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yellowstone44

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Messages posté(e)s par yellowstone44

  1. il y a 58 minutes, julon2000 a dit :

     

    N. Debergh est affiliée à un département d'agronomie, les 2 autres n'ont pas de poste académique mentionné : j'imagine déjà qu'on me dira que c'est à cause de la conspiration secrète et méchante contre JPP, moi si j'ai un problème de santé je vais voir un médecin ayant pignon sur rue, autrement dit un spécialiste reconnu du domaine.

     

    Je ne comprends pas trop cette intervention. Pourquoi ce jugement de valeur des personnes ayant contribué à ce documents. Il est mathématiquement correct, ou il ne l'ai pas. 

     

    De plus si on reprend la présentation de Debergh Nathalie, c'est bien d'indiquer qu'elle travaille actuellement au département d'agronomie de la Haute Ecole Charlemagne. Mais il est également honnête de complété par le fait qu'elle fait des recherches en cosmologie, en physique quantique et en mathématiques appliquées. Et que l'on peut retrouver ses publications :

     

    https://arxiv.org/search/quant-ph?searchtype=author&query=Debergh%2C+N

     

    Et les travaux sont cosignés. Je ne vois pas ce qu'il y a à redire à cela. Pour un scientifique, c'est le contenu du document qui est à juger, et non les auteurs. Faut-il, à présent, qu'au même titre que les copies de baccalauréats sont anonymes, les auteurs des articles cachent leurs noms pour que leurs copies soient considérées ?? Quand je vois de tels propos, je me demande si effectivement ce ne serait pas la solutions à certaines dérives d'impartialité et d'objectivité de certaines remarques.

    
     
  2. il y a 20 minutes, candide curieux a dit :

    Bonjour,

    Nathalie Debergh (mathématicienne) , jean pierre Petit et Gilles d'agostini (mathématicien) viennent de publier sur researchgate un document intitulé:

    On evidence for negative energies and masses in the Dirac equation through a unitary time-reversal operator

     

    https://www.researchgate.net/publication/327545218_On_evidence_for_negative_energies_and_masses_in_the_Dirac_equation_through_a_unitary_time-reversal_operator

     

    Pour compléter, voici la conclusion de cette publication :

     

    "Nous avons montré que les masses négatives peuvent se produire dans la mécanique quantique relativiste à la condition d'être liées aux énergies négatives. La transformation PT unitaire que nous proposons agit sur des états associés à des fermions d’énergie positive et de masse pour donner des états associés à des anti-fermions d’énergie négative et de masse. C'est une alternative à l'opérateur de conjugaison de charge anti-unitaire conduisant aux mêmes états, mais sous-tendue par des anti-fermions de masse et d'énergie positive."

     

     

  3. Il y a 2 heures, bongibong a dit :

    ex : tu penses qu'on décrète qu'il n'y a pas d'antimatière...

    Déjà, on ne l'a pas décrété... Et cette remarque montre que tu n'as pas une démarche scientifique.

     

    Alors, c'est vrai qu'on ne le décrète  pas.

     

    "Une autre explication possible de l'asymétrie baryonique est qu'il existe des régions dans l'Univers où la matière domine, alors que d'autres seraient dominées par l'antimatière. Ces régions seraient grandement séparées et à peu près aucun contact n'aurait lieu entre la matière et l'antimatière. Ainsi, il serait impossible de distinguer la matière de l'antimatière si les deux ne sont pas en contact, où si ce contact se fait de manière très ténue ou très lointaine. En général, il est supposé que les frontières entre la matière et l'antimatière se trouveraient soit dans des espaces intergalactiques très lointains, soit en dehors de l'univers observable4.

    La masse volumique de matière de l'espace intergalactique étant relativement bien établie (environ 1 atome par mètre cube5,6), les prévisions sur le type d'observations que de telles zones d'antimatière entraîneraient sont relativement précises. Puisque aucune de ces observations n'a été réalisées, la possibilité que de telles zones d'antimatière existent dans l'univers observable est peu envisagée7, bien qu'il existe au moins une étude scientifique d'importance, le spectromètre magnétique Alpha, qui peut, entre autres choses, se pencher sur cette question8.

    Une autre hypothèse avance que la force gravitationnelle exercée par l'antimatière pourrait être répulsive plutôt qu'attractive envers la matière. Cependant, cette hypothèse est en conflit avec la relativité générale, l'équation d'Einstein spécifiant que le tenseur énergie-impulsion est la source du champ gravitationnel, ce qui implique que la gravité est attractive pour l'antimatière. D'autres hypothèses avancent qu'il existerait un mécanisme possible de répulsion entre la matière et l'antimatière9. Cependant aucune observation astronomique montrant l'existence d'une force gravitationnelle répulsive n'a été réalisée à ce jour.

    Ces hypothèses transforment le problème de l'asymétrie baryonique en un problème de séparation entre la matière et l'antimatière lors de la baryogenèse." (citation wikipedia)

     

    La dernière phrase de ce paragraphe est assez explicite. La cosmologie standard a une forte préférence pour une asymétrie baryonique qu'elle ne parvient pas à expliquer. Mais c'est cependant la base de la majorité des travaux en cours.

     

    Je vais encore me répéter, mais ce qui est envisagé dans le modèle de monsieur Petit, c'est que l'antimatière que l'on connait très bien ne soit pas la seule possible.Et qu'il existe un autre état de l'antimatière.

     

    Citation

    Et comment tu peux critiquer le modèle actuel avec une connaissance aussi lacunaire des tenants et aboutissants ?

     

    Bon... je ne fais pas de jugement de valeur, tout le monde a le droit de participer à la discussion. Cite-moi un passage où je critique directement le contenu du modèle JPP ?

     

    C'est vrai que vous ne critiquez pas JPP, et je n'ai jamais dit le contraire. C'est d'ailleurs assez rare, mais je suis d'accord, et je n'ai rien dit de tel. Je pense juste que vous critiqué un modèle que vous n'avez pas regardé, ce n'est pas possible. Il existe une logique dans sa présentation. On ne pas critiquer un passage sans connaitre le début de la démonstration.

     

    Citation

    Je lirai ce résumé. Mais les théories c'est comme la mode... et les théories bimétriques ne sont pas à la mode aujourd'hui.

     

    C'est bien et c'est triste de lire cela. Si vous le regardez, c'est déjà bien. Mais dire qu'un modèle cosmologique est une histoire de mode.... Hou-là que çà me navre. Un modèle doit être étudié, validé... ou invalidé. Il ne doit pas pouvoir rester dans un placard sans être confronté à une analyse sérieuse, quelque soit son auteur.

     

    Citation

    En page 2, il y a une erreur... dans les 8 problèmes majeurs...

