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lyl

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  1. J'avais compris poète à tes expressions quand on a picniqué, j'espère que Madame a adopté "la ballerine en tutu". Merci !
  2. C'est pas si fragile que ça, la plupart des personnes qui ont eu des problèmes avec n'ont pas utilisé du matériel d'essuyage correct. Genre le ravage du papier essuie-tout. Les lingettes optiques ne contiennent pas d'abrasifs, ou alors des KimWipe Et c'est pas une auréole qui gache tout non plus ... Faut tourner son chiffon 7 fois dans son paquet avant de se décider.
  3. Je pense que l'asi 294 avec ses 4.63um est taillée pour fonctionner entre f/5 et f/6, la marge donne une bonne régularité sur l'image centrale. Avec un f/D plus court, tu gagnes en luminosité mais le piqué est limité par la taille de pixel. => Les plus adaptées à cette caméra (piqué central) sont 1) la TakFS 60 en natif puis 2) les EDPH avec les deux focales et 3) l'askar 400 en natif. Ceci explique peut-être l'enthousiasme rencontré. Quand je dis natif, c'est avec un flattener pour faire x1. Objectivement, c'est l'asi 1600 en 3.8um qui est plus utilisée sur la SW Esprit 80 (je pense à ce qu'on voit sur Astrobin) Du coup ça renverse un peu la vapeur et je dois des excuses à @frankastro64 et @Franklin.jr, fallait creuser. --------------- Je dis ça car j'ai imagé avec une ASI071MC (4.78 um, super capteur très régulier sous 10°c effectif) en natif à f/6 avec un triplet ES 80ED-CF + flattener ES et avec une ASI185MC (3.75um) avec un réducteur Kepler pour ritchey chrétien (ça suffisait largement en cercle corrigé sur la 185MC et je descendais à f/4.5) --------------- Quand au PO qui branle, ça vient ce la visserie de glissement, il faut que ça utilise des têtes nylon ou bronze, je trouve après plusieurs instruments que c'est le mieux. Le must autant que ça surprenne c'est la bague de la TAL 100R (semi-apo f10 ) qui est un serrage à vis, avec un piste complète en téflon au fond : du grand art avec un jeu mécanique minime. Ce n'était qu'un simple PO crayford simple vitesse mais une merveille mécanique : et même pas russe, j'ai appris que c'est un focuser Synta ! Bon, f/10 c'est une autre génération ça mais c'était un sacré tromblon qui est parti entre de bonne main pour un setup de retraité (lunette de guidage semi-auto)
  4. En théorie, à cette taille de 2,7" et f/D court, je préfère le crayford pour la plus grande précision. Mais c'est comme tout, la réalisation de la mécanique est déterminante, un retour utilisateur est recommandé. Il n'y a qu'à constater les retours sur la précision et la douceur des mécaniques des R&P Takahashi, c'est souvent excellent malgré que certains finissent par changer pour des crayford. En gros, j'ai pas eu la sharpstar entre les mains alors : joker.
  5. Non bien sûr mais rester dans le contexte, c'est écouter la personne qui cherche un conseil, le budget indiqué est explicite. Clair que 4800€ ç'est trop haut. ~1500€ pour la SW Esprit 80ED directement utilisable, 855€ + réducteur planostar v2 (220e à ajouter) pour la Photoline => ~1100€ pour le plancher bas. Les ressources matérielles existantes sont spécifiées. Tu parlais de stabilité monture plus haut ; une personne qui manipule une TSA 120 a en général la monture ad hoc. Donc oui pour la Sharpstar 76 EDPH-II (version corrigée) dans le lot, j'en conviens. mais je ne sais pas si c'est celle de Pierro et désolée, j'avais pas vu le prix en réduction. https://www.pierro-astro.com/materiel-astronomique/lunettes-astronomiques/astrographes/lunette-astrographe-76-342-edph-sharpstar_detail
  6. Quand un astrophotographe propose un sujet de discussion, la moindre des politesses c'est de rester dans le sujet et d'argumenter, prendre la fuite à la moindre contrariété, c'est pas sérieux. Ici on part de haut en piqué : TSA 120, j'essaie de rester dans le ton, pas de proposer toutes les solutions en vogue, entre les RedCat 51 et les Evostar 72 ED qui sont excellentes. Bon en tout cas désolée de faire fuir, mais il ne s'agit pas d'imposer mais d'argumenter la différence de prix qui est bien là et je ne l'ai pas niée. Sinon spécialiste, c'est bien exagéré, je rappelle juste la partie calcul optique qui est un argument comme un autre, je ne pratique plus la photographie, ça me prenait trop de temps et d'argent.
