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22Ney44

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Tout ce qui a été posté par 22Ney44

  1. Bonsoir @frazap29, J'ai le sentiment de deviner en filigrane dans votre pensée que le choix du D800 est fait. Vous voulez juste être rassuré que ce choix sera aussi performant qu'une caméra dédiée. De l'avis général pourtant la réponse est clairement NON. Réellement si vous voulez atteindre un très bon niveau de résultat, la caméra dédiée et refroidie est le chemin de la réussite. Ce sont vos cibles privilégiées (et votre capacité budgétaire aussi) qui vont déterminer la taille du capteur. Inutile d'avoir un format APSC et moins encore un Full frame, si votre objectif n'est pas les très grands objets ou les grands champs stellaires. Si tel était sporadiquement le cas, vous pourrez toujours réaliser votre photo par assemblage de tuiles. Ney
  2. Bonjour @NicolasG et bienvenue sur WebAstro. Houla là ! De grâce n'achetez rien avant d'avoir bien fait le tour théorique de la question. Ce serait dommage de devoir tout de suite revendre tout ou partie de vos achats. Dites en un peu plus. En attendant avez-vous lu ou étudié le travail de Thierry LEGAULT ? Si vous débutez total en astrophoto, ce pourrait être une bonne idée. http://www.astrophoto.fr/index_fr.html Vous avez aussi l'excellente chaine "La chaine Astro" de notre ami @CDLC, et plus particulièrement le chapitre "Photographier le ciel profond au télescope (nébuleuses, galaxies, amas d’étoiles...)" Bonne réflexion. Ney
  3. Bonjour @frazap29, Pour aller dans le sens de @Colmic, référence en matière d'astrophoto, la réponse à votre question est OUI. Votre appareil est bien le Nikon 800D ? Si cela est, la population de pixels sur le capteur n'est pas de 45 Mpixels mais de "seulement" 36,3 Mpixels. Est-ce que ce nombre en donnée brute a une importance en astrophoto ? Pas vraiment. Essayez d'étudier votre train optique. Je ne suis pas certain qu'un APN Full Frame derrière une lunette FRA400 soit vraiment adapté, à commencer par un vignettage important. Ce qui va être très très important en astrophoto c'est l’échantillonnage de votre imageur. Cette notion d'échantillonnage est absolument fondamentale pour qui veut aller vers le haut niveau en astrophoto. Le critère nombre de Mpixel a moins d'importance en photographie de portrait ou de paysage, qu'en a l'échantillonnage en astrophoto. Ce nombre de Mpixel n'a pratiquement aucune importance en astrophoto. Aussi je vous invite à aborder puis à approfondir très sérieusement cette notion. Vous allez alors vous apercevoir que pour définir son setup il y a une procédure à respecter qui est en gros la suivante : 1) Définir ses cibles privilégiées. Vous n'allez pas du tout choisir le même matériel selon que vous recherchez les grands champs stellaires, les grandes étendues nébuleuses ou alors des objets plus petits comme les nébuleuses planétaires ou les galaxies lointaines. Vos cibles vont alors vous indiquer le format idéal du capteur. 2) La définition du matériel commencera par définir le capteur et son échantillonnage dépendant de la taille des photosites ou plus exactement de la distance qui sépare le centre de deux photosites voisins. Ensuite viendra le choix du type de caméra, refroidie ou pas. En astrophoto du ciel profond, la chasse principale est au signal qui par essence est faible à très faible. La recherche du signal a tout prix est là pour améliorer la rapport Signal/bruit ( bruit de lecture, bruit électronique, bruit photonique, bruit thermique) aussi il serait dommage de le dégrader en laissant se développer les différentes sources de bruit. Le premier contre lequel il est assez "facile" de se défendre est le bruit thermique à deux titres, en refroidissant la caméra. Le premier titre est qu'en refroidissant la caméra, vous réduisez significativement le bruit thermique, mais aussi, @Colmic l'a souligné, vous normalisez les paramètres de correction par des DOF associés au régime thermique que vous maitrisez. Avec un APN, c'est quasi impossible. 