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Les brêles des astro-motards!


ghim31

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Dites moi, je me demandais, je passe mon permis moto cet été, et normalement je devrais être limité à 34cv, mais niveau assurance c'est toujours cher une première moto non?

 

Nicolas

 

Heu...oui...pour ma 1ère "vraie" moto, une modeste Suzuki GSE 500 de 50cv (à l'époque il n'y avait pas de limitation à 34cv), je payais le double en assurance de ma voiture...

Et quand je suis passé à la Yam YZF600 de 100cv, un sympathique assureur me proposait de m'assurer en tous-risques pour la modique somme de 1700€ par an:eek:

Il y a tout intérêt à comparer, car à prestations d'assurance identiques, les prix peuvent varier du simple au triple...

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Cette fois j'ai tourné la page moto, hier après-midi...

 

Adieu les grosses balades.....ça devait forcément se terminer un jour.....

 

Pas bien drôle de voir sa titine partir avec quelqu'un d'autre....snifffff.....:cry:

 

Je vais pouvoir passer cet argent en achat de matériel d'astronomie.......;)

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Cette fois j'ai tourné la page moto, hier après-midi...

Adieu les grosses balades.....ça devait forcément se terminer un jour.....

Pas bien drôle de voir sa titine partir avec quelqu'un d'autre....snifffff.....:cry:

Je vais pouvoir passer cet argent en achat de matériel d'astronomie.......;)

 

Vois le bon côté des choses: avec les économies réalisées, tu vas pouvoir en acheter des oculaires!!:be:

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Dites moi, je me demandais, je passe mon permis moto cet été, et normalement je devrais être limité à 34cv, mais niveau assurance c'est toujours cher une première moto non?

 

Nicolas

 

Ça doit tourner aux alentours des 500€ par an au tiers pour un 500 en 34ch.

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  • 1 année plus tard...

Bonjour à tous,

 

je vais vous présenter mes montures passé et actuelle.

 

On commence par ma 1ère moto un 650 SV.

9m9p.jpg

 

La même 15 jours après l'avoir vendu, une femme a coupée la priorité au pauvre jeune.

9qbc.jpg

 

 

Ensuite ma 998S Final Edition revendu a l'ancien propriétaire.

 

En version route:

004hxl.jpg

 

En version piste (celle de mon avatar):

0312si.jpg

 

Mon actuelle 999 de piste:

rvwf.jpg

 

Et pour finir ma moto de tous les jours une Aprilia RST Futura:

20130417190205.jpg

 

Depuis j'ai viré la béquille centrale, elle frottait dans les virages.

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  • 2 mois plus tard...

Bon ben à mon tour maintenant de vous montrer ma première monture. Une belle magnifique :D Er6 N 2009 depuis à peine 2 ans (jeune permis + antécédents permis oblige), mais je l'adore, que du bonheur à son guidon

 

20120823203236.th.jpg

Modifié par Glory
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La liste de mes motocyclettes :

 

1978 : Honda CB125T d'occasion, volée.

1980 : Honda CB400N, ou Quat'd'amour, ou Quat sans haine; occasion.

Tuée sous moi par une Anglaise (une femme) du côté de Londres, qui déboîta pendant que je le dépassais. Diaphyse fémorale, crac.

1982 : Honda 250XLS d'occasion. Revendue à l'état d'épave (simple usure) à un restaurateur d'une autre épave.

1984 : Honda CB400N d'occasion, vite tombée en ruines. Revendue 100 francs en concession.

1984 : MZ 125 neuve. A fini comme source de pièces pour une autre.

1986 : MZ 125 d'occasion. Volée, retrouvée par la police et mise en fourrière chez un casseur. Abandonnée à cet homme honnête et probe pour prix des frais de garde.

1987 : MZ 250 neuve. Tuée sous moi du côté de Londres. Je roulais sur une autoroute, circulation intense en files parallèles, quand un automobiliste voulant changer de file a voulu ma place, purement et simplement. A peine une nuit en observation, avec un genou contusionné.

1990 : Yamaha 600SRX d'occasion. Un gromono routier fantastique, un engin réellement hors normes. Revendu après 10 000 km, avant que n'arrivent des frais de vraie moto.

