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maire

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Tout ce qui a été posté par maire

  1. Oui y jeter un œil dans ce T1140 serait intéressant. Bel engin hors normes c'est clair. Je me permet 2 remarques: le secondaire me semble proportionnellement petit mais c'est peut-être trompeur. Il ouvre à combien? qq sait? Le barillet, sauf erreur, ne semble pas astatique. Barillet double étage à 45 points?
  2. Oui mais les structures Ces 2 là sont - avantage intéressant s'il en est - facilement déplaçables grâce à des structures dobsons à barillet astatique relativement légère qui de plus ont montré par là que l'usage du bois est possible en utilisation composite pour de très grand diamètre. Ce qui n'est pas (ou peu) le cas des structures métalliques.
  3. Tu veux une nouvelle révélation sur le piqué en bord de champ? Essaie le NIKON NAV HW 12,5mm 100°
  4. Pour du visuel, faut oublier la monture équatoriale... surtout si on s'oriente vers vers un dobson T300. Après tu fais l'acquisition de l'Atlas de notre ami Jean Louis Candes... (rédigé avec ce qu'on peut voir au T200, je l'ai vu pratiquer aux RAAGSO). Après un bon site... euh quand on fait la démarche d'aller vers un grand diamètre... on fini par trouver le site qui va bien Quand tu auras observé tous les objets qui se trouvent dans cet atlas, un grand pas sera franchi Et effectivement un petit 12/13mm si possible à grand champ est indispensable.
  5. maire

    T400 en aluminium

    C'est aussi ce qui m'est apparu de prime abord. La béquille du PO doit monter jusqu'en haut. Tout ce qui concours à la limitation de la flexion est bon à prendre Pour les tubes, vu qu'ils sont verrouillés par des cornières, j'aurais choisi du "plus gros" ou alors des tubes en carbone pultrudé. Intuitivement je consoliderais les sources possibles de flexion (les raccords via cornières peut en être une parmi d'autres) pour limiter les risques cotés déviance de la collimation. Car sur un telescope dobson, quel qu'il soit, hors de question de ne pas pouvoir adapter des oculaires 2 pouces + un éventuel paracorr... On dépasse vite le kilo avec ces verres là... Du coup attention au porte à faux. En tout cas très bel instrument qui respire la qualité (même si les rivets ce n'est pas mon truc...). L’araignée pyramidale est extra. J'aime beaucoup.
  6. On peut encore gravir le sommet avec un Nikon NAV 17mm HW pourrait bien te faire oublier l'Ethos...
  7. En pratique aussi, un T600 bien conçu (ce qui exclu par exemple le principe du flex rocker pour des questions d’optimisation de taille et rangement) est facilement manipulable par un seul être humain
  8. maire

