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CCD1024

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Messages posté(e)s par CCD1024

  1. Le 26/01/2024 à 13:03, nico1038 a dit :

    Le platesolving est quand même important car il est nécessaire pour utiliser SPCC (l'outil de calibration des couleurs).

    Tu peux rentrer les informations nécessaires avant même de lancer WBPP dans la partie "Astrometric Solution" de l'onglet Lights. Ça évite que le WBPP s'arrete en cours de routepour te demander les infos

    Si tu ne trouves pas les infos nécessaires, donne nous la liste de ton matos et on pourra t'aider (ton imageur et la focale de ton instrument)

     

    tu peux faire le platesolve à la fin, après avoir cropé les bords (sinon ça s’efface des que tu modifies la géométrie de l’image. Ca prend 2 minutes à faire.

    Ensuite tu fais les SPCC et autres traitements qui vont bien (BlurX, noiseX, starX, GHS, et bien d’autres

  2. Le 21/01/2024 à 18:47, Joel95 a dit :

    Bon l'équipe PixInsight vient de valider mon certificat qui me permet de signer mes scripts et proposer l'installation standard 🙂

     

    Je propose 2 packages pour utiliser GraXpert: GraXpert "All in One" qui est la continuité de GraXpert4PixInsight et GraXpert "Suite" qui offre un menu GraXpert avec des raccourcis sur les différentes fonctions.

     

    Dans les 2 packages, il est possible d'utiliser le mode IA ou d'ouvrir à partir de PixInsight une photo dans GraXpert et l'importer dans PixInsight après traitement et cela quelque soit le mode d'interpolation utilisé...

     

    Pour l'installation, tout est expliqué ici: https://www.deepskyforge.com

     

    Je dois prendre du temps pour écrire la documentation...

     

    A+

     

    Merci Joel pour ton travail !

    Ton script est vraiment sympa (et un peu plus convivial que celui de toolbox) ! 

    Chez moi, il a remplacé l'autre script.

    • J'aime 2
  3. Bonjour

    Il faut rentrer les coordonnées de ta photo et les caractéristiques de l'échantillonnage (ou focale et pixel) sinon il ne peut pas savoir).

    Tu peux bien entendu te passer de cette étape de plate solve. Ce n'est absolument pas indispensable (voire inutile)

    • J'aime 1
  4. Il y a 18 heures, Titophe a dit :

    @CCD1024 Merci et bravo pour ce résumé synthétique des différents workflow de PixInsight. Cela donne envie d'approfondir différents sujets. Si je comprends bien c'est ce qui est prévu au programme du stage AIP de février. Peux-tu en dire plus sur le programme car j'hésite à venir vu que ce n'est pas la porte à côté de chez moi ?

     

     

    Merci

    Il y aura plusieurs groupes et effectivement le programme (en cours d'élaboration) est centré autour de ces nouvelles méthodes de traitement. 

     

     

    Le 04/01/2024 à 16:06, Discret68 a dit :

    Salut Phillips et bravo pour la tâche accomplie. Je vais mettre en œuvre rapidement certains de tes diagrammes.

     

    J’attends également avec une certaine impatience les tutos complémentaires, notamment celui concernant GHS, qui présente certes des possibilités intéressantes mais dont les premières mises en œuvre sont laborieuses pour le novice.

     

    Si on a des questions précises, où peut (ou doit) on les poser ?

     

    Bon travail et surtout .... ne te laisse pas trop distraire, tu as du pain sur la planche 😁

     

    Jean-Pierre

    Merci

    Si tu as des questions, tu peux me les poser en messagerie.

    Le problème d'un tuto sur une fonction est toujours délicat car ça dépend complètement de l'image. Par exemple je n'utilise pas GHS de la même façon entre mes images du remote au Chili et celles à l'APN faites en nomade en France. Mais il faut avoir une méthode empirique qui s'adapte un peu à tout. Après c'est l'expérience qui fait le reste.

