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Mois d'Août


paolo31

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Les pipelettes du sujet

Les pipelettes du sujet

Que se soit pour le soleil ou pour les observations de nuits seul la Corse et la Méditerranée auront se luxe :confused:

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Et pour nos amis belge une petite carte (grise :confused:) ;)

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Et maintenant je vous propose une carte des vents pour la nuits ;)

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Compte à rebours enclenché pour une étonnante fusée amateur danoise

Un groupe d'amateurs danois va-t-il propulser le Danemark au rang de quatrième nation au monde à avoir envoyé des hommes dans l'espace ? C'est ce que prévoit Copenhagen Suborbital, une association à but non lucratif qui a construit depuis 2004 sa fusée HEAT1X.

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Premier lancement le 30 août 2010

Si tout se déroule normalement, cet engin à un seul étage, baptisé HEAT1X devrait s'envoler pour la première fois lundi 30 août à partir de 8 h du matin (heure de Paris) d'une plateforme maritime ancrée en mer Baltique, au large de l'île de Bornholm. Haute de 9 m, et lourde de 1,6 tonne, HAET1X est propulsée par un moteur à oxygène liquide et polyuréthane.

 

Kristian von Bengston, l'un des fondateurs de Copenhagen Suborbital, précise : « Cette mission est une expérience, notre premier lancement. Nous aurons une apogée à 30 km et le moteur fonctionnera pendant environ 30 secondes. La mission entière doit durer 5 minutes »

 

La fusée emporte une capsule cylindrique appelée Tycho Brahé, du nom du célèbre astronome danois, qui redescendra dans la mer, freinée par 4 parachutes d'une surface totale de 145 m2.

 

Un Danois dans l'espace ?

Ce lancement n'est qu'un essai vers l'objectif défini par Copenhagen Suborbital qui est, ni plus ni moins que d'envoyer un homme dans l'espace pendant quelques minutes à bord de la capsule Tycho Brahé.

 

« Dans la mission finale, indique Kristian von Bengston, le vaisseau atteindra 150 km d'altitude, ce qui donnera 3 à 4 minutes de microgravité ».

 

Comme la fusée Redstone qui avait envoyé l'Américain Alan Shepard dans l'espace en mai 1961, HEAT1X n'atteindra pas une vitesse suffisante pour réaliser une mise sur orbite. La capsule Tycho Brahé suivra seulement une trajectoire balistique qui doit permettre à son unique passager de goûter aux joies de l'apesanteur pendant quelques courtes minutes... avant de retomber vers la Terre.

 

Un astronaute debout

Comme l'homme-obus qui prend place dans le canon au cirque, l'astronaute qui doit à terme prendre place à bord, sera en position debout. La capsule, un cylindre de 64 cm de diamètre, ne permet pas d'être assis ou allongé. Mais la poussée du moteur est assez progressive pour que le passager n'endure pas une accélération supérieure à 3 g. Il peut la supporter en position debout.

 

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Le sommet de la capsule est une bulle transparente qui offre au passager une vision sur 360° dont il aura tout loisir de profiter pendant ses 3 ou 4 minutes en apesanteur.

 

Le premier à prendre place à bord devrait être Peter Madsen, co-fondateur du projet.

 

Low cost de l'espace

Le projet danois a coûté à ses concepteurs, Peter Madsen et Kristian von Bengston, 8 ans de travail, 15 tests, dont deux mises à feux statiques de leur fusée et environ 50000 euros.

 

Copenhagen Suborbital, qui s'affiche sans but lucratif n'évoque pas pour l'heure de commercialisation de ses vols. Mais si l'aventure est un succès, preuve serait faite qu'une entreprise privée, peut, à moindre frais, envoyer des hommes au-delà de la stratosphère.

 

Ci-dessous, la vidéo de l'un des essais statiques de la fusée danoise :

"http://www.youtube.com/watch?v=tnwP7vqkqdc&feature=player_embedded" via YouTube
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Des collisions de galaxies à l’origine des premiers trous noirs

Les trous noirs supermassifs, ces monstres cosmiques, se sont peut-être formés très tôt dans l'histoire de l'univers par collision de galaxies primordiales.

