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  1. Sebriviere

    Sebriviere

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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 12/10/2020 dans toutes les zones

  1. 1 point
  2. Possesseur d'une monture Celestron CGX-L depuis peu, je n'ai pu m"empêcher d'aller voir ce quelle avait dans le ventre (j'y peux rien c'est mon dada). La monture fonctionne bien, mais je n'ai pu faire encore de test suffisamment précis jusque la. Mais j'ai déja trouvé un petit truc à améliorer, facile à faire: les courroies. Je ne connais pas leur marque (il n'y a rien de noter) mais ça doit être une fabrication bon marché d'extrème-orient car elle présentent de grosses déformations, voila la vidéo des courroies d'origine: https://youtu.be/XPqa6mHNNqE J'ai trouvé des courroies Contitech avec les mêmes caractéristiques sur RS: c'est ce modèle Voila le résultat après remplacement, y'a pas photo. https://youtu.be/-QyVPybyrgo Bon peut-être que cela n'apportera rien en terme de suivi mais j'aime bien que la mécanique tourne "comme une horloge". Je pense que ces courroies peuvent convenir également à la CGX qui possède la même mécanique.
    1 point
  3. Prolégomènes : Pointer au dobson relève d'une démarche qui de prime abord apparait comme instinctive, que l'on pourrait presque qualifier de "naturelle" au même titre que marcher ou faire du vélo. En fait, comme pour pour ces deux dernière activités, cela passe par un apprentissage concret, en situation (pas dans les livres, les cartes, les docs...). Il s'agit d'abord de pouvoir s'y retrouver en regardant là-haut, comme ça, simplement : Identifier les différentes zones, voir comment elles s'agencent les unes par rapport aux autres, comment elles bougent, délimiter des territoires....Ensuite de savoir repérer les étoiles qui sont les points de départ des chemins conduisant aux astérismes (petits motifs d'étoiles) balisant fréquemment les objets convoités. Utiliser un dobson suppose, selon moi, un goût pour une connaissance globale du ciel à l'oeil nu. La première étape donc, pour commencer à pointer avec un dobson, c'est de le laisser de côté (ça tombe bien il y a des délais de livraison...), observer à l'oeil nu (on dira par la suite "à l'oeil", simplement, par allusion à la beauté gratuite du monde céleste) et creuser un peu aux jumelles. Oui, il faut des jumelles quand on a un dobson (et aussi quand on n'en a pas). Une bonne vieille paire de 10X50 (50 est un diamètre OK pour la luminosité qui garde l'instrument léger, maniable pour être tenu à main levée - oui, en astronomie visuelle et désinvolte, les jumelles s'utilisent à main levée, en liberté. Les grosses jumelles sur pied, c'est autre chose, je n'en traite pas ici - et 10 X est un grossissement idéal pour combiner champ important et capacité à voir pas mal de choses du ciel profond.) Introduction : Je présente ici mon approche. Je ne la prétends ni universelle, ni optimale, ni même particulièrement intelligente ou astucieuse. Bien au contraire, elle est simple, voire simpliste, facile à mettre en oeuvre (ce qui ne veut pas dire que le ciel se livre sans résistance), progressive, lente, détendue, bref elle me convient. C'est celle que j'ai adoptée spontanément (en pillant - "Le plagiat est nécessaire, le progrès l'implique" (Lautréamont, Poésies)" - allègrement toutes les infos, idées et méthodes dans des bouquins, des posts, des sites où on parlait de ciel profond, de visuel et de star hopping, d'alignements et de constellations...). Deux yeux, une paire de jumelles, un dobson, des cartes élémentaires qu'on trouve un peu partout pour rien (C&E, Astromag, Sky and Telescope, site Dibonsmith, le parcellaire réalisé par LittleSoket, le site indiqué par Takaya sur les constellations...tout peut faire l'affaire pour le "travail" préparatoire de jour), quelques infos sur les constellations au fur et à mesure. Tout ça à étudier un peu avant, à reconsulter après. Mais rien sur le terrain, on n'ouvre pas un bouquin (encore moins un micro!). Les yeux dans le noir, bâtonnets à leur maximum d'efficacité, juste une frontale complètement masquée de ruban rouge, de quoi distinguer quelque obstacle à 50 cm, point barre. Tout dans le regard. Bien sûr, on peut se délecter à la consultation d'ouvrages tels que le Sky Atlas 2000, Night Sky Observer's guide, tout ça...mais rien n'est indispensble pour entamer le voyage et aller déjà assez loin. Donc dans l'explication de mon approche, pas de dessins, pas de croquis, pas de cartes...pour au moins trois bonnes raisons : 1 On trouve tout ça un peu partout . 2 On peut toujours raconter les chemins d'étoiles avec des mots, n'en déplaise aux adeptes du laser vert. 3 La nuit sur le terrain, on n'a pas de doc. Juste les yeux et le cerveau - qui enregistre tout, se souvient de tout, pas seulement des schémas célestes, mais aussi des mouvements musculaires qu'on fait avec les jumelles pour pointer une galaxie ou un amas...- et bien sûr les extensions optiques simples que sont les jumelles et le dobson. Les balades dans l'ordre (à suivre scrupuleusement bien sûr, la désinvolture n'est pas l'anarchie... ) La Grande Ourse Cassiopée La Vierge Le Bouvier Ciel d'été Le Sagittaire Le Scorpion Ophiuchus Pegase-Andromède-Persée Le Lion
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