  7. Le mieux c'est de montrer quelques unes de tes photos, je pense que c'est bien meilleur que les calculs. https://www.astrobin.com/i1xe0x/0/ https://www.astrobin.com/ph1nb5/0/
  8. Bon, je crois que certains n'y connaissent pas grand chose en résolution optique et calcul de couverture : https://ciel-astro-ccd.com/wp/calculs_astronomiques/ Exemple sur la SW Esprit sans réducteur. Résolution a) Rappeler moi quelle est le pouvoir de résolution d'une 61mm et celui d'une 80mm https://fr.wikipedia.org/wiki/Pouvoir_de_résolution A appliquer plutôt à la raie Oiii pour le grand champ, sinon c'est de la soupe sur les nébuleuses. D=80mm, lambda ~500nm et lamda=656nm Fs500 ~ 1.59" Fs656 ~ 2,09" b) sur l'image La résolution par pixel en secondes d'arc : S = 205 x P/FL S = Champ de vision couvert par un pixel en seconde d’arc P = Dimension physique d’un pixel en microns FL = Longueur focale du télescope en mm ASI 294 <=> 4.63um Spixel ~= 205 x 4.63/400 = 2.37" Champ Pour votre information M31 fait 190' x 60' (approximatif) C = S x 3438 / f C = Champ en minutes d’arc S = Dimension d’un côté de la puce CCD en mm f = longueur focale du télescope en mm Le champ couvert en diagonale pour l'ASI 294 =23.2mm de diagonale C= 23.2*3438/400 => 199' d'arc. A f/4 la SW Esprit est adaptée à la taille de pixel des APS-C de la ASI294 A f/5 il faut une caméra type APN full frame. De toute façon M31 rentre dedans. Je vous laisse faire les calculs pour les 72 et 61mm, mais pour moi, vous n'avez pas le piqué d'une 80mm C'est faux.
  9. Je crois que tu ne lis pas les posts... La SW Esprit 80 est native full-frame avec son flattener (43.2mm de diagonale, et pas les 23.2 de l'asi294 en question.) Mais en plus, pour ceux qui n'ont pas la caméra astro full-frame, genre un APN, elle accepte un réducteur correcteur *0.8 de TS-OPtics, au format APS-C. Il faut s'adresser à Teleskop Austria le spécialiste SkyW Europe pour obtenir la bague sur-mesure. Ce réducteur amène la SW à 80mmf/4 (320mm), je crois qu'il n'y a pas d'optique concurrente là-dessus sauf la Tak FSQ85EDX qui descend à f/3.8 et full frame.
  10. lyl

    Dobson 127 cm

    Les piliers de la création dans M16 avec une 100mm Stellarvue https://www.astrobin.com/351923/0/
  11. La 80 esprit, nouveau focuser robuste 2,7" full frame. Si tu veux aller plus loin, tu as le correcteur/réducteur (APS-C seulement par contre) TS à 4 lentilles qui est compatible : se renseigner auprès de Teleskop-Austria (Tommy Navratil). http://interferometrie.blogspot.com/search?q=80/400+esprit
  12. La 80/1200 est vendue (en moins de 48h) pour 500€ + 50€fdp, elle a été exportée en Belgique ce jour. Reste la 80/900, testée solaire H-alpha et CaK avec succès, compatible avec un dispositif type Coronado ou BF Lunt, me contacter Elle sera complètement équipée, reste seulement à la mettre sur un trépied.