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Collision fertile

 

A l'origine de cette découverte, l'équipe de chercheurs menée par Stelios Kazantzidis, de l'université d'Ohio (USA). Ils publient leurs résultats dans la revue Nature.

 

Leur nouvelle simulation numérique montre qu'une collision de galaxies primordiales massives génère un gigantesque disque de gaz en rotation. Un disque instable, au cœur duquel se forme un grumeau plus dense. Ce grumeau s'effondre ensuite sur lui-même pour donner naissance à un trou noir 100 millions de fois plus massif que le Soleil. En attirant à lui tout le gaz environnant, il grossit pour atteindre des milliards de masses solaires.

 

Les trous noirs plus rapides que les galaxies

 

Jusqu'à présent, les chercheurs pensaient que les trous noirs supermassifs s'étaient formés lentement, par accrétion de gaz au fil de milliards d'années. Mais ces résultats suggèrent qu'ils se sont constitués beaucoup plus rapidement et brutalement.

 

En mesurant directement la masse des galaxies primordiales et de leur trou noir central, les instruments de nouvelle génération, comme l'observatoire spatial James Webb ou le réseau d'antenne ALMA (Chili), devraient être capable de confirmer ou d'infirmer ce nouveau scénario.

 

Ci-dessous, une simulation de rencontre entre deux galaxies comportant chacune un trou noir central :

"http://www.youtube.com/watch?v=DxYwdgHpbKM&feature=player_embedded" via YouTube
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L’expérience AMS en route pour le Centre spatial Kennedy

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Le Spectromètre magnétique Alpha (AMS), une expérience qui étudiera l’antimatière et la matière noire dans l’espace, quitte le CERN1 mardi prochain. C’est une étape qui le rapproche de son voyage vers la Station spatiale internationale (ISS). Le détecteur AMS2 sera transporté du CERN à l’Aéroport International de Genève en attendant son départ de la Suisse prévu le 26 août prochain, à bord d’un Galaxy, un avion de transport de l’US Air Force, à destination du Centre spatial Kennedy en Floride.

AMS étudiera des questions fondamentales sur la matière, l’origine et la structure de l’Univers, directement depuis l’espace. La recherche de la matière noire et de l’antimatière seront ses principaux objectifs dans le cadre d’un programme complémentaire à celui du Grand collisionneur de hadrons (LHC).

En février dernier, le détecteur AMS s’était rendu au centre européen de recherche et de technologies spatiales (ESTEC) de l’Agence spatiale européenne à Noordwijk (Pays-Bas) pour y subir des tests qui ont permis de déterminer son aptitude à être envoyé dans l’espace. A la suite de ces tests, le détecteur a été ramené au CERN pour les dernières modifications. La collaboration a décidé de réutiliser l’aimant permanent du prototype AMS-01, qui avait déjà effectué un vol dans l’espace en 1998, à la place de l’aimant supraconducteur prévu initialement. Cela s’explique par la durée de vie limitée de l’aimant supraconducteur qui n’aurait pu fonctionner que pendant trois ans du fait de l’impossibilité de réapprovisionner l’aimant en hélium liquide à bord de la station spatiale. Au contraire, l’aimant permanent permettra à l’expérience de fonctionner tout au long du vol de l’ISS.

Depuis son retour au CERN, le détecteur AMS a donc été reconfiguré avec l’aimant permanent et testé à l’aide de faisceaux de particules du CERN. Ces tests ont permis de valider et d’étalonner la nouvelle configuration avant que le détecteur ne quitte le sol européen pour la dernière fois.

« Ce départ du CERN réjouit toute la collaboration AMS, car il marque un tournant pour notre expérience. Nous nous rapprochons du lancement de la navette spatiale et du moment où notre détecteur sera finalement installé à bord de l’ISS, explique le professeur Sam Ting, prix Nobel et porte-parole de l’expérience. La phase de construction de notre détecteur est maintenant achevée et nous sommes impatients de débuter la phase de récolte des données. »