  5. Bonjour à tous

     

    J'ai écrit des diagrammes représentant 11 principes de traitements sous pixinsight en utilisant les dernières méthodes de traitements à la mode . Cela concerne les images couleurs RGB, les images couleurs "dualband",  les images mono LRGBSHO... :
    https://astro-photographie.fr/traitement_pixinsight.html

     

    Attention Bien entendu, ces méthodes ne conviendront pas (ou ne plairont pas) à certains. Ce n’est pas un problème. Chacun est libre de traiter comme il le souhaite. Après tout, peu importe la méthode, c'est le résultat qui compte.

    Les 3 process (payants) de RC-astro ne sont pas non plus obligatoires. Ils peuvent être remplacés par Starnet2, EZ-Denoise et ne pas appliquer de déconvolution (c'est dommage car BlurX v2 est vraiment top en correction d'étoiles).

    Il y a suffisamment de tutos sur YT ou sur certains site pour satisfaire tout le monde. 

     

    Sur mes diagrammes, même si l'icone ne le réprésente pas, la montée en non-linéaire utilise uniquement le puissant GHS (Generalized Hyperbolic Stretch) qui est vraiment puissant malgré ses nombreux réglages.

     

    Le stage Astro Images Processing A.I.P de février permettra de revenir sur ces méthodes et voir en détails certains réglages des process et scripts.

     

    D'autres tutos sont en préparation, notamment GHS, les process RC-astro, la soustraction du continuum des images narrowband, la calibration photométrique des couleurs... mais ça demande du temps (et de la motivation)

     

    a+ philippe

     

     

    process.thumb.jpg.3fa3b07b09c5413eddaa66245fae077c.jpg

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  6. Il y a 18 heures, nico1038 a dit :

    L'empilement lui même n'est qu'une moyenne

     

    non, ce n’est pas qu’une moyenne !

    chaque image se voit attribuer un coefficient (qualité, fwhm, roundness, SNR…) ainsi qu’une opération (addition ou multiplication) suivant un calcul précis. On peut obtenir une image très piquée mais bruitée ou bien une image où toutes les données seront prises. Il y a bien sur les algorithmes de réjections qui peuvent aussi modifier le SNR final selon l’algorithme et les bornes programmées.

     

    La calibration des images est bien entendu une étape importante mais elle n’a pas vraiment 50 méthodes…

  7. Il y a 7 heures, nico1038 a dit :

    Une comparaison des images calibrées et (surtout) des images alignées  me semble particulièrement intéressante (l'empilement finale étant un process assez simple finalement et qui ne doit pas produire de différence significative).

     

    Non, l’alignement et surtout l’empilement sont les facteurs les plus importants et là où toutes les différences se font ! c’est devenu primordial car on peut vraiment avoir des différences significatives en fonction des algorithmes. Et WBPP ne donne pas accès à toutes les fonctionnalités du process integration.

  8. Le 21/11/2023 à 16:37, nico1038 a dit :

    Je ne trouve pas que ce soit particulièrement compliqué dans Pix. C'est une affaire de perception sans doute mais, une fois que le principe des mots clés est compris, c'est assez logique je trouve et  WBPP communique très bien sur ce qu'il va faire ce qui permet de vérifier que tout est ok avant de lancer.

    Et surtout, le gros avantage c'est la versatilité du système qui peut traiter à peu près tous les cas de figure. Par exemple le cas classique d'une image acquise sur plusieurs nuits (avec des fichiers de calibration propres à chaque nuit) ou, ce que je fais souvent, le traitement de plusieurs tuiles d'une mosaïque (ce qui est très différent étant donné qu'il faut aligner chaque tuile sur une image de référence différente).

     

    Oui je suis d'accord avec toi (étant utilisateur de Pix depuis sa version 1.0 LE) mais sur ce point APP est bien plus convivial. Par contre, dans mes tests, le S/B de Pix, même en mode WBPP high quality est moins bon que APP (un chouia). Je n'ai pas encore fini le test avec Siril (je ne suis pas habitué à ce logiciel donc je teste les différents réglages).  Le problème de WBPP est que contrairement au mode manuel (on utilise chaque process les uns après les autres), on n'a pas tous les réglages possibles des fonctions importantes comme la registration ou l'empilement. On n'a pas vraiment le choix des algorithmes ni des fonctions de distorsion. Car lorsqu'on optimise vraiment, on obtient des résultats un peu meilleurs. Mais c'est encore plus long.  Donc pour ma part c'est APP que j'utilise (en mode optimisé aussi) pour le prétraitement. 