3) Une fois défini l'échantillonnage de votre capteur, vous avez une idée juste de la précision mécanique et de suivi minimum de votre monture. C'est la qualité de votre monture qui fera la qualité de vos prises de vue. 4) Vient enfin le choix de l'instrument qui doit répondre entre autres à deux contraintes : A) L'échantillonnage de l'instrument doit correspondre à l'échantillonnage du capteur. Dans ce sens l'adéquation est bien plus facile à réaliser vue l'offre commerciale. B ) Le poids de votre instrument doit être compatible avec la charge admissible en astrophoto de votre monture. ( la charge en astrophoto est de 70% environ de la charge en visuel). Je vous invite à parcourir le site de Th LEGAULT http://www.astrophoto.fr/index_fr.html ou à consulter son livre http://www.astrophoto.fr/astrophotographie4.html Il y a encore des paramètres complémentaires. D'autres avis viendront. Ney
  4. Bonjour @astrolivier, Peut-être pourriez-vous alors faire un mix des solutions envisagées jusqu'à maintenant : 1) En suivant les tutos vous faites vous-même le nettoyage des lentilles. A cette issue vous mesurerez le nouvel état de vos lentilles. Soit il n'y a aucun progrès, ce que bien évidemment il ne faut pas souhaiter, mais vous savez alors à quoi vous en tenir, soit leur état vous convient et l'étape nettoyage est terminée. La dépense engagée pour cette étape, pourtant cruciale est faible. 2) Dans le cas d'un retour à une situation saine pour les lentilles, vous envoyez votre instrument chez TS qui en fera une maintenance et surtout une collimation au remontage pour une somme sans commune mesure avec un instrument neuf. Au final vous serez alors en possession d'un instrument nettoyé, révisé et collimaté. Une situation très proche du neuf finalement. Ney
  5. Pour passer en dessous des 5 m², la largeur utile sous plus de 1,80m de plafond aurait dû ne pas dépasser 1,71m au lieu des 1,79m. Cela nous fait une variation de 4,65% inférieur aux 5% de tolérance acceptée légalement dans le bâtiment. Aussi ce sont les chiffres du fabricant qu'il faut prendre et non les chiffres de l'importateur dans sa traduction qui a tout intérêt à les maximiser. Il se pourrait alors que même dans le premier cas il n'y ait rien à payer comme taxe. Ney
  6. Bonjour @astrolivier, L'invasion dont vous êtes victime n'est en soi pas trop grave. Le moyen de revenir à une situation saine est un nettoyage dans une solution au Peroxyde d'hydrogène à 3%. 5 minutes de trempage, une chiffonnette de qualité optique et le tour est joué. La seule difficulté est le bon repérage des positions et sens des lentilles au démontage et le bon repositionnement au remontage. Ci dessous vous avez trois tutos qui donnent une bonne idée de la manip. https://www.youtube.com/watch?v=czoisKjBCXY https://www.youtube.com/watch?v=5B-LfYakZ-Y https://www.youtube.com/watch?v=6VriRXxoM_U Bon courage. Ney
  7. 22Ney44

    Pêt de Mouche

    C'est là que l'indice prend toute sa signification ! Ney
  8. 22Ney44

    Pêt de Mouche

    Félicitations @Ygogo, Vous n'aurez donc aucune peine à trouver combien de temps je pourrai me servir d'un vélo neuf tout en carbone 14 avant qu'il ne se désintègre suffisamment au point d'être inutilisable ! Un indice pour encadrer le calcul, je pèse 2, 327 livres au kilogramme. A vos calculs. Ney
  9. J'ai hâte de savoir avec quoi notre amie @RIGEL33 a confusé l'absence du jet d'urine ! Ney
  10. 22Ney44

    Pêt de Mouche

    Bon j'ai dû me planter dans mes calculs, mais je trouve trois fois moins d'eV : 318 keV. Dans la même veine, avec un pote nous avions calculé la puissance d'un coton tige. A votre avis ça fait combien ? Ney