    4) structure de l'univers en éponge : ce n'est pas un problème à partir du moment où le modèle est cohérent (invocation de la matière noire + énergie sombre, en modélisant l'univers, on reproduit ces structures --> voir les simulations Bolshoi, DEUS etc...

    7) Great Reppeller et l'anomalie Pioneer a été expliquée

    8) ça reste la matière noire = problème 5

     

    Je suis d'accord, avec vous. Le modèle standard donne une explication en faisant intervenir, à postériori, d'autres éléments. Mais... pour le moment, ce ne sont que des hypothèses. Vous ne pouvez pas dire que ces problèmes sont résolus. Ils le sont si les éléments dont on suppose l’existence, existent bien. Hors, depuis 4 ans, rien ne le prouve. Et je ne dis pas qu'il ne faut pas continuer à chercher. C'est une possibilité. Mais le modèle de monsieur PETIT explique au moins ces 8 points que vous évoquez juste en évoquant le fait qu'il puisse exister des particules symétriques à celles que nous connaissons, mais de masse opposé. J'ai fait une intervention juste avant votre message. Et c'est le point de départ de la réflexion. Et il est fondamental car tout découle de cette idée. Et... elle peut être confirmée ou infirmée. Elle est testable. Et c'est bien le drame. 

     

    Citation

    page 2-3

    Non la seule façon d'obtenir des bulles de vide avec de la matière autour, on peut aussi l'obtenir en ayant un inhomogénéité de matière, là où elle est surdense, la matière va s'y accumuler, là où c'est sous dense, la région va devenir encore plus vide...

     

    Oui, je suis d'accord. C'est une hypothèse. Mais qui implique beaucoup de contrainte que l'on ne parvient pas à vérifier.

     

     

    Citation

    Et en RG il y a une autre façon d'avoir une gravitation répulsive, c'est avec une densité d'énergie du vide où une pression négative.

     

    C'est bien d'écrire cela. Mais c'est quoi une densité d'énergie du vide ? C'est quoi une pression négative ?

  4. Je voulais faire une petite intervention sur la compréhension visuelle des masses négatives. Car ce n’est pas évident de se les représenter. Dans la définition qui en est donnée sur wikipedia :


    https://fr.wikipedia.org/wiki/Masse_négative


    La matière de masse positive (M+) creuse l’espace temps pour former un puits gravitationnel. Et, à l’opposée, la masse négative (M-) aspire l’espace temps pour former une bosse (comment elle l’aspire n’est pas précisé).

     

    5b9ad933810e3_GraphiqueMetM-Standard.jpg.b6dc61a3d105333e388de0d1266fc0be.jpg


     
    Toujours est-il que les 2 masses interagissent les unes avec les autres. Et pendant que M- tombe dans le champ gravitationnel de M+, M- par une sorte d’effet de vague repousse M+. On a donc un mouvement d’accélération perpétuel qui défit les lois de la physique. Le fameux effet Runaway qui fit abandonner l’idée même de matière de masse négative.


    Revenons sur la représentation assez terre à terre, mais très parlante, d’une coupe de l’espace temps, un plan, sur le quel se trouve une masse M+.

     


    On nous montre une masse qui s’appuie sur un support invisible, l’espace temps, et qui le courbe. L’idée d’une toile tendue est assez judicieuse, et la vidéo suivante est assez représentative :

     


    Qu’est ce que l’on remarque ? On remarque que cette représentation repose sur une équation de champ de d’Einstein qui ne prend en compte que le dessus de cette toile. Et non le dessous. On ne sait pas comment le dessous de cette espace temps se comporte. Hors, lorsque l’on rend compte des résultats d’une masse de très forte densité de type trou noir, on perse se tissus d’espace temps sans avoir connaissance de l’envers de ce tissu spatio-temporel.


    Hors qu’a fait monsieur Petit ? Il a mathématisé cet envers. Il a créé une équation de champ qui formalise l’envers de cette espace temps. Et dans cet envers, si l’on regarde ce que fait notre masse  M+, elle fait… une bosse.


    De fait, la représentation, non officiel, de M+ et M- me semble d'avantage correspondre à se second schéma :

     

    5b9ad9fb2703d_GraphiqueMetM-JPP.jpg.a7a64e6a0b5467cefee950cef8797247.jpg


     
    Dans ce cas, on a bien 2 masses M+ et M-, isolés par l’espace temps. La vague d’espace temps que fait M+ repousse M-, et la vague que fait M- repousse M+. On a donc bien 2 masses qui se repoussent. Mais dans la partie de son univers, M- créer bien un puits gravitationnel qui attire d’autres Masse M-.


    Par conséquent, on se retrouve donc bien avec des masses qui ont les mêmes effets si on les considère chacun dans leur univers. Il n’y a pas d’effet de succion de l’espace temps.

     

    Mais pour parvenir à ce résultat, on a nécessairement besoin d'une double équation de champs. Et la résolution de ces équations dans le cas des masses de forte densité donne des résultats, y compris dans sa singularité.

     

    On se rend compte également que si ces masses M- interfèrent de manière gravitationnelle dans notre segment d'univers, on doit pouvoir les détecter.

  5. il y a 4 minutes, bang*gib a dit :

     

     

    Une petite parenthèse.

     

     

    Bravo, faut le faire ça n’a pas dû être évident. Pour vérifier ta lecture, il y aura interro écrite demain. :)

     

     

    Tu dois être rassuré si t’as remarqué que tu n’es pas le seul.

     

     

    Il y’en a d’autres aussi, ceux qui ont besoin d’être convaincus, prêt à pencher d’un côté ou de l’autre, qui sont dans l’expectative, ceux qui s’en foutent peut-être, etc.

    Il y a aussi les observateurs discrets.

     

     

    Oui mais si tu n’as pas le niveau, comment faire déjà que ceux qu’ils l’ont ne sont pas d’accord.

     

     

    Pour moi la seule démarche scientifique valable c’est d’argumenter encore et encore démontrer proposer une/des formules mathématiques dire en les écrivant, c’est comme ça et l'on prendra date.

    Et même si toi est moi somme incapables de les saisir, la véracité de l’affaire ou l’aspect bancal de l’un ou de l’autre, on aura pris date de l’engagement de celle ou celui qui aura écrit ou défendu l’idée la thèse par la formule.

    Faut être patient, la réponse peut être différée.

    Einstein s’est mouillé y a cent ans et sa formule tient encore…

    C’est courageux de défendre une thèse quel que soit son bord, encore faut-il pouvoir identifier entre le farfelu et celui qui surfe sur les courants porteurs. Pour le profane, l’exercice est difficile pour identifier la vérité.

    Pour avoir suivi des discutions techniques cités un peu plus haut, il m’aurait plus qu’on écrivit une formule de math aux yeux de tous pour vérifier que le neutrino était plus rapide… très peu se sont engagé au pronostic, dans un sens ou l’autre.