  13. Si la poire suffit, c'est parfait. Pour information : les petits carrés de papier des lingettes optiques ci-dessus sont très bien. Le produit est un peu faiblard mais je comprends parfaitement qu'il faille faire une formulation soft pour le quotidien. Je réutilise les carrés de papier avec les deux autres produits plus costauds. J'ai mis en photo ce que j'utilise, les opticiens se reconnaitront pour le dégouacheur : c'est pour enlever les marques de fabrication de vos lunettes de vue (repérage pour centrage, marques d'usine : c'est de l'encre légère ou de la gouache). J'ai découvert ça chez mon ami opticien à Seynod J'ai pas de purosol sur la photo, mais je recommande. Les lingettes microfibres passent à la machine : sans adoucissant svp. PS : j'ai encore un petit pinceau. Je le maintien propre, il n'intervient que quand j'ai fini quand une poussière légère s'invite.
  14. N'est-ce point du papier "essuie-tout" que je vois là ? Grossière erreur, même le papier toilette est mieux que cela... Les papiers essuie-tout sont souvent chargés en abrasif, certes peu dur mais à éviter. La bonne lingette en papier impregné pour essuyer les lunettes est déjà un grand pas en avant. Une bonne directive en nettoyage, c'est déjà de démonter. Toutes les optiques ont une zone en dehors de la "clear aperture" ou zone de passage clair du faisceau optique. Ce n'est franchement pas l'idéal de nettoyer une optique en place : tu mets de la m. dans les coins. Deuxio : on enlève ce qui peut l'être avec une poire à souffler, le reste est tout bonnement collé (gras, matériau organique). Tertio : dans ce cas on mouille pour enlever les gravas. Petite solution avec additif anionique genre paic citron, et on asperge. Rincer, tout bêtement. Si c'est de la petite quantité on peut se faire plaisir à l'eau déminéralisée mélangée en pulvérisation, genre dans un spray à vitre déjà vide. Ne pas compliquer, c'est juste pour décoller les grosses poussières dures de 100um environ. Quatro : le produit à lunettes. Sur les optiques proches de l'oeil ou des mains, c'est souvent la transpiration qui vient en contact ou distance proche. Ca macère toujours un peu. Quand j'ai un doute, j'asperge une pression de produit Zeiss cleaner, c'est un antifongique, anti-organique. Ne pas s'en faire une snifette, c'est pas gentil comme produit. Quatro bis : la lingette en papier imprégné, ça s'évapore bien mais c'est peu agressif. Normal c'est envisagé comme produit quotidien. Cinquo : la lingette micro-fibre pour essuyer. On fait des huits et on ramasse doucement du centre au bord. Les huits c'est pour fluidifier le mouvement et dans ce cas la pression du chiffon est plus régulière. Option grosses optiques crados, là quand on est pas en contact avec les effluves corporelles mais avec le gras de ville. Le purosol est plus adapté : très efficace pour dissoudre les cochonneries, laisser agir, poser la lingette papier pour absorber et essuyer à la lingette microfibre pour finir.
