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Cosentino

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  1. Cosentino

     

    Bonjour

     

    LA MASSE DES WIMPs ET LA VALEUR PRÉVUE PAR LE ''NBBF''

     

    La masse des WIMPs ( constituants de la matière noire) serait de l'ordre de 5-50 GeV voir même <10 GeV [3].

    Ce qui est intéressant c'est que, en 2001, grâce aux équations du modèle cosmologique du "New Big-Bang Fractal" ( "NBBF" ) il a été calculé et publié une masse de 3,7 GeV !

    Pour qu'elle raison la valeur du "NBBF" est-elle du même ordre de grandeur que celle publiée par les revues scientifiques ?

     

    Concernant la matière noire le "NBBF" nous dit que celle-ci serait de l' "hélium superfluide" à une température de 2,18 K. L' "hélium superfluide" conserverait cette température à condition de se trouver loin des sources chaudes ce qui le rendrait invisible.

    Dans les années 1993 une étude, concernant l' "hélium superfluide", à été menée entre l'ingénieur du CERN Didier Cornuet et moi-même ( dans cette étude le CERN n'est pas concerné ). Il ressort de cette étude que l' "hélium superfluide" , à cette très basse température et loin des sources chaudes, possède de nombreuses propriétés physiques qui en font un candidat très sérieux à la matière sombre...

     

    N'oublions pas que l'hélium superfluide est abondamment utilisé au CERN en tant que "stabilisateur" thermique .

     

    De même l' "hélium superfluide" à 2,18 K semble être un stabilisateur de la température de notre Univers à 2,726 K. Dans cette hypothèse notre Univers ne subirait jamais une "mort thermique"...

     

    Cette hypothèse ou postulat fait partie d' une des phases qu'auraient connu le Cosmos selon le "NBBF" quantique. Cette phase notre Univers l'aurait acquise après 18 milliards d'expansion. Selon le "NBBF" quantique cette phase correspondrait aujourd'hui à un Cosmos qui serait globalement statique depuis au moins quelques 100 milliards d'années...

     

    Des expériences en thermodynamiques ont montré qu'il est possible que ces 2 températures peuvent coexister ensemble.

     

    Il n'est pas possible d'exposer ici cette étude mais il est possible pour ceux qui la désire de me le faire savoir par email :

     

    mario.cosentino@hotmail.com

     

    Un article est en préparation pour le soumettre à une revue à referee.

     

    Respectueusement

     

    Liens:

     

    [1] http://hal.in2p3.fr/in2p3-00716140/

     

    [2] http://arxiv.org/abs/1207.1815

     

    [3] http://arxiv.org/abs/1005.5102

     

    [4] http://edelweiss.in2p3.fr/index.php?language=fr

     

    [5] http://drericsimon.blogspot.fr/2012/09/la-matiere-sombre-devoilee-par-un.html

  2. Cosentino

     

    Bonjour

     

    Ne pensez pas que j'ai oublié ma promesse. Soyez S.V.P. patients car je ne considère que les questions qui méritent toute mon attention. La très grandes majorité des commentaires n'ont, pour moi, aucune considération. Par contre une minorité sont intéressantes car elles concernent directement les hypothèses de base du "NBBF" ou concernent

    des problèmes liés à la physique. Et cela commence enfin à venir. C'est avec ce genre de questions intéressantes que, je l'espère, on pourra établir un véritable dialogue afin d'avoir de nouvelles réflexions au sujet des énigmes les plus tenaces de notre Univers...J'ai toujours été et je suis toujours pour la communication correcte.

     

    P.S. : une présentation du modèle cosmologique du "NBBF" est en cours de préparation. Voici les grandes lignes qui seront présentées et discutées prochainement:

     

    1-Les prévisions qui font la force du modèle cosmologique du "NBBF"

    2-L'historique de la théorie ( les scientifiques qui ont "amorcé" ou ont précédé le "NBBF" )

    3-Ses postulats (ce que le "NBBF" refuse et accepte par rapport au modèle cosmologique expansionniste)

    4-Ses grandes phases ou étapes concernant l'évolution et la dynamique de notre Univers

    5-Conclusion ( ou en sommes nous aujourd'hui ? )

     

    A bientôt

  3. Cosentino

     

    Bonjour

     

    Ce message s'adresse à Aware et au Modérateur.

     

    Je cite:

     

    "Un petit extrait de lui (...)" (du 03/12/2012, 15h02).

     

    Qui est ici "lui" ?

     

    Si pour Aware c'est moi c'est entièrement faux pour la simple et bonne raison que l'article que j'ai soumis à Automates Intelligent commence par :

     

    AU SUJET DU LIVRE <<UN AUTRE COSMOS [1]>>

     

    Tout ce qui est écrit AVANT mon article c'est sous la responsabilité d' "Automates Intelligents"!

    Personnellement que les gens soient créationnistes, évolutionnistes ou autres choses cela ne me regarde pas. On est ici en cosmologie...

    A l'avenir Aware, puisque vous avez 2 Masters, merci d'utiliser S.V.P. votre énergie à vous attaquez à mes hypothèses et pas à autre chose...

     

    Compte tenu de cela je demande au Modérateur de faire disparaitre de cette discussion le commentaire de Aware en date du 03/12/2012. Monsieur le Modérateur merci de votre aimable compréhension.

  4. Cosentino

     

    Bonjour à tous

     

    Merci aux modérateurs de leur objectivité ainsi qu'à Bruno d'essayer de "réguler" autant que possible la discussion!

     

    M'adressant, en général à des personnes qui on un certain bagage scientifique je ne pensais pas avoir besoin de donner l'avis d'un spécialiste en cosmologie comme l'astrophysicien mondialement connu Jean-Pierre Luminet. Il n'est peut-être pas un spécialiste des dimensions fractales mais son avis au sujet de l' "éponge de Menger" de dimension fractale D = 2, 726 8 et sa possible relation avec la température de notre Univers T = 2,726 K est un avis scientifique car devant la complexité de notre Univers il laisse la question ouverte. Ainsi,pour moi, Monsieur J.P. Luminet n'a pas un esprit dogmatique mais ouvert à toute hypothèses nouvelles. Avec son aimable autorisation voici son commentaire dans un courrier du 11 Octobre 2011:

     

    "C'est vrai que l'objet de Menger-Sierpinski est intéressant sur le plan mathématique; à priori je ne pense pas que cela ait à voir avec la température du rayonnement fossile, MAIS SAIT-ON JAMAIS? "

     

    Bonne continuation dans vos travaux,

     

    cordialement" --- C'est moi qui souligne.

     

    Actuellement un spécialiste des fractales et astrophysicien se penche sur cette possible relation entre D et T. Je reste dans l'attente d'un contact...

     

    Au cas ou pour certains le commentaire de J.P. Luminet ne présente pas un intérêt scientifique, pour moi, cela est aujourd'hui suffisant car ainsi on laisse à l'avenir d'infirmer ou de confirmer cette hypothèse qui est scientifiquement plausible. En mécanique quantique il existe une autre valeur qui est également proche de D et de T. C'est la "borne" de Tsirelson ( voir mes messages). Dans l'histoire des sciences les attitudes dogmatiques sont généralement désastreuses car elles font obstacle au progrès scientifique. A ce sujet il est utile de rappeler, encore et encore, que le système de Ptolomée à fait perdre, à la science, quelques 1500 de progrès! Certains on tiré cette leçon de l'histoire mais est-ce le cas pour tout le monde?

     

    Je constate une récurrence au sujet des "amateurs".

    Pour "tordre le cou" à cette "récurrence" je conseil d'aller découvrir la biographie de nombreux "amateurs" ou "autodidactes" qui ont contribué aux grandes avancés scientifiques. Voici une liste qui est loin d'être exhaustive:

     

    1- Le jeune André-Marie Ampère ( qui n'est jamais allé à l'école... )

    2- Michael Faraday ( n'a reçu aucune instruction ). Faraday eut comme élève James Clerk Maxwell. Nous savons qu' Ampère et Faraday nous ont donnés les clefs qui nous ont ouvert les portes de la théorie générale de l'électromagnétisme!

    3- Henrich-Daniel RuhmKorff ( se spécialise dans les appareils de physique )

    4- Zénobe Gramme ( il met au point les premières dynamos industrielles. On lui doit les moteurs électriques modernes.

    5- Thomas-Alva Edison ( 1093 brevets!). Edison avait commencé sa brillante carrière en "cirant des bottes", en "vendant des journaux". Pour montrer l'exemple à son personnel il pointa sa carte afin de montrer qu'il n était qu'un simple ouvrier... 6

    6- Avogadro

    7- Fagnano

    8- Olivier Heaviside

    9- Wolf

    10- Ramanujan

    11- Joule ( Amateur puis physicien )

     

    Aujourd'hui encore, "amateurs" et autodidactes jouent un rôle important dans les nombreuses disciplines scientifiques!

     

    A la demande de "Bruno" un "message d'introduction" est en cours de préparation.

    Mille excuses pour cette interruption pour cause de manque de temps ( les obligations ).

     

    P.S. arrêter S.V.P. de dire que je me fait de la publicité. Pour moi c'est un réel plaisir de donner de l'information car je part du principe que tout le monde à droit à l'information. Ensuite chacun est libre de ne pas y croire ou d'y prêter attention.

    Les précisions de mes références ont pour seul but une meilleure recherche bibliographique.

     

    A très bientôt...

  5. Cosentino

     

    J'ai oublié "Gilgamesh"! J'ai discuter avec lui, au sujet de notre Cosmos, et je signale qu'il ne m'a jamais dit qu'il se prenait pour Dieu. Donc, du moins pour moi,"Gilgamesh" est un être humain comme nous tous. J'espère que, comme moi, vous aussi vous êtes persuadé que "Gilgamesh ( ou qui que soit d'autres ) n'a pas une connaissance illimitée sur notre Univers...

  6. Cosentino

     

    Bonjour à tous

     

    Tout d'abord mille excuses du fait que mes sujets n'étaient pas regroupés.

    'Bruno vous avez bien compris qu'il s'agit du catalogue de H. Arp. Malheureusement je constate qu'il existe encore des personnes qui ignorent ses travaux d'observations très pertinents. En ce qui concerne mes références tu as également vu juste. En effet par des références de vulgarisation il est plus pratique de s'adapter au grand public.

     

    J'ai le projet de soumettre prochainement mes travaux de recherche à un comité scientifique. Mais pour cela j'attends ( et je suis dans cette attente depuis quelques 25 ans ) que, selon les prévisions du "NBBF", le modèle dominant soit dans une impasse où il sera forcé d'adopter, devant les nouvelles observations, un nouveau paradigme. Un des nombreux critères de ce nouveau paradigme donnera à l'Univers un âge bien supérieur que les quelques 13,7 milliards d'années avancé par le modèle expansionniste.Toujours selon les prévisions du "NBBF" bientôt on devra observer des galaxies non seulement très proches du Big-Bang mais bien formées et constituées d'étoiles vieilles. Nous savons que le décalage spectral z ne constitue qu'une simple remonté dans le temps. Lorsqu'on pourra en plus calculer l'âge des étoiles de ces galaxies presque contemporaines du Big-Bang c'est là qu'il y aura la vrai panique! Selon les observations les plus modernes ainsi qu'à travers mes discussions avec les professionnels la situation de la cosmologie expansionniste est, aujourd'hui, dans une situation de plus en plus inconfortable... Pour de plus en plus de spécialistes la RÉVOLUTION est déjà en marche!

    Cela fait peu de temps que la théorie cosmologique du "NBBF" à commencé à être crédible. Avant je n'avais pas beaucoup d'observations qui allaient dans le sens des prévisions du "NBBF" donc la probabilité que mes travaux de recherche soit accepté aurait été extrêmement mince.Voilà pourquoi pour l'instant mes seules protections sont mes Mémoires à l'Académie des Sciences de Paris, mes 2 tomes, mes articles, mes conférences dans les villes Universitaires, passage à la télévision, radios, mes forums, etc. Maintenant, donc depuis peu, nous sommes un groupe de recherche indépendant où de nombreuses spécialités scientifiques sont réunies: la Relativité Restreinte et Générale, la Mécanique quantique, la thermodynamique, la Mécanique des Fluides, les champs électrodynamiques, les dimensions fractales, les interactions des photons avec l'énergie du vide ou énergie sombre, la superfluidité, etc. Toutes nouvelles idées ou hypothèses falsifiables ( au sens de Popper ) est la bien venue...

     

    En ce qui concerne la température de notre Univers T = 2,726 K et sa relation avec la dimension fractale D = 2,726 8 ... de l' "éponge de Menger", il n'est pas possible d'exposer ici ( trop technique, mais pour les niveaux supérieurs c'est avec un grand plaisir que je peux les envoyer par email ) les équations du "NBBF" où la température T perd son unité K en devenant comme D sans dimension. Donc le problème des degrés Kelvin, Celsius ou autres ne se pose pas.

     

    En ce qui concerne la valeur de e il est intéressant de remarquer qu'en développement limité cette valeur, convergente , semble contenir les "nombres quantiques principaux" n de l'univers lorsque celui-ci était en expansion selon les équations du "NBBF" quantique.

    Pour les nombres quantiques principaux voir les niveaux d'énergie en physique quantique.

    Dans mes travaux de recherche ainsi que dans toutes mes équations, sans paramètres libres, il n'y a aucune place pour la numérologie. Si pour certains cela ne serait pas le cas alors il faut me le démontrer!...

    Dans toutes les équations du "NBBF" quantique seules sont prises en compte les constantes fondamentales que sont G, c, h, k , a ( constante de structure fine ) pour ne citer que les plus importantes. De plus en plus de chercheurs sont convaincus que dans l'agencement de ces constantes fondamentales se cacherait l' "ordre sous-jacent" de notre Univers. Selon le "NBBF" quantique dans la constante de structure fine se trouverait comme "codés" tous les paramètres physiques qui caractérisent notre Cosmos...