    dobson 400mm

    Et peut-être aussi qu'on peut les recouvrir de carbone tissé selon les directions de contraintes mécaniques...
  9. Encore un truc qui prouve que la moulinette et autres formes de modélisation d'un choix de télescope est vain...
  10. En matière d'imagerie (puisque à mon sens l'evscope n'est qu'un simple accessoire d'imagerie), le totalement automatique n'existe pas... On parle alors souvent de semi-automatique. Et une IA qui serait "transposable" d'un instrument à un autre doit avoir en tête une sacré bibliothèque de chaines d'acquisition d'images (c'est à dire depuis le et aussi faire preuve d'une certaine adaptabilité en sommes une capacité d'apprentissage) et lorsque la dite IA est confronté à un instrument dont le principe s’écarterait d'un type instrument mémorisé dans la bibliothèque en mémoire... une telle modélisation n'est pas forcément, à ce jour, à la porté du monde des amateurs... On peut estimer que l'IA puisse répondre ou du moins approcher cette problématique... mais pour ma part (même si j'ai appris à raisonner sur ce questionnement ) cela ne m'intéresse pas. Ici j'ai une pratique amateur, ainsi je ne fais que du visuel, et pour être clair, la chaine d’acquisition d'images se résume à (et seulement à) : cerveau- oeil - oculaire (filtre OIII éventuellement, sans barlow 😁) - miroir secondaire - miroir primaire - atmosphère - astre. Pas question d'un quelconque amplificateur d'images, de déconvolution, de PSF, etc dans l'histoire
  11. Est-ce que "la com" est réellement un problème? Quand des fabricants (je préfère ce terme à artisan vue la technicité de la chose) sont sur des marchés de niche comme cela a été mentionné, la seule "com" qui prévaut est celle de la réputation et de l'explication (plus ou moins technique selon les profils) au client. Pas besoin d'avoir fait "sup de com" pour penser cela... La communication est réservée aux processus industriels qui nécessitent de passer par des "normes"... de fabrication etc... il y a toujours des gens pour fabriquer de nouveaux indicateurs de qualité, de nouvelles normes, d'optimisation de ..., sur lesquels des cohortes de spécialistes doivent se former... et du coup il faudra un ou une communicante pour expliquer tout cela et le positionnement pertinent par rapport à la concurrence... C'est un cercle visqueux 😁 ... alors qu'intrinsèquement toute cette agitation peut être perçue comme bien inutile...
  12. Félicitation pour cet instrument! Si pas de problème de budget (car les conseilleurs ne sont pas les payeurs...), pour son piqué en bord de champ, j'opterai plutôt pour un Nikon NAV 12,5mm avec Eic (ce qui donne la possibilité d'une focale de 10mm) en lieu et place de l'Ethos 8. J'ai actuellement la gamme suivante: Nagler 2,5mm(pour la collimation en cas de faible turbulence). Ethos 4,7mm. Nikon Nav HW (100°) 12,5mm (c'est mon oculaire à tout faire), Nagler 26 (à défaut de l'Ethos 21...), le parracor de type2 monté sur un T300 F/4 . Aucune barlow... Un très bon OIII Lumicon première génération qui a fait l'objet d'un tri sur la sélectivité... Après j'ai quelques bricoles, un ortho 6mmm etc
  13. Euh pas trop d'accord avec ça, si le dob F/3 (dont la construction devra ête soigné en conséquence...) est destiné à être placé sur une table équatoriale. On reste assis pour observer... ou éventuellement faire de la photos (pour ceux qui aiment...) avec un dérotateur de champ.
  14. L'ethos 21 est sans aucun doute extraordinaire... (plus grand champ, grossissement réduit donc font plus noir, donc meilleure détectabilité visuelle sur les objets du ciel profond) mais trouver un Nagler 26 en occasion aurait été la meilleure solution sans doute... Moins cher... le souci est que le Nagler 26 est rare en occasion... et Televue a arrêté cet oculaire pour des raisons qui me sont obscures. Là je viens de compter 3 annonces de recherches de Nagler 26... et aucun à la vente! Le mien n'est pas à vendre...
  15. Il y en a pourtant, entres autres: -assurer la symétrie de l'axe de rotation en azimut -assurer la rigidité du bras (avec une triangulation minimum... même si celui ci est rigide...) -architecture très particulière de la cage du secondaire -adaptabilité mécanique de la structure de la caisse du primaire au positionnement du bras -prévoir un dispositif de bafflage qui de toute manière ne peut pas être une jupe (déjà que l'usage de la jupe sur un télescope dobson conventionnel c'est hautement merdique...) Etc etc. Par ailleurs, un miroir de 600 de 45mm c'est comment dire... très très très mince! A supposer qu'il soit bon, il faut avoir un barillet qui tienne vraiment la route!
  16. Sans doute... J'ai un T300 monobras Cette photo je la connait, elle a contribué à la réalisation de mon prototype. Mais je préviens, sans prétentions, avant de construire un monobras, il vaut mieux avoir l'expérience préalable d'un dobson classique pour en maitriser les enjeux...
  17. Bravo! A l'usage, la collimation électrique sur un T600 c'est d'un confort inégalé.
  18. Je n'ai pas encore vu vraiment d'explications pratiques... On part du principe que le secondaire et le PO sont correctement alignés et qu'on agit sur les vis du primaire Notre ami veut collimater un instrument à F/4 qui est donc assez court. Sur une étoile (la Polaire comme de bien entendu) en utilisant un oculaire de courte focale (Ethos 4,7mm pour ma part), il faut matérialiser l'image en intra et extra-focale proche de la focalisation (de plus en plus proche jusqu'à 5 anneaux environ à la louche comme cela a été dit). Là une notion intéressante : plus le F/D est réduit plus le décalage de l’offset se perçoit mieux à l'oculaire. A F/4 il se perçoit de façon flagrante. Il faut commencer par matérialiser l'image du secondaire et passer d'intra à extra-focale. Le point le plus important de se se fixer à l’œil un axe imaginaire en agissant sur le PO de manière équivalente. Et là en principe quand l'instrument est collimaté, le centre de l'image du secondaire est décalé de la même manière en intra qu'en extra par rapport à cette axe imaginaire (pas si imaginaire que ça car cet axe passe par une droite qui passe par le point de focalisation et perpendiculaire à la droite qui passe par les centres des images du secondaire... ). Si ce n'est pas le cas agir sur les vis du collimation du primaire pour arriver à cette situation. Affiner plusieurs fois cette manip jusqu'à se rapprocher de la focalisation. Une fois focalisé, ce n'est pas fini... observer comment se réparti les points d'apparitions de la turbulence... (les tavelures en français, speckle en langue de l'autre coté de la Manche)... car les nuits d'observation sans turbulence sont assez rares... Agir alors très finement sur les vis de collimation du primaire (c'est là que l'on voit aussi la qualité d'un barillet...) de manière à répartir "statistiquement" la turbulence de l'étoile (toujours à fort grossissement, et bien entendu, toujours ramener l'étoile au centre de l'image après chaque actions sur les vis du primaire). C'est pour cela que cette méthode s'utilise aussi sur des instruments de grand diamètre (la plupart étant à F/D court...) car avec l'expérience on peut évaluer statistiquement (l'œil est un formidable intégrateur...) la répartition des tavelures (speckle). J'ai aussi un Nagler 2,5mm (cest pour la collimation essentiellement que je garde cet oculaire que Televue ne fabrique plus... honte à eux!) qui parfois me permet de pousser un peu plus loin la manip lorsque la turbulence est réduite...
  19. En journée ou sur le fond du ciel crépusculaire, c'est une très bonne méthode et quand la nuit tombe je (re)valide sur une étoile.
  20. Ceci étant, j'ai résolu ce problème depuis longtemps... je finalise toujours la collimation sur une étoile avec un oculaire courte focale et grand champ (pour amener l'étoile plus facilement au centre du champ). Aussi le laser n'a pas besoin d'être un foudre de guerre (genre Hotech, ou autre truc très très cher...). De plus une fois l'instrument collimaté sur une étoile au petits oignons, on peut valider si le laser est bon... Pour ma part j'utilise un baader pour d'abord aligner les miroirs et ensuite je finalise sur une étoile.
  21. maire