« Le lancement du détecteur AMS arrive au bon moment » a ajouté Roberto Petronzio, Président de l’Institut National de Physique Nucléaire, en Italie. « Aujourd’hui, nous sommes tout à fait conscients de nos lacunes quant aux nombreux constituants de l’Univers, et nous devons encore relever le défi du puzzle de l’asymétrie matière – antimatière. Par ailleurs, des résultats récents de l’expérience Pamela suggèrent des scénarios qui pourraient mener à d’importantes découvertes pour AMS. L’expérience provient d’une grande collaboration internationale qui se joint à l’effort d’importantes agences européennes de financement avec les Etats-Unis et la Chine. »

Une fois arrivé au Centre spatial Kennedy, AMS sera installé dans une chambre propre pour y subir encore quelques tests. Puis, après quelques semaines le détecteur sera transporté sur la navette spatiale. La NASA prévoit d’effectuer le dernier vol du programme de la Navette spatiale, qui emmènera le détecteur AMS dans l’espace, fin février 2011.

Une fois arrimé à l’ISS, AMS mènera des recherches sur l’antimatière et la matière noire en mesurant les rayons cosmiques. Les données collectées par AMS dans l’espace seront transmises à Houston (États-Unis), puis au CERN, à Prévessin plus précisément, où se situe le centre de contrôle du détecteur, et vers un certain nombre de centres régionaux d’analyse de physique mis sur pied par les instituts partenaires.

« Nous sommes fiers que ce détecteur, qui jouera un rôle si important dans la recherche, décolle de l’Aéroport International de Genève pour être livré au Kennedy Space Center en Floride », a indiqué pour sa part Robert Deillon, directeur général de l’Aéroport International de Genève.

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Seule la Méditerranée et le Nord-Ouest pourront observer le soleil

Pour les observations de nuit seule les frontière du Nord et les Pyrénées seront sous les nuages.

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Et pour nos amis Belges une petite carte ;)

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Et la petite dernière: la carte des vents :)

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Plus qu’un mois pour sauver le ciel

 

Le projet de décret d'application du Grenelle II de l'environnement relatif à la nuisance lumineuse est enfin disponible : le débat public est ouvert.

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Un débat citoyen

Le ministère invite les citoyens à donner leur avis sur le décret d'application du Grenelle II de l'environnement relatif à la pollution lumineuse. Vous avez jusqu'au 30 septembre pour vous exprimer à l'adresse mail suivante : nuisances-lumineuses [@] developpement-durable.gouv.fr (enlevez les espaces et les crochets). Profitez-en !

Disponible en ligne sur le site du ministère de l'environnement, le projet de décret précise le cadre d'application des textes de loi formulés dans la loi du Grenelle II de l'environnement. Celui-ci a été définitivement publié au journal officiel le 13 juillet 2010. Pour mémoire, le texte de loi du Grenelle II est disponible en ligne, le volet sur les nuisances lumineuses est à l'Article 173 (page 81/126).

 

Les enjeux

Avant d'être validé, le projet de décret va être discuté avec les différents acteurs du débat. Notamment l'ADEME, les lobbies éclairagistes, et les associations de protection du ciel dont l'ANPCEN (association Nationale pour la Protection du Ciel et de l'Environnement Nocturne).

 

A ce stade quel est l'enjeu ? En tant que tel le décret d'application reste encore vague, il ne fait que préciser le cadre d'application.

Le texte indique que les normes chiffrées ne seront fixées que dans un dernier temps, par arrêté du ministre en charge de l'environnement. Et c'est là que tout se joue, car face à face s'opposent nettement les intérêts antagonistes des lobbies éclairagistes et ceux des défenseurs de l'environnement. Les associations luttant en faveur de la protection du ciel nocturne devront proposer des moyens de contrôle efficaces et faciles à mettre en œuvre. Pour cela, il est souhaitable qu'elles parviennent à parler à l'unisson, avec l'ANPCEN en tête de file, afin d'avoir un maximum d'efficacité et de crédibilité.

 

Vers des zones protégées

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Ci-dessus une vue au crépuscule de la plaine au nord du Pic du Midi, avec au centre le halo lumineux de la ville de Toulouse, distante de 130 km.