     

    La critique, au sens noble du terme est très louable, mais pas les atteintes à la dignité humaine! J'ai constaté que ceux qui utilisent cette attitude inacceptable montrent finalement qu'ils sont à court d'argument... Pour moi c'est le signe qu'ils perdent du terrain...

    Merci au modérateur de faire respecter le langage dans ce forum qui mérite toute sa considération .

     

    Respectueusement

  7. Cosentino à

     

    Jarnicoton

     

    Bonjour

     

    D'abord la valeur fractale D de l' "éponge de Menger" n'est pas 2,725 mais 2,726 8...

     

    Ensuite la valeur de "e" dans les équations du "NBBF" sert, depuis longtemps, à expliquer la quantification de l'expansion de l'Univers lorsque ce dernier était encore en dilatation...

    Selon le "NBBF" la quantification de l'expansion de l'Univers s'est faite par "sauts quantiques" comme les sauts quantiques entre les orbitales atomiques. Si cela nous le vérifions en mécanique quantique pour qu'elle raison cela serait impossible pour notre Univers?...d'autant plus que notre Cosmos est essentiellement quantique ( de l'ordre de 95 %) .

    La science ne progresse pas avec des phrases du genre: "Je pense que tout est dit"...mais avec les observations et les expériences et d'être ouvert à toutes questions nouvelles...

  8. Mario Cosentino

     

    Enseignant en Mathématique & Physique

    Formation Universitaire Astronomie et Astrophysique

     

    Bonjour à tous

     

    LA MASSE DU BOSON DE HIGGS

    SE TROUVE DANS LES ÉQUATIONS DE LA THÉORIE DU «NEW BIG-BANG FRACTAL» EN «ÉPONGE DE MENGER»

     

    Le boson de Higgs, est parfois surnommé «particule-dieu» ( God Particle ) ou traduction incorrecte «particule de Dieu».

     

    On savait que la masse du boson de Higgs était comprise entre 0 et 1000 fois la masse du proton.

     

    Ce qui est intéressant c'est que la valeur actuelle de la masse du boson de Higgs se trouve dans les équations de mon modèle cosmologique du «New Big-Bang Fractal» («NBBF»).

     

    La dimension fractale D de l'espace-temps serait de D = 2,726 8... est elle correspond à l'objet fractal de l' «ÉPONGE DE MENGER-SIERPINSKI».

     

    Cette dimension fractale D serait la cause de la température observée de notre Univers à

    T = 2,726 K.

     

    Ainsi la masse du boson de Higgs semble se trouver impliquée dans une des équations qui concerne le calcul du champ vibratoire du vide quantique de notre Univers fractal ( en «ÉPONGE DE MENGER») et dans une autre équation où il semble également être impliqué dans le calcul de la température de notre Univers à 2,726 K [1].

     

    LA TEMPÉRATURE DE NOTRE UNIVERS, L' «ÉPONGE DE MENGER» ET LE CHAMP DE HIGGS

     

    Le champ de Higgs pour être rempli de particules il préfèrerait être à basse température. La température de notre Univers a justement la propriété d'être à basse température. En plus, le «NBBF» propose l'hypothèse que cette basse température serait liée à la dimension fractale D = 2,726 8 … qui est celle de l' «ÉPONGE DE MENGER» .

     

    Pour aller à l'essentiel, il ressort de tout cela, que nous pouvons postuler que le champ de Higgs aurait une dimension FRACTALE D ( D = 2,726 8 ) est se trouverait avoir la basse température T ( T = 2,726 K ) qui est celle de l'espace-temps de notre Univers.

     

    Ce champ de Higgs serait une sorte de «fluide visqueux fractal» qui entrave le déplacement des particules. C'est la raison pour laquelle toutes les particules ayant une masse effective, comme les bosons W± et Z° , interagissent avec ce «fluide visqueux fractal» .

     

    QUESTIONS SANS RÉPONSE

     

    Le champ de Higgs ne répond pas à certaines questions comme l'existence des différentes masses des particules ou les différents couplages d'une particule à l'autre...

     

    Le «champ de Higgs fractal», du «NBBF» pourrait-il nous apporter sa contribution par un éclairage nouveau sur ces questions sans réponse?...

     

    Le modèle d'Univers du «NBBF» a déjà donné des preuves de la solidité de ses postulats ou

     

    hypothèses ( voir parfois où une hypothèse s'avère être plus qu'une hypothèse --- par exemple au sujet des expériences sur les fractales à l' École Polytechnique de Paris) .

     

    Ne passons à coté de ce qui pourrait-être fondamentale pour une meilleure connaissance de notre Univers...

     

    LES ÉQUATIONS DU «NBBF»

     

    Dans les équations du modèle d'Univers du «NBBF», on trouve pour la masse du boson de Higgs une valeur de 137 fois celle du proton ( 137 mp ).

     

    Voici une équation telle qu'elle se trouve à la page 81 de mon Mémoire [2] , [3]:

     

    λOVR = Lp mp nuo / 3 me α (1)

     

    = h / me c (2)

     

    = λce = longueur d'onde de Compton de l'électron = 2, 426 31.10 -12 m

     

    avec

     

    λOVR = λce = Amplitude des oscillations du champ de Higgs ou «fluide visqueux fractal» de l'espace-temps en constante vibration ou encore «océan de Higgs» [4].

     

    Lp = longueur de Planck

     

    mp = masse du proton

     

    nuo = nombre quantique principal de l'Univers avec un champ de Higgs en mode oscillatoire égal à nuo = 1,78. 10 ^18

     

    3 = dimensions spatiales (x, y , z )

     

    me = masse de l'électron

     

    α = constante de structure fine = 1 / 137

     

    Comme vous pouvez le constater dans l'équation (1) il n'y a aucun paramètre libre tous sont justifiés!

     

    Il ressort de cette relation que la masse du boson de Higgs est égale à:

     

    MbH = mp / α = 137 mp

     

     

    = 3 h / Lp nuo c = 2,3 .10 -25 kg ou (128,8 GeV ) (3)

     

    MbH = Masse du Boson de Higgs

     

    Cette masse, prévue par le modèle cosmologique du «NBBF», exprimée en eV est de 128,8 GeV .

     

    N.B.: Juste avant l'annonce du 13 décembre «sa masse devrait correspondre à au mois 120 mp [5]. » . Les expériences donnaient une valeur comprise dans le créneau entre 115 et 130 GeV --- valeurs selon les 2 expériences du LHC avec Atlas et CMS ( CERN [6] ) . La valeur est maintenant fixée à une quantité très proche de 126 GeV pour 128,8 GeV par les équations du «NBBF»! Pour la valeur de 126 GeV voir le lien:

     

    http://www.techno-science.net/?onglet=news&news=11040

     

    Tous les paramètres concernant le calcul de la masse du boson de Higgs sont justifiés mais demandent des développements et des explications qui sortent du cadre de cette information.

     

    Mais si tel est votre désir c'est avec plaisir que je vous fournirais des informations

    complémentaires.

     

    Parmi les nombreuses prévisions , du «NBBF», déjà confirmées par les observations, la masse du boson de Higgs et la vitesse des neutrinos supérieure à la vitesse de la lumière c font également parties des prévisions du «NBBF» qui, pour le moment, sont dans l'attente prochaine d'une infirmation ou confirmation expérimentale...

     

    Références:

     

    [1] Mario Cosentino: «LE NEW BIG-BANG synthèse des modèles cosmologiques actuels» éditions Apolline, Prologue de Bernard Milet Astronome à l'Observatoire de Nice, p. 196, Éditions Chiron, 2001, 25, rue Monge 75 005 Paris , ISBN: 2 – 84556 – 023 – 0 (ouvrage épuisé ).

     

    [2] Mario Cosentino: «LE BIG BANG REVISITE OU «LE SUPER-NEW BIG BANG»

    par l'union des constantes fondamentales de la physique Eddington, Stewart, Dirac... , avaient-ils raison?» --- Mémoire déposé en date du 26 janvier 1995 chez Guy Simonet Huissier de Justice 5, Place du Palais de Justice 42000 Saint-Etienne

     

    [3] Mario Cosentino: Idem pour le titre --- Mémoire déposé à l'Académie des Sciences de Paris accepté en date du 15 février 1995.

     

    [4] http://fr.wikipedia.org/wiki/Champ_de_Higgs

     

     

     

    [5] Russel Stannard: «Vers la fin des découvertes Approchons-nous des limites de la science?, Groupe De Boeck s.a. , 2011, page 118.

     

    [6]«Les collaborations ATLAS et CMS présentent l'avancement de leur recherche du Higgs», dans communiqué de presse du CERN, 13 décembre 2011 ( http://press.web.cern.ch/press/PressReleases/Releases2011/PR25.11F.html )

     

    Respectueusement

  9. Mario Cosentino

     

    Enseignant en Mathématique & Physique

    Formation Universitaire Astronomie et Astrophysique

     

    Bonjour à tous

     

     

    LA MASSE DU BOSON DE HIGGS

    SE TROUVE DANS LES ÉQUATIONS DE LA THÉORIE DU «NEW BIG-BANG FRACTAL» EN «ÉPONGE DE MENGER»

     

    Le boson de Higgs, est parfois surnommé «particule-dieu» ( God Particle ) ou traduction incorrecte «particule de Dieu».

     

    On savait que la masse du boson de Higgs était comprise entre 0 et 1000 fois la masse du proton.

     

    Ce qui est intéressant c'est que la valeur actuelle de la masse du boson de Higgs se trouve dans les équations de mon modèle cosmologique du «New Big-Bang Fractal» («NBBF»).

     

    La dimension fractale D de l'espace-temps serait de D = 2,726 8... est elle correspond à l'objet fractal de l' «ÉPONGE DE MENGER-SIERPINSKI».

     

    Cette dimension fractale D serait la cause de la température observée de notre Univers à

    T = 2,726 K.

     

    Ainsi la masse du boson de Higgs semble se trouver impliquée dans une des équations qui concerne le calcul du champ vibratoire du vide quantique de notre Univers fractal ( en «ÉPONGE DE MENGER») et dans une autre équation où il semble également être impliqué dans le calcul de la température de notre Univers à 2,726 K [1].

     

    LA TEMPÉRATURE DE NOTRE UNIVERS, L' «ÉPONGE DE MENGER» ET LE CHAMP DE HIGGS

     

    Le champ de Higgs pour être rempli de particules il préfèrerait être à basse température. La température de notre Univers a justement la propriété d'être à basse température. En plus, le «NBBF» propose l'hypothèse que cette basse température serait liée à la dimension fractale D = 2,726 8 … qui est celle de l' «ÉPONGE DE MENGER» .

     

    Pour aller à l'essentiel, il ressort de tout cela, que nous pouvons postuler que le champ de Higgs aurait une dimension FRACTALE D ( D = 2,726 8 ) est se trouverait avoir la basse température T ( T = 2,726 K ) qui est celle de l'espace-temps de notre Univers.

     

    Ce champ de Higgs serait une sorte de «fluide visqueux fractal» qui entrave le déplacement des particules. C'est la raison pour laquelle toutes les particules ayant une masse effective, comme les bosons W± et Z° , interagissent avec ce «fluide visqueux fractal» .

     

    QUESTIONS SANS RÉPONSE

     

    Le champ de Higgs ne répond pas à certaines questions comme l'existence des différentes masses des particules ou les différents couplages d'une particule à l'autre...

     

    Le «champ de Higgs fractal», du «NBBF» pourrait-il nous apporter sa contribution par un éclairage nouveau sur ces questions sans réponse?...

     

    Le modèle d'Univers du «NBBF» a déjà donné des preuves de la solidité de ses postulats ou

    hypothèses ( voir parfois où une hypothèse s'avère être plus qu'une hypothèse --- par exemple au sujet des expériences sur les fractales à l' École Polytechnique de Paris) .

     

    Ne passons à coté de ce qui pourrait-être fondamentale pour une meilleure connaissance de notre Univers...

     

    LES ÉQUATIONS DU «NBBF»

     

    Dans les équations du modèle d'Univers du «NBBF», on trouve pour la masse du boson de Higgs une valeur de 137 fois celle du proton ( 137 mp ).

     

    Voici une équation telle qu'elle se trouve à la page 81 de mon Mémoire [2] , [3]:

     

    λOVR = Lp mp nuo / 3 me α (1)

     

    = h / me c (2)

     

    = λce = longueur d'onde de Compton de l'électron = 2, 426 31.10 -12 m

     

    avec

     

    λOVR = λce = Amplitude des oscillations du champ de Higgs ou «fluide visqueux fractal» de l'espace-temps en constante vibration ou encore «océan de Higgs» [4].

     

    Lp = longueur de Planck

     

    mp = masse du proton

     

    nuo = nombre quantique principal de l'Univers avec un champ de Higgs en mode oscillatoire égal à nuo = 1,78. 10 ^18

     

    3 = dimensions spatiales (x, y , z )

     

    me = masse de l'électron

     

    α = constante de structure fine = 1 / 137

     

    Comme vous pouvez le constater dans l'équation (1) il n'y a aucun paramètre libre tous sont justifiés!

     

    Il ressort de cette relation que la masse du boson de Higgs est égale à:

     

    MbH = mp / α = 137 mp

     

     

    = 3 h / Lp nuo c = 2,3 .10 -25 kg ou (128,8 GeV ) (3)

     

    MbH = Masse du Boson de Higgs

     

    Cette masse, prévue par le modèle cosmologique du «NBBF», exprimée en eV est de 128,8 GeV .

     

    N.B.: Juste avant l'annonce du 13 décembre «sa masse devrait correspondre à au mois 120 mp [5]. » . Les expériences donnaient une valeur comprise dans le créneau entre 115 et 130 GeV --- valeurs selon les 2 expériences du LHC avec Atlas et CMS ( CERN [6] ) . La valeur est maintenant fixée à une quantité très proche de 126 GeV pour 128,8 GeV par les équations du «NBBF»! Pour la valeur de 126 GeV voir le lien:

     

    http://www.techno-science.net/?onglet=news&news=11040

     

     

    Tous les paramètres concernant le calcul de la masse du boson de Higgs sont justifiés mais demandent des développements et des explications qui sortent du cadre de cette information.