    Focuser DIY

    C'est un site anglophone ici??! On peut avantageusement remplacer DIY par "fait maison"
  22. maire

    Construction dobson

    Et aussi ... http://www.astrosurf.com/altaz/
  23. On discute beaucoup de distorsions (et ses différents types) en bord de champ... C'est très bien d'en comprendre les tenants et les aboutissants des limites optiques. Cette distorsion, on le sait il y en a, mais ce qui est important c'est d'observer. Observer avec 100° un amas de galaxies c'est quand même quelque chose. L'intérêt d'un bon oculaire très grand champ (100° et plus) c'est aussi d'avoir du piqué jusqu'au bord! Et là quand on mentionne les Nikon NAV HW (malheureusement il n'y a que 2 références 12,5 et 17mm) ça commence à parler. C'est pourquoi au dessus de 20mm, je ne vois pas trop l'intérêt de l'ultra grand champ, aussi j'ai fais le choix du Nagler 26mm à 82° car à la fois j'ai une pupille raisonnable, un relativement grand champ, la qualité Televue. Sauf que de manière inexpliquée, Televue a ôté cet oculaire du catalogue...
  24. maire

    projet un peu fou

    La folie est une notion bien relative... Bienvenue dans le monde des constructeurs de télescopes! J'ai tendance à dire que si le miroir du télescope précédent était une bouse, il en faut un nouveau qui marque une vrai différence... Un miroir d’artisan par exemple, (ou si tu te fais aider pourquoi pas une opportunité dans les petites annonces... mais un T400 c'est ce qui est le plus souvent recherché... ) mais bon les conseilleurs ne sont pas les payeurs. Car réaliser directement soi-même un miroir 400mm avec un état de surface canon n'est pas donné à tout le monde. Je pense que cela a déjà été dit mais il faut un minimum d’expérience (genre sur un 200) avant de s'y attaquer. Un ami qui a fait un premier stage avant de réaliser son 460, il ne dit pas le contraire. Et puis après tout dépend du niveau de patience... Moi j'ai tendance à dire que c'est préférable de commencer à construire une fois le miroir primaire dans sa besace... (et secondaire). On travaille alors avec les vrais dimensions et masses pour se mettre à la structure. Les logiciels de modélisation 3D n'apportent que très peu... par rapport à ce qu'on peut lire des expériences des autres amateurs qui ont fait des constructions. Et il y a aussi des sites de référence pour ça. Mais c'est un avis personnel...
  25. Bon désolé, je ne peux plus monter à Beille, j'habite désormais en Alsace Meilleurs vœux à tous.
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