 

Le décret nous apprend que l'on se dirige pour le moment vers une liste de zones protégées, à savoir les espaces naturels et des « sites d'observation astronomique dont la liste et le périmètre seront fixés par un arrêté du ministre en charge de l'environnement ». Selon nos sources, on devrait compter in fine une dizaine de sites astronomiques protégés, à commencer par les grands observatoires nationaux (Cerga, OHP et Pic du Midi). Certains jugent cette disposition restrictive, mais il faut savoir que la stratégie des défenseurs de cette démarche est plutôt pragmatique et réaliste. En effet, leur but est qu'à long terme, ces premières zones fassent tache d'huile. C'est du reste la stratégie adoptée par l'association Pirene, qui œuvre déjà concrètement pour la création d'une réserve de ciel étoilé autour du Pic du Midi.

 

 

Miroirs glacés

 

Jusqu'à -250°C : les tests de résistance des miroirs du futur télescope spatial James Webb descendent très bas sur l’échelle des températures!

 

Le James Webb Space Telescope (JWST) est le plus grand observatoire spatial en cours de conception. Il sera lancé en 2014, lorsque le célèbre télescope Hubble prendra sa retraite. Destiné à observer le rayonnement infrarouge, le James Webb sera refroidi à -230°C.

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Dans l’un des centres de la Nasa, au Marshall Space Flight Center (Alabama), les miroirs du futur télescope sont testés jusqu’à des températures de presque -250°C.

 

Sur cette image on voit six miroirs en béryllium lors de ces tests cryogéniques. Les 18 segments du miroir seront tous testés deux fois dans ce centre, précise l’agence spatiale américaine.

 

Le JWST sera au final doté d'un miroir primaire de 6,5 m de diamètre contre 2,4 m pour Hubble. Il pèsera plus de 6 tonnes et sera en partie alimenté par l’énergie de ses panneaux solaires.

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A PARTIR D'AUJOURD'HUI LE MOIS DE SEPTEMBRE EST EN LIGNE !!

= >http://www.webastro.net/forum/showthread.php?t=67607 < =

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Seul le Sud pourra observer le soleil

Pour les observations de nuits, dans la soirée encore une fois seul le Sud pour observer mais dans le Nord durant la nuit les nuages et la pluie partiront et laisseront un ciel clair et un sol humide :confused: (N'oubliez pas de regarder le vent)

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Et pour nos amis Belges une petite carte ;)

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Et voici la carte des vents où sa souffle fort sur le Nord et la Belgique!!

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CoRoT débusque un nouveau Soleil



 

Depuis 2006, le satellite CoRoT du CNES ausculte les étoiles de notre Galaxie. Et grâce aux données récoltées, une équipe internationale vient aujourd’hui de découvrir une étoile qui vibre de la même façon que notre Soleil.

 

Ausculter le cœur des étoiles lointaines…

 

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Crédits : Instituto de Astrofisica de Canarias / ESA/ SOHO

 

L’étoile qui fait aujourd’hui parler d’elle se situe dans la constellation de la Licorne, à l’est d’Orion. Sa particularité ? Ressembler à notre Soleil. Ou tout du moins, vibrer de façon comparable. Chaque étoile oscille en effet de façon spécifique et permet aux scientifiques d’en déduire son activité interne.

 

Le satellite CoRoT du CNES est justement capable de déceler les plus infimes variations d’éclats des étoiles, des baisses de seulement 1/10 000e de la luminosité ! Et ainsi d’accéder à la structure interne et à l’activité d’étoiles très lointaines.

 

« Cette technique de ‘’sismologie stellaire’’ est aussi très utilisée pour étudier le Soleil : à travers les variations sismiques, on peut connaître par exemple la taille et la vitesse de rotation des différentes couches qui le compose et appréhender ses variations de cycle, » souligne Olivier La Marle, responsable des programmes d'astrophysique au CNES.

 

Pour la première fois grâce aux données de CoRoT, une équipe internationale – composée de chercheurs français du CEA, de l’Observatoire de Midi-Pyrénées et de l’Observatoire de Paris –, a pu suivre l’activité d’une étoile située à 100 années-lumière de nous. Une activité qui varie dans le temps de façon analogue aux fameux cycles du Soleil. Ces résultats ont été publiés dans le magazine Science.