1992 : Yamaha 125GN. Toujours assurée.

 

Et aussi la liste de mes aéronefs :

 

1977 : monoplace d'occasion Druine D.31 "Turbulent" en CNRA. Revendu en quasi-épave en 1981.

1998 : monoplace Mignet HM-293 d'occasion à moteur Rotax 503. Mis au rebut l'année suivante.

1998 : monoplace Jarnicoton (enfin, mon nom réel) conçu par mes soins, formule Mignet, type JT.IX, à moteur JPX 425. A effectué quelques lignes... pas droites. Mis au rebut.

1999 : monoplace Jarnicoton conçu par mes soins, type JT.IXA, formule Mignet, à moteur DAF. Mis au rebut après quinze heures.

2000 : monoplace Jarnicoton conçu par mes soins, type JT.X, à moteur DAF. Mis au rebut après vingt heures.

2002 : monoplace Jarnicoton conçu par mes soins, type JT.XI, à moteur VW. 530 heures, vole toujours.

 

Par principe je mets au rebut les aéronefs de ma conception que je n'utilise plus. Hors de question d'avoir un procès de veuve sotte et cupide.

Modifié par jarnicoton
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La liste de mes motocyclettes :

 

1978 : Honda CB125T d'occasion, volée.

Mon Dieu !... :oJarnicoton aurait donc été autrefois un "dérobeur" de motocyclette appartenant à autrui !... :( :( :(

 

Voyons, voyons : 2013-1978 = 35 ans ; tant mieux pour nous, il y a prescription :) ; donc nous n'avons point l'obligation de dénoncer légalement Jarnicoton :D :D :D . La prescrition pour un délit étant de cinq ans (article 133-3 du Code Pénal).

 

Roger le Cantalien. :rolleyes:

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La liste de mes motocyclettes :

 

1978 : Honda CB125T d'occasion, volée.

1980 : Honda CB400N, ou Quat'd'amour, ou Quat sans haine; occasion.

Tuée sous moi par une Anglaise (une femme) du côté de Londres, qui déboîta pendant que je le dépassais. Diaphyse fémorale, crac.

1982 : Honda 250XLS d'occasion. Revendue à l'état d'épave (simple usure) à un restaurateur d'une autre épave.

1984 : Honda CB400N d'occasion, vite tombée en ruines. Revendue 100 francs en concession.

1984 : MZ 125 neuve. A fini comme source de pièces pour une autre.

1986 : MZ 125 d'occasion. Volée, retrouvée par la police et mise en fourrière chez un casseur. Abandonnée à cet homme honnête et probe pour prix des frais de garde.

1987 : MZ 250 neuve. Tuée sous moi du côté de Londres. Je roulais sur une autoroute, circulation intense en files parallèles, quand un automobiliste voulant changer de file a voulu ma place, purement et simplement. A peine une nuit en observation, avec un genou contusionné.

1990 : Yamaha 600SRX d'occasion. Un gromono routier fantastique, un engin réellement hors normes. Revendu après 10 000 km, avant que n'arrivent des frais de vraie moto.

1992 : Yamaha 125GN. Toujours assurée.

 

Et aussi la liste de mes aéronefs :

 

1977 : monoplace d'occasion Druine D.31 "Turbulent" en CNRA. Revendu en quasi-épave en 1981.

1998 : monoplace Mignet HM-293 d'occasion à moteur Rotax 503. Mis au rebut l'année suivante.

1998 : monoplace Jarnicoton (enfin, mon nom réel) conçu par mes soins, formule Mignet, type JT.IX, à moteur JPX 425. A effectué quelques lignes... pas droites. Mis au rebut.

1999 : monoplace Jarnicoton conçu par mes soins, type JT.IXA, formule Mignet, à moteur DAF. Mis au rebut après quinze heures.

2000 : monoplace Jarnicoton conçu par mes soins, type JT.X, à moteur DAF. Mis au rebut après vingt heures.

2002 : monoplace Jarnicoton conçu par mes soins, type JT.XI, à moteur VW. 530 heures, vole toujours.