  11. Hummmm ! Que faites vous alors du premier principe en mécanique quantique, celui de superposition qui veut entre autre que la lumière soit à la fois ondulatoire et corpusculaire, et donc à la fois photon et électron ? Si cette particule hypothétique, hadron ou lepton a la plus infime probabilité d'exister physiquement, nous en aurions déjà les précurseurs sur le plan théorique depuis bien longtemps. Ce n'est pas une particule, mais prenez l'exemple des ondes gravitationnelles, elles ont été mises en évidences expérimentalement en 2016 soit très exactement 100 ans après la prédiction de leur existence apparue dans les modèles mathématiques du grand Albert. Imaginez alors, si la communauté scientifique qui bute sur tant de problèmes théoriques liés au modèle standard, introduisait une valeur supra-luminique, ce qu'il adviendrait ? Imaginez le champ des possibles ? Mais voilà quoi que vous fassiez des modèles, la valeur "c" est inatteignable par une particule massive dans notre Univers observable, rappelons-nous "c" est une constante explicite. La théorie de l'intrication quantique ne remet pas en cause la valeur de c et n'ouvre pas de débat quant à la surpasser. Ce qui est remis en cause par les inégalités de Bell est le principe de localité défendu par Einstein. Mais même Bell trouve des limites dans ses propres réflexions qui appartiennent encore pour partie à la réflexion philosophique. Quant à l'introduction de la matière noire et de l'énergie sombre, c'est juste une commodité invérifiée expérimentalement pour porter le modèle standard. D'aucun pourrait croire alors que le modèle standard est obsolète. Pourtant non tant les prédictions de ce modèle sont stupéfiantes de justesse une fois passées au crible de l'expérimentation. Cette remarque est intéressante. Mais avant d'aller plus loin dans cette voie, je vous invite à regarder ce que de manière générale ces sub-particules ont comme espérance de vie d'une part, et comment leur existence théorique nous ramène chaque fois au premier principe quantique. Ajoutez à cela le principe d'incertitude d'Heinsenberg, vous comprendrez alors que même si par une inadvertance extraordinaire, une particule devenait supra-luminique ( comment, je n'en ai pas la plus petite idée), il ne serait tout simplement pas possible de l'observer. C'est une singularité aussi infranchissable que l'est le mur de Planck à la naissance de l'Univers. Bonsoir @Bill24, Concernant les galaxies, certes elles s'éloignent les unes des autres dû à leur vitesse propre (à l'exception de certaines galaxies dans un même groupe local, comme notre Galaxie et Andromède qui sont maintenant sur le chemin de collision et déjà en interaction). Mais ce qui fait que leur distance 'éloignement s'accroit de plus de 299 792 458 m à chaque seconde n'est en aucun cas lié à un déplacement mais au fait que l'Univers est en expansion. Pour faire simple, il gonfle comme un ballon de baudruche. Aussi je trouve qu'il est injuste de dire que les galaxies les plus éloignées s'écartent de nous à une vitesse supra-luminique. La distance s'accroit non par le mouvement (donc il n'y a plus de notion de vitesse) mais par la dilatation du référentiel. Concernant l'effet Vavilov-Tcherenkov, vous avez raison de dire que des particules vont plus vite que la lumière. Il ne faut cependant pas perdre de vue que cet effet ne peut avoir lieu dans le vide mais dans un milieu diélectrique où la lumière se propage bien plus lentement que dans le vide. Cc'est le cas par exemple dans la piscine de refroidissement des grappes dans une tranche nucléaire. Dans cette eau la lumière se propage à environ 200 000 km/s, certaines particules vont plus vite MAIS tout en demeurant à une vitesse inférieure à "c". Ney
  12. Combien de poses réalisées et de quelle durée individuelle ? Combien de poses retenues à l'empilement ? Ney
  13. bonsoir @JemisM, Bienvenue sur WebAstro. pensez à peut-être écrire une présentation, c'est une démarche fort appréciée ici. Vous dites : Et je puis vous assurez que pour encore un temps assez long, nous allons continuer de l'affirmer, tant le modèle théorique qui le prédit et en conséquences la quirielle d'expérimentations qui ont cherché soit à le prouver, soit à le contredire ont invariablement conduit à le confirmer sans plus aucun doute possible dans notre modèle de physique. Quid alors quand arrivera un autre modèle de physique, ce qui est inéluctable et qui plus est fortement souhaité par la communauté scientifique ? Il y a de très fortes probabilités