  15. Un petit complément : avec l'habitude on peut se contenter de tester sur étoile. Sur les achromats simples : tu as rapidement leur pédigrée. Mais il faut avoir eu entre les mains un bon paquet d'instrument, avoir pratiqué cela et connaitre l'histoire de leur fabrication, leur niveau de qualité. Honnêtement, j'ai du bâtir cette connaissance sur un échantillon d'une trentaine d'instrument et plus sérieusement sur une petite dizaine quand j'ai eu à les nettoyer ou ajuster leur collimation. Pour ma part, sur ce dont parle Pancho, je souhaitais confirmation des caractéristiques des objectifs de la Mizar Kaiser et des séries Scopetech 1) Qualité de fabrication, méthode de contrôle. 2) L'existence ou non du concept de chaîne optique : l'adéquation Objectif/Renvoi coudé/Oculaire. Je pense que le voile est définitivement levé sur cette question : il y a plusieurs écoles. J'ai eu la confirmation pour l'école ancienne Mizar/Scopetech : ce fut un échange tendu, j'ai failli perdre le contact définitivement. L'astuce pour du matériel reconnu de qualité sur le ciel est d'examiner les oculaires et les renvois coudés, on peut déterminer le type de chaîne optique : standard ou sur-corrigé. La charnière s'est faite sur une longue période, je pense pendant les années 1970 jusqu'en 1980, date à laquelle la microscopie a cassé le concept et que Olympus a joué la carte de l'interopérabilité des accessoires. Nikon et Pentax ont suivi et bien évidemment, comme on fait des grosses séries, le matériel nécessaire aux lignes de fabrication étant couteux, la production de masse a été unifiée, le matériel astro a bénéficié de la normalisation en microscopie. 3) en fait 2b) L'évaluation multi-points sur mes modèles m'a servie à faire le rétro-engineering des caractéristiques et de regarder si je pouvais ajuster pour des oculaires et divers accessoires photos modernisés. J'ai beau être fan des oculaires type ortho symétriques Scopetech/Vixen pour du générique, autant j'aime utiliser des "un peu plus complexe" comme les UO König (60-65°), les ortho Abbe ou les erflés complexe en grand champ car on peut pousser un peu plus les instruments dans leur retranchement et ... je n'ai pas que des réfracteurs. Pour ceux qui ont des modèles de qualité sortir le relevé coloré (la deuxième partie) que Pancho expose me parait suffisant. Image Intra-Extra donne au premier abord des informations sur le contraste de l'objectif, Foucault et Ronchi sur le calage chromatique et d'aberration sphérique. Puis on revient sur l'image extra-focale et l'on peut comprendre plus finement la destination privilégiée de l'instrument. Les mesures fines à l'interféromètre sont pour prévoir des corrections si nécessaire et d'estimer si l'objectif a besoin d'une collimation tube/po poussée. C'est je pense, à part pour la revente pas utile à la vie courante de l'instrument sauf si on est expert. Je ne recommande pas de bricoler les objectifs sans une bonne maitrise des contrôles et réglages itératifs. On risque de se perdre et que ça finisse dans un atelier pour 300€ de réglages. Entre Pancho et moi nous avons suffisamment échangé pour avoir un bon panel de figure optique qu'on peut utiliser comme référence et ou décrypter ce qui nous serait présenté. Dans l'ordre : 1) Scopetech/Mizar : avant modification, maintenant elle est plus jaune citron comme la GOTO en intra et blanche centrale en extra maintenant avec un point violet R+B, l'anneau extérieur est normal en intensité (moins que l'extra de la Goto au milieu) 2) Goto : chromatisme idéal, que j'ai atteint avec la précédente, mais sur-correction d'aberration sphérique pour oculaire simple. Egalement, elle a un défaut mineur de coma & astig du à une cale remplacée. 3) Nikon : calage haut (sous-correction chroma du rouge) et sous-correction ab sphérique, superbe strehl vert traduisant un polissage presque parfait. Vous voyez : ces profils sont très intéressants car l'œil est très efficace sur le calage chromatique. Au-delà d'un certain niveau de piqué c'est la seule détermination qui fait la différence de rendu en observation. Pour allez plus loin sur l'exemple de la Nikon ci-dessus, elle est proche de la perfection (0.99 mesurée dans le vert), elle est toutefois légèrement sous-corrigée (aberration sphérique un peu trop positive) et calée assez haut (~535nm? ), préférable pour du lunaire : elle abandonne un peu de rouge extrême car le foucault et l'image intra donne du violet/rouge (et les appareils photo sont moins sensibles que l'œil côté rouge) => C'est un excellent/idéal objectif photo lunaire/CP mais qui aura besoin à coup sûr d'un prisme pour que l'aberration sphérique avance vers la normale et surtout d'oculaire de type à faible aberration sphérique comme les ortho abbe. A mon avis parfaite avec une bino à prisme sans glasspath. L'idéal d'un tel achromat est plutôt un calage un poil plus vers le jaune (pic recommandé pour une 80mmf/15 : 550-560nm) et pareil un zéro d'aberration sphérique dans le jaune à jaune-orangé 565-589. Le vert présenterait un strehl identique mais orienté dans l'autre sens de progression : meilleur dans le jaune alors que là, c'est en décroissance. Mais bon, on est à de tel niveau que c'est inutile d'y toucher. Les cas qui atteigne ou dépasse 0.96 de strehl dans le vert ou la raie sodium, on risque de tout dérégler. Seul un observateur exercé à l'utilisation des filtres pourrait remarquer une faiblesse. Je pense aux retours précis d'Algénib sur le modèle 80/1000 qu'il m'a racheté, il a fait des retours extrêmement précis sur l'instrument. C'était grâce à lui que je me suis décidée sur l'espacement supplémentaire que j'ai apporté à un autre objectif 80/1200. Non pas pour seulement un ajustement optique qui a été faible mais aussi pour diminuer le risque de condensation interne que j'ai rencontré en bord de mer ! Une séparation de 0.5mm est plus sûre en terme de contraste et petit effet anodin qui peuvent arriver.