     

    Mais si tel est votre désir c'est avec plaisir que je vous fournirais des informations

    complémentaires.

     

    Parmi les nombreuses prévisions , du «NBBF», déjà confirmées par les observations, la masse du boson de Higgs et la vitesse des neutrinos supérieure à la vitesse de la lumière c font également parties des prévisions du «NBBF» qui, pour le moment, sont dans l'attente prochaine d'une infirmation ou confirmation expérimentale...

     

    Références:

     

    [1] Mario Cosentino: «LE NEW BIG-BANG synthèse des modèles cosmologiques actuels» éditions Apolline, Prologue de Bernard Milet Astronome à l'Observatoire de Nice, p. 196, Éditions Chiron, 2001, 25, rue Monge 75 005 Paris , ISBN: 2 – 84556 – 023 – 0 (ouvrage épuisé ).

     

    [2] Mario Cosentino: «LE BIG BANG REVISITE OU «LE SUPER-NEW BIG BANG»

    par l'union des constantes fondamentales de la physique Eddington, Stewart, Dirac... , avaient-ils raison?» --- Mémoire déposé en date du 26 janvier 1995 chez Guy Simonet Huissier de Justice 5, Place du Palais de Justice 42000 Saint-Etienne

     

    [3] Mario Cosentino: Idem pour le titre --- Mémoire déposé à l'Académie des Sciences de Paris accepté en date du 15 février 1995.

     

    [4] http://fr.wikipedia.org/wiki/Champ_de_Higgs

     

    [5] Russel Stannard: «Vers la fin des découvertes Approchons-nous des limites de la science?, Groupe De Boeck s.a. , 2011, page 118.

     

    [6]«Les collaborations ATLAS et CMS présentent l'avancement de leur recherche du Higgs», dans communiqué de presse du CERN, 13 décembre 2011 ( http://press.web.cern.ch/press/PressReleases/Releases2011/PR25.11F.html )

     

    Respectueusement

  10. Mario Cosentino le vendredi 20 mai 2011

     

    Enseignant en Mathématiques & Physique

    Formation Universitaire en Astronomie & Astrophysique

     

    Bonjour

     

     

    L'HYPOTHÈSE D'UN «ESPACE-TEMPS FRACTAL»

     

    QUI «ARRÊTE»

     

    L'EXPANSION DE L'UNIVERS

     

    RÉSUMÉ

     

    L'hypothèse de base de la théorie du «New Big-Bang Fractal» ( «NBBF») repose sur le postulat que la température de notre Univers serait passé de la température de Planck 10 32 K à la valeur actuelle qui est de 2, 726 K . Cette température serait aujourd'hui constante est serait devenue une propriété intrinsèque de l'énergie du vide. La raison de cette constance s'expliquerait dans un nouveau cadre cosmologique où l'Univers aurait 'arrêter' son expansion depuis au mois quelques 60 milliards d'années. 18 milliards d'années d'expansion + 60 milliards d'années en phase 'statique' notre Univers aurait donc un âge de l'ordre de 80 milliards d'années*! Âge du même ordre de grandeur que celui avancé par l'Astrophysicien Sir Fred Hoyle qui est de 100 milliards d'années.

    Dans cette hypothèse, où cette température du vide quantique resterait constante, notre Univers ne subirait aucune 'mort thermique'. [1]

    Mais par quel phénomène l'Univers aurait-il 'stopper' son expansion et deviendrait «stabilisé»?

     

    Avancer une telle hypothèse cela est invraisemblable pour certains.

    Mais il faut savoir qu'aujourd'hui, devant les nombreux problèmes graves non résolus par la cosmologie dominante, il est plus que plausible de postuler que notre Univers ne pourrait pas être en expansion mais «stabilisé» pour toujours.

     

    L' 'ARRÊT' DE L' EXPANSION DE L'UNIVERS SERAIT PLUS QU'UNE HYPOTHÈSE

     

    Cela fait maintenant quelques 25 que je me pose la question: 'Mais par quel phénomène l'Univers aurait-il 'stopper' son expansion?

     

    Pour la première fois il me semble que j'ai une explication qui me paraît possible;

     

    Il semblerait, et cela n'engage que moi, que lorsque notre Univers serait devenu 'fractal' il aurait 'arrêter' son expansion!

     

    Voici par exemple ce que nous lisons

     

    «la structure fractale hiérarchisée explique ainsi la «stabilité» de l'ensemble des nuages.» - C'est moi qui souligne. [2]

     

    Je tiens à préciser, que cette hypothèse est aujourd'hui plus qu'une hypothèse car elle repose sur certaines expériences de laboratoire. [3] Certes l'application de ces expériences, à notre Cosmos, est une extrapolation mais l'extrapolation fait partie de la recherche scientifique. Se révélera-t-elle fausse ou vrai? Seul l'avenir nous le dira... En tout cas, selon le critère de Popper, les nombreuses prévisions de la théorie du «NBBF» en font une théorie scientifique. Qu'elle est la dimension fractale D de l'Univers ou de son «*espace-temps fractal»? [4]

    Selon le modèle du «NBB» la valeur avancée serait de

     

    D = 2, 726 8...

     

    Ce qui est surprenant c'est que cette dimension fractale est intéressante pour 2 raisons*:

     

    1- elle est liée au calcul de la température de 2, 725 K et

     

    2- la valeur de D est la dimension fractale de l' «éponge de Menger-Sierpinsky»!

    Nous constatons que la valeur de D est celle de la température de l'Univers sont extrêmement proche l'une de l'autre. Mais la première est sans dimension et la deuxième possède une dimension de température [K].

     

    Un 'espace-temps fractal' est très intéressant dans le cadre de la théorie du «NBBF» car il pourrait avoir la propriété d' 'absorber' le rayonnement électromagnétique' nous venant des galaxies. En d'autres mots: la lumière perd de l'énergie en traversant le milieu 'absorbant' qu'est l' 'espace-temps fractal' et, en plus, cela sans diffusion. Cette explication où la lumière perd de l'énergie est connue sous le nom de: la théorie de la «lumière fatiguée» ou «vieillissement de la lumière» - dont Einstein et d'autres spécialistes y ont travaillé.

    La théorie de la «lumière fatiguée» se traduit également par un décalage des raies spectrales vers le rouge sans faire appel à l'effet Doppler. Dans l'interprétation de «vieillissement de la lumière» il n'y a pas d'expansion de l'Univers. Cette interprétation, d'un Univers 'statique' , est compatible avec les postulats du «NBBF.

     

    QUE DISENT LES EXPÉRIENCES DE LABORATOIRE SUR LES DIMENSIONS FRACTALES?

     

    La dessus je préféré laisser la parole à un spécialiste Bernard Sapoval.

    Voici ce que nous lisons: [3]

     

    «Des expériences réalisées à l'École polytechnique en 1 994 ont montré l'existence de figures de corrosion fractales avec la dimension fractale que nous avions prévue. (…)

     

    Dans des expériences de corrosion plus rapide, on peut cependant obtenir des zones où la corrosion , tout d'abord massive, s'arrête de progresser. (…) C'est parce que le «envahisseurs» perdent de leur «agressivité» Les simulations numériques que Sitangshu Santra et moi avons réalisées récemment montrent que le front de corrosion dans les régions où la corrosion s'arrête possède une dimension fractale apparente égale à 4 / 3 = 1, 33. (…)»- C'est moi qui souligne.

     

    Nous lisons encore:

     

    «On voit apparaître ici un phénomène intéressant: la corrosion devient lente en même temps que la figure de corrosion devient fractale. Dans notre cas, la "fractalité" serait un outil de diagnostic de l'arrêt ou tout au moins du ralentissement de la corrosion. Cette notion est paradoxale pour le sens commun, au moins le sens commun des physiciens. Quand on considère habituellement l'attaque chimique d'un métal, soit le processus d'attaque s'arrête par formation d'une couche protectrice, un oxyde en général, qui protège le métal de l'agent corrodant. Ici la géométrie fractale apparaît comme une forme de frontière qui caractérise l'état d'équilibre d'une interface entre deux milieux différents.- C'est moi qui souligne.

     

    «D'autre part, nous avons vu que plusieurs phénomènes hors de l'équilibre pouvaient fabriquer des fractales, comme l'agrégation ou la diffusion. Nous verrons un peu plus loin que l'on peutr évoquer comme source de "fractalité" certains phénomènes qui s'organisent spontanément mais toujours en présence d'un déséquilibre. Ici,c'est l'interface entre deux milieux, dont l'un possède un caractère aléatoire – le milieu corrodé – qui évolue spontanément vers une ''fractalité'' qui devient une forme d'équilibre simple ou forme d'équilibre fractale?»

     

    «Fig.53. Expérience de ralentissement de la corrosion d'un fim d'aluminium déposé sur du verre.

    A gauche: images expérimentales successives de la progression de la corrosion, Le bord de la tache de corrosion devient irrégulier à partir de 600 secondes et finalement fractal pour un temps de 1 040 secondes. A ce stade, la corrosion locale s'arrête.» - C'est moi qui souligne.

    Dans un autre ouvrage, voici ce que nous dit B. Sapoval au sujet des propriétés des fractales:

     

    «Par la suite, je me suis intéressé aux propriétés des résonateurs et de leur amortissement. On savait empiriquement que les structures irrégulières ( et donc les fractales ) sont de mauvais résonateurs, c'est-à-dire de bons amortisseurs des vibrations. Une idée me «travaillait» depuis longtemps. Les côtes,fractales, amortiraient bien les vagues: c'est pourquoi l'érosion que nous observons aujourd'hui semble s'être «stabilisée». En effet, peut-être n'est-ce pas seulement la mer qui, comme on le pense, érode les côtes mais aussi les côtes qui, par leur forme, «affaiblissent» la mer? C'est une hypothèse qu'on vient également de vérifier numériquement: l'érosion d'une côte cesse lorsque celle-ci devient fractale de dimension exactement égale à 4 / 3! [5]

     

    LES DIMENSIONS FRACTALES ET L' «ARRÊT» DE L'EXPANSION DE L'UNIVERS

     

    A la page 259 de son livre en référence [3] B. Sapoval associe la «répartition fractale des galaxies dans l'univers» au reste «d'une turbulence passée?»

     

    Si nous prenons ces expériences, quelles soient réelles ou numériques, et que par extrapolation je les appliquent à la théorie du «NBBF» voici ce que je peux poser comme postulats:

     

    1- que la «turbulence passée» de B. Sapoval était l'expansion de l'Univers.

    Selon le «NBBF» cette expansion, qui aurait duré 18 milliards d'années, se faisait par 'sauts quantifiés' en fonction des valeurs entières qu'auraient prisent le nombre quantique qui une que l'Univers «arrêterait sa dilatation serait devenu le 'nombre quantique principal' de l'Univers. La 'quantification' de notre Univers serait une observation. [6]

     

    2- que lorsque l'Univers était en expansion cela traduisait le fait qu'il était en «équilibre simple» et non encore en «équilibre fractal».

     

    3- lorsque l'Univers, au cours de son expansion, aurait atteint la valeur fractale D alors l' «espace-temps fractal» «arrête» son expansion. La dimension fractale D «stabiliserait l'Univers car il serait en «équilibre fractal».

     

    CONCLUSION

     

    Comme je l'ai écrit plus haut il me semble qu'ici il y aurait plus qu'une hypothèse de travail concernant le postulat que notre Univers ne serait plus en expansion. Explorer cette nouvelle piste de recherche, d'un «espace-temps fractal» de dimensions D = 2, 726 8... semblerait résoudre les nombreux problèmes et paradoxes de la cosmologie standard...

    Cette dimension fractale D, dans le cadre du «NBBF», ne concerne pas la distribution des galaxies mais uniquement les propriétés du vide quantique.

    Si par contre la distribution des galaxies serait, elle aussi, de dimension fractale alors l'Univers serait non homogène et le Principe Cosmologique d'Einstein ne serait plus valable. Or dans un Univers qui serait non homogène il deviendrait impossible d'utilisé la Relativité Générale pour modéliser notre Cosmos à grande échelle!

    L'homogénéité, ou Principe Cosmologique, est une hypothèse non démontrée. En 2 006 au cours d'un séminaire à l'IAP la non homogénéité était envisagée. [7]

     

     

    Références

     

    [1] Mario Cosentino: «Origine et Destin de notre Univers par une nouvelle Cosmologie De l'atome jusqu'aux confins du Cosmos» Conversations avec Pierre Bourge, Président de l'Astro-club de France, éditions Bonnefoy, 1 993, Imprimeur-Éditeur B.P. 24 – 83 980 Cavalière – Le Lavandou

    ISBN: 2 – 906630 - 07 – 1

    Références INIST: 1/1 - ( C ) CNRS

    Numéro: Pascal 93 – 0610460 INIST

     

    Mario Cosentino: «Le New Big-Bang synthèse des modèles cosmologiques actuels», Prologue de Bernard Milet, Astronome à l'Observatoire de Nice, Éditions Apolline, 2 001, ISBN: 2 – 84556 – 023 – 0 . Ouvrage épuisé.

    PASCAL 02 – 0189644 INIST

    Bibliothèque Nationale de France

    Cote*: 2 002 – 24732

     

    Pour plus d'informations concernant la théorie du «*NBBF» allez svp dans*:

     

    Google et mettre: mario cosentino

    Google et mettre: automates intelligents 84

    Google et mettre: automates intelligents 113

    Google et mettre: automates intelligents 116

     

    [2] Google mettre: '41 – Univers fractal – Matière et Révolution'

     

    [3] Bernard Sapoval: «UNIVERSALITÉS ET FRACTALES» Préface de Beboît Mandelbrot, Nouvelle Bibliothèque Scientifique, Flammarion, 1 997, pp. 157, 158, 159, 259, 260, etc

     

    [4] Automates Intelligents N° : «L'espace-temps est-il fractal?» du 20 / 03 / 2 007

     

    [5] Les Fractales Art, Nature et Modélisation, Bibliothèque Tangente, HS n° 18, pp. 38, 98-100. Ces pages correspondent aux 2 chapitres consacrés à Bernard Sapoval.

