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bigcrunch

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Messages posté(e)s par bigcrunch

  1. je balance une petite traduc de cet article intéressant qui détaille le côté informatique du Programme Asteroid Initiative (pour ceux qui ont du mal avec l'anglais). Voir l'article en ligne pour les illustrations :

     

    http://www.nasa.gov/content/goddard/computing-paths-to-asteroids-helps-find-future-exploration-opportunities/

     

     

    Computing Paths to Asteroids Helps Find Future Exploration Opportunities

    June 30, 2014

     

    Briques issues de la formation du système solaire, les astéroïdes sont d'un grand intérêt pour les scientifiques. Les ressources, dont l'eau, contenues dans les astéroïdes pourraient être utiles aux astronautes voyageant à travers l'espace lointain. De même, les astéroïdes pourraient continuer d'être des destinations pour les missions robotiques et humaines à mesure la NASA s'aventurera plus loin dans le système solaire, vers Mars et au-delà.

     

    La NASA développe les technologies nécessaires pour que les astronautes atteignent Mars dans les années 2030.

     

    Pour tester ces nouvelles technologies, l'agence prévoit une mission d'identification, de capture et de redirection d'un astéroïde sur une orbite stable autour de la Lune dans les années 2020, où les astronautes pourront se rendre. La NASA étudie des astéroïdes candidats à la mission ARM (Asteroid Redirect Mission). L'un des systèmes qui aident à identifier un tel astéroïde est le Near-Earth Object Human Space Flight Accessible Targets Study (NHATS http://neo.jpl.nasa.gov/nhats/) développé et maintenu au Goddard Space Flight Center de la NASA à Greenbelt, dans le Maryland.

     

    NHATS est un système automatisé qui utilise des algorithmes informatiques spécialisés, pour calculer les trajectoires des vaisseaux spatiaux, et déterminer d'éventuelles opportunités de mission aller-retour en vue de visiter un astéroïde geocroiseur (NEA). C'est la première étude à mener une enquête approfondie sur l'accessibilité des NEA par les vols spatiaux habités, et le seul système automatisé au monde de ce type, pour la determination de l'accessibilité des NEA. Après deux années de fonctionnement, NHATS a identifié plus de 1000 NEA qui pourraient être des destinations pour les futures missions robotiques et habitées, que rendront possible les technologies futures. Dans le court terme, certains d'entre eux pourraient être des candidats potentiels à la mission d'ARM.

     

    «Nous ne savions pas à quoi le paysage de la «*NEA-accessibility*» pour les vols habités ressemblait vraiment jusqu'à ce que le NHATS soit créé», a déclaré Brent Barbee de la NASA (Goddard S.C.), responsable du projet NHATS. "Au 1er Juillet 2014, il y a actuellement 1217 NEA identifiés par notre projet, qui nécessitent moins de temps de vol et d'énergie pour une visite et un retour qu'une mission vers Mars."

     

    Les Astéroïdes ont une large gamme de dimensions, de la taille d'une voiture à des objets ressemblant à de petites lunes. Leur gravité est relativement faible, ce qui en fait des cibles intéressantes pour les missions d'exploration. La plupart des astéroïdes se trouvent dans la ceinture d'astéroïdes principale entre les orbites de Mars et Jupiter, mais il ya une population importante dont les orbites se rapprochent de la Terre. Les petits astéroïdes sont beaucoup plus nombreux que les grands - les astronomes estiment que l'espace circumterrestre contient probablement des millions de NEA de quelques mètres de diamètre, près de 16.000 NEA entre 100 et 300 mètres de large, et près de 5000 NEA entre 300 et 1000 mètres. Pour être classé comme un NEA, l'orbite de l'astéroïde doit pénétrer dans un rayon cercle équivalent à 1,3 fois l'orbite moyenne de la Terre autour du Soleil.