  16. Je complète avec des formules trouvées récemment dans le livre d'Uwe Laux, Astro Optik. Voici ce qui est très probablement la dernière évolution de l'orthoscopique Abbe, avant la sortie du ZAO I / ZAO II C'est à mon avis la formule qui a été utilisée pour les Pentax ortho et les University Optics ortho, ceci avant la sortie de la version HD décrite plus haut. Ci-dessous un ray-tracing normalisé à f/9, son f/D nominal. Que peux-t-on constater à part celà ? C'est que l'effort technologique penche vers une combinaison de verres optiques plutôt lourd pour augmenter l'efficacité des courbures utilisées. Les différences d'indices permettent une excellente correction couleur et contenir les aberrations secondaires. C'est la même voie qui a été probablement recherchée pour les ZAO / Tak Abbe. L'oculaire reste pleinement utilisable au centre jusque f/6, en dessous les pertes en piqué deviennent sensibles et influe sur le rendu. A f/5.5, le cercle diffraction limited imposé par l'oculaire se réduit à 5° central, c'est donc déconseillé même sur un instrument top niveau et avec suivi. Il convient alors d'utiliser une barlow est de l'amener à f/9 pour 25° de belle image. A f/18, la correction diffraction limited atteint le bord de champ, pas ou peu de perte potentielle de détails si on l'utilise dans ce cas. Par rapport à l'ortho HD : le raccourcissement des f/D des optiques lui a je pense été fatal, en effet, pas mal de formules sont descendues à f/8 et moins avec la sortir des instruments ED. Cet formule reste pourtant une des plus confortables, avec un champ plan bord à bord (pas de remise au point comme avec l'ortho HD à longue focale). Je le conseille sérieusement en binoculaire avec un glasspath devant pour qu'il travaille entre f/10 et f/20 Je pense que le contributeur principal de nos jours est Baader Planetarium avec sa petite série et surtout le 18mm pour cet usage. En plus petite focale et utilisation monoculaire, je préconiserai plutôt l'ortho HD pour 12,5 à 7mm en natif pour du f/5 minimum, la courbure de champ ne se sent pas trop. Le Tak et le ZAO reste le top pour le confort et pour pouvoir pousser le f/D en combinaison avec la barlow Zeiss qui est compatible f/D court. Zeiss a également réalisé des plössls à faible distorsion mais Clavé est resté sur sa réputation avec la modification de la formule grand champ d'Albert Koenig et son relief d'oeil tout aussi consistant. Ils n'ont pas résisté même si ils étaient plus performants sur leur champ plus petit.
  17. lyl

    oculaire

    Avec quoi tu veux l'utiliser ? Je connais bien ce modèle, c'est la moins mauvaise copie actuelle du TMB planetary que Thomas Back avait conçu pour ses réfracteurs apochromatiques à f/6-f/7 Il y a quelques précautions à prendre quand tu l'utilises : remonter la bonnette au maximum et descendre progressivement jusqu'à voir tout le champ. Il fonctionne correctement à f/5.5, en dessous c'est pas garanti.