    Je pense  pas faire trop avancer le débat, je n’ai pas trop les moyens, hélas pour vous, mais, la discussion intéresse par ses divers aspects.

    Ce qui est sûr c’est qu’une telle querelle n’est pas nouvelle et si quelqu’un a raison en partie au moins, ou complètement, ça finira par se savoir.

    Une chose est sure au passage on réfléchit, mais au final on en ressort sûr du rien.

    Comment savoir, qui croire (pas au sens qui en ferait bondir certain) à qui faire confiance ?

    Tout le monde à raison, et celui qui aurait raison dans ce « tout le monde » a le même comportement que l’autre qui aurait tort complètement ou à moitié.

    Il y a pléthore de modèles cosmologiques en effet, et pour être à peu près sûr de ne pas dire trop de conneries, vous l’admettrez et pour cause je m’en tiendrai plutôt au mien (celui qui m’intéresse et que j’espère comprendre) même s’il doit être parfois bricolé.

     

    On n’a pas à craindre de dire des bêtises, si on n’a aucune responsabilité scientifique. 

     

    Ma culture est par la vulgarisation et d’aucuns s’est-il trompé une foi, un scientifique a pu se tromper à coup sûr une fois :pen lisant un article de vulgarisation.

     

    Les premiers vrais et grands amateurs de SF sont d’abord les scientifiques.

    Il faut avoir une imagination débordante et débridée pour imaginer tout ce qu’ils imaginent, à moins qu’ils lisent dans les formules magiques.

     

    On en est tous capables, mais après, faut quand même le savoir et maîtriser les joujoux de la science

     

    Bonne soirée

     

     

     

    Il est vrai que prendre position n'est pas simple.  Mais en fait, on ne devrait pas avoir à prendre position. Tout les modèles, à mon sens, doivent être considéré. Là, n'est pas la question. Le seul problème ici, c'est que le modèle de monsieur PETIT, qui a certainement des défauts, n'est même pas testé pour le validé ou l'invalidé. Tout le problème est là.  Si des observations invalident le modèle, soit, on en parle plus. Où alors son auteur retravaille dessus pour corriger des possibles erreurs (c'est le travail de tout scientifique). Mais, là...

     

    Je vais faire un parallèle avec la vie courante. Imaginons une activité commerciale qui se monte, comme un restaurant ou une crèche. Vous élaborez votre projet, vous le matérialisez, vous rédigez tous les documents administratifs pour le faire avaliser. Et là, les autorités compétentes pour le faire... ne veulent pas venir, ne veulent pas regarder. Personne ne veut se "mouiller" pour donner son accord ou son refus. Pouvez vous imaginez çà ? Une activité professionnelle qui ne peut pas se faire à cause de l'inaction d'autorités compétente. Ce serait scandaleux, non ? Et bien c'est se qui se passe actuellement avec le modèle de monsieur PETIT. Et la seule chose que j'estime, c'est le droit, voir même le devoir, pour ce modèle d'être regardé.

  6. Il y a 11 heures, bongibong a dit :

    Je n'ai pas le temps de lire un petit roman de 88 pages, surtout si c'est de la vulgarisation. Déjà que je n'ai pas le temps de lire toutes les publications que je voudrais.

    Ce n'est pas étonnant si personne dans la communauté des chercheurs n'a d'écho positif.

    Tout ça pour ça ? Je suis déçu, je pensais que tu résumerais au moins un peu ce que tu as compris, même pas un teaser ?

     

    Est ce que vous vous rendez compte de ce que vous écrivez ? Vous me répondez sur un modèle que vous n'avez pas vraiment regardé. Vous le critiquez. Je vous réponds. Vous me demandez de faire une synthèse, je vous propose de regarder les 88 pages qui sont écrit en gros caractères avec des illustrations qui prennent parfois une bonne partie de la page, cela ne vous convient pas (je pense que si je vous demandais de me faire une synthèse de la théorie de la relativité, elle vous prendrait un peu plus de 3 pages). Je peux vous proposer le résumer suivant qui est très bien réalisé (mais ce n'est qu'un résumé sans les liens sur les travaux officielles) mais je pense que là, également, ce sera trop difficile de regarder.

     

    https://zevengeur.files.wordpress.com/2018/02/modc3a8le-janus-le-futur-de-la-cosmologie-zevengeur.pdf

     

    Franchement, je pense que vous mettez d'avantage de temps à me répondre que vous n'en mettriez à lire ces documents. Quand la mauvaise volonté prend le pas, elle devient indécrottable.

  7. Il y a 6 heures, bongibong a dit :

    Je ne suis pas d'accord. Tous les deux partent du constat suivant : la courbe de rotation des galaxies ne correspond pas à la distribution des matières lumineuses (on est bien d'accord ?). Dans ce cas c'est simple, ou bien il y a de la matière non lumineuse qui génère un champ de gravitation supplémentaire, ou bien c'est la loi qui relie quantité de matière et champ de gravitation qui est fausse.

    La science académique (on va dire le courant dominant) privilégie la première approche, pour plusieurs raisons : pas d'indice de défaillance de la RG. C'est une piste, c'est pour ça que je n'aime pas appelé la problème de la matière noire, mais le problème de la courbe de rotation des galaxies.

    L'autre piste qui fait beaucoup moins d'émule, c'est celle qui remet en cause la RG, je parle de MOND.

    Je suppose que tu as écumé toute la littérature sur ces approches, et que tu comprends cette démarche scientifique, en tout cas, ça ne transparaissait pas dans ce que tu as écrit, c'est pour ça que je me suis permis quelques rappels.

     

    Et pour situer Janus, ce serait dans cette seconde approche (pour le moment, pas de jugement de valeur, c'est dans la démarche scientifique).

     

    Donc on peut aussi dire que le modèle standard + matière noire est purement phénoménologique.

    Cependant, c'est là où les choses changent, c'est quand on rajoute la nucléosynthèse primordiale, le taux de noyaux légers (rapport deutérium / hydrogène, helium 3 / helium 4) etc... est très sensible à la densité de baryons (ok dans le scénario du Big Bang chaud), et la quantité qui va bien c'est... la quantité de baryon observé aujourd'hui.

    Il y a le spectre de puissance du CMB, et la hauteur du premier, 2ème et 3ème pic sont pilotés par la densité de matière non baryonique (bon ok, il y a plusieurs jeux de paramètre qui peuvent donner le même spectre de puissance). Toujours est-il que le jeu que l'on a (quantité de baryon + non baryonique + énergie noire) sont consistantes avec la nucléosynthèse, la rapidité de formation des premières structures, l'accélération de l'expansion.