que la vitesse de la lumière demeure encore et toujours la constante que nous connaissons aujourd'hui. A cela il y a une raison forte : quelque soit le référentiel inertiel dans lequel l'expérimentation cherche à mesurer la vitesse de la lumière, le résultat obtenu est toujours le même : 299 792 458 m/s. Cette vitesse est ainsi démontrée comme totalement indépendante, à la fois de la vitesse de la source et du référentiel inertiel de l'observateur. Nous sommes alors fondés à admettre sans plus aucune suspicion que la vitesse de la lumière est à la fois un invariant et surtout une constante explicite de notre modèle fondamental de physique. La question que vous vous posez a des réponses sur des centaines de milliers de pages de publication que plus personne n'a les moyens mathématiques de remettre en cause, même les théories les plus farfelues, admettent c comme une constante définitivement acquise dans notre physique et notre Univers observable. Elle ne peut pas être dépassée tout court pour une raison assez simple une fois admisses toutes les raisons hyper-complexes qui précèdent. Seule une énergie de valeur infinie pourrait permettre à une particule de masse positive, (le seul modèle de masse connu et démontré à ce jour) de dépasser la vitesse de la lumière, et une énergie de valeur infinie par définition basique de notre physique n'existe pas et ne peut mathématiquement, et par voie de conséquence physiquement, exister. La supputation la plus récente nous la devons à Benoit GUAY( le physicien, pas le policier) sans grande conviction. Pour conclure nous pouvons admettre que la vitesse de la lumière est une constante solide et aussi inviolable que d'admettre que l'eau entre 0 et 100 °C à pression normale est ... mouillée. Ney
  14. Bonjour @Alex01630, Si votre choix se porte sur un C11, je crois qu'ici vous avez une réelle bonne opportunité d'acquérir un setup assez complet et récemment révisé. https://www.leboncoin.fr/sport_plein_air/2388420848.htm Le vendeur se trouve à 10 km à peine de chez moi, si cela peut vous aider, je veux bien me rendre auprès de lui. Ney
  15. En examinant la photo sur le descriptif de votre lunette, on distingua bien le renvoi coudé à 90°. Êtes-vous bien en possession de cet accessoire ? Sans celui-ci ou sans tube allonge dans le prolongement de la lunette vous n'atteindrez pas la mise au point correcte. De jour visez un objet lumineux au loin, un grand panneau publicitaire par exemple. Puis sans mettre d'oculaire mais en utilisant un carton bien blanc, mettez le en bout du porte oculaire rentré au maximum. Très lentement reculez le carton sans toucher au porte oculaire jusqu'à obtenir une image nette sur le carton. Vous aurez alors la position du point focal de l'optique d'entrée de votre lunette. Dites nous si le tube porte oculaire sort au moins jusqu'à cette position. Si ce n'était pas le cas, il sera difficile en l'état d'obtenir une mise au point. A vous lire. Ney
  16. Bonsoir @cedricgcg, Peut-être vous manque-t-il aussi le renvoi coudé. D'une part il rend l'observation plus confortable car il n'y a pas à se contorsionner pour mettre l'oeil à l'oculaire puis d'autre part, et c'est là le plus important il apporte sa contribution à la longueur du chemin optique. Si vous installez un oculaire directement dans l'axe de la lunette il vous faudra sortir le système de mise au point loin en arrière de manière à "allonger" le parcours de la lumière. ce n'est pas pour autant certain que vous puissiez faire la mise au point. Votre ami vous a prêté un oculaire de 6,5 mm ce qui donne un grossissement de 700/6,5 soit G= 107,7. Or votre instrument présente une limite théorique de grossissement de 120. A 107,7 vous en êtes très proche ce qui suppose un ciel exceptionnel pour obtenir un résultat. De plus la mise au point est très "pointue" dans cette situation. Il faut y aller très très très très lentement à tourner la molette de mise au point. Le point de netteté est sur une très courte plage. Idéalement, mettez une grosse pince à linge sur la molette et du bout du doigt pousser sur le bout de la pince le plus lentement possible. A vous lire. Ney