     

    [6] Voir les obserevations de W. Tifft, «Discrete strates of redshift and galaxy dynamics», Astrophysics Journal, n° 211, 1 977, p.31.S.

     

    Scheider, E. Salpeter, «Velocity differences in binary galaxies». Astrophysice Journal, n°385, 1 992, p.22.B.

     

    Guthrie, W. Napier, «Redshift periodicity in the local supercluser», Astronomy and Astrophysics, n°310, 1 996, p.353.

     

    Laurent Nottale, «Scale relativity and fractal space-tine», Chaos, Solitons and fractal, n° 7, 1 996, p. 877, Sect. 7. 2.

     

    [7] Subir Sarkar, de l'Université d'Oxford: «Cosmology beyond the Standard Model. Séminaire

    IAP ( Institut d'Astrophysique de Paris , 6 Mars 2 009

     

    [8] Voir les très nombreux travaux sur l'Univers fractal de l'Astrophysicien Laurent Nottale

     

    Respectueusement

  11. Mario Cosentino

     

    Enseignant en Mathématiques & Physique

    Formation Universitaire en Astronomie & Astrophysique le 10 Novembre 2012

     

    Bonjour

     

     

    COSMOLOGIE EXPANSIONNISTE: DE SON ''ÂGE D'OR'' A SON ''ÂGE LE PLUS SOMBRE'' DE SON HISTOIRE

     

    Résumé

     

    Une phase de l'univers dite «âge sombre», une matière dite «matière sombre» à 25 % et enfin une énergie dite «énergie sombre» à 70 % !

    Il est reconnu qu'aujourd'hui la cosmologie expansionniste avance dans 95 % d'obscurité!

    Tout cela dit autrement se traduit par le fait que 95 % de la masse-énergie de l'Univers échappe à nos observations. Uniquement quelques 5 % est sous forme lumineuse donc observable!

    Paradoxalement, malgré ce constat, très obscur , cela n'empêche pas la cosmologie expansionniste d'avancer encore avec de nombreuses certitudes là où, aujourd'hui, elle devrait plutôt se montrer extrêmement prudente.

     

    En effet, surtout depuis les observations du télescope spatial Hubble la cosmologie dominante expansionniste semble être de plus en plus dans une situation de plus en plus inconfortable. L'astrophysicien Edwin Powel Hubble est considéré comme le ''père'' de la théorie de l'expansion de l'Univers formulée en 1929. Le paradoxe c'est qu'aujourd'hui le télescope portant son nom, avec toute une batterie d'autres types d'observations, semble aller à l'encontre de cette croyance générale en un Univers en expansion...

    Cette situation de plus en plus inconfortable fait partie des prévisions du modèle cosmologique que j'ai nommé le ''New Big-Bang fractal'' (''NBBF'') quantique. Mes travaux de recherche remontent en 1988. Mais officiellement, c'est vers le début des années 1990 que j'ai lancé une mise en garde contre l'interprétation expansionniste (voir mes 2 livres, télévision, radio, etc. dans mon blog ou Google et mette: mario cosentino ). A cette époque il était difficile de s'attaquer au modèle dominant car il semblait être ''un long fleuve tranquille'' du fait qu'on ne disposait pas des observations actuelles. Aujourd'hui il est facile de le mettre sérieusement en doute.

    Aujourd'hui, sans parler des prévisions du ''NBBF'', de plus en plus d'observations remettent en cause les fondements même du modèle expansionniste.

    Selon le ''NBBF'' les observations présentes et celles à venir vont plonger la cosmologie expansionniste dans son ''âge le plus sombre'' de son histoire jusqu'à sa disparition et son remplacement par un nouveau paradigme. Selon certains spécialistes cette révolution est déjà en cours...

     

     

    Selon le ''NBBF'' les remises en causes ne concernent pas du tout le Big-Bang

     

    Avant d'aller plus loin précisons que, selon le modèle cosmologique du ''NBBF''quantique les remises en causes majeures ne mettent pas en cause le Big-Bang mais le modèle théorique de l'expansion générale de notre Univers. Selon le ''NBBF'' quantique l'Univers a eu une phase d'expansion quantifiée d'une durée de 18 milliards d'années. Cette première phase est suivie d'une seconde où il est devenu globalement statique. Au sujet de ces 2 phases les équations du ''NBBF'' sont formelles. Elles n'utilisent que uniquement les constantes fondamentales de la physique telles que G, c et ђ en une théorie ayant une cohérence interne, sans aucun paramètre libre et en accord avec les observations les plus modernes. Ce qui est encourageant c'est que certaines de ses prévisions ont été confirmées soit par des observations soit par des expériences. Ce qui est remarquable c'est que la constante de structure fine α contient à elle seule tous les paramètres fondamentaux qui caractérisent notre Univers comme: son rayon ou son horizon maximal observable, sa température, ses oscillations relativiste radiales et périphériques, sa très faible vitesse de rotation, etc. Ajoutons que les équations du ''NBBF'' quantique nous conduisent à l'existence d'un barycentre. Cela implique que notre Univers serait en interaction avec un deuxième Univers de même masse --- l'un tournant autour de l'autre. Rien n'interdit de faire l'hypothèse que la masse de ce deuxième Univers serait de l'antimatière. Rien n'interdit également qu'un Big-Bang pourrait donner naissance à 2 Univers à parité opposée.

     

    Après cette petite digression revenons à notre Cosmos. Depuis combien de temps notre Cosmos serait-il dans cette phase statique? Cette dernière phase semble avoir duré au moins 100 milliards d'années...

    Cette phase statique est interdite par la Relativité Générale mais pas dans un Univers dominé par la mécanique quantique relativiste et non relativiste. Ajoutons à cela qu'il existe dans l'Univers d'autre forces que la gravitation. En d'autres mots: la cosmologie expansionniste surestime la plus faible des 4 forces fondamentales et elle sous-estime les 3 autres qui sont plus intenses. De plus il faut dire que la Relativité Générale ne s'applique à tout l'univers que si la distribution de son contenu masse-énergie est homogène. Or cette homogénéité est loin d'être observée bien au contraire. Cela justifie, entre autres, les prévisions du ''NBBF'' quantique.

    Selon les prévisions du ''NBBF'' les remises en causes majeures présentent et avenir devraient, sous peu, faire disparaître le modèle cosmologique expansionniste! Plus on tente de le sauver plus il nous conduit vers des impasses. Jusqu'à quant va durer cette obstination pour vouloir à tout prix comme on dit ''sauver les apparences'' ?

     

    Mes critiques ne concernent pas du tout les compétences des physiciens et astrophysiciens bien au contraire. Mais force est de constater que plus on avance dans le temps plus les observations amènent à rejeter le modèle cosmologique dominant.

     

     

    Les remises en causes qui plongent la cosmologie dominante dans son ''âge le plus sombre'' de son histoire:

     

    Ces remises en causes semblent justifier que la cosmologie dominante ne serait plus dans son ''âge d'or'' mais dans celui de son ''âge le plus sombre'' de l'histoire des sciences...

     

    Voici une liste, non exhaustive, d'observations qui mettent sérieusement en cause le modèle expansionniste.

     

    1- Des étoiles ayant un âge presque aussi vieux que celui de l'Univers.

    Par exemple l'un des plus vieux amas stellaires, l'amas d'Hercule ( ou Messier 13 ) comportant plus de 100 000 étoiles, aurait un âge estimé à 12 ou 14 milliards d'années pour un âge de l'Univers de 13,7 milliards d'années selon la cosmologie dominante.

     

    En effet voici ce que nous lisons dans une autre référence concernant les étoiles dans les amas riche en étoiles:

     

    «Si les plus grosses quittent rapidement la scène, les plus nombreuses, moins massives que le Soleil, aux durées de vie supérieures à l'âge de l'Univers, pourraient briller des dizaines de milliards d'années durant.» --- C'est moi qui souligne. Voir Jacques Paul & Jean-Luc Robert-Esil*: '' Le Beau Livre de l'Univers DU BIG BANG AU BIG FREEZE , Dunod, 2011, p. 56.

     

     

     

    2- Après l'énergie sombre et la matière sombre nous voilà aujourd'hui confrontés avec une phase de l'Univers que la cosmologie dominante nomme l' ''âge sombre'' de l'Univers! La durée de cette phase de l'Univers, très proche du Big-Bang , est encore aujourd'hui mal définie.

     

    3- Des galaxies ainsi que des amas de galaxies de plus en plus proches du Big-Bang. Aucun modèle d'Univers n'explique la présence de tels objets dans des tranches d'Univers aussi courtes.

    Aujourd'hui nous pensons être à quelques 100 ou 200 millions d'années seulement après le Big-Bang!

    Le record d'un milliard d'années est dépassé! Et qu'observons-nous à moins de 500 millions d'années seulement après le Big-Bang? … des galaxies bien formées, matures et dans un environnement ayant beaucoup de poussière. Or pour que la poussière existe à une telle remontée dans le temps, ou dit autrement dans un Univers aussi jeune, il faut beaucoup plus que quelques 100 millions à 200 millions d'années... Or nous savons que la formation des étoiles et des galaxies à partir d'une nébuleuse de gaz en contraction exige la présence des poussières afin de faire baisser quelque peu la température de ce gaz. Le rôle des poussières dans un immense nuage de gaz en contraction donnant naissance à une étoile ou à une galaxie va donc, par évacuation de la chaleur, faciliter une sorte d'équilibre entre les deux forces antagonistes que sont la contraction du gaz par la gravitation et sa pression de radiation.

     

    Les dernières observations nous montrent des galaxies bien constituées dans une tranche d'âge de de l'Univers de quelques 200 à 500 millions d'années seulement!

     

    Mais dans un Univers aussi jeune les galaxies peuvent-elles venir à l'existence en moins de 500 millions d'années seulement après le Big-Bang?

     

    Voici la réponse d'un Chercheur et spécialiste en cosmologie Marc Lachièze-Rey:

     

    ''Loin dans le passé ( pendant le premier milliard d'années environ ), n'existaient ni galaxies, ni étoiles.'' Voir ''Initiation à la cosmologie'' , 4e édition, Dunod, 2004, tirage corrigé 2005 p., 78.

     

    Pour l'astrophysicien Hubert Reeves

     

    ''(…) les galaxies ne devraient pas apparaître avant l'époque correspondant à z = 1 ou 2. Or on observe des quasars à z ≈ 5, ainsi que des galaxies à z = 2 ou 3 et qui sont déjà vieilles.'' ---C'est moi qui souligne. Voir ''La première seconde Dernières nouvelles du cosmos. 2 '', Seuil , 1995, p. 204.

     

    Aujourd'hui la valeur de z est d'environ z ≈ 10!

     

    Dans un autre ouvrage d'Hubert Reeves nous lisons:

     

    ''Le problème vient du fait que les surdensités observées dans le rayonnement fossile ne dépassent pas le cent-millième. Multipliées par mille, elles ne devraient guère dépasser un centième aujourd'hui! Dans ce cas de figure, la phase lente ne serait pas encore terminée et les galaxies ne seraient pas encore nées! Pourtant, les photos du ciel nous le prouvent: les galaxies sont là et depuis longtemps...'' ---C'est moi qui souligne. Voir ''Dernières nouvelles du cosmos Vers la première seconde'', Seuil, 1994, p. 202.

     

    Signalons aussi qu'à moins de 500 millions d'années après le Big-Bang l'Univers ''est encore passablement chaud''!

     

    Voici ce que nous lisons à ce sujet:

     

    ''Comment se fait-il qu'en un milliard d'années à peine il se soit développé, à partir d'un univers quasi homogène, des fluctuations de masse volumique assez importantes pour que les premières galaxies se forment? Évidemment, on peut faire appel à la gravitation. Des fluctuations de masse volumique initiales auront tendance à augmenter sous l'effet de la gravitation: les régions plus denses attirent vers elles la matière des régions moins denses. Le problème est que l'Univers, pendant le premier milliard d'années de son existence, est encore passablement chaud et que la chaleur a tendance à disperser les agglomérations de matière. Par comparaison, considérez l'air dans la pièce où vous vous trouver en ce moment. Même si vous comprimez de l'air avec vos mains pour créer une fluctuation de masse volumique, l'air environnant ne se mettra pas à s'agglomérer autour de la fluctuation. En fait, la fluctuation disparaîtra rapidement, parce que les molécules de l'air à la température de la pièce se déplacent si rapidement que la gravitation est incapable de les forcer à s'agglomérer en des zones de haute masse volumique entourées de vide ( heureusement!). La même chose devrait se produire en cosmologie: dans un univers chaud, ou même tiède, la gravitation est incapable de transformer des fluctuations aussi infimes que celles que l'on observe dans le RFC en des agglomérations appréciables de matière.'' --- C'est moi qui souligne. Voir Marc Séguin et Benoît Villeneuve: ''Astronomie et Astrophysique'', De Boeck Université, 2002, 2e édition ,p. 389.

    Au sujet des auteurs

     

    ''Marc Séguin

     

    Titulaire d'un baccalauréat en physique de l'Université de Montréal et de deux maîtrises ( astrophysique et histoire des sciences ) de l'Université Harvard, il enseigne l'astronomie et la physique au collège de Maisonneuve ( Quebec ).

     

    Benoît Villeneuve

     

    Docteur en astrophysique de l'Université de Montréal, il enseigne l'astronomie et la physique au collège Edouard-Montpetit ( Quebec ).''

     

     

    4- L'observation de galaxies très lointaines (citons par exemple la galaxie BX442 ) qui ressemblent aux galaxies de notre environnement. Ces observations ne vont pas du tout dans le sens d'une évolution, dans le temps, de notre Univers.

     

    5- il existe un très long catalogue de décalages spectraux z vers le rouge anormaux qui mettent en cause l'interprétation d'un Univers en expansion.