     

    Manque un ingrédient... l'inflation... on n'a pas encore observé une signature prouvant qu'un des scénarii d'inflation a bien eu lieu.

    En fait avec un tel portrait robot de la matière noire : particule stable, massive, de charge nulle... c'était la faillite de ce modèle... à moins qu'il existe des particules que l'on ne connaît pas. On ne va pas en introduire juste pour le plaisir, c'est pour ça qu'en regardant en physique des particules, il y avait de bons candidats, dans le sens où ces particules n'ont pas été introduites pour résoudre le problème de la matière noire, mais qui pourraient résoudre ce problème finalement. C'est dans ce sens où ce n'est pas phénoménologique.

     

    Comme les neutrinos, qui je rappelle étaient postulés en 1930 et qui ont été découverts... qu'en 1956.

    Puisque tu es très au fait du modèle Janus, est-ce que tu peux nous faire un résumé des caractéristiques ? Comment les produire ? Comment les détecter ?

    Si c'est une particule de charge positive, comment je ferai la différence entre une particule d'anti matière de masse négative de charge positive, et un électron de masse positive de charge négative ?

     

    Je te remercie de ta condescendance, je suis peut-être un des seuls à avoir pris la peine de te répondre sur le fond.

     

    Pure mauvaise foi qui ne mérite pas de réponse.

     

    Fais en un synthèse.

     

    Très bien, fais nous la synthèse.

     

    C'est bien ce que j'ai dit, la matière noire qui n'a pas été observée doit avoir certaine propriété (dont on a déduit par défaut), et en physique des hautes énergies, il y a des particules qui ont ce genre de propriétés (sauf... pour la masse, qui ne peut être déduit de la théorie dans notre compréhension actuelle).

     

    Très bien, je ne sais pas si c'est de la mauvaise foi ou si ce n'est pas volontaire, mais tu me fais dire ce que je n'ai pas dit.

    Chardin propose une masse négative gravitationnellement parlant, mais pas de masse négative et énergie négative selon Petit.

     

    Non, elle n'est pas créé théoriquement avec la relativité générale. Depuis quand la RG est une théorie de particules élémentaires ?

     

    1928 précisément... dans l'équation de Dirac. Il y avait des solutions à énergie négative qu'il fallait interprété... (voir la mer de Dirac).

     

    Non, justement les effets gravitationnels c'est le plus dur à mettre en évidence... surtout si on nous dit comment en produire en laboratoire et pas en attogramme... et oui en effet, ce n'est pas donné à tout le monde.

     

     

    Tout est déjà écrit. Je ne peux rien faire pour vous. La vulgarisation du modèle fait 88 pages, et il est fait références de l'ensemble des publications officielles avec leurs liens. Le travail est mâché mais il ne semble pas vouloir entrer en bouche si ce n'est pour le vomir. Est-ce une allergie ? Bref, j'espère qu'il y aura des curieux. Ce n'est pas le seul modèle qui existe, loin de là. Mais c'est le seul qui ose reprendre les fondations, les autres se contentant de faire du bricolage théorique pointu. Un peu de curiosité. Un peu de lecture sans apriori sur l'auteur. Il y a bien des chanteurs drogués et odieux que vous écoutez parce que leur création musicale est belle.

  8. Il y a 2 heures, bang*gib a dit :

    Bonsoir à tous.

     

      Un article intéressant  dans la droite lignée de celui de Dodgson.

    Il expliquerait entre autre le comportement de l’antimatière …qu’elle n’a pas de masse comme on l’entend  pour la matière ordinaire.

     

    Si j’ai compris l’article elle se substituerait  du coup à la matière noire…

     

    A votre avis ?

     

    https://lejournal.cnrs.fr/articles/un-univers-sans-matiere-noire-0

     

    Je vais rejeter  œil à l'article mais je poste quand même.

     

    il y a une heure, bang*gib a dit :

    Un autre article Publié le 29 aout

     

    Quelques révélations ,si elle s'avèraient vraies  bousculeraient quelques fondements.

     

    https://www.futura-sciences.com/sciences/actualites/physique-spectre-antihydrogene-revelera-t-il-enigme-antimatiere-37515/

     

    Merci pour ces articles. Ils sont très intéressants. Même si, pour certain ici, on a à faire à des scientifiques qui font donc de la "pure branlette".

     

    Ce qui est contesté par la théorie de JPP, mais encore utilisé dans les manuels,  c'est cela :

     

    comportement_masses_negatives.jpg.1981cf31cd6479cb99d980389d86d8d1.jpg

     

    Cà paraitra certainement anecdotique pour beaucoup. C'est pourtant un des fondements de l'absence de recherche sur le sujet depuis 1957.

     

    Ce qui me rassure, c'est qu'une réflexion est menée sur le sujet. Et on parle de concepts qui n'étaient même pas évoqués jusqu'à récemment.  Même si, d'après tout ce que j'ai pu lire, il me semble que la direction qui est choisie... n'est pas la bonne.

  9. Il y a 2 heures, syncopatte a dit :

    Et toi tu es né amateur, mais à force d'études acharnées tu es devenu "pro"? C'est ça?

     

    Et je ne sais pas, dans un autre domaine....par exemple l'astrophoto, tu es expert aussi?

    Ou je ne sais pas, à la guitare, au clavier, aux échecs, en pétanque?

    Aussi?

    Asteophoto, non. Je n'ai malheureusement pas le temps, même si j'ai pu participer à une initiation.

     

    Par contre piano oui avec 5 ans d'apprentissage, guitare en autodidacte, échec je me débrouille, pétanque.... oui mais non. 

     

    Par contre analyse technique et graphique des marchés financiers qui me permet de bien m'en sortir financièrement.  Aéromodelisme (construction et pilotage) . Sciences et technologies... et vous ?

     

    Je ne pense pas que ce que j'ai écrit jusqu'ici soit dénué de sens. Desolé que vous ne rencontriez que des... hurluberlus. J'en suis peut être un à vos yeux. C'est dommage de juger sans connaître. Mais c'est notre triste société.    

  10. il y a 8 minutes, syncopatte a dit :

    Parmi les autoditactes, il y a aussi des experts auto-proclamés.

     

    WA n'est pas une tribune pour séparer le bon grain du c'estpasvraie.

     

    Primo car l'astronomie amateur ne nécessite nullement des connaissances en astrophysique niveau Nobel pour apprécier le spectacle.

    Secundo car cela demande justement une expertise profonde et plus simplement la possibilité d'éditer des formules mathématiques et non des analogies douteuses.

    Tertio cela fait des années que des scientifiques isolés crovant détenir la Vérité et se sentant mis à l'écart par l’intelligentsia académique viennent nous casser les couilles.

     

     

    Alors je n'ai rien à ajouter. Restons dans l'expectative et dans la contemplation basique. Amateur on nait, amateur on restera. C'est la manière d'être de la majorité de la population. Ne pas aller plus loin que ce qui leur est raconté.