  9. Oui c'est un peu compliqué à faire sous PIX sauf à juste lancer la calibration de chaque nuit indépendamment (ça ne prend pas longtemps à faire) et ensuite repartir dans WBPP avec toutes les images calibrées et faire le prétraitement classique.

     

    Siril avec Sirilic fait ça avec les scripts... Question aux auteurs pourquoi faire si compliqué alors que ces options de nuits 1, 2, 3... pourraient faire partie de Siril.

    Et dire qu'on le faisait il y a 20 ans avec Deep Sky Stacker 😁

     

    Allez, le must... AstroPixel Processor fait ça en 1 passe sans aucun script ni programme externe. On définit juste les flat, (éventuellement les dark, bias) et les images de la session 1, 2, 3... il n'y a pas de limite (ça peut même être des caméras différentes et des dark et flats différents). Il génère les masters automatiquement en fonction des sessions et des filtres et les "accroche" aux images correspondantes. Nous utilisons exclusivement APP pour prétraiter nos images du Chili. Les dernières versions de APP sont rapides. J'utilise aussi pour mes images nomades en APN couleur (et dualband).

    D'ailleurs, je viens de faire un nouveau test avec 750 images S, H, O, R, G, B, entre APP, Pixinsight WBPP (méthode complète), et Siril (toujours en cours sur Siril car j'ai quelques problèmes).

    Comme je suis sur Mac, c'est dommage car j'aurais même poussé le test jusqu'à la nouvelle version de DSS (mais que windows)

     

  10. Dejà, masquer la nébuleuse pour traiter le fond de ciel n'est pas forcément la méthode la plus récente et peut d'ailleurs être très dangereuse en cas de correction très importante (transitions visibles)

     

    ACDNR fonctionnait sur des images NON-LINEAIRES, donc le masque pouvait se créer en visu.

    Mais :

     

    1) Tu peux faire une starless la rendre non-linéaire et l'appliquer en masque sur ton image linéaire. Et donc faire ton traitement.

    2) Tu peux aussi séparer les étoiles et la starless, la traiter, la rendre non linéaire avec GHS et lui ajouter les étoiles que tu auras aussi rendu non-lineaires 

     

    Je n'utilise plus du tout de masques sous Pix pour traiter mes images (aussi bien celles en APN grand champ que celles de notre setup au Chili). GHS fait le boulot, aussi bien sur des nébuleuses que des galaxies. Il faut juste savoir s'en servir et connaitre les effets des différents curseurs. 

     

     

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  11. il y a une heure, krotdebouk a dit :

    Pour être sûr de bien comprendre, tes Sigma fp sont refiltrés définitivement avec un Astronomik L2 pour l'un et un NBZ pour l'autre, comme les pour les plus classiques Canon (ou autres) Astrodon ?

     

    Oui, si Richard Galli met le L2 en filtre standard large bande comme l'astrodon (qui ne peut pas être mis sur le sigma), le problème s'est posé pour le NBZ-UHS qui n'est pas dispo dans un format acceptable pour mettre dans un boitier. Mais il a bien géré !

    Et oui, j'ai choisi de faire défiltrer définitivement le sigma en NBZ pour pouvoir utiliser les optiques monture L dès f/1.4. C'est un choix, d'où mes 2 boitiers Sigma fp

  12. Bonjour à tous

    Les boitiers Sigma fp et les optiques Sigma Art sont excellents en astrophotographie. De même pour le Lumix S5II équipé du même capteur de 24Mp qui permet des poses internes jusqu'à 60s.

