avaient été nécessaires. L'annonce de la découverte fut faite à Florence lors de la Ninth Cambridge Workshop on Cool Stars, Stellar Systems and the Sun, le 6 octobre 1995.

 

Presque 15 ans plus tard, ce colloque de l'OHP est l'occasion d'une surprenante nouvelle : il existe 5 planètes en orbite autour de l’étoile de type solaire HD 10180, située à 127 années-lumière de la Terre dans la constellation australe de l’Hydre mâle (le Serpent de Mer). Il se pourrait même qu’il y en ait 7, dont une tellurique, légèrement plus massive que la Terre, orbitant en seulement 1,8 jour autour de son étoile. Si c’est bien le cas, cette planète doit ressembler à Io la volcanique. On connaît déjà une super Io de ce genre, l’exoplanète Corot-7b.

 

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Un article co-signé par Michel Mayor et Didier Queloz détaille les mesures réalisées durant 6 ans sur l'étoile HD 10180 avec l’instrument Harps. Installé sur le télescope de 3,6 mètres de l’ESO à La Silla au Chili, ce spectrographe permet des mesures d’une précision inégalée, qui en fait le meilleur chasseur d’exoplanètes au monde.

On peut alors déceler les décalages spectraux complexes provenant des mouvements d’oscillation d’une étoile en réponse à l’attraction d’un cortège de planètes. C'est la méthode des vitesses radiales, l'une de celles utilisées pour détecter des exoplanètes.

 

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Comme on ne connaît pas l’inclinaison des orbites des exoplanètes autour de HD 10180, on peut seulement estimer une masse minimum. En général, cependant, cette masse minimum est proche de la masse réelle de la planète. Dans le cas présent, la méthode permet de déduire qu’il existe 5 planètes dont les masses sont semblables à celle de Neptune, soit entre 13 et 25 masses terrestres. Les distances qui séparent ces planètes de leur soleil vont de 0,06 à 1,4 fois la distance Terre-Soleil, avec des périodes orbitales allant de 6 à 600 jours.

Mais selon les chercheurs, deux autres planètes sont probablement là. L’une des deux devrait ressembler à Saturne (avec une masse minimum de 65 masses terrestres) tournant autour de l’étoile en 2.200 jours. L’autre devrait être la planète la moins massive jamais découverte avec une masse d’environ 1,4 fois celle de la Terre.

 

"http://www.youtube.com/watch?v=oBAnw03w71U&feature=player_embedded#!" via YouTube
ERROR: Si vous lisez ce texte, YouTube est hors-ligne ou vous n'avez pas installe Flash

 

Les astrophysiciens s’étonnent des caractéristiques des exoplanètes de HD 10180. D’abord il ne semble pas y avoir une géante gazeuse comme Jupiter. Ensuite les orbites semblent toutes circulaires ou presque. Enfin et surtout, il semblerait bien que l’on observe l'équivalent de la loi de Titius-Bode comme dans notre Système solaire (une loi qui donne les distances approximatives des planètes au Soleil, formulée par Johann Bode et Johann Titius vers 1770).

HD10180 détient désormais le record du nombre d’exoplanètes mais ces systèmes planétaires multiples ne sont plus une rareté. On connaît aujourd’hui 15 autres systèmes comportant au moins 3 exoplanètes, dont par exemple 55 Cancri et Gliese 581 qui en comptent 5 chacune.

Remarquablement, on constate à chaque fois qu’il existe une relation entre la masse du système planétaire et la masse et le contenu chimique de l'étoile. Ainsi, tous les systèmes planétaires massifs ont été trouvés autour d’étoiles massives et riches en « métaux » (au sens des astronomes, c'est-à-dire des noyaux plus lourds que ceux de l’hydrogène et de l’hélium). En revanche, les quatre systèmes ayant les masses les plus petites ont été observées autour d’étoiles de plus faible masse et pauvres en « métaux ».

Dans l’hypothèse où il y a effectivement 7 exoplanètes, des simulations informatiques conduites grâce au supercalculateur Jade du CINES ont aussi montré que si l’on tient compte des effets de la relativité générale, le système planétaire entourant HD 10180 doit être stable sur une longue période. Sans les corrections post-newtoniennes prédites par les équations d’Einstein, les perturbations gravitationnelles engendrées par les autres planètes sur la plus intérieure d'entre elles augmenteraient tellement son excentricité que de fortes instabilités pourraient en résulter. Dans le cas de notre propre Système Solaire, des calculs similaires ont été conduits mais c'est le chaos qui en émerge...

Avec HD 10180, on est peut-être en présence du premier cas connu d'une longue série de systèmes planétaires possédant un grand nombre d'exoplanètes.

 

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Sur cette vue d'artiste on voit l'étoile HD 10180 avec les 7 planètes qu'elle possède probablement. La planète au premier plan est la troisième du système de HD 10180, sa masse est comparable à celle de Neptune. Les deux planètes intérieures apparaissent comme des silhouettes en transit sur le disque lumineux de l'étoile. Les planètes extérieures au système apparaissent dans le fond du ciel.

Modifié par paolo31
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