 

Par principe je mets au rebut les aéronefs de ma conception que je n'utilise plus. Hors de question d'avoir un procès de veuve sotte et cupide.

 

Tu as bien fait de tuer des motos plutôt que des avions.

Pourtant la formule Mignet y est plutôt prédisposée.

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Yamaha 600SRX d'occasion. Un gromono routier fantastique, un engin réellement hors normes.

 

Surtout pour des petits gabarits (comme moi).

 

J'ai adoré cette bécane!

Facile à dompter, il m'a fallu quand-même du temps avant d'avoir le "feeling" pour la démarrer au premier coup de kick.

 

Patte.

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Bon ben à mon tour maintenant de vous montrer ma première monture. Une belle magnifique :D Er6 N 2009 depuis à peine 2 ans (jeune permis + antécédents permis oblige), mais je l'adore, que du bonheur à son guidon

 

20120823203236.th.jpg

 

J'ai connu quelqu'un qui aimais rouler la poignée en coin......vers les étoiles...

Il a réussi à y arriver.......hélas....:cry:

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Yamaha 600SRX d'occasion. Un gromono routier fantastique, un engin réellement hors normes.

Surtout pour des petits gabarits (comme moi).

 

J'ai adoré cette bécane!

Ouaip, moi aussi, mais justement, je l'ai gardée, et j'en ai pris une autre au cas où... ;)

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voici une photo de mon ancien vendu en avril!!:( 600 klr de 1987 , toute refaite 6 mois avant la vente (700€ a mon frere) :( :( :( moteur(par mes soins) , kit chaine,joint spi de fourche , passage a un disque de 300 mm a l avant(merci patron) , durite aviation , modif frein arriere , cable d embraillage , pontet rigidificateur pour la fourche ( fabriquer au boulot). Mais j y reviendrais . SUPERMOTARD POWER!!:p

Son sacrifice n a pas servi a rien . J ai maintenant un 254/1200 ...

 

193174397198P80100151.jpg

Modifié par cyrille-86
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Tu as bien fait de tuer des motos plutôt que des avions.

Pourtant la formule Mignet y est plutôt prédisposée.

 

Puisque j'ai plus de cent heures sur quatre Pou différents, et que j'en ai conçu ab initio deux dont un a très bien marché, je peux me permettre quelques remarques.

Si :

- Le centrage est tel que la charge alaire de l'aile avant soit très supérieure à celle de l'aile arrière (pas loin du double, encore que -à vérifier- les Croses aient moins que cela),

- Le profil soit à très faible déplacement du centre de portance avec l'incidence (NACA série 23000) pour que même aux petits angles le manche ne pèse pas un âne mort dans la main,

Alors, les causes des accidents célèbres survenus avant la guerre est effacée.

 

(on montre que la puissance minimum à tenir le palier est pour un avion à voilures en tandem minimale quand les charges alaires sont égales devant et derrière, ce qui donne un appareil totalement instable ; à cause des moteurs sans puissance genre Aubier-Dunne et Harley, les amateurs des années 30 reculaient inconsidérément leur centrage pour conserver un peu de Vz ; résultat : tapis !)

 

En revanche, un Pou bien centré peut se permettre (je parle par expérience) pas loin du sol des voltes à basse vitesse qui tueraient en avion classique : pas d'autorot.

Modifié par jarnicoton
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Puisque j'ai plus de cent heures sur quatre Pou différents, et que j'en ai conçu ab initio deux dont un a très bien marché, je peux me permettre quelques remarques.

Si :

- Le centrage est tel que la charge alaire de l'aile avant soit très supérieure à celle de l'aile arrière (pas loin du double, encore que -à vérifier- les Croses aient moins que cela),

- Le profil soit à très faible déplacement du centre de portance avec l'incidence (NACA série 23000) pour que même aux petits angles le manche ne pèse pas un âne mort dans la main,

Alors, les causes des accidents célèbres survenus avant la guerre est effacée.

 

(on montre que la puissance minimum à tenir le palier est pour un avion à voilures en tandem minimale quand les charges alaires sont égales devant et derrière, ce qui donne un appareil totalement instable ; à cause des moteurs sans puissance genre Aubier-Dunne et Harley, les amateurs des années 30 reculaient inconsidérément leur centrage pour conserver un peu de Vz ; résultat : tapis !)