     

    Pour vous, c'est un bon débarra. Pour moi, c'est l'humanité n'est pas gâtée.

     

    Bonne continuation

  11. Il y a 1 heure, julon2000 a dit :

    Il n'y a pas de cynisme dans mon propos :  la science n'est pas démocratique, mais est affaire d'experts, et ce forum est dédié à l'astronomie amateur. Ce sera ma dernière intervention.

     

    L'astronomie, même amateur, a vocation à essayer de comprendre la mécanique céleste. Et l'élaboration d'un système cosmologique fiable est un enjeu majeur pour comprendre cette mécanique. Alors il est vrai qu'il est plaisant de contempler des galaxies, des nébuleuses,... Mais je pense que tout à chacun porte un intérêt profond à comprendre en même temps qu'il regarde.

     

    Concernant votre remarque "la science n'est pas démocratique, mais est affaire d'experts", je trouve cette réflexion navrante. Il est tout a fait possible d'être autodidacte dans n'importe quelle discipline. Une culture scientifiques n'est pas l'apanage d'un seul milieu, d'un groupe d'individu. Et c'est bien dommage de penser le contraire et de cloisonner ainsi la science.

  12. il y a 32 minutes, bongibong a dit :

    Euh... non le modèle de JPP est un modèle phénoménologique, ou ad hoc, c'est-à-dire qui part du constat que le modèle standard de la cosmologie butte sur la courbe de rotation des galaxies, et des lentilles gravitationnelles. JPP propose une hypothèse... et cela ne vient pas des postulats du modèle standard, je veux dire par là que ce n'est pas une synthèse plus grande des théories fondamentales qui amèneraient à une prédiction, mais bien d'une observation et un rajout artificiel dans les théories existantes. Je ne cherche pas à diminuer sa démarche les deux types de démarches existent en sciences.

     

    Pardonnez moi mais je n'ai pas la même lecture que vous du point de départ de son modèle. Le point de départ est la non prise en compte d'une possible matière qui ne nous serait pas accessible et qui a été supprimée de la recherche à cause d'un résultat de calcul théorique.

    Concernant la matière noire, même si les caractéristiques théoriques sont connues, il n'en reste pas moins qu'elle n'a jamais été observée non plus, et elle est cherchée par tout le monde. Concernant le modèle de monsieur Petit, les caractéristiques des particules théoriques sont également connues, mais ne sont pas cherchées.

     

    il y a 32 minutes, bongibong a dit :

    Cela n'a pas été décrété, en général en science, on fait des observations (les corps chutent avec une accélération de 9.81 m/s² là où je fais l'expérience, à Paris par exemple, mais également à New-York, à Pékin), évidemment on ne le vérifie pas partout (chaque recoin de l'Antarctique). Ce fait est suffisamment reproductible que l'on peut supposer que sur terre tout chute à 9.8 m/s².

    De même, l'on constate qu'il n'y a pas d'antimatière sur terre... excepté dans certaines désintégrations radioactives (la beta +), et c'est aussi un composant des rayons cosmiques. Pour la première on sait l'expliquer, ce sont des protons en excès dans certains noyaux atomiques qui provoquent leur désintégration en neutron émettant au passage un positron (la répulsion électrostatique déstabilise le noyau). Pour le second, on sait que des gerbes secondaires de rayons cosmiques très énergétiques peuvent provoquer la création de paires particules anti-particules... par exemple un électron très très très énergétiques peut entrer en collision avec des particules de la haute atmosphère et créer des paires de muon anti muon, la création de proton anti proton etc...

    il y a 32 minutes, bongibong a dit :

    Cependant, on ne voit pas de d'anti noyau d'hélium 4, ni de deutérium, qui sont des noyaux un peu plus complexes, ce qui démontrent qu'il n'y a pas d'anti étoiles dans les parages. (à portée de rayon cosmique, donc... raisonnablement notre galaxie n'est pas faite d'anti matière (vent solaire des étoiles etc...).

    Quand de la matière entre en contact avec de l'anti matière, cela ne se passe pas de manière inaperçu, on dit qu'il y a une signature en rayonnement gamma à des énergies assez caractéristiques : 511 kev pour des électrons, 105 MeV pour les muons, 938 GeV pour les protons etc... on ne voit pas ces raies dans le rayonnement gamma, donc on peut en déduire qu'il n'y a pas de zone où matière et antimatière entrent en collision, donc on peut en déduire qu'il n'y a pas d'antimatière dans notre amas (où ce sont les nuages moléculaires chauds d'hydrogène qui devraient toucher les antinuages), et même au delà de notre univers visible, puisque tout est en contact (par l'intermédiaire de courant, de jets etc...).

     

    Le problème est que dans toutes expériences, à chaque particule créée, sa contre-partie en antimatière est créée de manière égale...

    Accepter qu'il y a que de la matière et pas d'antimatière c'est plutôt... compliqué du point de vu de la théorie... il faut un mécanisme pour que ce soit compris. (il y a les conditions de Sakharov par exemple).

     

    Donc, non ce n'est pas un décret, et oui c'est basé sur des observations, et non ça n'arrange pas les théoriciens et du coup il faut invoquer certaines symétries brisées, notamment CP (mais c'est trop long à expliquer).

     

     

    C'est ce j'écris plus loin. Je suis parfaitement au fait de ce que vous rapporter. Mais je vois que vous répondez au fil du texte sans chercher à comprendre le contenu. C'est amusant mais c'est exactement le type de lecture qui est fait par tous. On lit le titre ou une ligne, et on a tout de suite une opinion sans chercher à aller plus loin. C'est assez pauvre.

     

    il y a 32 minutes, bongibong a dit :

    Oui c'est la seule antimatière que l'on ait théorisé et que l'on comprenne (voir par exemple l'équation de Dirac), et c'est aussi ce qui a été observé expérimentalement. On ne connaît pas d'antimatière négative... ce qui veut dire que pour nous... d'un point de vue expérimentale pour créer un électron, il faut apporter 2 fois l'énergie de l'électron pour créer une électron et un anti électron.

    A ma connaissance, je n'ai jamais vu un électron se créer tout seul en profusion sans apport d'énergie avec sa contre partie antimatière de masse négative. Tu peux imaginer ce que tu veux, des éléphants roses, des licornes etc... mais si tu ne les observes pas ni en fossiles, ni en quoique ce soit, c'est que peut-être tu n'as pas bien compris la théorie ?

