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CDLC

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Tout ce qui a été posté par CDLC

  1. CDLC

    Bakkhuzz - Strock 250

    Bonjour, Je retombe sur ce fil quelques années après... As-tu pu le terminer? au final, tu es satisfait? Christophe
  2. les gens vont finir par croire que je te paye! 🤣🤣🤣🤣 Merci pour tes recos!
  3. Merci Polo! Elle commence à dater... il va falloir que je la refasse... il y à tant de nouveaux modèles... Ceci dit, il y a celle où j'explique toutes les caractéristiques des caméras CP, la seule chose qui va changer du coup, c'est la taille des capteurs, et l'absence de refroidissement... Christophe
  4. Hum... Si je remonte dans le post original, j'ai l'impression qu'on confond 2 choses là... Le calcul de l'échantillonnage en planétaire (lucky imaging planétaire et ciel profond), et le calcul de l'échantillonnage en ciel profond (poses longues). Le calcul de l'échantillonnage en planétaire (lucky imaging planétaire et ciel profond) se fait en mettant en correspondance l'échantillonnage (portion de ciel pour un photosite) avec le pouvoir séparateur de l'instrument, et en considérant le théorème de Shannon Nynquist, qui consiste à échantillonner AU MOINS au double de la période du signal que l'on veut acquérir. On a ensuite 2 formules pour calculer le pouvoir séparateur d'un instrument : Foucault est généraliste, basée sur son expérience en visuel (pas de photo à l'époque) , et la formule d'Olivier Desormières qui prend en compte la longueur d'onde de la lumière (on a un meilleur pouvoir séparateur dans le bleu que le rouge). Le calcul de l'échantillonnage en ciel profond (poses longues) est radicalement différent car ce qui compte, c'est que la même portion de ciel soit toujours en face de ton photosite pendant la durée de ta pose. Sinon, tes étoiles sont bougées, et ta scène souffre d'un "flou filé". Il faut donc regarder à la précision de pointage de ton setup, qu'il soit autoguidé ou non, et la répétitivité de sa performance de suivi. (naturellement, entre chaque pose, il est recommandé de pouvoir se déplacer un peu pour faire du dithering). On a coutume de dire que la précision du suivi doit être double de l'échantillonnage : Tu es à 3,85 secondes d'arc par pixels sur ta StarAdventurer. C'est tout à fait honnête déjà, puisque tu as besoin qu'elle te fasse un suivi propre à 2 secondes d'arc pendant la durée de chaque pose (1.925 pour être précis). D'expérience, ne cherches pas à faire mieux... On doit aussi considérer le rapport F/D de ton instrument qui va conditionner sa rapidité d'acquisition. Faire de la photo du ciel profond en poses longues à F20, il faut vraiment des poses très longues... Christophe
  5. Merci Ney pour la citation, Tu peux ajouter aussi la chaîne de @jldauvergne également. https://www.youtube.com/channel/UCODeN-yDnJJH3wOqWaz536g Il convient de considérer ma chaîne comme une première approche, avec déjà pas mal d'éléments intéressants, mais que certains sont plus spécialisés que moi. On notera par exemple que je donne une première base de travail dans mon épisode sur l'échantillonnage, applicable à la majorité des instruments, et qu'avec certains instruments haut de gamme sur des sites où le seeing le permet, il est possible d'aller plus loin. Dans ce cas, la formule de Foucault ne doit plus être utilisée mais plutôt celle de @olivdeso qui est reprise dans l'épisode de Jean-Luc. En tout état de cause, nous sommes là pour nous faire plaisir et nous émerveiller. Christophe
  6. Mea cula. Oubliez cette histoire d'huile. Je trouve cet aspect irisé très étonnant, et surtout, variable selon les caméras. Est-ce que çà vient d'un résidu de produit de nettoyage du capteur? à une souffrance mécanique de la lame qui se trouve juste devant le capteur (lame ir cut scellée)? Est-ce qu'il y a plusieurs lames de verres, avec un produite entre les 2 pour éviter les phénomènes de bulles? Bref, on ne saura sans-doute jamais. En revanche, il en résulte un PRNU, c.à. d une sensibilité inégale selon la zone du capteur, pour une longueur d'onde particulière. : https://en.wikipedia.org/wiki/Photo_response_non-uniformity Christophe