 

En revanche, un Pou bien centré peut se permettre (je parle par expérience) pas loin du sol des voltes à basse vitesse qui tueraient en avion classique : pas d'autorot.

 

Si tu mets le poids sur l'avant, l'aile arrière devient déporteuse et tu te retrouves avec un avion classique à grand empennage approchant aussi d'une aile volante à profil autostable. Ce qui a tué pas mal de pilotes avec les premières versions, c'est l'absence d'ailerons et aussi la certitude que l'engin ne décrochait pas. Il décrochait comme tous les plus lourd que l'air mais sans faire d'abattée, l'issue près du sol étant la même. La plupart des planeurs modernes font de même. La table de bistrot ou les voltes à faible vitesse et faible altitude, personnellement, j'évite.;)

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Si tu mets le poids sur l'avant, l'aile arrière devient déporteuse et tu te retrouves avec un avion classique à grand empennage approchant aussi d'une aile volante à profil autostable. Ce qui a tué pas mal de pilotes avec les premières versions, c'est l'absence d'ailerons et aussi la certitude que l'engin ne décrochait pas. Il décrochait comme tous les plus lourd que l'air mais sans faire d'abattée, l'issue près du sol étant la même. La plupart des planeurs modernes font de même. La table de bistrot ou les voltes à faible vitesse et faible altitude, personnellement, j'évite.;)

 

Oh la la... Personne ne centre un Pou intégralement sous l'aile avant, et personne ne cale négativement l'aile arrière, sauf des blagueurs qui ayant pris en effet l'aile arrière pour un empennage, et ayant entendu dire aussi qu'il n'y a sur un avion stable d'empennage que déporteur (la fable entretenue depuis cent ans, et qui est précisément démentie par l'existence des biplans en tandem), se sont amusés à caler une aile arrière à quelques degrés négatifs au lieu des quatre ou cinq ou plus, positifs, qui figurent sur les plans. Mais comme ils avaient centré normalement, le CG étant donc en arrière du seul centre de portance existant, celui de l'avant, ils n'ont même pas pu décoller ! Un numéro du Fana a rapporté la chose. Je pense qu'on peut très bien ou ne jamais décoller ou se tuer sur tout aéronef dont on ne respecte pas les plans.

 

Pour qu'un Pou centré de manière extravagante comme un avion classique devienne l'équivalent d'une aile volante à profil autostable, il faudrait précisément que l'aile arrière soit calée comme dans l'absurdité constructive évoquée ci-dessus.

 

Cela m'intéresserait d'apprendre comment l'absence d'ailerons a pu causer des accidents mortels de Pou. Je l'ignore tout à fait. En se posant par vent traversier violent ? parce qu'en vol, je ne comprends pas.

 

Je n'ai jamais su exactement ce qu'étaient ces fameux virages "en table de bistrot". S'agit-il d'un mouvement en lacet ailes à plat ? Je demande cela parce que j'ai constaté que plusieurs pilotes mais pas de Pou pensaient que les Mignet faute d'ailerons virent à plat. Or c'est impossible à faire car le roulis induit par la direction est au moins aussi efficace que des ailerons (c'est pourquoi les Mignet sont désagréables à l'atterrissage par vent de travers).

Modifié par jarnicoton
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Cela m'intéresserait d'apprendre comment l'absence d'ailerons a pu causer des accidents mortels de Pou. Je l'ignore tout à fait. En se posant par vent traversier violent ? parce qu'en vol, je ne comprends pas.

 

Je n'ai jamais su exactement ce qu'étaient ces fameux virages "en table de bistrot". S'agit-il d'un mouvement en lacet ailes à plat ? Je demande cela parce que j'ai constaté que plusieurs pilotes mais pas de Pou pensaient que les Mignet faute d'ailerons virent à plat. Or c'est impossible à faire car le roulis induit par la direction est au moins aussi efficace que des ailerons (c'est pourquoi les Mignet sont désagréables à l'atterrissage par vent de travers).