     

    Je pense que vous êtes resté au terre à terre. Le "je ne vois pas donc çà n'existe pas". Les ondes électromagnétiques non plus vous ne les voyez pas. Mis à part le spectre lumineux capté par vos seuls yeux, sans outils adaptés, vous ne percevrez rien de ce que la science a mis en évidence. Et là, on se trouve sur des particules dites exotiques qui peuvent avoir un comportement non commun. JPP explique comment ces particules peuvent être mises en évidence. Il reste juste à le faire, mais faut-il juste le vouloir. Et en cas d'échec, vous mettrez le modèle en défaut. Quoi de plus glorifiant pour les opposants à ce modèle !!!

     

    il y a 32 minutes, bongibong a dit :

    Erreur, on sait exactement à quoi elle ressemble...

    Elle est constituée de particules de charge nulle, massive, et n'interagissant que par l'interaction faible et par gravitation. Elle fait partie de la famille des fermions.

    Ensuite... elle a dû être produite de manière abondante lors du Big Bang pour qu'il en reste suffisamment aujourd'hui pour constituer 25% de la masse de l'univers, donc on fonction de sa masse que l'on ne connaît pas, on connait sa section efficace (sa probabilité d'interaction).

    Certaines théories justement qui espèrent consolider les fondations du modèle standard actuel (qui je le rappelle est très largement confirmée par l'expérience) prédisent des particules de ce genre... sans avoir cherché à résoudre le problème de la matière noire au départ, ça vient complètement de principes fondamentaux de la physique.

     

    On la connait sur le papier, comme les particules du modèle que vous assassinez. Je ne vois pas la différence, si ce n'est que plusieurs milliers de scientifiques travailles sur le sujet depuis de nombreuses années et tournent en rond.

     

    il y a 32 minutes, bongibong a dit :

    Bon ok c'est une curiosité qui a été étudiée théoriquement, comme le tachyon ou d'autres curiosités mathématiques (particules de Majorana etc...)

    Mais tu es bien au courant que certaines possibilités mathématiques ne sont pas forcément réalisées physiquement ?

     

    C'est amusant comme remarque après avoir parler de la matière noire qui est une "certaines possibilités mathématiques" mais qui " ne sont pas forcément réalisées physiquement ?". J'ai l'impression que, pour beaucoup d'entre vous, le modèle standard est Dieu modèle. Mais les contestations que vous me faites peuvent aussi être faites avec le modèle standard. Et le modèle de JPP n'est pas DIEU modèle non plus. Il amène juste une autre approche, qui bouscule certes la culture cosmologique que l'on apprend, mais qui n'a rien de farfelu comme je l'entends ou le lis souvent. Au même titre que la théorie de la relativité (qui n'est en rien rejeté par le modèle JANUS), c'est un modèle qui doit être lu de A à Z pour le comprendre. Si vous le lisez comme vous m'avez lu pour me répondre... Je ne peux rien pour vous. Il m'a fallu des efforts pour le comprendre. J'ai posé des questions à son auteurs pour comprendre des éléments que n'avait pas saisi et qui me semblait faux. Et les réponses, si on cherche (mais faut-il le vouloir), permettent de bien comprendre les tenants et les aboutissants du fil conducteur.

     

    Et la courbe de rotation des galaxies, et des lentilles gravitationnelles, l'explication de la matière noire, de l’énergie noire,... ne sont que des conséquences du modèle. Il ne fait pas inverser les chose. Actuellement, les modifications ou arrangement du modèle standard par certains scientifiques sont là pour coller avec les observations. On n'est pas dans le même esprit.

     

    il y a 32 minutes, bongibong a dit :

     

    Je ne sais pas comment tu as l'habitude de réfléchir, mais en règle général, on part de connaissances que l'on a et on essaie de faire reculer les frontières de la connaissance.

    Ou bien tu peux philosopher sur quelque chose que tu ne connais pas.

    Mais ici on fait bien de la science ? On essaie de comprendre ce qui pourrait se passer, et comment comprendre une possibilité de masse négative, masse inerte ? masse grave ?

    Envisager des masses négatives pourquoi pas, on peut aussi envisager des masses imaginaires pures, complexes (avec partie réelle et partie imaginaire), hypercomplexes ? (les quaternions de Hamilton), et je peux te faire toute la liste en théorie des nombres, octonions sédénions, etc...

    On peut y réfléchir oui, mais c'est quoi la signification physique ? (sinon c'est de la pure branlette).

     

    C'est une réponse qu'il faudra que vous donniez à monsieur Gabriel CHARDIN qui fait donc de la "pure branlette". Il sera content de l'apprendre.

    En tout cas "philosopher sur quelque chose que tu ne connais pas", c'est bien ce qui est fait avec la matière noire. On l'a créé théoriquement à partir de la relativité générale. Si le modèle est incomplet (et je ne dis pas faux), on parle donc dans le vide. 

    Pour votre remarque sur les masses négatives, à quel moment de l'histoire avez vous entendu parler d'antimatière ?? Jamais. On en a parlé lorsqu'on l'a mise en évidence. Merci Monsieur DIRAC. Car sans vous, monsieur "bongibong" serait également aussi catégorique sur la non existence de l'antimatière.

     

     

    il y a 32 minutes, bongibong a dit :

    Et sur le terrain de l'expérience ? Parce qu'au final... on parle bien de théorie physique pour expliquer le monde physique non ?

     

    Ah c'est fâcheux... ça veut dire qu'on ne pourra pas l'observer ? (fâcheux pour une théorie physique qui n'est pas vérifiable).

     

    Et oui c'est fâcheux. Mais par contre on peut ressentir ses effets gravitationnels. on peut donc la mettre en évidence. Mais il faut se donner la peine de lire un peu, et ce n'est pas donné à tout le monde.

     

    il y a 32 minutes, bongibong a dit :

     

    Ah... on peut observer une disparition de matière... une violation de la conservation de l'énergie alors ?

     

    Çà c'est une très bonne question. Car dans le modèle standard, la matière prend naissance à partir d'une très importante quantité d'énergie. Et ici, la matière prend naissance de rien puisque le rien se sépare en 2 particules de masses et d'énergies opposées dont la somme est nulle. C'est effectivement une violation de la conservation de l'énergie. Et cela amène à beaucoup de questions. Je suis d'accord avec vous.

     

    il y a 32 minutes, bongibong a dit :

     

    Sinon on peut aussi observer cette antimatière négative ? (du coup... c'est pas le bon terme... ce n'est pas de l'antimatière).

     

    Étant donné que le modèle d'écrit des particules d'anti-matières mais de masse opposée... Vous les appelez comme vous le voulez. Elles n'ont pas de nom. Pour sont auteur, c'est "antimatière M-" et "antimatière M+" pour celle que l'on fabrique dans les accélérateurs.

     

    il y a 32 minutes, bongibong a dit :

    En tout cas j'ai jamais observé une fontaine qui produit de la matière gratuitement sans apport d'énergie (dans ce cas, j'aimerais en commander une qui produit un noyau avec 79 protons et 122 neutrons liés ensembles entourés de 79 électrons).