  7. Salut Seb, Pour les flats, j'ai essayé plein de trucs : Ecran de type "feuille EL" (donc au phosphore), avec plusieurs niveaux d'ADU, avec un gain à 137 ou à 0... Ecran Geoptik (bandeau à led périphérique. Assez mauvais car il a des phénomènes de scintillements. Ciel couchant. Au final, avec un gain à 0 et un ADU à 50%, soit des poses de 10s environ j'ai un truc plutôt correct. Mais très clairement, j'ai toujours mes marbrures rouges. Tu mes dis que la Player One est plus propre. J'ai entendu dire par quelqu'un qui a les 2 que l'Altaïr est plus propre que la ZWO... et on a quand même pas mal de témoignages qui pointent les ZWO, et pour avoir cherché un peu sur le net, aucun qui pointe l'Altair... certes, moins vendue... Bref, à confirmer... mais le phénomène est bel et bien présent sur ma 294mc pro, et de plus en plus prononcé à mesure que le filtre est restrictif... Christophe
  8. Bonjour à tous, Je déterre ce fil, j'ai le même problème de marbrures rouges sur mes flats avec mon ASI29mc pro. Et donc, avec un impact sur mes images, même après une première suppression de gradient. Je l'ai testée avec un L-pro, L-eNhance, L-extreme, et L-ultimate. l'effet s'amplifie à mesure que le filtre est restrictif. Un ami m'a confié avoir comparé une 294mc pro de ZWO avec son équivalent d'Altaïr, et semble ne pas avoir le problème avec l'Altaïr... Ce serait une histoire d'huile... J'ai envoyé un mail à OU d'où vient ma caméra... J'attends réponse. Christophe
  9. Bien-sûr j'ai simplifié : la zone qui se prend les rayons du Soleil en "pleine face" est plus lumineuse que la zone du terminateur. Mais ce que je voulais exprimer, c'est qu'il faut surtout raisonner surfaciquement vis à vis de la Lune qui n'est pas un point comme une étoile, mais bien un objet ayant une dimension déterminée.
  10. En fait, tu n'auras pas de différences... Je m'explique: On confond la luminosité totale de l'astre, et la luminosité surfacique. Oui la Luminosité totale de la Pleine Lune est 2x plus importante que celle d'un 1er quartier, puisque la surface illuminée est double, mais la luminosité surfacique, c'est à dire d'une même portion de lune reste la même. Et c'est elle qui détermine ton éblouissement à l'oculaire. Christophe
  11. Oui, parfaitement 13%, c'est13% qui passe. çà divise donc par 8 la quantité de lumière.
  12. C'est subjectif... Mais il ne faut pas oublier que tu vas devoir retirer l'oculaire pour changer le taux de transmission... çà peut être utile quand tu changes de focale d'oculaire donc de grossissement, donc de luminosité d'image... mais à part çà... je ne suis pas très fan... On se retrouve avec 2 filtres parallèles, donc forcément un poil plus de diffusion qu'un filtre unique. Christophe
  13. Bonjour, Sur un télescope Newton, je conseille le Gris Neutre 13% ND8. Les filtres verts sont très adaptés aux lunettes achromatiques, car ils permettent de réduire le chromatisme. Ils seront cependant utiles sur les Newton si la lune est basse, mais il faut s'habituer à avoir une image verte. Christophe
  14. çà je sait faire, çà marche parfaitement. Oui, je suis en équatorial... Mais je veux également pouvoir travailler depuis le PC, et pour çà donc, je branche le cordon USB EQmod au PC et j'utilise Ascom; Et là, le problème est que, si j'arrive à commander le goto avec succès via Stellarium, je n'arrive pas à avoir un autoguidage fonctionnel. Il me semble qu'il faut utiliser le driver de l'EQ5, je me trompe? Christophe
  15. Merci à tous les 2 pour vos témoignages. il est intéressant de savoir les fragilités du matos. Perso, j'utilise donc ma monture avec l'ASIair d'un côté, et j'ai réussi à l'autoguider via Synscan App Pc, mais en wifi uniquement. En filaire, j'utilise EQmod et je peux utiliser le goto, mais pas l'autoguidage (pourtant en indiquant à PHD2 d'utiliser EQmod). Comment faites-vous pour la commander en filaire du coup? Quelle monture indiquez-vous dans EQmod? Christophe