     

    6- au sujet des supernovæ de type 1a il n'est absolument pas certain qu'on puisse les utiliser comme ''chandelles standards'' pour en conclure que l'Univers est en expansion accéléré. La méthode pourrait être biaisée par exemple par les propriétés du vide quantique inter-galactique ou énergie sombre ou encore la matière sombre, etc. Nous savons que l'espace inter-galactique est loin d'être vide et nous ne connaissons pas toutes les interactions que les photons, nous venant des supernovæ, subissent au cours de leur très long parcours. Si les photons en interagissant avec le vide quantique viendraient à perdre de l'énergie, sans diffusion, alors toutes les interprétations seraient fausses et l'Univers ne serait pas en expansion accélérée. Ainsi la théorie de la ''lumière fatiguée'' d'Einstein, et d'autres, garde toute sa pertinence. Ne pas en tenir compte pourrait être fatal pour l'interprétation qu'en donne la cosmologie expansionniste. Avec toutes les nouvelles propriétés des grands espaces inter-galactiques la prudence s'impose.

    Nous lisons à ce sujet:

     

    ''Fondations solides? Pour étudier les choses qui sont loin des échelles de taille et des temps de la vie courante, les scientifiques doivent baser leurs résultats sur des prédictions de théories complexes, avant même que les tests et les raffinements de ces théories soient terminés. Une erreur dans l'enchaînement du raisonnement sur lequel elles sont basées peut conduire à des résultats incorrects. Par exemple, utiliser les Céphéides pour mesurer les distances implique de combiner plusieurs concepts intermédiaires. En autres, il faut supposer que la relation période-luminosité s'applique de la même façon à toutes les Céphéides et supposer que la luminosité maximale ne dépend que de la distance qui nous sépare de cette étoile ( ce qui est incorrect s'il y a de la poussière ou du gaz entre l'étoile et nous, comme c'est souvent le cas ). Si l'une de ces hypothèses ( parmi beaucoup d'autres ) est fausse, les distances calculées sont incorrectes.'' ---C'est moi qui souligne. Voir Neils F. Comins: ''A la découverte de l'Univers Introduction à l'astronomie et à l'astrophysique'', de boeck, 2011, p.332.

     

    ''L'auteur

     

    Le professeur Neils F. Comins enseigne à l'université du Maine aux Etats-Unis. Plusieurs fois diplômé en physique et docteur en astrophysique, ses travaux dans les domaines de la relativité générale, de l'astronomie observationnelle, de la simulation numérique d'évolution des galaxies, sont mondialement reconnus.» ---Voir 4ème de page.

     

    7- L'observation d'amas de galaxies et des super-amas de galaxies structurés en de très longues ''murailles'' d'une dimension pouvant atteindre une fraction importante du rayon observable de l'Univers. Ce type d'observations nous conduit à la remise en cause de ce que l'on appelle le principe cosmologique parfait. En effet l'observation d'amas de galaxies de plus en plus gigantesques semble mettre sérieusement en cause le principe cosmologique parfait. Ce dernier est indispensable pour que la masse volumique de l'Univers soit homogène. Or nous savons que si cette homogénéité n'est pas respectée les équations de la Relativité Générale ne pourraient pas être utilisées pour prévoir la dynamique globale de notre Univers. Dans ce cas la Relativité Générale resterait utile mais dans un Univers restreint mais non dans sa globalité. Donc, sans d'homogénéité pas de modèle cosmologique uniquement basé sur la gravitation! Nous comprenons que le principe cosmologique parfait est une colonne de l'édifice de la cosmologie expansionniste. Nous comprenons également que le non respect de cet unique principe de base ferait que tout l'édifice théorique de la cosmologie dominante s'écroulerait comme un château de cartes... et les observations semblent bien aller dans ce sens car nous observons des structures formant des «murailles de galaxies». Par exemple si nous prenons la superstructure qui s'appelle le «Grand Mur CfA2» et qui possède une longueur de quelques 0,7 milliard d'années-lumière. Cette longueur représente un rapport longueur du «Grand Mur» / rayon de l'Univers observable de l'ordre de 1/ 20 ! Pour appréciez ce rapport imaginez-vous une règle de 20 cm représentant le rayon de notre Univers et vous prenez une longueur d'un cm pour le «Grand Mur». Nous voyons mieux ce que représente ce «Grand Mur» par rapport à la taille du rayon du Cosmos.

    Ce «Grand Mur» fut découvert en 1989 par Margaret Geller et John Huchra.

    Les dimensions de ce «Grand Mur» semblent remettre en question le principe cosmologique parfait.

     

    Voici un deuxième «Grand Mur» appelé le «Grand Mur de Sloan» qui lui mesure 1, 37 milliard d'années-lumière. Cette mesure donne un rapport de l'ordre de 1/10 du rayon de l'Univers observable ! La découverte de ce «Grand Mur» fut annoncé le 20 Octobre 2003 par J. Richard Gott et Mario Juric. Comment expliquer la présence de cette superstructure. Que vient-elle faire dans un Univers supposé parfaitement homogène? Cette observation ne nous laisse-t-elle pas dubitatif quant à la validité du principe cosmologique parfait appliqué à l'ensemble de l'Univers?...

    Même si certaines critiques ont été formulées sur ce «Grand Mur» il n'empêche que sa forme globale est très pertinente.

     

    Nous avons déjà vu que si l'uniformité de la distribution de la matière à grande échelle n'est pas constatée alors, à lui seul, le «Grand Mur de Sloan» semble suffisant pour mettre le principe cosmologique parfait «au pied du Mur»!...

     

    Pour plus d'informations concernant les points 1 à 5 voir les références ci-dessous.

     

    Conclusion

     

    Nous constatons que le modèle cosmologique expansionniste face aux observations fait naître de nombreux problèmes. Il comporte des quantités de difficultés et d'incohérences internes laisse de nombreuses questions sans réponse. Au vu de tout cela il ne me semble pas scientifiquement raisonnable d'être catégorique, voire dogmatique pour parler de l'expansion de l'Univers en employant des phrases affirmatives. Il serait plus raisonnable de se montrer prudent en employant des phrases au conditionnel. La cosmologie moderne est relativement jeune par rapport au autres branches de l'astronomie. De ce fait l'étude de l'Univers est une science en plein développement où de nombreuses hypothèses ne sont pas encore définitives y compris l'hypothèse d'un Univers en expansion accélérée...

     

    Quelques références

     

     

    Au sujet de la formation des galaxies précoces:

     

    http://www2.cnrs.fr/presse/communique/2156.htm

     

     

    Au sujet de la galaxies spirale BX442 qui ne devrait pas exister:

     

    http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/astronomie/d/bx442-la-grande-galaxie-spirale-qui-ne-devrait-pas-exister_40258/

     

    Au sujet de très jeunes galaxies géantes:

     

    http://irfu.cea.fr/Sap/Phocea/Vie_des_labos/Ast/ast.php?t=fait_marquant&id_ast=2828

     

    Pour un Univers plus âgé que 13,7 milliards d'années:

     

    http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/19494.htm

     

    Au sujet d'une galaxie lointaine:

     

    http://www.astronomieamateur17.com/

     

    Au sujet de l'amas de galaxies le plus éloigné:

     

    http://www.eso.org/public/france/news/eso1108/

     

     

    Au sujet de la ré-ionisation:

     

    http://cosmobranche.free.fr/SpaceNews_Univers.htmhttp://www.futura-sciences.com/fr/news/t/astronomie/d/rayonnement-fossile-la-reionisation-de-lunivers-a-ete-rapide_41059

     

    http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/astronomie/d/hubble-affine-notre-connaissance-de-la-re-ionisation-du-cosmos_25563/

     

    http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/astronomie/d/le-fond-diffus-infrarouge-ne-serait-pas-dorigine-cosmologique_42350/

     

    Au sujet des galaxies très lointaines:

     

    http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/astronomie/d/hubble-aurait-debusque-les-plus-lointaines-galaxies-connues_20528/

     

    Au sujet des «Grands Murs»:

     

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Grand_Mur_de_Sloan

     

     

    http://www.cidehom.com/apod.php?_date=071107

     

    Respectueusement

  12. Mario Cosentino

     

    Enseignant en Mathématiques & Physique

    Formation Universitaire en Astronomie & Astrophysique

     

    NB: Tous mes travaux de recherche ont eu les félicitations d'un jury ( année universitaire 2002-2003) composé de scientifiques à l'Université Jean-Monnet de Saint-Etienne." (Google: Biographie Mario Cosentino )

     

    Ce jury de scientifiques était composé :

     

    1- d'un Astronome

    2- d'un Physicien

    3- d'un Géologue

     

    Mes centaines d'équations sont accessibles au public et une synthèse est prévue afin de la soumettre à une revue à referee. Mais étant donné que les conclusions ou les prévisions, des équations du "NBBF", sont trop RÉVOLUTIONNAIRES j'ai fais le choix d'attendre encore un peu plus. Pourquoi? Parce que actuellement d'autres observations fondamentales sont en bonnes voies et celle-ci devraient consolider encore d'avantage les hypothèses du "NBBF". Comme avec le télescope spatial Hubble, fin 1994, le paradoxe de l'observation des "étoiles plus vieilles que l'Univers" était prévu dans mon tome 1 en 1993! Maintenant j'attends les données de Planck, ainsi que d'autres données. D'autres prévisions importantes sont (déjà) écrites à l'avance "noir sur blanc".

     

    Je tiens à souligner que l'ensemble des hypothèses les plus importantes du «NBBF» ont été reprises dans le livre collectif à 7 auteurs : «Un autre cosmos?» paru aux Éditions Vuibert, en 2012, sous la direction de Thomas Lepeltier (chercheur en cosmologie moderne, Université d'Oxford ) et Jean-Marc Bonnet-Bidaud ( astrophysicien au CEA). Que mes ouvrages ont devancé le livre «Un autre cosmos?» est très encouragent pour le «NBBF»!

     

    Aujourd'hui je continue à "tirer le signal d'alarme" afin d'attirer l'attention sur la fragilité et l'interprétation des fondements de la cosmologie dominante.

     

    Enfin aujourd'hui je ne suis plus seul pour proposer un "Un autre cosmos". Nous sommes un groupe de travail unissant différentes disciplines scientifiques ( Relativité Générale, Mécanique quantique, Mécanique des fluides, thermodynamique, espace-temps fractal, etc.). Toutes personnes pensant apporter des hypothèses scientifiques ( réfutables dans le sens de Popper) qui pourrait faire avancer notre travail de recherche est la bienvenue.

     

    BX442: LA GRANDE GALAXIE SPIRALE ET LES PRÉVISIONS DU «NBBF»

     

     

    Grâce aux prévisions des nombreuses équations du modèle d'Univers du «New Bug-Bang Fractal» , à ma connaissance, il me semble être le seul à avoir prévu ce type d'observation. Dans ce cas là ce type d'observation s'inscrit, légitimement, dans la liste de mes primautés théoriques. Pourquoi?

    Cela fait maintenant presque 20 ans que grâce à des travaux de recherche, qui ont abouti à un modèle d'Univers qui s'appelle le «New Big-Bang Fractal» ( «NBBF») , je «tire le signal d'alarme» en mettant en garde contre les insuffisances graves du modèle d'Univers standard.

    Contrairement au modèle cosmologique standard les centaines d'équations du modèle d'Univers du «NBBF» ne comportent aucun paramètre libre. Uniquement les constantes fondamentales de la physique en un tout d'une logique et d'une cohérence interne conforme aux lois de la physique la plus moderne. Le modèle du «NBBF» est scientifique car il est «réfutable» au sens de Popper.

    Par ces nombreuses prévisions confirmées elle est non seulement en bonne voie mais en plus elle nous propose des pistes de recherche qui semblent prometteuses car non encore complètement exploitées.

    En 2012 la théorie du «NBBF» n'est plus du tout «embryonnaire»: la preuve c'est qu'elle est depuis quelques années confirmée par un certain nombre d'expériences ou d'observations. D'ailleurs, par exemple, comment une théorie «embryonnaire» pourrait-elle prédire quelques 17 années à l'avance la masse du «boson de Higgs» et quelques 10 années à l'avance que le Big-Bang est liquide et non gazeux (expériences au CERN)?

    Revenons à la galaxies spirale BX442.

    Selon les conclusions des nombreuses équations du «NBBF» viendra un jour où le modèle cosmologique standard devra se confronter à ce type d'observations où on observera des «corps célestes» ayant un âge supérieur à celui de l'Univers!

    En effet ce type de prévision remonte au 1er trimestre 1993 et a été confirmée fin 1994 par l'observation du télescope spatial Hubble. Cette prévision du «NBBF» nous la trouvons écrite dans mon tome 1 où nous lisons très textuellement à la page 76 les paroles suivantes:

     

    «dans le cadre d'un univers qui n'est plus en expansion, on pourrait observer des corps célestes ayant un âge plus important que ne l'indiquerait leur décalage spectral, voire un âge plus ancien que le cosmos lui-même». (voir mon tome 1: «Origine et destin de notre Univers par une nouvelle Cosmologie De l'atome jusqu'aux confins du cosmos», Conversation avec Pierre Bourge, Éditions Bonnefoy- Imprimeur-Éditeur, 1er trimestre 1993. ISBN: 2-906630-07-1 . Localisation: INIST-L 22828. 354000035419100000

     

    Dans nom tome 2 cet Univers paradoxale où les «corps célestes» semblent plus vieux que le cosmos je l'ai appelé un «Univers tussilage»!

    Il est écrit:

    «Le tussilage est une plante qui a pour particularité de fleurir avant qu'apparaissent des feuilles. C'est la raison pour laquelle son nom populaire est «fils avant père»» . (voir mon tome 2: «Le New Big-Bang synthèse des modèles cosmologiques actuels», Prologue de Bernard Milet, astronome à l'Observatoire de Nice, Éditions Apolline, 2001, page 86, ISBN: 2- 84556-023-0. Localisation: INIST – L28064. 354000096815380000, Copyright: © 2002 INIST-CNRS. All rights reserved.

     

     

    L'observation de la grande galaxie spirale BX442 pose un véritable défi au modèle cosmologique dominant. Au dire de ce qui est dit de cette galaxie spirale on l'observe à une époque où notre Univers n'était âgé que de 3 milliards d'années seulement ( z = 2,18 ). Vu qu'elle est âgée de 11 milliards d'années la naissance de BX442 se situe à 8 milliards d'années AVANT le Big-Bang?!...