 

VIDEO

 

… pour en apprendre davantage sur le Soleil

 

Le cycle d’activité d’une étoile, au cours duquel sa structure interne se modifie, est directement lié aux modifications de son activité magnétique. Mais les chercheurs ne connaissent pas encore les mécanismes qui régissent ce phénomène.

 

« Pour le Soleil, on a des hypothèses qui tiennent la route ; on pense notamment que l’activité magnétique est liée à la rotation du cœur du Soleil. Mais on manque de données pour le préciser », explique Olivier La Marle.

 

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Simulation d'une oscillation d'une étoile. Le graphique représente les variations au cours du temps de la luminosité du Soleil. Crédit : Observatoire de Paris/UFE

 

« Maintenant qu’on sait qu’il est possible d’étudier le cycle et l’activité magnétique des étoiles en mesurant leurs variations d’éclats, on va pouvoir exploiter le profil de lumière de centaines d’étoiles, enrichir nos modèles et améliorer nos connaissances dans ce domaine », poursuit-il. Et dans cette quête, CoRoT devrait être épaulé par le satellite Kepler.

 

L’enjeu est aussi de mieux cerner les effets de l’activité solaire sur le climat de la Terre, et d’améliorer les prévisions du cycle solaire et des orages géomagnétiques, à l’origine d'importantes perturbations sur les réseaux électriques et de communication.

 

Mission lunaire Chandrayaan-2: la Russie conçoit le module d'atterrissage



 

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L'Agence fédérale spatiale russe (Roskosmos) concevra un module d'atterrissage pour la mission spatiale russo-indienne Chandrayaan-2 à destination de la Lune, a annoncé vendredi aux journalistes le directeur adjoint de l'Agence Anatoli Chilov.

 

L'objectif de la mission est d'étudier le sol lunaire et de confirmer la présence d'eau, a annoncé M. Chilov lors du salon spatial Bengaluru Space Expo 2010.

 

Initialement, Roskosmos et l'agence spatiale indienne (ISRO) prévoyaient d'envoyer vers la Lune deux rovers (un indien et un russe). Cependant on a renoncé au rover russe pour des raisons financières.

 

La première sonde lunaire indienne Chandrayaan-1 a été lancée en octobre 2008. Elle avait transmis des informations sur la présence de molécules d'eau sur la Lune avant que le contact ait été perdu au mois d'août 2009.

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Merci pour les cartes de la Belgique, mais c'est peine perdue... :(

Chez nous le nombre de belles soirées d'astro (ciel dégagé, pas de vent, peu de turbu) est plus que restreint, sans compter l'éclairage public hyper-dense...

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Aujourd'hui que se soit des observations de nuit ou du soleil le ciel sera dégagé sauf dans le Nord / Nord Ouest (Attention au froid dans les Pyrénées Ariégeoises)

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Et pour nos amis Belges une petite carte :)

Gros nuage la journée et aucun la nuit ;)

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Et voici une carte des vents où sa souffle sur le Nord et la Méditerranée

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Uploaded with ImageShack.us

 

La fusée Danois repoussé au 2 septembre 2010

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Le lancement de la fusée HEAT1X, construite par les amateurs danois de Copenhagen Suborbital, initialement prévue ce lundi, a été repoussé au 2 septembre. L'engin doit d'abord être remorqué en mer Baltique le 31 août. Compte tenu de la météo, les chances de lancement le 2 septembre sont d'environ 40%, selon Copenhagen Suborbital.

Modifié par paolo31
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La notion de 'beau temps' n'est pas la même en France et en Belgique :lol:

 

En France il fait beau quand il ne pleut pas du tout et que le soleil brille tout le temps.

 

En Belgique il fait beau quand il ne pleut pas tout le temps et que le soleil brille parfois.

 

C'est dur, dur d'être astram en Belgique :cry:

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La notion de 'beau temps' n'est pas la même en France et en Belgique :lol:

 

En France il fait beau quand il ne pleut pas du tout et que le soleil brille tout le temps.

 

En Belgique il fait beau quand il ne pleut pas tout le temps et que le soleil brille parfois.