     

    Parce que leurs orbites les amène près de l'orbite de la Terre, certains NEA sont des menaces potentielles d'impact terrestre. La NASA a un programme pour détecter les géocroiseurs, estimer leurs orbites, et déterminer si ils présentent un risque d'impact. Le système automatisé Sentry identifie les objets géocroiseurs potentiellement dangereux (NEOs - «objets» comprend à la fois comètes et astéroïdes) à l'aide des observations de télescopes, dans des observatoires à travers le monde et dans l'espace. Sentry a été conçu, mis en œuvre, et est géré par le NEO Program Office de la NASA au Jet Propulsion Laboratory (JPL) à Pasadena, en Californie.

     

    Toutes les observations de NEO faites par des telescopes (professionnels et amateurs), pour déterminer leur position et leur orbite, sont transmises au Minor Planet Center (MPC http://www.minorplanetcenter.net/ ), qui est le relais mondial choisi par l'Union astronomique internationale (UAI), pour le tri de toutes les données d'observation. Une fois une orbite initiale déterminée, le MPC fournit les données d'observation pour les objets géocroiseurs au JPL, qui calcule alors une orbite de précision plus élevée des NEO, sur la base des données d'observation. Les données d'orbite pour chaque NEO peuvent être accessibles via la base de données Small-Body Database (http://ssd.jpl.nasa.gov/sbdb.cgi) du JPL, et le système Horizons system (http://ssd.jpl.nasa.gov/?horizons) du JPL, fournit une interface grâce à laquelle les données d'éphémérides (position et la vitesse en fonction du temps) peuvent être obtenues pour chaque NEO.

     

    B. Barbee a développé le système NHATS afin de déterminer facilement des opportunités de mission vers des astéroïdes accessibles, sur la base des données JPL / Horizons. "Dans un sens, le système NHATS complète le suivi des risques", a déclaré Barbee. "Le système NHATS surveille les opportunités offertes par les NEA, tandis que le système JPL Sentry surveille les risques que les NEA peuvent représenter pour la Terre."

     

    Chaque jour, le système NHATS télécharge la liste des géocroiseurs connus, détermine quels sont ceux nouvellement découverts, et ceux dont les données orbitales sont susceptibles d'être mises à jour, puis télécharge les fichiers de données orbitales de ces géocroiseurs sur le programme Horizons. Le système NHATS applique ensuite les algorithmes NHATS à chacun de ces fichiers, et calcule toutes les trajectoires aller-retour possibles vers ces NEA, en utilisant des grilles de trajectoires intégrées au système, que B. Barbee a développées. Ces grilles de trajectoires incorporées sont utilisées pour calculer les différentes voies possibles pour un engin spatial, ou trajectoires, pour atteindre un NEA cible, sur la base de certains critères de mission.

     

    Pour qu'un NEA soit identifié comme une destination potentielle de mission habitée, il doit répondre à plusieurs critères. "Les critères NHATS ont été développés par un comité pour l'exploration habitée, en Septembre 2010», a déclaré B. Barbee. «L'idée était de signifier à travers ces critères, que les missions aller-retour vers des NEA «*NHATS-compatibles*», soient moins exigeantes que les moins exigeantes des missions aller-retour vers Mars." Ces critères comprennent notamment des dates de départ pas trop éloignées dans le futur (au plus tard 2040), un laps de temps raisonnable pour explorer l'astéroïde (au moins 8 jours), un temps de vol aller-retour de 450 jours ou moins, et un besoin en carburant moindre que pour une mission vers Mars.

     

    B. Barbee maintient une liste de diffusion à laquelle l'ordinateur GSFC NHATS transmet automatiquement les résultats de traitement quotidien.

     

    «N'importe qui peut s'inscrire à la liste de diffusion, mais l'intention première est que les astronomes et scientifiques specialistes des NEO s'inscrivent, afin qu'ils reçoivent une notification rapide dès qu'un NEA particulièrement accessible est découvert. Cela permet que des observations de suivi puissent en être faites dans un temps opportun », a déclaré B. Barbee.