     

    Que vous dire sur cette remarque ? Elle est sans intérêt. Mais au moins, vous aurez une réponse sur le reste.

  13. il y a 1 minute, julon2000 a dit :

    Ça a été dit et redit dans les pages précédentes de ce fil : ce forum est dédié à l'astronomie amateur, et n'a pas pour vocation de servir de tribune à des théories en mal d'audience. Pour ça il y a les conférences d'experts et les journaux à comité de lecture. Et si JPP n'y trouve pas d'oreilles attentives, peut-être qu'il devrait (ainsi que ses défenseurs) en tirer les conclusions qui s'imposent...

     

    Le problème, c'est que les lieux d'échange sur le sujet n'existe pas. Et que pour des personnes passionnées par leurs disciplines, vous devriez avoir une oreille permettant de répondre à des questions d'amateurs. On peut être amateur et se poser des questions sur le bien fondé de ce qui nous est raconté. Et exposer notre incompréhension d'un modèle dans lequel, de notre point de vu, on n'y trouve des failles. Et, lorsque la seule réponse que l'on a à des questions légitimes, argumentée, sur des publications officielles, c'est "allez voir ailleurs", j'avoue que c'est navrant pour vos lecteurs. Des passionnés devraient au moins avoir lu les travaux concernés,  pouvoir réfléchir sur la question et dire c'est intéressant ou non çà ne tient pas la route. Et non, on ferme le débat sans fournir d'explication.

     

    Mais dans ce cas, c'est vraiment dommage pour l'ouverture d'esprit de chacun.

  14. il y a une heure, julon2000 a dit :

    Il semblerait qu'il y ait un lâcher de disciples de Saint JPP sur le forum dernièrement...

     

    Est-ce qu'on pourrait fermer ce fil, histoire d'en finir avec cet afflux périodique de gens qui ne s'inscrivent sur le forum que pour alimenter ce fil?

     

    Pourquoi parler ainsi ? Tout ce qui est écrit fait référence à des publications officielles. Les questions évoquées n'ont pas moins de crédit que la matière noire ou l'énergie noire dont les descriptions ne sont que des hypothèses et des supputations. La recherche actuellement c'est "Comme on a ce modèle et que les observations nous montre çà, c'est qui manque quelque chose que nous ne voyons pas".  Et concernant le Modèle de monsieur Petit, c'est " le modèle conventionnel est incomplet, il faut ajouter des particules qui ne sont pas prises en compte car négligées par le passé, on ne les observe pas car leurs caractéristiques intrinsèques ne le permet pas, mais on doit pouvoir les mettre en évidence si...". Il suffit donc juste d'ouvrir la discussion, de voir si on peut les mettre en évidence et si ce n'est pas le cas, au revoir à ce modèle. Cela permet de faire le tri. Mais visiblement, ce n'est pas ce que la communauté souhaite faire. Donc, sans échange sur le sujet de la part de la communauté, le sujet reviendra régulièrement. Surtout que des publications scientifiques sont régulièrement déposées. Ce qui relance le débat.

     

    En tout cas, je ne suis pas surpris de ce genre d'intervention demandant la clôture du débat. Si on faisait la même chose sur la matière noire en disant "foutez nous la paix avec votre matière noire que personne ne détecte..." je pense que tout le monde se mettrait vent debout, et ils auraient raison. Tout le monde doit avoir droit à la parole.

  15. Le 03/02/2018 à 18:00, Zevengeur a dit :

    Bonjour,

     

    JPP ayant une pléthore de documentation sur son site ainsi que la grosse série de vidéos Janus, j'ai fait une synthèse de son modèle cosmologique ci-dessous :

    https://zevengeur.wordpress.com/2018/01/12/histoire-de-lunivers-partie-6-modele-janus-le-futur-de-la-cosmologie/

     

    Et le post précédent concernait le modèle Lambda CDM :

    https://zevengeur.wordpress.com/2017/10/31/histoire-de-lunivers-partie-5-grandeur-et-decadence-du-modele-standard-de-la-cosmologie/

     

    Bonne lecture

     

    Effectivement, avec un nom comme celui-là, la vision complotiste n'est pas loin.

     

    Pourtant, n'ayant pas d'aprioris sur les choses, et pour avoir lu ces publications, je ne comprends pas la critique de cette page. Il n'y a aucun partie pris dans ce travail de vulgarisation. Et les travaux cosmologiques y sont assez biens résumés. Et pour ce qui est du modèle Janus, il explique très clairement tout ce qui se trouve dedans permettant d'avoir un très bon résumé permettant d'avoir envie, ou non, de se pencher sur les publications plus scientifiques sur le sujet.

  16.  

    Le 08/09/2018 à 23:24, bang*gib a dit :

    Yellowstone44

     

    "La question que l'on doit se poser, c'est pourquoi a t on décrété que l'antimatière avait disparu ? Pourquoi a-t-on décrété que l’antimatière avait nécessairement une masse positive ? C’est ce que l’on peut lire partout. Il n'existe peut être pas uniquement l'antimatière que l'on crée dans les accélérateurs, non ? Ce type d’antimatière, c'est que l'on connait, ce que l’on sait faire. Et je ne conteste pas. Et si matière et antimatière se combinent, elles se transforment en énergie pure. Mais est-ce la seule antimatière qui existe ? Après tout, on cherche de la matière noire sans savoir à quoi elle ressemble."

     

    L’antimatière que l’on connait créée dans les accélérateurs, serait-elle comme « l’ADN » d’un corps plus grand d’un agglomérat d’atomes (d’antiatomes) constituant un corps plus massif ?

    Peut-on dire qu’elle n’existe   qu’au stade le plus élémentaire et quel que soit l’évènement ou la méthode qui la permettent, qu’elle n’atteigne pas le niveau de la masse ?

     

    Je ne comprends pas trop le parallèle avec l'ADN. Mais effectivement ce que propose le modèle de Jean Pierre Petit,  c'est que nous étudions actuellement que la moitié de notre univers. Et que l'autre ne serait, pour le moment, pas considéré par la communauté scientifique car inconnue de nous.  Son modèle laisse à penser qu'il existe des antiparticules, comparable à toutes celles que l'on connait, mais de masses négatives. Mais leurs caractéristiques seraient différentes  de celles de masse positive dont celle d'avoir une énergie négative mais également d'émettre des photons d'énergie négative que nous ne détectons pas, que l'on ne verrait pas. La seule caractéristique qui interagirait avec notre matière est la gravité. Nous ne pouvons donc la mettre en évidence qu'avec un effet de lentille gravitationnelle rétrécissante. Et, pour l'auteur de ce modèle, il serait possible de valider ce fait en faisant une étude de ce que l'on appelle les grands vides. Nous y détectons actuellement des galaxie dites naines que les scientifiques expliquent difficilement.  Pour monsieur PETIT, ces galaxies nous apparaissant naines ne le sont pas. Leurs photons nous parviendraient après avoir traversé un congloméra de matière noire jouant le rôle d'une lentille gravitationnelle faisant apparaitre l'image d'arrière plan plus petite. Mais, pour cela, il faut avoir les moyens de valider cette hypothèse, moyens qu'on ne semble pas vouloir lui fournir.

