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Daniel Rosier

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Messages posté(e)s par Daniel Rosier

  1. il y a 8 minutes, papatilleul a dit :

     oh que oui j'en suis ravi !

    Super simple d'utilisation et redoutablement efficace

    Voilà un exemple de ce que j'ai fait avec :


    image.jpeg.8173611dcaa92deef1667e879a03c922.jpeg

     

    Waow !!!  Un sacré gap de franchi par rapport à ton mak 180...

     

    La qualité est au rdv question optique, mécanique! 

  2. Il y a 12 heures, 'Bruno a dit :

     

    Ce n'est pas le confinement qui rend fou, c'est la certitude de n'espérer aucun secours en cas de pépin, la mort assurée si quelque chose ne va pas, donc la tension permanente : pourvu qu'il n'y ait pas d'avarie sinon c'est fini, pourvu qu'il n'y ait pas d'avarie sinon c'est fini, pourvu qu'il n'y ait pas d'avarie...

     

    Note que les équipages d'Apollo connaissaient quelque peu cette tension pour le rallumage du moteur AJ10-137 du CSM lors du TEI (injection trans-terrestre). Toute avarie moteur les condamnait irrémédiablement. (Idem pour le re-décollage depuis la surface lunaire évidemment). 

    Maintenant, tout s'est bien passé parce que les AJ-10 étaient des moteurs éprouvés et utilisés sur nombre de lanceurs (plus tard sur la navette aussi). La version 137 avait été conçue et testée pour être rallumée 50x. L'emploi d'hypergols et d'une pressurisation à l'hélium ainsi que d'un double système d'alimentation a donné de sacrées garanties de succès tout de même, vu la "simplicité" du système.

    Je pense qu'il faudra agir de même pour les systèmes embarqués et devant assurer la survie des équipes vers Mars : simplicité (risques d'avaries moindres et réparabilité davantage envisageable et rapide), fiabilité hautement éprouvée, formation des astronautes aux diverses réparations...

     

    En fait, le mental des astronautes peut survivre plus facilement si, en cas de pépin, des solutions sont envisageables. Dans le cas contraire, il y a de quoi devenir fou en effet. Sauf si les astronautes sont des personnes de l'étoffe des pilotes chevronnés des missions Apollo qui pouvaient affronter l'idée d'un non-retour sur terre. 

  3. Il y a 2 heures, Albuquerque a dit :

    Il était grand temps de responsabiliser ceux qui sous prétexte de défendre l'écologie multipliaient les messages au mépris de la production de CO² du réseau mondial d'internet. Rappelons qu'elle est estimée à 3 kg de gaz carbonique par action sur la touche "Entrée".

     

    Oui tout à fait. Je propose d'ailleurs que WA sanctionne CHAQUE contributeur de posts dépensant les 5000 pages, à 1 cent/message.

    • J'aime 1
  4. Il y a 1 heure, 'Bruno a dit :

     

    C'est exactement la même complexité que lorsqu'on envoie une sonde croiser un corps céleste (planète, astéroïde, etc.)

    − On définit la trajectoire de la mission martienne, elle joue le rôle du corps céleste.

    − On calcule la trajectoire des stations-relais pour qu'elles soient au bon endroit par rapport à la mission martienne − même calcul que pour les sondes devant s'approcher d'un corps céleste.

     

    Je pense aussi que ça rajouterait une complexité incroyable ces stations-relais. D'autant qu'elles devraient certainement être envoyées des années à l'avance. Quid de la pérennité des denrées? Que fait-on d'elles une fois vidées de leur ravitaillement ?

     

    [Mode SF on]

     

    Ou bien... il faudrait envoyer une flottille de cargos en même temps que le vaisseau contenant l'équipage. Un peu à la manière des expéditions lointaines en bateaux du passé.

    On aurait un vaisseau mère, peut-être un deuxième de secours en cas de pépin sérieux avec le premier et l'un ou l'autre cargo de ravitaillement. Ces différents vaisseaux-cargos seraient assemblés autour de la terre comme une mini station orbitale puis accélérés en même temps pour l'injection trans-martienne. Les différentes parties pourraient se désassembler durant le voyage (cargos de ravitaillement vidés et remplis des déchets ultimes) afin de limiter la masse de la station lors du freinage pour la mise en orbite et/ou de la ré-accélération pour le voyage de retour.

     

    [Mode SF off]

  5. il y a 15 minutes, montmein69_2 a dit :

    Voyage avec séjour très court  (scénario conjonction)

    seulement 30 jours sur la planète Mars .... et çà repart . Pas le temps de faire grand chose. Tout çà pour çà !

     

    Mars .... et ça repart. Pas mal pas mal...😄👍

     

    Dans un premier temps, c'est déjà bien non? Un mois in situ, surtout pour les premiers pas.

    Et ça limiterait la durée d'exposition aux radiations, limiterait les probabilités de pannes, d'incidents, de maladies, etc. Un plus long séjour (900 jours...) ne pourra se faire qu'avec bien plus de garanties niveau sécurité, santé.