     

    "Je vérifie le message quotidien du NHATS dès qu'il arrive, pour voir ce que ce que la «*pêche nocurne*» nous a apporté en terme de NEA nouvellement découverts ou mis à jour ", a déclaré Lindley Johnson, directeur des Programmes NEO de la NASA. «L'information est cruciale parce que c'est notre premier regard, nous donnant ainsi l'occasion d'observer de petits NEA lorsqu'ils sont très près de la Terre. Le plus souvent, nous n'avons que quelques jours après la découverte, pour faire des observations de suivi, et pour cela une information rapide est essentielle. Les observations de suivi sont importantes car elles nous permettent d'établir l'orbite du NEA autour du Soleil avec plus de précision, et d'en apprendre sur la rotation, la taille et la composition du NEO. Toute cette information est essentielle pour la planification d'une mission ".

     

    NHATS a commencé en Septembre 2010, mais n'a pas été entièrement automatisé avant le 20 Mars 2012. B. Barbee attend de ce projet qu'il soit poursuivi plus avant, car beaucoup de possibilités de mission restent encore à trouver. «À l'heure actuelle, nous avons découvert 11 180 objets géocroiseurs de toutes tailles, et nous estimons qu'il y a au moins 10.000 objets géocroiseurs de plus de 100 mètres que nous n'avons pas encore trouvés", a déclaré B. Barbee. Beaucoup permettront sans doute des opportunités de mission robotisées de plus longue durée.

     

    Un exemple de mission robotisée de retour d'échantillons de longue durée est la mission Origins Spectral Interpretation Resource Identification Security -- Regolith Explorer (OSIRIS-Rex), gérée par le Centre Goddard Space Flight de la NASA, qui étudiera et rapportera un échantillon provenant d'un NEA dénommé Bennu . Prévu pour lancement à la fin de 2016, la sonde atteindra Bennu en 2018 et en rapportera un échantillon sur Terre en 2023.

     

    L'Asteroid Initiative de la NASA est en cours pour soutenir les efforts de l'agence à comprendre la population des NEO potentiellement dangereux, et de déterminer un sous-ensemble d'intérêt, incluant les NEO qui seront appropriés pour les futures missions d'exploration d'astéroïdes. L'initiative réunit le meilleur de la NASA en terme de compétences scientifiques, de technologie et d'efforts en vue de l'exploration humaine, pour atteindre l'objectif du président Obama d'envoyer des humains sur un astéroïde en 2025.blablabla congratulations...

  2. @Paul

     

    ;)

     

    oui ya l'option piece jointe en effet dans le mode avancé, pour attacher une image

     

    @Benjamin

     

    quelle tristesse ce sondage ! no comment...

  3. http://www.obspm.fr/a-bord-de-rosetta-l.html

    cet article indique qu'il y a 1 mois, la comete liberait l'equivalent de 2 verres d'eau par seconde...

    aujourd'hui chury se trouve à 536 941 534 km du Soleil, soit env 3.5UA. Elle devrait se rapprocher jusqu'à 2.5UA pour atteindre une t° suffisante pour la sublimation de l'eau. D'autres composés se subliment à des t° plus basses et donc plus loin du Soleil.

     

    j’espère que l'instrument MIRO n'est pas miro....

  4. kurde91... mauvais exemple du gamin idéalisé en attente du savoir de ses aînés !...

    9 ans ? 12 ans ? Il postait à des heures très tardives. Il ne maîtrisait pas la langue française non plus visiblement, de là à comprendre ce qu'il pouvait lire ici...

     

    Sinon je pense que celui qui vient lire ce qui s'ecrit sur le forum doit être capable de sens critique, et aussi de suivre les nombreux liens donnés par certains, vers des articles et des infos pertinents.

     

    quant aux images, peut être préciser à tous une technique élégante ?

     

    et pour les mioches : une rubrique consacrée ? mais est-ce un objectif des concepteurs ?

     

    voilà, à +

  5. on peut voir sur ce site une animation de la trajectoire de la comète jusqu'en 2016 ainsi que les orbites des planètes dont la Terre : http://sci.esa.int/where_is_rosetta/

     

    La comète sera à son périhélie en août 2015. (où elle revient tous les 6,5 ans)

    Si la queue est bien active en juin-juillet 2015, ça ne devrait pas être trop difficile de l'observer.