  16. Bonjour, Je "déterre" ce "vieux" fil... Pour info, j'ai 2 AZ-GTI : Les 2 sont pilotables en wifi depuis un PC ou un smartphone avec les appli Synscan respectives. L'une est correctement pilotable avec une raquette Synscan V5 avec codron 8 broches <-> 6 broches. L'autre, çà ne marche pas. Celle qui marche peut être pilotée sans problèmes avec le cordon EQmod depuis un ASIair, et j'arrive aussi à la piloter depuis EQmod PC (Stellarium par exemple, mais pas encore PHD2 en pulse guiding). Part contre, celle qui est HS : aucune détection ni par EQmod PC ni par l'ASIair. Après permutation de la petite carte (et son cordon) d'entrées-sorties), la conclusion est que c'est la carte mère principale qui est en défaut. Les versions logicielles étaient bonnes. Apparemment, il existe des AZ-GTI dont les connecteurs filaires sont facilement endommageables... Christophe
  17. Bah du coup on peut faire le test! Si il ne demande à faire qu'un seul mouvement, on a quand même 15° de course en général, çà doit déjà pouvoir aider à avoir une MES un minimum potable... Après, bah fait voir la dérive qu'on a... Eventuellement, faire 2x la MES, çà peut peut-être aider à affiner... Christophe
  18. la MES de Nina ou Ekos demande à pouvoir faire tourner l'axe AD de 30 voire 60 degrés environ... selon les versions... Chose qui est au delà de la course typique d'une table équatoriale de Dobson. Et il faudrait que Nina et Ekos puissent commander le mouvement de la table et qu'elle le fasse selon l'angle attendu. A savoir que les commandes goto des montures EQ sont faites en indiquant des coordonnées et non des durées de commandes (à contrario des commandes d'autoguidage qui sont des durées de commandes). On est pas juste sur "tourne pendant 5s, mais bien avec une coordonnée AD/DEC bien déterminée à partir du point de départ. Donc, j'ai du mal à voir comment çà pourrait fonctionner en l'état de ces softs, mais ce serait une bonne idée de pouvoir le faire en effet. Christophe
  19. J'ai utilisé mon polemaster dès le photoStrock V2 qui était sur table équatoriale. On se retrouve donc à faire en gros 1 photo, tourner 8 degrés, 1 photo, tourner 8 degrés 1 photo. çà marche étonnament bien, alors que la doc demande de tourner beaucoup plus que çà Idem sur mon T400, j'avais fait un adaptateur. A noter qu'il faut quand même se méfier de la fin des secteurs car ils ont parfois très légèrement déformés par leurs fixations en bout... Donc si la question est "est-ce que un Polemaster est utilisable sur une table EQ, je réponds par un grand OUI! Comment faire la fixation, et bien j'ai une solution : vise la polaire avec le Dob, et mets le polemaster à la place de ton chercheur via cet adaptateur que j'ai conçu : https://www.thingiverse.com/thing:5532294 Donc pas besoin de te faire chier à te faire un gros adaptateur complexe et spécifique à ta monture. Il faut juste bloquer les freins du scope, et ne surtout pas le bouger par rapport à la partie supérieure de la table, donc quand tu bouges la table, c'est elle qu'il faut bouger pas toucher le scope! Christophe
  20. C'est pas aussi simple (ce serait tellement top)... J'avoue que j'ai du mal à expliquer le phénomène. On a à la fois une amélioration du rapport signal/bruit, c'est vrai, et tu as moins de chances de perdre ton étoile, et à la fois le fait que le bruit (d'origine électronique, mais aussi, la répartition aléatoire de l'arrivée de la lumière) est aléatoire, et donc, il a pour effet de faire un peu danser ton étoile guide car il a un impact sur la bonne détection de la gaussienne et du centroïde, puisqu'il est "additionné". Donc, baisser l'échantillonnage par le bining va avoir pour effet que dans les cas où le bruit vient "déstabiliser" la forme de ton étoile, il en décale la détection de centroïde... @Thierry Legault en parle indirectement dans sa conférence "quel est le meilleur APN pour l'astrophoto". Je vais bientôt la publier sur mon YT, je comprendras mieux le phénomène quand tu la verras. Mais bon, je sais que je n'utilise pas les bons mots et que la façon d'exprimer cela est très peu académique, certains ici sauront réexprimer cela plus correctement.