    Pour moi cet âge de 11 milliards d'années me paraît plus que plausible car étant une galaxie spirale semblable à notre Galaxie qui affiche quelques 13 milliards d'années.

    Comment les cosmologistes vont-ils résoudre ce problème?

    Soulignons que ce type d'observation n'est pas unique. Une autre galaxie spirale à z = 1 semble elle aussi être née quelques 8 milliards d'années AVANT le Big-Bang ?!...

    Pour appréciée cette magnifique galaxie spirale la seule photographie que je connais elle se trouve dans la revue de Ciel & espace (voir plus bas).

     

    Selon le «NBBF» ce type d'observations, qui ne sont pas prévisibles par le modèle d'Univers dit de «concordance», font partie des indices que notre Univers n'est plus en expansion! J'utilise l'affirmatif car s'est une conclusion ou prévision des équations du «NBBF».

     

    En dehors du modèle cosmologique du «NBBF» qu'est-ce qui pourrait nous faire dire que notre Univers serait devenu, après 18 milliards d'années d'expansion quantifiée, globalement STATIQUE ( à ne pas confondre avec STATIONNAIRE ) ?

     

    Le fait que de plus en plus d'observations nous montrent que des galaxies lointaines ressemblent à des galaxies locales.

    Autrement dit l'Univers «jeune» présente, de plus en plus, les même caractéristiques que l'Univers proche mais plus âgé !?...

     

    Ces observations semblent indiquer que notre Univers n'est plus en évolution globale et qu'il a plus que quelques 13,7 milliards d'années.

    Nous allons voir une liste, non exhaustive d'observations ou d'indices, qui devrait nous faire prendre conscience qu'il ne semble pas exclu que notre Univers ne serait plus en évolution globale mais qu'il serait en phase STATIQUE... Nous savons que les nombreuses observations mettent les cosmologistes dans une situation qui devient de plus en plus inconfortable. Nous apprenons qu'un nouveau paradigme ou révolution est depuis peu en marche. Pour moi c'est surtout depuis fin 1994, par les observations du télescope spatial Hubble, que les observations sapent les fondements même du modèle cosmologique dominant qui, de ce fait, se lézarde de plus en plus à vu d'œil!

     

    C'est donc l'âge de l'Univers ainsi que l'interprétation du décalage spectral z ( ou l'expansion de notre Univers ) qui deviennent de plus en plus douteux. En remettant en cause ces 2 paramètres fondamentaux c'est en grande partie tout l'édifice qui risque de voler en éclat...

     

    Voici donc notre liste d'observations où les commentaires ne sont pas les miens. Cette petite liste je vous la livre dans le seul but que nous prenions conscience que la cosmologie standard est loin d'être, comme le pensent certains, "un long fleuve tranquille"...

     

    (Pour lire les articles allez s.v.p. dans Google et mettre le titre en caractère gras. Pour vous facilité les recherches la plupart des articles sont publiés dans Futura Sciences.

     

    1- L'observation de la très grande galaxies spirale BX442 n'est pas unique. Une autre belle galaxie spirale, ressemblant à la notre, à z = 1 ( quelques 5 milliards d'années seulement après le Big-Bang) pose le même problème que la grande galaxie spirale BX442. Si notre belle galaxie spirale serait âgée de quelques 13 milliards d'années (de l'ordre du même âge que la Voie Lactée puisqu'elles se ressemblent) alors une valeur de z= 1 ferait naître celle-ci quelques 8 milliards d'années AVANT le Big-Bang... (pour voir cette belle galaxie spirale ressemblant à notre Galaxie allez, s.v.p. dans Ciel & Espace de décembre 1998, page 45 ).

     

    2- «Deux galaxies lointaines passées à la loupe»

    Ces 2 galaxies sont «S2 et A2» avec un z~1.9 dont A2 «présente un niveau d'enrichissement chimique comparable aux galaxies spirales les plus massives de l'Univers proche»

     

    3- «Au début des amas de galaxies»

    Le proto-amas TNJ1338-11942 . «Il existait 1,5 milliards d'années après le Big Bang» .

     

    4- «Les théories confrontées à la découverte de trous noirs supermassifs distants»

    «* Le quasar SDSSp J1306 «est vu tel qu'il était un milliard d'années après le Big bang. Son spectre de rayon X est semblable à celui des quasars proches »

     

    5- «Hubble aurait débusqué les plus lointaines galaxies»

    «Un groupe de galaxies observé avec la toute nouvelle caméra Wide Field Camera 3 semble se trouver très loin, à 13,1 milliards d'années-lumière, un record de distance. En bonus, le taux de formation stellaire y apparaît paradoxal. (…). Or, les images fournies par la WFC3 ne concordent pas avec cette théorie» . Ce groupe de galaxies ont un taux de formation stellaire de 0,0025 masse solaire par an! Qui en comparaison avec l'un des plus lointain quasar connu, le J1148+5251 fabrique mille soleils par an!( lire l'article: «La galaxie qui fabrique mille soleils par an » )

     

     

    7- «L'héritage de Spitzer» (lire POUR LA SCIENCE-n°388-février 2010, page 35)

    Voici un commentaire d'un spécialiste Michael Werner qui a «les compétences pour débattre»:

    «Des résultats intriguants, mais controversés, suggèrent que des galaxies très massives pourraient exister à des décalages vers le rouge supérieur à 6. Ce résultat, s'il était confirmé, remettrait profondément en cause le cadre théorique de la formation des galaxies mis en place cette dernière décennie.»

     

    8- «DE TRÈS JEUNES GALAXIES GÉANTES» (publié dans la revue «Astrophysical Journal Letters» du 20 mai 2010, vol. 715, L6

    Il s'agît de l'observation d'une galaxie elliptique géante ayant un z = 1,82.

    «Paradoxalement, et en contradiction avec certaines études précédentes, cette galaxie ressemble à ses cousines de notre Univers local.»

     

    9- «La galaxie la plus lointaine et la plus ancienne observée par le VLT»

    Avec la galaxie UDFy-38135539 le record de z= 6 est largement dépassé car elle affiche un z= 8,6*! … avec tous les problèmes graves habituels...

     

    10- «L'amas de galaxies évolué le plus éloigné. Jeune, mais étonnamment adulte» ( Communiqué de presse scientifique de l'European Southern Observatory du 09 mars 2011)

    Non seulement nous observons des galaxies massives est bien constituées de plus en plus proches du Bing-Bang mais maintenant il semble que c'est le tour des amas de galaxies. Cet amas est vu avec un z = 2,07 se le situe qu'a environ 3 milliards d'années seulement après le Big-Bang!

    Voici le commentaire de l'auteur principal de cette étude Raphael Gobat (CEA,Pa ris):

     

    «La chose surprenante est que, lorsqu'on le regarde attentivement, cet amas de galaxies ne semble pas jeune- de nombreuses galaxies se sont «assagies» et ne ressemblent pas aux galaxies à formation d'étoiles que l'on observe habituellement dans l'Univers primitif.

    L'article poursuit:

    «De tels amas sont supposés être très rares selon la théorie actuelle et nous avons eu beaucoup de chance d'en repérer un. Mais si de nouvelles observations en trouvaient beaucoup plus, alors cela pourrait signifier que notre compréhension de l'Univers primitif devrait être revue».

     

    11- Le problème de «La plus vieille étoile connue de l'Univers» SDSSJ102915+172927.

     

    «Cet astre extraordinairement vieux, aux caractéristiques inattendues, va obliger les théoriciens à revoir … leurs théories sur la genèse des premières étoiles. Si peu de chercheurs considèrent que SDSS102915+172927 va bouleverser les scénarios cosmologiques actuels, il est néanmoins certain que la vénérable étoile... née plus de huit milliards d'années avant notre système solaire... va être l'objet dès que la constellation du Lion réapparaîtra dans le ciel, à la fin de l'hiver 2012, de toute l'attention des astronomes...» Serge Brunier

     

    12- «Des Observations de Sursauts Gamma effectués à l'aide du VLT révèlent la surprenante composition chimique de galaxies primitives» ( pour plus d'informations voir l'article intitulé

    «Super-solar Metal Abundances in Two Galaxies at z = 3,57 revealed by the GRB 090323 Afterglow Spectrum» publié dans les Monthly Notices of the Royal Astronomical Society.

     

    «Ces galaxies sont constituées d'éléments chimiques lourds en quantités beaucoup plus importantes que toute autre galaxie de l'Univers primordial. Nous ne nous attendions pas à ce que l'Univers, encore jeune, soit si adulte, si évolué chimiquement.» (…). Les astronomes peuvent d'ailleurs utiliser l'enrichissement chimique des galaxies pour déterminer leur âge. Mais les nouvelles observations indiquent que quelques galaxies étaient déjà très riches en éléments lourds, moins de deux milliards d'années après le Big Bang. Ce résultat était impensable, récemment encore.»

     

    13- «Naissance des étoiles: la plupart des galaxies n'enfantent pas dans la douleur» (voir la publication:

    «GOODS -Herschel: an infrared main sequence for star-forming galaxies» 2011, Astronomy & Astrophysics, 533, A119

     

    Cet article met en évidence qu'une équipe «a montré que les galaxies ayant un taux de formation d'étoiles très élevé n'avaient pas autant subi de collision». (…). Autre phénomène observé:

    «bien que très lumineuses, les galaxies présentent le même rapport universel que les galaxies proches de type «normal» elles n'ont donc pas subi de destruction de ces particules plus fragiles sous l'effet d'une collision».

    Pour moi l'observation de ce «rapport universel» serait un indice en faveur d'un Univers qui ne serait plus expansion depuis au moins quelques 80 milliards d'années...

     

    15- Pourquoi des spécialistes comme par exemple Jean-Pierre Luminet et Michel Cassé utilisent le mot «semble» au sujet d'une accélération de l'expansion de l'Univers au cours du temps?

     

    Pour ne pas trahir leur pensée voici leurs commentaires:

    Jean-Pierre Luminet:

     

    «L' Univers est en expansion, nous indiquent les observations des galaxies lointaines et de leurs amas. En outre, cette expansion semble accélérer au cours du temps, de sorte qu'en l'état actuel du modèle de Big Bang dit «*standard*» l'expansion ne connaîtra pas de fin. L' Univers serait donc éternel.» ( Les dossiers de La Recherche, N°50, HORS-SERIE, Août 2012, page 16. ---C'est moi qui souligne.

     

    Michel Cassé:

     

    «Pour conclure, l'expansion de l'Univers semble s'accélérer au détriment de la connaissance cosmologique: les observations s'accumulent à grande vitesse, mais leur interprétations reste parfois obscure. On a l'impression de comprendre de moins de choses aujourd'hui qu'il y a vingt ans. L'astronome rompu à la démonstration de l'illusion céleste, de la mythologie et de l' astrologie prône calme et discernement. Mais les chevaux fous de la cosmologie quantique se sont pégasifiés semant la panique dans les observatoires ( mais n'en a-t-il pas été ainsi dans les laboratoires lors de la première révolution quantique touchant l'atome? ). Faut-il se désoler de cette débauche spéculative? C'est peut-être le signe d'une prochaine révolution scientifique. Une partie de nos espoirs se placent sur le CERN, l'autre sur la physique des hautes énergies au-dessus de l'azur. » ( ASTROPHYSIQUE, Préface de Hubert Reeves. Voir plus bas. ) ---C'est moi qui souligne.

     

    16- Actuellement nous observons des galaxies à seulement quelques 200 à 400 millions d'années après le Big-Bang... que vont faire les cosmologiques si demain ils observeraient des galaxies bien formées, vieilles et qui seraient ''collées'' c'est-à-dire contemporaines au Big-Bang? ...

     

    Conclusion

    Comment les tenants d'un Univers en expansion expliquent-ils ces observations?

     

    Attention répondre à ce type de problèmes par des hypothèses non vérifiées justifie que maintenant il est temps de considérer d'autres modèles alternatifs... et pourquoi pas les nouvelles pistes de recherche du «NBBF»... Je reste persuadé que la vérité n'est pas dans un unique modèle d'Univers mais dans la synthèse des modèles cosmologiques actuels..

    Toute ces informations ainsi que les prévisions confirmées du «NBBF» justifient ce modèle alternatif.

    De plus en plus de spécialistes qui «ont les compétences pour débattre» pensent que nous sommes à l'aube d'une «RÉVOLUTION»!

    A ce sujet je vous encourage à lire, parmi tant d'autres, 2 livres de vulgarisation:

     

    Étienne Klein: «DISCOURS SUR L'ORIGINE DE L'UNIVERS» , Flammarion, 2010, page 106

    et

     

    Michel Cassé: «ASTROPHYSIQUE», Préface de Hubert Reeves, Éditions Jean-Paul Bayol, 2011, pages 55 et 91

     

    Chers lecteurs, n'oubliez pas que selon les prévisions du «NBBF» et ce que l'on cumule déjà comme observations de plus en plus dérangeantes, il faut s'attendre à d'autres observations qui devront faire voler en éclats les fondements actuels sur lesquels repose les interprétations du modèle cosmologique dominant...

     

    Après ces quelques informations je suis toujours prêt à tout dialogue et à toute information complémentaire dans le respect de quelque soit votre opinion personnelle. Les controverses sérieuses, de bon niveau, nourrissent la Science car l'histoire des Sciences nous montre que tel est la voie du progrès. Je souligne au passage qu'un bon nombre d'esprits scientifiques considérés comme «non orthodoxes» nous ont éclairés sur les chemins du savoir. Pour moi un dialogue est inutile est stérile si on a pas l'esprit ouvert à toute hypothèse nouvelles.

     

    Comme l'a dit si bien, un jour, Hubert Reeves:

     

    «Patience dans l'azur»...

     

    Affaire très intéressante à suivre...