  17. Avec une ASI385MC le rapport F/D idéal (et minimu aussi) doit être de 19,12. Vous pouvez cependant accroitre ce rapport, ce qui entraine un sur-échantillonnage, mais aussi la taille de l'objet au foyer, lorsque les conditions de seeing le permettent. Le rapport max F/D en photo planétaire est de 25. Au delà le résultat se dégrade. Voici un article très bien fait et approfondi traitant de la variation de la focale, donc du F/D, sur un télescope Schmidt Cassegrain : https://saplimoges.fr/variation-de-la-focale-dun-schmidt-cassegrain-avec-sa-mise-au-point/?print=print Ney
  18. Bonjour @Noaskywalker, Je PlusPlus plussoie les conseils de @gerard33. Un appareil Reflex est très fortement déconseillé en astrophoto planétaire. A cela il y a plusieurs raisons : 1) Le capteur est de grandes dimensions (APSC ou Full frame) et présente des photosites de "grande" taille soit 5 microns ou plus. Cette situation vous donne alors un échantillonnage pour le planétaire complètement hors les clous, c'est à dire un F/D idéal très supérieur à 25 entrainant alors un résultat final plus que décevant. Une image planétaire au foyer est très petite. Aussi avec des photosites "grands", un objet comme Jupiter sera capté sur peu de photosites, entrainant un résultat médiocre. 2) La photo planétaire c'est la captation de quelques milliers d'images par prise de vue afin d'en réaliser un empilement. L'empilement est d'autant plus nécessaire qu'avec un rapport F/D important, le rapport signal/bruit diminue d'autant. Quelques milliers d'images, ce sera aussi quelques milliers de déclics. Vous allez très vite "consommer" le potentiel de votre appareil photo Reflex (environ 100 000 déclenchements), toujours pour un résultat très moyen, à moins que votre Reflex puisse filmer, mais ce ne sera qu'un pis-aller. La caméra proposée par Gérard33 peut être un choix très judicieux, peu coûteux et cohérent avec votre instrument. Le fait de pouvoir introduire la caméra dans le porte oculaire va rapprocher le capteur du foyer et ainsi réaliser la mise au point. Basée sur un capteur IMX225 (identique au capteur IMX224) on n'a pas fait beaucoup mieux depuis 10 ans en matière de photo planétaire. Je vous invite à lire attentivement et à approfondir le contenu du Blog de Christophe PELLIER : https://www.planetary-astronomy-and-imaging.com/reussir-images-planetaires/ pour être au top de l'astrophoto planétaire. Avec un rapport F/D = 7,9 de construction pour votre instrument, le calcul montre que la barlow idéale doit avoir un rapport X 2.42. Le calcul pourra être développé si vous le souhaitez. La Lune sans barlow cadre jaune, avec Barlow cadre rouge : Idem pour Jupiter, mais couleur de cadre inversée : Ney
  19. Bonjour @titou86, De quelle caméra ASI disposez-vous ? Cette question est là afin de calculer le rapport idéal de barlow et ainsi d'inclure dans le modèle l'éventuel tirage à donner à cette barlow. Comme vous utilisez un instrument Schmidt-Cassegrain avec une crémaillère Baader je présume que vous faites la mise au point via la crémaillère et non le mouvement du miroir primaire. Cependant selon la position que vous avez choisie pour votre miroir primaire, connaissez-vous exactement votre rapport F/D ? Sur un tel instrument ce rapport est variable, cela peut aller de f/D = 8 à F/D = 14. Cette fourchette de valeur laisse grand place à une large variation de l'échantillonnage de l'instrument. A vous lire. Ney