    A confirmer

     

    comme précise F. Rocard, vu la structure de la comete, en 2 morceaux, il semble qu'elle soit instable. Il y aurait possibilité qu'elle "casse" lors de ce passage au périhélie,

    auquel cas il pourrait y avoir du spectacle, au moins pour Rosetta !

  6. 1m/s c'est la vitesse d'un homme qui marche. Pas de quoi risquer la casse pour Philae dixit l'article, ni le rebond (d'apres la constitution apparente de la comete en l'etat des connaissances, et sachant que Philae dispose de systemes d'accroche).

    Fin aout tjrs selon l'article, seront choisis 5 sites possibles, de preference avec un bon niveau d'ensoleillement pour les panneaux solaires, et possibilité de communication avec Rosetta.

  7. Salut,

     

    je découvre ce programme de la NASA, annoncé en 2013, et comportant de nombreux aspects, depuis la détection d’astéroïdes géocroiseurs jusqu'à la conquête de Mars !!...

     

    ci-joints les derniers articles à ce sujet datant du mois de juin 2014 :

     

    http://www.jpl.nasa.gov/news/news.php?release=2014-195

     

    (NASA's Spitzer Space Telescope made recent observations of an asteroid, designated 2011 MD, which bears the characteristics of a good candidate for the full capture concept.)

     

    http://www.nasa.gov/content/what-is-nasa-s-asteroid-redirect-mission/ : que je traduis ci après (excusez les lourdeurs éventuelles)

     

    => "La NASA développe une première mission en vue d'identifier, de capturer et de rediriger un astéroïde géocroiseur (NEO) sur une orbite stable autour de la Lune, là où les astronautes pourront venir l'explorer au cours de la decennie 2020, et en revenir avec des échantillons.

     

    Cette mission Asteroid Redirect Mission(ARM) fait partie du plan de la NASA pour faire progresser les nouvelles technologies et l'expérience des vols spatiaux nécessaires à l'exploration de Mars par l'Homme, prévue pour la decennie 2030.

     

    La NASA a identifié plusieurs astéroïdes candidats et continue la recherche de celui qui pourrait être redirigé près de la Lune dans les années 2020.

    Depuis l'annonce de l'Asteroid Initiative en 2013, le Programme d'observation d'objets géocroiseurs de la NASA a catalogué plus de 1000 nouveaux astéroïdes géocroiseurs découverts par différentes équipes de recherche.

    Parmi ceux identifiés à ce jour, six pourraient être de bons candidats pour ARM.

    Les scientifiques s'attendent à ce que beaucoup plus soient découverts au cours des prochaines années, pour lesquels la NASA étudiera vitesse, orbite, taille et rotation, avant de décider de l'astéroïde cible de la mission d'ARM.

     

    La mission ARM fait partie de l'Asteroid Initiative de la NASA.

    L'initiative comprend également l'Asteroid Grand Challenge , qui vise à accélérer les efforts de la NASA pour localiser les astéroïdes potentiellement dangereux, grâce à des collaborations et des partenariats non traditionnels.

    Le défi pourrait également aider à identifier les candidats viables pour ARM.

     

    La NASA envisage de lancer le vaisseau spatial robotisé ARM à la fin de cette décennie (2019).

     

    L'agence travaille sur deux concepts pour la capture: capture d'un astéroïde à l'aide d'un système gonflable, semblable à un sac, ou capture d'un rocher issu d'un asteroide plus large en utilisant un bras robotisé.

    L'agence choisira un des deux concepts d'ici la fin de 2014.

     

    Une fois l'astéroïde capturé, le vaisseau spatial le redirigera vers une orbite stable autour de la Lune appelée «orbite rétrograde éloignée."

    Les astronautes à bord du vaisseau Orion de la NASA, lancé par le Space Launch System (SLS : https://fr.wikipedia.org/wiki/Space_Launch_System)), étudiera l'astéroïde dans le milieu des années 2020.