 

C'est dur, dur d'être astram en Belgique :cry:

 

Déménage dans le Sud :p

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A ma pension, je déménage à Saint-Véran, (le plus haut village de France) ;)

 

Content pour toi :)

Sa a l'air d'être un beau petit village ;)

 

Toute le France pourra observer le soleil sauf sur les frontière dans le Nord-Est.

Pour les observations de nuit toute la France pour observer mais attention a ne passe se faire attraper par le brouillard sur les côtes Atlantiques!

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Et pour nos amis Belges une petite carte ;)

Des observations peut être dans l'Ouest ...

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Et nouveau j'ai vus qu'il y avait quelque Suisse alors une carte de plus ;)

De la neige le matin :o^^

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Et pour finir la carte des vents ;)

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Et n'oubliez pas de regarder cette carte de la pollution lumineuse pour bien choisir son site ;) (Surtout les Belges)

http://avex.org.free.fr/cartes-pl/france/visuel/pl/

 

 

Vers 23HTU, la Lune passe à moins de 1° sous l'amas ouvert des Pléiades

 

Toutes proportions gardées, c’est un évènement assez semblable à l’éruption du volcan islandais d’avril dernier qu’a pu observer le satellite Chandra, mais cette fois à 50 millions d’années-lumière de la Terre.

Là où l’Eyjafjöll éructait des poches de gaz chaud qui entraînaient avec elles d’énormes quantités de poussières dans la haute atmosphère, le trou noir tapi au centre de la massive galaxie M87 projette à grande vitesse sous forme de jets (en blanc) des particules, lesquelles drainent dans leur sillage le gaz froid de la galaxie.

Ce brassage du gaz vers la périphérie de la galaxie vient contrarier le processus de formation d’étoiles, lequel a besoin de gaz froid et dense pour s’initier.

Située au centre de l’amas de galaxies de la Vierge, M87 est une galaxie elliptique dont le diamètre dépasse les 120 000 années-lumière.

 

Deux planètes éclipsent leur étoile

 

 

Pour la première fois, les astronomes ont vu deux planètes passer devant leur étoile. Ces deux astres, Kepler 9b et Kepler 9c, tournent respectivement en 19 et 39 jours autour de Kepler 9, une étoile de type solaire située à 2200 années-lumière dans la constellation de la Lyre. Toutes deux sont des géantes gazeuses de la taille de Saturne.

 

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Double éclipse par les planètes

Lorsqu'elles passent devant leur étoile, ces planètes diminuent la luminosité de celle-ci. Ce phénomène a permis leur détection par l'équipe de Matthew Holman, du Harvard-Smithsonian Center for Astrophysics, avec le satellite Kepler de la Nasa.

 

Les astronomes ont par ailleurs observé des irrégularités dans les passages des planètes devant l'étoile, comme le montre la vidéo ci-dessous. C'est le signe qu'elles ont l'une sur l'autre une influence gravitationnelle qui peut ralentir ou accélérer leur course.

 

"http://www.youtube.com/watch?v=Zdoh1IsSJFk&feature=player_embedded" via YouTube
ERROR: Si vous lisez ce texte, YouTube est hors-ligne ou vous n'avez pas installe Flash

Une découverte confirmée

Le nouveau système a été confirmé par une autre méthode, celle de la vitesse radiale (en observant le balancement de l'étoile dû à l'influence gravitationnelle des planètes) avec le télescope de 10m Keck (Hawaï). Ces mesures ont permis de déduire la masse de Kepler 9b et 9c: respectivement 80 et 54 fois celle la Terre.

 

Couplée à la taille, établie d'après la baisse de luminosité de l'étoile lors des transits, la masse va permettre de déduire la densité des deux nouvelles planètes et de construire des modèles de leur structure interne.

 

Systèmes planétaires multiples

De nombreux systèmes extrasolaires multiples ont déjà été détectés. Très récemment, une équipe de l'Observatoire austral européen a annoncé avoir détecté cinq, voire sept planètes autour de HD10180. Mais c'est la première fois qu'on observe un système passant devant son étoile.

 

Le système de Kepler 9 pourrait également comporter une troisième planète, celle-ci, de seulement 1,5 fois le rayon de notre planète. Elle tournerait en seulement 1,6 jour autour de son étoile. Mais des mesures supplémentaires sont nécessaires pour la confirmer.

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