     

    Respectueusement

  13. COSMOLOGIE EXPANSIONNISTE: DE SON ''ÂGE D'OR'' A SON ''ÂGE LE PLUS SOMBRE'' DE SON HISTOIRE

     

    Résumé

     

    Une phase de l'univers dite «âge sombre», une matière dite «matière sombre» à 25 % et enfin une énergie dite «énergie sombre» à 70 % !

    Il est reconnu qu'aujourd'hui la cosmologie expansionniste avance dans 95 % d'obscurité!

    Tout cela dit autrement se traduit par le fait que 95 % de la masse-énergie de l'Univers échappe à nos observations. Uniquement quelques 5 % est sous forme lumineuse donc observable!

    Paradoxalement, malgré ce constat, très obscur , cela n'empêche pas la cosmologie expansionniste d'avancer encore avec de nombreuses certitudes là où, aujourd'hui, elle devrait plutôt se montrer extrêmement prudente.

     

    En effet, surtout depuis les observations du télescope spatial Hubble la cosmologie dominante expansionniste semble être de plus en plus dans une situation de plus en plus inconfortable. L'astrophysicien Edwin Powel Hubble est considéré comme le ''père'' de la théorie de l'expansion de l'Univers formulée en 1929. Le paradoxe c'est qu'aujourd'hui le télescope portant son nom, avec toute une batterie d'autres types d'observations, semble aller à l'encontre de cette croyance générale en un Univers en expansion...

    Cette situation de plus en plus inconfortable fait partie des prévisions du modèle cosmologique que j'ai nommé le ''New Big-Bang fractal'' (''NBBF'') quantique. Mes travaux de recherche remontent en 1988. Mais officiellement, c'est vers le début des années 1990 que j'ai lancé une mise en garde contre l'interprétation expansionniste (voir mes 2 livres, télévision, radio, etc. dans mon blog ou Google et mette: mario cosentino ). A cette époque il était difficile de s'attaquer au modèle dominant car il semblait être ''un long fleuve tranquille'' du fait qu'on ne disposait pas des observations actuelles. Aujourd'hui il est facile de le mettre sérieusement en doute.

    Aujourd'hui, sans parler des prévisions du ''NBBF'', de plus en plus d'observations remettent en cause les fondements même du modèle expansionniste.

    Selon le ''NBBF'' les observations présentes et celles à venir vont plonger la cosmologie expansionniste dans son ''âge le plus sombre'' de son histoire jusqu'à sa disparition et son remplacement par un nouveau paradigme. Selon certains spécialistes cette révolution est déjà en cours...

     

     

    Selon le ''NBBF'' les remises en causes ne concernent pas du tout le Big-Bang

     

    Avant d'aller plus loin précisons que, selon le modèle cosmologique du ''NBBF''quantique les remises en causes majeures ne mettent pas en cause le Big-Bang mais le modèle théorique de l'expansion générale de notre Univers. Selon le ''NBBF'' quantique l'Univers a eu une phase d'expansion quantifiée d'une durée de 18 milliards d'années. Cette première phase est suivie d'une seconde où il est devenu globalement statique. Au sujet de ces 2 phases les équations du ''NBBF'' sont formelles. Elles n'utilisent que uniquement les constantes fondamentales de la physique telles que G, c et ђ en une théorie ayant une cohérence interne, sans aucun paramètre libre et en accord avec les observations les plus modernes. Ce qui est encourageant c'est que certaines de ses prévisions ont été confirmées soit par des observations soit par des expériences. Ce qui est remarquable c'est que la constante de structure fine α contient à elle seule tous les paramètres fondamentaux qui caractérisent notre Univers comme: son rayon ou son horizon maximal observable, sa température, ses oscillations relativiste radiales et périphériques, sa très faible vitesse de rotation, etc. Ajoutons que les équations du ''NBBF'' quantique nous conduisent à l'existence d'un barycentre. Cela implique que notre Univers serait en interaction avec un deuxième Univers de même masse --- l'un tournant autour de l'autre. Rien n'interdit de faire l'hypothèse que la masse de ce deuxième Univers serait de l'antimatière. Rien n'interdit également qu'un Big-Bang pourrait donner naissance à 2 Univers à parité opposée.

     

    Après cette petite digression revenons à notre Cosmos. Depuis combien de temps notre Cosmos serait-il dans cette phase statique? Cette dernière phase semble avoir duré au moins 100 milliards d'années...

    Cette phase statique est interdite par la Relativité Générale mais pas dans un Univers dominé par la mécanique quantique relativiste et non relativiste. Ajoutons à cela qu'il existe dans l'Univers d'autre forces que la gravitation. En d'autres mots: la cosmologie expansionniste surestime la plus faible des 4 forces fondamentales et elle sous-estime les 3 autres qui sont plus intenses. De plus il faut dire que la Relativité Générale ne s'applique à tout l'univers que si la distribution de son contenu masse-énergie est homogène. Or cette homogénéité est loin d'être observée bien au contraire. Cela justifie, entre autres, les prévisions du ''NBBF'' quantique.

    Selon les prévisions du ''NBBF'' les remises en causes majeures présentent et avenir devraient, sous peu, faire disparaître le modèle cosmologique expansionniste! Plus on tente de le sauver plus il nous conduit vers des impasses. Jusqu'à quant va durer cette obstination pour vouloir à tout prix comme on dit ''sauver les apparences'' ?

     

    Mes critiques ne concernent pas du tout les compétences des physiciens et astrophysiciens bien au contraire. Mais force est de constater que plus on avance dans le temps plus les observations amènent à rejeter le modèle cosmologique dominant.

     

     

    Les remises en causes qui plongent la cosmologie dominante dans son ''âge le plus sombre'' de son histoire:

     

    Ces remises en causes semblent justifier que la cosmologie dominante ne serait plus dans son ''âge d'or'' mais dans celui de son ''âge le plus sombre'' de l'histoire des sciences...

     

    Voici une liste, non exhaustive, d'observations qui mettent sérieusement en cause le modèle expansionniste.

     

    1- Des étoiles ayant un âge presque aussi vieux que celui de l'Univers.

    Par exemple l'un des plus vieux amas stellaires, l'amas d'Hercule ( ou Messier 13 ) comportant plus de 100 000 étoiles, aurait un âge estimé à 12 ou 14 milliards d'années pour un âge de l'Univers de 13,7 milliards d'années selon la cosmologie dominante.

     

    En effet voici ce que nous lisons dans une autre référence concernant les étoiles dans les amas riche en étoiles:

     

    «Si les plus grosses quittent rapidement la scène, les plus nombreuses, moins massives que le Soleil, aux durées de vie supérieures à l'âge de l'Univers, pourraient briller des dizaines de milliards d'années durant.» --- C'est moi qui souligne. Voir Jacques Paul & Jean-Luc Robert-Esil*: '' Le Beau Livre de l'Univers DU BIG BANG AU BIG FREEZE , Dunod, 2011, p. 56.

     

     

     

    2- Après l'énergie sombre et la matière sombre nous voilà aujourd'hui confrontés avec une phase de l'Univers que la cosmologie dominante nomme l' ''âge sombre'' de l'Univers! La durée de cette phase de l'Univers, très proche du Big-Bang , est encore aujourd'hui mal définie.

     

    3- Des galaxies ainsi que des amas de galaxies de plus en plus proches du Big-Bang. Aucun modèle d'Univers n'explique la présence de tels objets dans des tranches d'Univers aussi courtes.

    Aujourd'hui nous pensons être à quelques 100 ou 200 millions d'années seulement après le Big-Bang!

    Le record d'un milliard d'années est dépassé! Et qu'observons-nous à moins de 500 millions d'années seulement après le Big-Bang? … des galaxies bien formées, matures et dans un environnement ayant beaucoup de poussière. Or pour que la poussière existe à une telle remontée dans le temps, ou dit autrement dans un Univers aussi jeune, il faut beaucoup plus que quelques 100 millions à 200 millions d'années... Or nous savons que la formation des étoiles et des galaxies à partir d'une nébuleuse de gaz en contraction exige la présence des poussières afin de faire baisser quelque peu la température de ce gaz. Le rôle des poussières dans un immense nuage de gaz en contraction donnant naissance à une étoile ou à une galaxie va donc, par évacuation de la chaleur, faciliter une sorte d'équilibre entre les deux forces antagonistes que sont la contraction du gaz par la gravitation et sa pression de radiation.

     

    Les dernières observations nous montrent des galaxies bien constituées dans une tranche d'âge de de l'Univers de quelques 200 à 500 millions d'années seulement!

     

    Mais dans un Univers aussi jeune les galaxies peuvent-elles venir à l'existence en moins de 500 millions d'années seulement après le Big-Bang?

     

    Voici la réponse d'un Chercheur et spécialiste en cosmologie Marc Lachièze-Rey:

     

    ''Loin dans le passé ( pendant le premier milliard d'années environ ), n'existaient ni galaxies, ni étoiles.'' Voir ''Initiation à la cosmologie'' , 4e édition, Dunod, 2004, tirage corrigé 2005 p., 78.

     

    Pour l'astrophysicien Hubert Reeves

     

    ''(…) les galaxies ne devraient pas apparaître avant l'époque correspondant à z = 1 ou 2. Or on observe des quasars à z ≈ 5, ainsi que des galaxies à z = 2 ou 3 et qui sont déjà vieilles.'' ---C'est moi qui souligne. Voir ''La première seconde Dernières nouvelles du cosmos. 2 '', Seuil , 1995, p. 204.

     

    Aujourd'hui la valeur de z est d'environ z ≈ 10!

     

    Dans un autre ouvrage d'Hubert Reeves nous lisons:

     

    ''Le problème vient du fait que les surdensités observées dans le rayonnement fossile ne dépassent pas le cent-millième. Multipliées par mille, elles ne devraient guère dépasser un centième aujourd'hui! Dans ce cas de figure, la phase lente ne serait pas encore terminée et les galaxies ne seraient pas encore nées! Pourtant, les photos du ciel nous le prouvent: les galaxies sont là et depuis longtemps...'' ---C'est moi qui souligne. Voir ''Dernières nouvelles du cosmos Vers la première seconde'', Seuil, 1994, p. 202.

     

    Signalons aussi qu'à moins de 500 millions d'années après le Big-Bang l'Univers ''est encore passablement chaud''!

     

    Voici ce que nous lisons à ce sujet:

     

    ''Comment se fait-il qu'en un milliard d'années à peine il se soit développé, à partir d'un univers quasi homogène, des fluctuations de masse volumique assez importantes pour que les premières galaxies se forment? Évidemment, on peut faire appel à la gravitation. Des fluctuations de masse volumique initiales auront tendance à augmenter sous l'effet de la gravitation: les régions plus denses attirent vers elles la matière des régions moins denses. Le problème est que l'Univers, pendant le premier milliard d'années de son existence, est encore passablement chaud et que la chaleur a tendance à disperser les agglomérations de matière. Par comparaison, considérez l'air dans la pièce où vous vous trouver en ce moment. Même si vous comprimez de l'air avec vos mains pour créer une fluctuation de masse volumique, l'air environnant ne se mettra pas à s'agglomérer autour de la fluctuation. En fait, la fluctuation disparaîtra rapidement, parce que les molécules de l'air à la température de la pièce se déplacent si rapidement que la gravitation est incapable de les forcer à s'agglomérer en des zones de haute masse volumique entourées de vide ( heureusement!). La même chose devrait se produire en cosmologie: dans un univers chaud, ou même tiède, la gravitation est incapable de transformer des fluctuations aussi infimes que celles que l'on observe dans le RFC en des agglomérations appréciables de matière.'' --- C'est moi qui souligne. Voir Marc Séguin et Benoît Villeneuve: ''Astronomie et Astrophysique'', De Boeck Université, 2002, 2e édition ,p. 389.

    Au sujet des auteurs

     

    ''Marc Séguin

     

    Titulaire d'un baccalauréat en physique de l'Université de Montréal et de deux maîtrises ( astrophysique et histoire des sciences ) de l'Université Harvard, il enseigne l'astronomie et la physique au collège de Maisonneuve ( Quebec ).

     

    Benoît Villeneuve

     

    Docteur en astrophysique de l'Université de Montréal, il enseigne l'astronomie et la physique au collège Edouard-Montpetit ( Quebec ).''

     

     

    4- L'observation de galaxies très lointaines (citons par exemple la galaxie BX442 ) qui ressemblent aux galaxies de notre environnement. Ces observations ne vont pas du tout dans le sens d'une évolution, dans le temps, de notre Univers.

     

    5- il existe un très long catalogue de décalages spectraux z vers le rouge anormaux qui mettent en cause l'interprétation d'un Univers en expansion.

     

    6- au sujet des supernovæ de type 1a il n'est absolument pas certain qu'on puisse les utiliser comme ''chandelles standards'' pour en conclure que l'Univers est en expansion accéléré. La méthode pourrait être biaisée par exemple par les propriétés du vide quantique inter-galactique ou énergie sombre ou encore la matière sombre, etc. Nous savons que l'espace inter-galactique est loin d'être vide et nous ne connaissons pas toutes les interactions que les photons, nous venant des supernovæ, subissent au cours de leur très long parcours. Si les photons en interagissant avec le vide quantique viendraient à perdre de l'énergie, sans diffusion, alors toutes les interprétations seraient fausses et l'Univers ne serait pas en expansion accélérée. Ainsi la théorie de la ''lumière fatiguée'' d'Einstein, et d'autres, garde toute sa pertinence. Ne pas en tenir compte pourrait être fatal pour l'interprétation qu'en donne la cosmologie expansionniste. Avec toutes les nouvelles propriétés des grands espaces inter-galactiques la prudence s'impose.