On est en train de polluer le post sur les brêles, mais bon...

Quand tu mets un "coup de tatane" pour tourner, sans mettre d'ailerons, sur les premiers poux il n'y en avait pas, tu fais un virage en table de bistrot ou à plat.

L'engin finit par s'incliner par effet de dièdre ou de roulis induit mais avec un décalage temporel dépendant entre autres du dièdre et de l'allongement.

Tu fais ça avec un badin comateux et une machine centrée un peu arrière, c'est le départ en vrille assuré. C'est comme cela qu'on démontre, avec de l'eau sous la quille (la seule qui soit vraiment utile), le départ en autorotation aux élèves avion ou planeur. Ca tue pas mal de monde en particulier pendant les derniers virages ou demi-tours hasardeux après décollage parce que, étant près du sol, les pilotes inexpérimentés n'osent pas mettre le nez vers le bas et incliner l'engin par peur de toucher les marguerites avec le saumon.

Comme celui-çi.

Mais je ne t'apprends rien:)

J'ai vu à Blois de superbes poux modernes. Peut-être le tien ?

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Si les modérateurs veulent ouvrir un autre sujet avec ceci, je n'y ai aucune opposition.

Il y a beaucoup de pilotes sur Webastro.

 

On est en train de polluer le post sur les brêles, mais bon...

Quand tu mets un "coup de tatane" pour tourner, sans mettre d'ailerons, sur les premiers poux il n'y en avait pas, tu fais un virage en table de bistrot ou à plat.

L'engin finit par s'incliner par effet de dièdre ou de roulis induit mais avec un décalage temporel dépendant entre autres du dièdre et de l'allongement.

Tu fais ça avec un badin comateux et une machine centrée un peu arrière, c'est le départ en vrille assuré. C'est comme cela qu'on démontre, avec de l'eau sous la quille (la seule qui soit vraiment utile), le départ en autorotation aux élèves avion ou planeur. Ca tue pas mal de monde en particulier pendant les derniers virages ou demi-tours hasardeux après décollage parce que, étant près du sol, les pilotes inexpérimentés n'osent pas mettre le nez vers le bas et incliner l'engin par peur de toucher les marguerites avec le saumon.

Comme celui-çi.

Mais je ne t'apprends rien:)

J'ai vu à Blois de superbes poux modernes. Peut-être le tien ?

 

 

Je suis proprement fasciné d'apprendre sur le comportement en vol des Pou des choses que je n'ai jamais observées. :b:

 

Pourtant je viens de recompter sur mes trois carnets : j'ai fait 164 vols sur 5 Pou différents dont 4 protos d'amateur (j'ai fait le pilote d'essai pour autrui).

 

Tu as écrit : sur les premiers Pou il n'y en avait pas (d'ailerons).

En 2013 encore les Pou à ailerons ne sont pas communs. Attention à ne pas prendre pour des ailerons des volets d'aile arrière, mus par un levier propre, qui servent uniquement à faciliter l'approche par vent de travers. Ce sont des "ailerons réglables et fixes une fois réglés" qui ne servent qu'à cela.

 

Mais je n'ai jamais piloté de Pou à ailerons. Et pourtant :

 

Tu as écrit : Quand tu mets un "coup de tatane" pour tourner sans ailerons [...] tu fais un virage [...] à plat.

Ca alors. En dix mille virages peut-être, cela ne m'est jamais arrivé. L'inclinaison est franche et immédiate. Et avec quelle gouverne pourrait-on la contrer ?

 

(Pas de tatane : la direction est au manche. "tatane" ici est de l' "avionclassicocentrisme") ;)

 

Tu as écrit : L'engin finit par s'incliner par effet de dièdre ou de roulis induit...

Pas par effet de dièdre, en tout cas : j'ai fait le pilote d'essai d'un Pou à dièdre nul ; il ne comportait pas autrement.

 

Tu as écrit : L'engin finit par s'incliner [...] mais avec un décalage temporel.

