Surprenant! Je conviens qu'il faut une certaine habitude mais quand on a compris le principe on fait cela machinalement... C'est pour moi maintenant d'une facilité déconcertante... Et quelque part cela fait aussi partie de la maitrise de l'instrument de savoir ce qui s'y passe... y compris en dehors de l'adaptation d'un imageur quelconque... Et la méthode n'a absolument rien de pifométrique, elle est basé sur des principes expérimentaux assez clairs. Elle m'a été montrée par un observateur très chevronné que je ne citerais pas mais qui à l'expérience de plusieurs très grands diamètres... Faut dire que la mise au point d'un T600 fait qu'à la longue on finit par avoir une certaine connaissance des images intras et extra focale à la recherche d'irrégularités dues par exemple aux différents astigmatismes (pliure, qualité du miroir et du barillet, contraintes etc), cela fait que l'on connait le comportement en visuel notamment en observant la Polaire. En plus, la Polaire est vraiment d'un grand intérêt, outre qu'il n'y a pas besoin de suivit pour un dobson, elle a un compagnon de plus faible magnitude dont on peut apprécier directement le piqué lorsque l'instrument est collimaté. Après un bon test est d'aller voire la centrale dans M57 les jours de faible turbu...
C'est vrai que le tuBlug parait une solution plutôt séduisante mais je n'en ressens pas le besoin. Le baader de base me convient très bien pour une pré-collimation.