    Nous lisons à ce sujet:

     

    ''Fondations solides? Pour étudier les choses qui sont loin des échelles de taille et des temps de la vie courante, les scientifiques doivent baser leurs résultats sur des prédictions de théories complexes, avant même que les tests et les raffinements de ces théories soient terminés. Une erreur dans l'enchaînement du raisonnement sur lequel elles sont basées peut conduire à des résultats incorrects. Par exemple, utiliser les Céphéides pour mesurer les distances implique de combiner plusieurs concepts intermédiaires. En autres, il faut supposer que la relation période-luminosité s'applique de la même façon à toutes les Céphéides et supposer que la luminosité maximale ne dépend que de la distance qui nous sépare de cette étoile ( ce qui est incorrect s'il y a de la poussière ou du gaz entre l'étoile et nous, comme c'est souvent le cas ). Si l'une de ces hypothèses ( parmi beaucoup d'autres ) est fausse, les distances calculées sont incorrectes.'' ---C'est moi qui souligne. Voir Neils F. Comins: ''A la découverte de l'Univers Introduction à l'astronomie et à l'astrophysique'', de boeck, 2011, p.332.

     

    ''L'auteur

     

    Le professeur Neils F. Comins enseigne à l'université du Maine aux Etats-Unis. Plusieurs fois diplômé en physique et docteur en astrophysique, ses travaux dans les domaines de la relativité générale, de l'astronomie observationnelle, de la simulation numérique d'évolution des galaxies, sont mondialement reconnus.» ---Voir 4ème de page.

     

    7- L'observation d'amas de galaxies et des super-amas de galaxies structurés en de très longues ''murailles'' d'une dimension pouvant atteindre une fraction importante du rayon observable de l'Univers. Ce type d'observations nous conduit à la remise en cause de ce que l'on appelle le principe cosmologique parfait. En effet l'observation d'amas de galaxies de plus en plus gigantesques semble mettre sérieusement en cause le principe cosmologique parfait. Ce dernier est indispensable pour que la masse volumique de l'Univers soit homogène. Or nous savons que si cette homogénéité n'est pas respectée les équations de la Relativité Générale ne pourraient pas être utilisées pour prévoir la dynamique globale de notre Univers. Dans ce cas la Relativité Générale resterait utile mais dans un Univers restreint mais non dans sa globalité. Donc, sans d'homogénéité pas de modèle cosmologique uniquement basé sur la gravitation! Nous comprenons que le principe cosmologique parfait est une colonne de l'édifice de la cosmologie expansionniste. Nous comprenons également que le non respect de cet unique principe de base ferait que tout l'édifice théorique de la cosmologie dominante s'écroulerait comme un château de cartes... et les observations semblent bien aller dans ce sens car nous observons des structures formant des «murailles de galaxies». Par exemple si nous prenons la superstructure qui s'appelle le «Grand Mur CfA2» et qui possède une longueur de quelques 0,7 milliard d'années-lumière. Cette longueur représente un rapport longueur du «Grand Mur» / rayon de l'Univers observable de l'ordre de 1/ 20 ! Pour appréciez ce rapport imaginez-vous une règle de 20 cm représentant le rayon de notre Univers et vous prenez une longueur d'un cm pour le «Grand Mur». Nous voyons mieux ce que représente ce «Grand Mur» par rapport à la taille du rayon du Cosmos.

    Ce «Grand Mur» fut découvert en 1989 par Margaret Geller et John Huchra.

    Les dimensions de ce «Grand Mur» semblent remettre en question le principe cosmologique parfait.

     

    Voici un deuxième «Grand Mur» appelé le «Grand Mur de Sloan» qui lui mesure 1, 37 milliard d'années-lumière. Cette mesure donne un rapport de l'ordre de 1/10 du rayon de l'Univers observable ! La découverte de ce «Grand Mur» fut annoncé le 20 Octobre 2003 par J. Richard Gott et Mario Juric. Comment expliquer la présence de cette superstructure. Que vient-elle faire dans un Univers supposé parfaitement homogène? Cette observation ne nous laisse-t-elle pas dubitatif quant à la validité du principe cosmologique parfait appliqué à l'ensemble de l'Univers?...

    Même si certaines critiques ont été formulées sur ce «Grand Mur» il n'empêche que sa forme globale est très pertinente.

     

    Nous avons déjà vu que si l'uniformité de la distribution de la matière à grande échelle n'est pas constatée alors, à lui seul, le «Grand Mur de Sloan» semble suffisant pour mettre le principe cosmologique parfait «au pied du Mur»!...

     

    Pour plus d'informations concernant les points 1 à 5 voir les références ci-dessous.

     

    Conclusion

     

    Nous constatons que le modèle cosmologique expansionniste face aux observations fait naître de nombreux problèmes. Il comporte des quantités de difficultés et d'incohérences internes laisse de nombreuses questions sans réponse. Au vu de tout cela il ne me semble pas scientifiquement raisonnable d'être catégorique, voire dogmatique pour parler de l'expansion de l'Univers en employant des phrases affirmatives. Il serait plus raisonnable de se montrer prudent en employant des phrases au conditionnel. La cosmologie moderne est relativement jeune par rapport au autres branches de l'astronomie. De ce fait l'étude de l'Univers est une science en plein développement où de nombreuses hypothèses ne sont pas encore définitives y compris l'hypothèse d'un Univers en expansion accélérée...

     

    Quelques références

     

     

    Au sujet de la formation des galaxies précoces:

     

    http://www2.cnrs.fr/presse/communique/2156.htm

     

     

    Au sujet de la galaxies spirale BX442 qui ne devrait pas exister:

     

    http://www.futura-sciences.com/fr/ne...exister_40258/

     

    Au sujet de très jeunes galaxies géantes:

     

    http://irfu.cea.fr/Sap/Phocea/Vie_de...nt&id_ast=2828

     

    Pour un Univers plus âgé que 13,7 milliards d'années:

     

    http://www.bulletins-electroniques.c...ites/19494.htm

     

    Au sujet d'une galaxie lointaine:

     

    http://www.astronomieamateur17.com/

     

    Au sujet de l'amas de galaxies le plus éloigné:

     

    http://www.eso.org/public/france/news/eso1108/

     

     

    Au sujet de la ré-ionisation:

     

    http://cosmobranche.free.fr/SpaceNew...e-rapide_41059

     

    http://www.futura-sciences.com/fr/ne...-cosmos_25563/

     

    http://www.futura-sciences.com/fr/ne...logique_42350/

     

    Au sujet des galaxies très lointaines:

     

    http://www.futura-sciences.com/fr/ne...connues_20528/

     

    Au sujet des «Grands Murs»:

     

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Grand_Mur_de_Sloan

     

     

    http://www.cidehom.com/apod.php?_date=071107

     

    Respectueusement

     

     

     

     

     

     

    Voici un article qui nous interroge car la science est un perpétuel questionnement et de remise en cause...

     

    POURQUOI LE SOLEIL EST-IL ''UNE SPHERE QUASI PARFAITE'' ?

     

    INTRODUCTION

     

    Le Soleil est très loin de nous avoir livré tous ses secrets. Nous savons que le Soleil est une boule de plasma tournant sur lui-même. Cette rotation exerce à la surface de notre étoile une force centrifuge qui devrait, comme la Terre, aplatir légèrement les pôles solaires. Or les dernières mensurations nous montre une forme du soleil qui s'approche d'une ''sphère quasi parfaite'' avec une différence, entre son rayon polaire et équatorial, de 0, 00075 % ! --- Voir Sciences & Vie Novembre 2012, page 22.

     

    Pourquoi notre Soleil présente-t-il une telle sphéricité ''quasi parfaite'' ?

     

    LE SOLEIL SERAIT UN OBJET FRACTAL

     

    Une explication, qui semble tout à fait plausible, serait de dire que la forme ''sphérique quasi parfaite'' de notre soleil aurait pour cause la propriété fractale de l'espace qu'il occupe dans un des ''trou'' de l'objet fractal qu'est l' ''éponge de Menger'' (voir à quoi ressemble cet objet fractal ) . Nous savons que la dimension fractale D de l' ''éponge de Menger'' est de

     

    D = 2, 726 8... ( je rappelle que cette valeur est extrêmement proche de la valeur de la température T de notre Univers qui est de T = 2, 726 K! ).

     

    Un calcul simple basé sur un modèle d'espace-temps fractal quantique de dimension D, sans paramètres libres, nous donne les mensurations du ''trou fractal'' dans lequel serait logé le diamètre de notre Soleil. Ce ''trou fractal'' serait un des nombreux ''trous'' de cette gigantesque ''éponge fractale'' invisible caractérisant notre espace-temps. Cet espace-temps aurait donc les propriétés fractales d'une ''éponge de Menger cosmique''! Le plus petit des ''trous'' de cette titanesque ''éponge fractale' , confèrent à l'espace temps sa ''fractalité'', aurait une dimension très légèrement supérieur à la longueur de Planck.

    En réalité ce calcul nous montre que ce ''trou fractal'' correspond à un '' cube quasi parfait '' ayant comme côté le diamètre du Soleil ( voir dans ce site: ''LES OBJETS QUI SE ''LOGENT'' DANS L'EPONGE DE MENGER'' ) [1] !

     

    LE SOLEIL POURRAIT-IL FAIRE DU PRINTEMPS UN ETERNEL RETOUR?

     

    Le Soleil serait donc comme enfermé dans une ''cage cubique fractale'' . Cette ''cage cubique fractale'' le confinerait, l'obligerait à avoir des mensurations très stables. Les propriétés de l' ''espace-temps fractal'' empêcheraient le plasma solaire de se dilaté au delà du confinement imposé par les mensurations fractales de la ''cage cubique fractale'' de l' ''éponge de Menger''.

     

    Suite à cela je soulève une question très pertinente:

     

    si notre Soleil aurait des mensurations fractales pourrait-il vivre bien plus longtemps que la durée hypothétique classique qu'on lui donne?

     

    Les dernières observations nous montrent que des étoiles âgées peuvent présenter des caractéristiques appartenant à des étoiles jeunes!... --- A ce sujet voir les références [2] et [3].

     

     

    Reste à découvrir le mécanisme qui pourrait alimenter, en hydrogène, notre étoile le Soleil et le ferait subsister éternellement...pour toujours...

     

    Concernant ce mécanisme une explication partielle serait possible. Nous savons que le Soleil ne suit pas une orbite circulaire dans le plan de notre Galaxie mais fait, en réalité, un mouvement sinusoïdal autour du noyau galactique. Pour une visualisation de ce mouvement sinusoïdal du Soleil voir la référence [4], [5] et [6]. Ce mouvement sinusoïdal fait que périodiquement notre Soleil passe dans le plan galactique là où justement il y a d'énormes quantités de réserves d'hydrogène son principal carburant de base qui le fait vivre. Nous pouvons donc faire l'hypothèse qu'à chaque passage dans le plan galactique notre Soleil ferait le ''plein'' en l'hydrogène. Grâce à son mouvement sinusoïdal, par rapport au plan galactique, le Soleil passe ensuite par une phase ''montante'' où il consommerait beaucoup de son hydrogène. En effet au dessus et au dessous du plan galactique l'hydrogène se fait de plus en plus rare. Ensuite après cette phase ''montante'' le Soleil étant attiré par les nombreuses étoiles situées dans le plan galactiques entame une phase ''descendante'' où il va encore consommer de l'hydrogène. Mais au cours de cette phase ''descendante'' le Soleil va de nouveau repasser dans le plan galactique ( là où justement se trouvent les nombreuses ''stations service'' délivrant de l'hydrogène ). Le soleil en repassant dans ce plan galactique pourrait encore refaire le ''plein de carburant'' pour continuer sa ''descente'' et ''remonter'' de en direction du plan galactique. Ce mouvement sinusoïdal, donc par définition cyclique ou périodique, pourrait alimenter encore et encore le cœur de notre astre du jour et lui donner une durée de vie bien plus longue que celle attribuée par un modèle solaire qui, finalement, et très loin d'être complètement confirmé car il existe des zones d'ombres. Si nous sommes prêt à reconnaître que notre Soleil nous cache encore bien des secrets fondamentaux cela pourrait nous éviter de croire à ce qui constitue, en fin de compte, que des hypothèses ou des spéculations non vérifiées.

    Actuellement l'activité du Soleil s'approche de son maximum [7].

    En ce qui concerne l'environnement ''fractal'' du Soleil selon certaines observations un groupe de chercheurs de l'Université of warwick's Centre for Fusion, space and Astrophysics

     

    ''vient de découvrir que le vent solaire se met à avoir une structure fractale à chaque maximum d'activité du Soleil tous les 11 ans.'' [8]. --- C'est moi qui souligne

     

    CONCLUSION

     

    Si le mouvement sinusoïdal, de notre astre du jour autour du centre de notre Galaxie, pourrait alimenter éternellement le cœur de notre grand luminaire en hydrogène alors le Soleil ferait du printemps un éternel retour...

     

    LIENS & REFERENCES

     

     

    [1] http://www.astro-quebec.com/viewtopic.php?f=21&t=7923&p=54011&hilit=Les+objets+qui+se+logent#p54011

     

    Concernant la durée de vie de certaines étoiles:

     

    [2] ''De vieilles étoiles loin de faire leur âge'': http://www.eso.org/public/france/news/eso1243/

     

    [3] ''Une seconde jeunesse pour de vieilles étoiles'': Pour la Science – n° 388 – Février 2010

     

    Concernant le mouvement ''sinusoïdal'' du Soleil autour du centre de notre Galaxie:

     

    [4] Agnès Acker: Initiation à l'Astronomie, Masson 1979, page 32.

     

    [5] Mario Cosentino: (Tome 1) : ''Origine et destin de notre Univers par une nouvelle cosmologie – De l'atome jusqu'aux confins du Cosmos'', Conversation avec Pierre Bourge. Bonnefoy- Imprimeur-Editeur, 1993, pages 110 à 116. Références INIST ( Institut de l'information Scientifique et Technique ): 1/1 - ( C ) CNRS Numéro Pascal 93-0610460 . Localisation: INIST-L 22828 . 354000035419100000

     

     

     

    [6] http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/astronomie/d/nemesis-nexpliquerait-pas-les-grandes-extinctions_32553/

     

    [7] Activité du Soleil proche de son maximun: http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/astronomie/d/en-bref-lactivite-du-soleil-proche-de-son-maximum_43038/

     

    [8]Fractales dans le vent solaire: http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/astronomie/d/des-fractales-dans-le-vent-solaire_11926/

     

    Respectueusement

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