Il ne finit pas : à l'échelle humaine, c'est instantané. Je n'ai jamais observé ce décalage temporel. C'est propre à la formule ; c'est ainsi. Il existe forcément un décalage temporel, mais il n'est pas appréciable pour le pilote. Mieux : un pilote de trois-axes lâché sans double sur Mignet se fait souvent peur à cause de ce que l'engin est très chatouilleux en roulis.

 

Tu as écrit : Tu fais ça avec un badin comateux et une machine centrée un peu arrière, c'est le départ en vrille assuré.

Fais un vol en double en Pou biplace et essaie à l'altitude de ton choix tout ce que tu expliques là.

 

Il y eut dans les années cinquante l'affaire courtelinesque de Mignet ne parvenant pas pendant un certain temps à obtenir un CdN parce que le règlement du CdN exigeait ne sortie de vrille aisée, mais que le Pou présenté ne parvenait pas à être mis en vrille, d'où sortie aisée indémontrable.

 

Il y a, ou a eu, une bille sur les Pou "avion", par obligation réglementaire. Sur les Pou ULM, elle est allègrement oubliée : il y a forcément dérapage transitoire à la mise en virage, et on n'y peut rien faire ! A basse vitesse cela devrait donc mettre en vrille à chaque fois ? Non, même la descente parachutale (ce que tu signalais comme décrochage sans abattée) reste contrôlable en roulis (via la direction).

 

Pierre Mignet, fils de Henri, m'a dit avoir réussi un jour un quart de tour de vrille sur un Pou complètement hors norme : à savoir avec un entreplan horizontal de deux cordes. En somme ce n'était plus un Mignet.

 

Je ne suis pas étonné par ton argumentaire ; il est habituel. D'autre part je n'ai pas de Pou depuis dix ans. La chose m'a intéressé assez pour que j'en construise deux, et aussi pour que je continue d'en faire plusieurs fois par an sur celui d'un autre. Je vole habituellement sur mon trois-axes, pour être affranchi du désagrément réel du vent traversier à l'atterrissage en Pou, et aussi parce que c'est difficile à construire sans trop de Cx, et parce que finalement l'esthétique... bah !

 

J'ai 100 heures de Pou à côté de 1400 heures de trois-axes : planeur, avion, ulm. C'est dire que je ne suis pas un fanatique borné (il y en a) de la formule Mignet. Seulement, c'est un fait depuis quatre-vingts ans que beaucoup de pilotes sans expérience personnelle du deux-axes Mignet lui attribuent avec constance les qualités de vol et dangers que présenterait un trois-axes dont on aurait bloqué les ailerons.

Modifié par jarnicoton
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Sympa ce fil "motos", quand le ciel ne s'ouvre pas, ça fait dérivatif!

 

Mes motos...en vrac ce furent:

 

DT 175 Yamaha (1974, ma première moto !)

JM-Aix-moto-1.JPG

Le casque n'était pas encore passé dans les moeurs !!!!

BMW R 75 - 5 de gendarmerie, ma première grande routière et mes premières vraies ballades.

125 XL Honda

Yamaha XT 500 (j'en ai eu 3, de la toute première blanche avect le XT noir, à la dernière réservoir alu et filet rouge, cette dernière volée à Vincennes à 1.500kms...) de sacrées machines!

Un BMW 600

Yamaha 125 DTLC

Un BMW R90S

Une Yamaha 900XJ

Une Yamaha 1200 FJ

Un 600 Ténéré bleu gitane

Yamaha TDM j'ai eu le 750 puis le 900:

2003-09-034.JPG

Un Yam 600 TT

Une Montesa Cota 247

Une Suzuki DR (650?)

Une BMW 1150 RT (chère et décevante... ma dernière routière)

Une Yamaha 250 Tricker (que j'aurais du garder, un jouet urbain idéal)

Moto---0029.JPG

Une Yamaha WR 250 R

Une Enduro Husqvarna 250, vieille mais géniale.

Et ma petite dernière, une géniale enduro BETA RR 350 - 4T un vélo à gadoue et franchissement, un pur bonheur pour randonneur de sous bois: 2013-02-03-10.41.57.jpg

Bon... je regarde avec intérêt les Sherko..... et, pour la promenade routière je craquerais bien pour une Royal Enfield, juste pour le look et la nostalgie. :)

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