Astro-Anthias
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j'ai une anecdote qui me trotte dans la tête depuis quelques temps et je vais vous l'exposer.
En se référant à l'exemple des jumeaux. Le premier part dans une fusée à une vitesse proche de la vitesse da la lumière et l'autre reste sur terre. A son retour, le voyageur a moins vieilli que son frère. Le temps s'est écoulé moins vite pour le premier.
L'hypothèse est que plus on se déplace vite, plus le temps est ralenti pour le voyageur.
Si j'imagine un gigantesque accélérateur de particules qui ferait le tour de la Terre. Les particules sont propulsées également à une vitesse proche de la vitesse de la lumière. Si j'imagine pouvoir intégrer une capsule tractée par les particules contenant une horloge.
Je lance ma capsule pendant dix secondes par exemple. Je suppose par rapport à sa vitesse et la distance de l'accélérateur que la capsule effectue environ 80 tours.
Pour l'observateur, le temps passe plus vite :
Est ce que les 80 tours ont été réalisés en beaucoup plus de temps, mais cela voudrais dire alors que la vitesse enregistrée par l'observateur est beaucoup plus faible que celle ressenti dans la capsule.
j'avoue que j'aimerais bien avoir une réponse en ce sens
Extension de l'espace et big bang
dans Astronomie & Astrophysique
Posté
Mon hypothèse sur le Big Bang.
Je ne crois pas à un Big Bang tel que l'on imagine : Si on prends en compte l'extension en cours, on devrait pouvoir tracer des vecteurs de direction pour chaque planète ou chaque galaxie et trouver une origine commune, mais ce n'est apparemment pas le cas.
Et puis, ce point d'origine extrêmement dense aurait une incidence énorme sur le temps. A l'extrême, dans l'infiniment petit et l'infiniment dense, le temps ne défilerait pas, il n'existerait pas.
j'ai une analogie dans laquelle j'imagine l'espace comme un gigantesque poumon et les planètes et galaxies comme les alvéoles pulmonaires de ce poumon.
Sur une inspiration, les alvéoles pulmonaires s'écartent les unes des autres sans avoir une origine commune. Ensuite on peut imaginer encore une expiration, les alvéoles pulmonaires retrouvent alors leurs places initiales. Il n'y a plus de top de départ, c'est une séquence répétitive, une boucle d'événements telle une balle qui rebondit sur le sol.
Cela suppose que dans le futur, il va y avoir un phénomène inverse qui va ramener les galaxies à leurs points d'origine et que ce phénomène se répète peut-être indéfiniment.