  21. Alors oui et non en fait... et pas simple à juger. Je m'explique : Techniquement, tu as pour effet de diminuer l'échantillonnage, et c'est fait par binning soft. Tu pourrais aussi mettre une lentille convergente devant ta caméra de guidage, çà marche aussi, et si tu te démerdes bien, tu augmentes le champ pour trouver des étoiles. LES POUR : - tu diminue la FWHM d'une étoile, tu as donc potentiellement moins de chances d'avoir du "star loss" (perte d'étoile) en cas d'un petit bougé, ou d'un petit nuage. Tu seras aussi un peu moins sensible à la turbulence. Tu es aussi un peu moins sensible à une MAP pas parfaite, et un peu moins sensible à une variation de température qui fait bouger ta MAP. Mais attention! n'oublies pas de surveiller cela pour l'imageur principal! - tant qu'on est pas avec un ratio trop important entre guideur et guidé, on est bon au niveau échantillonnage, donc la détection de centroïde sera toujours suffisante, même si un poil moins précise. - çà diminue la charge CPU, à la limite, c'est pas plus mal! (image 4x moins grande à analyser!) Du coup, t'as moins de latence pour prendre ta décision si le PC est peu puissant (test fait avec un EEEPC première génération). LES CONTRE : - diminuer la FWHM est acceptable, nous l'avons dit, tant que la FWHM n'est pas inférieure à 1... bon, soyons honnêtes... faut vraiment un setup ultra bien réglé pour avoir cela dans un DO. Puis les rapports de focale font qu'on peut tout à fait accepter de guider avec une précision de 2% au lieu de 1% sur la détection du centroïde de ton étoile... - il sera difficile de vraiment mieux voir une étoile vis à vis du bruit (çà dépend énormément du capteur, les vieilles ASI120/QHY5LII, etc, ne sont pas top à ce niveau), soit tu l'as déjà un peu, soit tu n'auras toujours pas assez de signal pour avoir une étoile propre. Dans cette situation, il vaut mieux augmenter le temps de pose (mais c'est aussi selon la stabilité naturelle de la monture). - les effets de répartition aléatoire du bruit (photonique/électrique = effet de neige) auront plus de poids dans la décision, car ils feront plus "balancer" le centroïde de ton étoile. Chaque setup a toujours ses petites marges d'amélioration. fais des tests! N'oublies pas à chaque fois d'utiliser l'assistant de guidage, car les paramètres d'hystérésis et de min-move doivent être adaptés à chaque fois que tu changes l'échantillonnage du guideur (que ce soit par la focale, un diviseur de focale ou par le changement du mode de bining de la caméra). En espérant aider. J'apprends toujours!
  22. Bonjour Quint et merci pour le tag. Alors en fait, avoir du suréchantillonnage dans PHD ne pose pas en soi de problème de qualité de guidage, mais on se retrouve du coup avec une toute petite portion de ciel pour arriver à trouver une, voire plusieurs étoiles guides (penser au multistar!)... Donc si tu shootes en pleine Voie Lactée, tu n'auras aucun problème, mais en dehors, çà va parfois être plus tendu... Par exemple du côté de Hélix, j'ai souvent eu des difficultés. Notons toutefois qu'on peut risquer d'être plus sensible au seeing, qui pourrait faire danser un peu l'étoile vis à vis du capteur, mais avec un assistant de guidage et les bons critères de min move, çà va passer fort logiquement, au pire, on allonge un peu le temps de pose du guideur. Du coup, il faut se poser la question de l'échantillonnage nécessaire et suffisant pour avoir un guidage de qualité, et trouver un juste milieu : Il faut savoir que PHD est capable de trouver le centroïde de l'étoile au 100e de pixel du guideur. Des simulations très précises ont été faites (5h de calcul en force brute) par un ami pour tester les 100x100 combinaisons possibles avec une FWHM de 0.5 et 1 pixel. En conséquence, on trouve qu'on a encore un peu d'erreur pour deviner le centroïde avec une FWHM de 0.5, mais quand la FWHM est à 1 on a 1% d'erreur par rapport à la vraie position théorique du centroïde. Autant dire peannuts quand on sait que personne ne