  20. Bonjour @petitjean, Vous vous demandez si votre caméra actuelle, 385MC va faire double emploi avec une éventuelle à venir la 178mm en photographie planétaire. Ces deux caméra sont très différentes l'une fait de la couleur , l'autre pas. Avec la 178 vous allez devoir multiplier par 4 le nombre de poses à effectuer si vous souhaitez retrouver la couleur, RGB + L. La difficulté que vous introduisez ce faisant, est que concernant Jupiter par exemple durant le plus grand nombre de prise de vues et donc de temps écoulé, la planète aura tourné de manière significative, rendant ainsi bien plus complexe la reconstruction colorée de la planète. Avec votre 385 MC actuelle vous n'avez pas cette difficulté particulière. Voilà une première différence notable. La deuxième différence vient de l'échantillonnage. J'ai pour habitude de le calculer autrement que par la formule du ciel profond. L'expérience a permis de déterminer que le rapport F/D idéal (et minimum à la fois) pour la photo planétaire est égal à 5,1 fois la dimension en microns d'un photosite de votre caméra. Pour la 385 nous avons donc un rapport F/D idéal de 5,1 X 3,75 = 19, 12. Votre mak par construction présente un F/D de 11,81, le rapport de Barlow idéal sera alors de 19,12 / 11,81 = 1,62. Ce rapport de barlow s'il est le rapport optique idéal peut être augmenté, donc de se trouver en sur-échantillonnage, si les conditions de seeing le permettent. Une règle expérimentale (dont je ne retrouve plus l'origine) veut qu'en photo planétaire on ne dépasse pas le rapport F/D = 25. Avec un caméra IMX178 nous pouvons faire le même calcul. Le rapport F/D idéal sera alors de 5,1 X 5,86 = 29,88 . La valeur max de F/D me semble bien dépassée avec presque 30. Si pour la Lune c'est encore acceptable, je pense que pour les planètes le résultat sera très décevant. Aussi, si pour le solaire la 178 est réputée bien adaptée, ce sera pour vous vraisemblablement son seul domaine d'application. Vous pouvez compléter votre réflexion en lisant avec attention le blog de Christophe PELLIER, une référence sur le sujet : https://www.planetary-astronomy-and-imaging.com/reussir-images-planetaires/ D'autres avis viendront. Ney
  21. Bonjour @orionoé, Content pour vous que votre setup fonctionne correctement maintenant. Vous écrivez : Pourriez-vous nous donner les détails de cette panne ? D'une part par intérêt et d'autre part afin de guider rapidement un autre astram qui décrirait les mêmes symptômes que les vôtres, vers la solution. D'avance merci. Ney
  22. Bonjour @orionoé, La lecture du mode d'emploi aide à comprendre le fonctionnement du boitier et de l'ensemble de motorisation. 1) A la mise sous tension, si on ne touche à aucun autre bouton du boitier, le boitier se met automatiquement en suivi sidéral. C'est à dire comme l'a dit @Skywatcher707, seul le moteur de l'axe d'ascension droite anime la monture pour contrer exactement la rotation de la Terre. Le mouvement est lent et à peine perceptible. Il évolue à la vitesse de 15°/ heure soit donc 6H00 pour faire un angle droit. Durant cette phase le moteur de déclinaison ne bouge pas. Ce boitier ne propose pas de réaliser un suivi lunaire ou solaire contrairement à l'équipement Synscan. 2) Dès l'instant que vous utilisez les flèches de direction, votre monture va se déplacer selon les deux axes à trois vitesses possibles dépendantes de la position du bouton X2, X4, X8 soit respectivement deux fois, quatre fois ou huit fois la vitesse sidérale. Cette fonctionnalité vous permet d'affiner le centrage de l'objet au chercheur d'abord, à l'oculaire ensuite. ceci veut dire que si le boitier est au repos, c'est à dire aucune touche ativée, la seule action est la rotation du moteur d’ascension droite à la vitesse sidérale. Comme vous l'a signalé @Davdi, assurez-vous que les molettes soient bien serrées sinon le moteur n'est pas embrayé sur la monture. Ney
  23. C'est ce que je suis en train de chercher. Je ne connais pas ce boitier de commande, j'utilise la raquette Synscan. Je recherche le mode d'emploi sur le net sans le trouver pour l'instant. Ney
  24. Les vitesses X2, X4 et X8 sont respectivement deux fois, quatre fois et huit fois la vitesse standard de suivi. Cette vitesse de suivi en vitesse sidérale est de 15°/heure. Ney
  25. Que faites-vous de différend entre la sélection de X8 où cela fonctionne et les autres vitesses X2 et X4 où cela ne fonctionne pas ? Vous écrivez : Ces trois vitesses sont des vitesses accélérées pour faire un positionnement. Ce que j'appelle les vitesses standard de suivi sont les vitesses sidérale, lunaire et solaire. Les avez-vous testées ? Ney
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