     

    Les astéroïdes sont des matériaux issus de la formation du système solaire.

    Les astronautes retourneront sur Terre avec beaucoup d'échantillons, plus que ce qui n'a jamais été disponible pour l'étude, ce qui pourrait ouvrir la voie à de nouvelles découvertes scientifiques sur la formation de notre système solaire et sur les débuts de la vie sur Terre.

     

    La mission robotique fera également la démonstration des techniques de défense planétaires pour détourner les astéroïdes dangereux et protéger la Terre en cas de besoin à l'avenir.

    La NASA choisira un astéroïde pour la capture, d'une taille et d'une masse telles que cela ne puisse pas presenter de danger pour la Terre, en cas de desintegration dans l'atmosphère.

    En plus d'assurer une orbite stable, réorienter l'astéroïde sur une orbite rétrograde éloignée autour de la Lune permettra également de s'assurer qu'il ne frappera pas la Terre.

     

    Le plus important peut-être, la mission Asteroid Redirect Mission fera grandement progresser la NASA dans sa conquête de la planete Mars, elle permettra de tester les capacités nécessaires pour une mission avec équipage vers la planète rouge dans les années 2030.

     

    Pour plus d'informations, lisez "Comment la mission ARM aidera les humains à atteindre Mars." (http://www.nasa.gov/content/how-will-nasas-asteroid-redirect-mission-help-humans-reach-mars/)

     

    Dans cet article on apprend comment la NASA souhaite exploiter la mission ARM et l'environnement circum lunaire pour:

    - se rendre indépendant de l'environnement terrestre, grâce à la propulsion électrique notamment.

    (autonomie en énergie, augmentation des charges utiles par suppression des carburants chimiques encombrants)

    -développer et maîtriser les techniques de rendez-vous et d'amarrage, notamment entre Orion et les vaisseaux robotisés à propulsion électrique.

    (nouveaux systèmes de senseurs en particulier)

    -maîtriser la manipulation de masses importantes, telles que celle d'un astéroïde, dans les conditions de l'orbite lunaire.

    Les vaisseaux à destination de Mars seront volumineux (cargo, habitat,etc), et devront pouvoir s’insérer en orbite martienne.

    -maîtriser et développer les techniques de collecte, stockage (nouveaux contenants techniques) et retour d’échantillons.

    -développer de nouvelles combinaisons spatiales.

    -diminuer les coûts de l'exploration martienne en recourant à des systèmes réutilisables et évolutifs.

     

    grosse mission couteau suisse quoi...

    sauf coupes budgétaires...

     

     

    le site Asteroid Initiative : http://www.nasa.gov/mission_pages/asteroids/initiative/index.html

     

    arv-orion.jpg?itok=C8gnKy7_

  8. Bien joué Fred !:1010:

     

    c'est en effet d'Apollo 1 qu'il s'agissait. Sans ce drame du 27 janvier 1967, le programme Apollo n'aurait peut être pas eu le succès qu'on connaît.

     

    Pendant les 2 années qui suivirent, je cite :

     

    1341 modifications interviendront sur l'ensemble des éléments habités Apollo (module de commande et LM).

    Il est incontestable que l'ensemble des changements opérés (tant humains que matériels) a contribué au succès ultérieur du programme Apollo.

    Deke Slayton ("patron" des astronautes) dira sur cette période : "Je suis persuadé que nous aurions fini par nous casser la figure à plusieurs reprises avant d'arriver sur la Lune, peut-être même n'y serions-nous jamais arrivés s'il n'y avait pas eu Apollo 1. Nous sommes tombés sur un nid de vipères qui nous aurait donné bien du fil à retordre par la suite. Les problèmes auraient été traités petit à petit, sur plusieurs vols, en zigouillant plusieurs personnes au passage. L'incendie nous a obligés à arrêter tout le programme et à faire le grand nettoyage".

     

    (http://alexandre.schwenck.pagesperso-orange.fr/index.htm)

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