    Le bruit et l'absence de banding et de corrections internes change de l'univers Sony (A7III avec ce même capteur, ou pire le A7s) et je retrouve même une qualité supérieure à la ASI2400MC (le sigma fp descend à 0.6 e- de bruit de lecture à 1600 iso)

     

    Un panel des images prises durant la 2eme quinzaine de Mai dans l'Aveyron et les Landes (sur seulement 2 nuits astro)

    Matériel utilisé (3 boitiers, 3 optiques, 3 montures) :

    • Sigma fp défiltré et refiltré avec filtre Astronomik L2
    • Sigma fp défiltré et refiltré avec filtre DualBand Idas NBZ-UHS pour optique f/1.4 à 4
    • Panasonic Lumix S5-II standard
    • Optiques Sigma monture L : 20mm F1.4 DN Art, 50mm f1.4 DN Art, 135mm f/1.8 Art
    • Montures motorisées SW Star adventurer GTI, ioptron SkyGuider Pro, SLIK

     

    Vous pouvez retrouver les "full" sur ma galerie Astrobin :

    https://www.astrobin.com/users/Philippe.BERNHARD/

    Les images dualband au 135mm sont traitées suivant la palette "Foraxx"

     

    MAI2023_1.thumb.jpg.311da09a3b771d485b9ec546c0cdbae8.jpg

     

    MAI2023_2.thumb.jpg.3a1e9a9e46144e89cb57a73127caabe8.jpg

     

    Philippe

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  13. Le starless n'est pas une obligation mais ça simplifie grandement le traitement d'une image (essentiellement de nébuleuses) lorsqu'on veut tirer le maximum du fond de ciel (ou de la nébuleuse elle-meme).

    On traite la starless

    On traite les étoiles

    On assemble les 2 images.

     

    Les techniques sont multiples. Je dois mettre à jour mes tutos sur mon site mais mes méthodes changent aussi au cours du temps (et des images)

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  14. Pour résumer

    - Un peltier c'est un "delta-T " maximum entre la température ambiante et celle qui sera techniquement possible d'atteindre.

    - Supposons un delta-T de 30°C. S'il fait +10+C dehors, la température minimum possible sera -20°C mais au prix d'une puissance maximum dans le peltier ce qui entrainera d'autres problèmes (voir ci-après)

    - Si on travaille à plus de 70 à 80% du peltier, on peut rencontrer des problèmes plus ou moins graves : usure prématurée du peltier, apparition de banding ou parasites dans l'image à cause du courant trop fort qui fait "rayonner" l'alim ou fait chuter un peu les tensions de base, décrochement de la régulation... En effet, le courant montre très vite vers 2 et 3A lorsqu'on dépasse les 75% (ce n'est pas lineaire) et si on est en nomade, on perd un peu plus en autonomie.

    - le refroidissement et réchauffement par pallier n'est pas nécessaire. Il n'y a pas de risque de choc thermique car en aucun cas la température passe de +20 à -20°C ou inversement !

    - le hublot de certaines caméras est chauffant. C'est pas mal.

    - Le risque de givre est très limité. Les chambres des caméras sont souvent sous azote ou air desséché par silica gel (ou autre) mais dans un environnement humide ou lorsque le point de rosé se situe trop proche, alors il faut plutot activer le chauffage du hublot. (on n'est plus à l'époque SBIG où il y avait 3 litres de flotte dans la chambre du CCD (enfin partout dans la caméra) tellement elle condensait !!

    - le signal thermique n'est pas un problème, il se soustrait et il ne reste que le bruit thermique (je simplifie volontairement le raisonnement). De ce fait, vaut mieux un signal thermique un peu élevé mais bien corrigé qu'un signal plus faible mais pas bien corrigé

    - Les pixels chauds ne sont pas linéaires avec la température si le temps de pose sur les CMOS. Corriger une image de 2 minutes par un dark de 1 minute multiplié par 2 ne fonctionnera pas. On ne calibre pas les dark avec un masterbias.

    voilà, il y a un tas d'autres choses, mais bon... l'essentiel est là.

     

  15. Le 03/04/2023 à 13:36, zeubeu a dit :

    Sauf si le capteur est recalé comme il faut 🙂  Sur certain boitier c'est possible. A voir avec eos for astro 🙂

     

    Oui sauf que tu auras toujours le problème de la MAP dans le rouge ou proche infrarouge qui est décalée par rapport au bleu de au vert (chromatisme des lunettes et objectifs photos).

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