     

    Mais il clair que le voyage sur Mars n'est pas pour demain. Il faut impérativement faire un saut technologique niveau propulsion et abaisser sensiblement la durée du voyage. Je pense que la Nasa (notamment) l'a compris.

  6. Il y a 2 heures, Toucan a dit :

    la bonne formule pour remplacer la propulsion chimique.

     

    La Nasa travaille en effet avec la DARPA pour la conception d'un moteur nucléaire. Comme indiqué sur votre affiche, c'est Lockheed Martin qui le développe dans le cadre du programme Draco.

     

    https://www.nasa.gov/technology/nasa-darpa-partner-with-industry-on-mars-rocket-engine/

     

     

  7. Il y a 10 heures, Toucan a dit :

    C'est obligé qu'on y aille, c'est dans la nature humaine.

     

    Pas aux dates projetées actuellement, mais disons peut-être dans un demi-siècle au plus tôt pour un premier départ (j'aurai 130 ans  !)

     

    L'homme n'est pas fait pour voyager dans le cosmos, principalement à cause des radiations. De fait, en dehors de toute l'intendance, il faudra que le vaisseau soit super protégé .

     

    Il y a en effet le souci des radiations:

     

    - doses létales sur le long terme (rayons cosmiques galactiques);

    - doses létales "instantanées" émises lors d'éruptions solaires.

     

    Pour s'en "protéger", ou du moins en diminuer leur impact, deux solutions :

     

    - raccourcir la durée du voyage (développer de nouveaux moteurs - en cours) ;

    - créer de nouveaux matériaux isolants (en cours, voir par exemple ici https://www.nasa.gov/science-research/heliophysics/real-martians-how-to-protect-astronauts-from-space-radiation-on-mars/ );

    - améliorer les connaissances de la météo solaire (en cours);

    - ...

     

    Au-delà, à part le danger des radiations, citons aussi l'impact des longs séjours très très loin de la terre. Que fait-on en cas de pannes, accidents, etc à des millions de kilomètres de la maison?

    Il est certainement essentiel de passer de la propulsion chimique classique à un mode de propulsion supérieur afin de raccourcir drastiquement les temps de voyages.

     

  8. Il y a 2 heures, montmein69_2 a dit :

    Que d'autres n'hésitent pas à "entrer dans la discussion" car ce sont des points importants et plusil y aura  d'yeux et de cerveaux  se penchant sur les problèmes évoqués,plus on se rapprochera de la solution cherchée.

    Merci d'avance aux contributeurs. 👍

     

    On dirait que tout le développement du programme de Spacex repose sur tes épaules !😂

     

    Il y a 2 heures, montmein69_2 a dit :

    La CU du Starship étant d'environ 150 t - je prend l'hypothèse optimiste maximum - , c'est dans cet  espace là que devront être installé les réservoirs

     

    Il y a 2 heures, montmein69_2 a dit :

    Des séparateurs pour partager l'espace disponible entre LOX et LCH4 , des vannes et des canalisations seraient nécessaires au minimum, et peut-être (probablement ?) ajouter de l'isolation thermique ? Cela viendrait minorer la masse nette d'ergols transportés destinés au transfert (car on peut aussi craindre quelques pertes). Bref la masse nette d'ergols utiles transférable serait inférieure à la CU annoncée

     

    Sauf si le CU du Ship ravitailleur ne dispose que d'un seul réservoir. Chaque Ship ravitaille un seul type d'ergol à la fois. Par exemple, on envoie plusieurs Ships (chips 😁) pour remplir le réservoir de LOX du fuel tank. Puis on fait de même avec le LCH4. On récupère ainsi de la place dans le CU des Ships ravitailleurs.

  9. Il y a 10 heures, jackbauer a dit :

    Une première photo, un peu "strange" :

    (en fait elle a été prise à 10 km d'altitude)

     

    Lors d'une conférence de presse, les responsables ont déclaré que la sonde est couchée sur le côté à la surface...

     

     

    GHDeBLpWQAARRpW.jpg

     

    Voici la conférence de presse, du moins une partie :

     

     

     

    La sonde doit en effet être couchée (suite à un accrochage avec un rocher?).

    Ils peuvent en arriver à cette conclusion grâce à la mesure du niveau des ergols résiduels dans les réservoirs. Du moins si j'ai bien compris. Ce serait dommage... On en saura plus avec les 1ères photos.

    • J'aime 2
  10. il y a 5 minutes, astro68rw a dit :

    Merci à toutes et tous pour vos retours et votre patience ! j'apprécie ce site pour cela. Bon ciel à vous .
    Sincèrement,

    Pascal

    Euh.. maintenant tu es libre de faire ce que tu veux hein. Ne pense pas que l'on doit t'imposer quoi garder ou quoi acheter. Je ne fais que te donner mon avis. 😊

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