guide avec une FWHM de 1, mais plutôt 2 voire 3, et dans ces situations, la précision est encore meilleure... Après, n'oublions pas qu'on a des algos de modération de la décision de correction du guidage : hystérésis, agressivité, min-move. etc. Notre objectif reste d'avoir une précision de guidage globale de l'ordre du demi-pixel, voire mieux, quart de pixel de l'instrument guidé... Je vous laisse faire le calcul, mais on a de la marge. Donc au final, on peut déjà guider à un rapport d'échantillonnage de 1 pour 10 entre le guideur et le guidé, et si on veut un bon compromis, 1 pour 5 me semble très bien... Sujet connexe : Du coup, on comprends qu'on se fout royalement de l'angle de la caméra puisque quelle que soit la sous position au 100x100 de la position réelle de l'étoile, on arrivera à détecter sa vraie sous position avec 1% voire moins d'erreur... Peu importe donc qu'elle se déplace en diagonale ou pas vis à vis du capteur. J'ai eu confirmation par des animateurs d'AIP comme quoi la nécessité de mettre la caméra relativement aux axes de la monture était fondamentale sur PHD1 qui ne faisait pas de changement de repères, mais PHD2 intègre cette fonctionnalité depuis longtemps et les développeurs ont toujours dit "irrelevant". On le voit même dans la dernière vidéo/conférence du développeur, publiée il y a 1 mois environ sur YT... Voilà si çà peut aider. Christophe
  23. CDLC

    Harmonic drive nema17

    Bonjour @Astrokor Je ne peux que t'encourager dans tes travaux. Pour ma part, je vois 3 types de montures : Une petite AZ comme l'AZ-GTI.. qui pourrait être monstrueuse pour suivre l'ISS. Une petite EQ allemande, finalement assez similaire à l'AM5 en plus light encore. Une monture en fer à cheval, (mais bon, c'est mon trip pour le photoStrock)... A noter que je viens de voir sur Ali qu'il existaient des réducteurs harmonique en 100:1 tout faits. Christophe
  24. CDLC

    Harmonic drive nema17

    Salut les astros! Je kiffe ce genre de post, et je reconnais quelques profils que je salue! Je vois donc ici 2 pistes : 1- utiliser des réducteurs harmoniques déjà existants (voire le kit avec 2 moteurs déjà intégrés en 50:1) 2- concevoir nos propres réducteurs, mais cela implique d'organiser une logistique entre nous pour que chacun puisse s'en acheter (pour ceux qui ne possèdent pas d'imprimantes 3d, ou n'impriment pas de TPU). Mais déjà, je vous lis parler de la résolution à viser au final des réducteurs + microstepping... Et donc : quelle charge, et surtout, quelle focale/échantillonnage cible... De mon point de vue, il est inutile de faire une monture qui aura les performances d'une SA classique ou d'une AZ-GTI (en gros 300-400mm de focale). Difficile de faire plus concurrentiel également que la StarAdventurer GTI qui est encore meilleure... Mais toujours avec une charge de 5kg... Ensuite, vous connaissez la cible : l'AM5 avec ses 13kg sans contrepoids et 20 avec. De mon point de vue, il faut viser une charge de 7kg sans contrepoids et 12-13 avec. Bref, se trouver entre ces 2 montures... Pour pouvoir, par exemple, embarquer une 94EDH toute équipée avec ses 414mm de focale et ses 5.5kg toute équipée.. On est sur un échantillonnage de l'ordre de 1.5 à 2 seconde d'arc... Voilà donc, La question est de savoir si produit comportant déjà 2 moteurs+ réducteurs à 500€ pourrait faire cela... il nous resterait finalement à en faire une électronique de pilotage, + wedge + support queue d'arronde... Et là, on arrivera à faire le tout, à mon avis, pour moins de 1000€... Christophe
  25. Bonjour Vincent, Effectivement, il y a des tonnes d'adaptateurs et il n'est pas toujours aisé de s'y retrouver. Mais il existe une solution : un adaptateur universel, à imprimer avec une imprimante 3D, qui se met sur un support chercheur : Voici le lien sur mon fichier STL : https://www.thingiverse.com/thing:5532294 N'hésite pas si tu as des questions, et besoin d'adaptation plus spécifique. Christophe
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