  18. lyl

    Dobson 127 cm

    Je vois que l'existence de tels instruments questionne. Typiquement des réflexions qui n'ont rien à voir avec l'astronomie. Mais chacun fait ce qu'il veut avec son argent. De là à dire que ça sert à quelque chose à part son plaisir personnel, pour l'instant on n'en voit pas les contributions. Je suis reconnaissante que l'on m'ait partagé l'oculaire d'un gros instrument mais ce n'est pas mon envie en ce moment. Qu'on se rassure, 80 mm (visuel) de nos jours c'est déjà suffisant du début de pouvoir se former à ce qui se passe dans le ciel et d'étendre ses connaissances et de pouvoir comprendre ce qui vient après. Mais bien loin d'être dans la course au spectacle. Chacun voit midi à sa porte. Stelina c'est combien déjà ?
  19. lyl

    Dobson 127 cm

    Je confirme, naviguer dans la nébuleuse d'Orion en pleine lumière, c'est enchanteur. Comme plonger dans la piscine (nébuleuse de la Lyre), celle-là était en couleur. L'oeil de chat et ses filaments à 450x ...
  20. J'en ai trouvé un et dans la focale de 10mm que je cherchais, c'est moi qui ait repris celui des PA. Le bafflage est poussé, côté œil autant que côté ciel. Champ plat même sur ma 80/900mm, le piqué bord à bord. champ total accessible une fois l’œil placé. Pas de dédoublement d'image ni de reflets. C'est au-delà des copies que j'ai eu entre les mains et sous l’œil. Même quand l'image s'assombrit sur le réfracteur f/15, je reste sans voix. Je crois que cela mérite le terme de bon caillou !
  21. ? désolée j'ai compris le sens général mais est-ce que ça veut dire que c'est le meilleur, en français ?
  22. Vu son obstruction centrale officiellement à 36% c'est plus que mérité. J'aurais du dire 200 mais ça aurait hurlé D'après D.Malacara, Y.Kletsov et d'autres on passe la barre de limitation par la diffraction vers 32-33% quand l'optique est parfaite. (encore une pierre dans le jardin Célestron, pierre que n'a pas voulu récupérer Takahashi) Mais je confirme : comparer du simple au double, ça a quand même peu de pertinence. L'essentiel c'est que le matériel fasse ce pour quoi il est prévu pour.
  23. Merci pour le lien ! Effectivement Takahashi travaille avec les méthodes qui donne la plus haute précision : - moulage au sable - rectification à 20um (alésage de précision) - ajustement pour la dilatation des optiques. C'est la façon dont on doit travailler pour obtenir la précision requise et la stabilité optique des équipements "de qualité". Il n'est pas possible de dépasser le niveau "bon" sans cela. Pas facile de catégoriser dans tous les domaines mais pour ce que je connais pour le lunaire : grosso-modo d'exploiter à 2D et au-delà pour parler grossissement en lunaire efficace. Je sais bien que c'est parfois futile mais quand une lunette de 80mm met la pile (x240) à une de 110mm mal foutue (x220), je sais que j'ai raison au vu des prix de vente. En réflexion générale : pour tous les instruments de diamètre petit à moyen c'est le seul moyen de profiter au maximum de ces diamètres qui sont moins affectés par la turbulence. La zone de 150 à 300mm de diamètre d'entrée est modérée ensuite principalement par la qualité du site d'observation choisi et vu que la plupart des gens observent à partir de sites pourri en zone péri-urbaine, ils ne voient pas la différence. Au delà de 300mm c'est la force brute du diamètre qui compte Comparer du 100mm avec un 225mm c'est peu pertinant sans préciser ce que l'on veut faire. Une 100mm f8 sert surtout à photographier des grands angles (avec réducteur) ou d'observer des faibles contrastes. Le 225mm est un collecteur de lumière pour lequel la compétence en traitement photographique et l'achat d'une monture ad hoc et nécessaire. Je n'ai pas de préférence.
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