     

    De plus, l’interaction entre des anti-atomes d'hydrogène de masse négative et leurs concentrations ne permettraient pas la mise en route de réactions nucléaires. Il n'existerait donc pas d'anti-étoile de masse négative. Il n'existerait donc pas d'éléments primordiaux de cet anti-univers plus lourd que l'anti-hydrogène.

     

     

     

  17. Le 08/09/2018 à 19:41, Dodgson a dit :

    L'expérience consiste à "refroidir" des atomes d'antihydrogène pour les mettre au repos, puis  les déposer dans un vide pratiquement complet (donc sans collision avec de la matière habituelle), et voir s'ils descendent (comportement normal) ou montent sous l'effet de la gravitation. Voici la conclusion d'une présentation de l'expérience par un physicien de mes amis, spécialiste de l'antimatière et qui a pas mal travaillé au CERN (je dois préciser qu'il ne croit pas trop à cette montée) :

     

    " Les TPC et les scintillateurs entourent complètement l’enceinte à vide, à l’exception du tube d’entrée. Ils permettent donc une bonne efficacité de détection, tout en permettant d’éliminer le bruit de fond de faux événements (traces dues aux rayons cosmiques). Si « l’événement extraordinaire » se produisait – un mouvement de l’antimatière vers le haut et

    non vers le bas – les TPC situées en haut de l’enceinte le détecteraient. "

     

     

    J'ai bien connaissance de l'expérience en cours.  Et je réitère ce que j'ai dit. Les antiparticules ou antiatomes que l'on sait produire ne correspondent pas aux caractéristiques d'éléments de masses négatives décrites dans la publication de monsieur PETIT.

     

    https://l.facebook.com/l.php?u=https%3A%2F%2Fwww.jp-petit.org%2Fpapers%2Fcosmo%2F2014-AstrophysSpaceSci.pdf&h=AT03VFAw3phroadtUtA5fK9Qp3deU2dEM2b_hVJumTo3utvl_cg0ruVp7eaClvbS0De0WsWM1Mnf9elQ7LVkJJlW2rD68n7Mo1qiR9GgfpLaQt1xb86Vhcl5dE8tf6Ka

     

    On peut donc s'attendre à ce que l'antiatome étudié tombe vers le bas. Mais il ne faut pas en conclure que les particules de masses négatives n'existent pas. Nous devons en conclure que les éléments que nous concevons sont, pour le moment, exclusivement de masse positive.

     

  18. Merci pour cette réponse.  Mais les travaux de monsieur Petit amènent au fait que si on parvenait à produire un antimatière de masse négative, elle aurait également une énergie négative. Et de se fait, son annihilation avec de la matière de masse positive ne produirait pas d'énergie. Or, dans toutes les expériences menées, la rencontre entre matière et antimatière produit de l’énergie.  Si on suit ce résonnement, les résultats de l'expérience GBAR conclura à ce que l'antimatière est de masse positive.  Mais çà ne veut pas dire qu'il n'existe pas d'antimatière non produite pas l'homme et de masse négative. On ne sait seulement pas la concevoir.

  19. Pour avoir lu les travaux de Jean Pierre Petit, c'est plus une remise à plat du postulat du modèle standard que la recherche d'une nouvelle explication, d'un nouveau modèle à partir du modèle standard.

     

    Ce qu'il réfute, c'est une origine asymétrique de l'univers. Et c'est un concept qui pose problème à de nombreux scientifiques.

     

    La question que l'on doit se poser, c'est pourquoi a t on décrété que l'antimatière avait disparu ? Pourquoi a-t-on décrété que l’antimatière avait nécessairement une masse positive ? C’est ce que l’on peut lire partout. Il n'existe peut être pas uniquement l'antimatière que l'on crée dans les accélérateurs, non ? Ce type d’antimatière, c'est que l'on connait, ce que l’on sait faire. Et je ne conteste pas. Et si matière et antimatière se combinent, elles se transforment en énergie pure. Mais est-ce la seule antimatière qui existe ? Après tout, on cherche de la matière noire sans savoir à quoi elle ressemble.

     

    J’aimerais rappeler pourquoi on parle de ce postulat univers asymétrique et antimatière nécessairement négative:

     

    - Pas d'antimatière de détectée donc, il n'y en a plus. Elle a disparu alors qu’elle devrait nous entourer.

     

    - En 1957, Hermann Bondi propose l'existence de la masse négative dans un article publié par la revue Reviews of Modern Physics3. Il affirme que cela n'induit pas de contradiction logique tant que les trois formes de masse (masse inerte, masses graves passive et active) sont négatives. Robert L. Forward étudie l'idée, qu'il fera intervenir plus tard dans un concept de propulsion.

     

    - Mouvement runaway

     

    (Explication sur le lien : https://fr.wikipedia.org/wiki/Masse_n%C3%A9gative)

     

    Sans qu'aucune particule connue n'ait une masse négative, plusieurs physiciens tels Bondi, Bonnor et Forward, se sont penchés sur la question et ont anticipé les propriétés qu'une telle matière pourrait détenir.

     

    En assumant que les trois formes de masse décrites plus haut soient équivalentes, les interactions gravitationnelles entre elles peuvent être explorées. En se basant sur l'équation d'Einstein, soit la relativité générale :

     

    Une masse positive attire toutes les autres masses, qu'importe leur signe.Une masse négative, par contre, repousse les autres masses négatives ainsi que les masses positives, ce qui entraîne un mouvement de « fuite » (nommé runaway motion par Bonnor).

     

    En jaune, le mouvement runaway décrit par Bonnor, qui pourrait être utilisé comme moyen de propulsion.Ici, le signe des particules réfère au type masse et non pas à la charge électrique.

     

    Bondi a souligné que deux objets de masses égales et de signes contraires produiraient une accélération constante en direction de la masse positive. Pendant que la masse positive semble « fuir » en raison de la répulsion, la masse négative s'en approche du mieux qu'elle peut. La vitesse du système augmente ainsi de plus en plus en créant l'effet appelé mouvement runaway. Bonnor a préféré ne pas tenir compte de son existence en déclarant le phénomène si absurde qu'il préfère l'exclure en supposant un univers où la masse inerte est soit toute positive ou toute négative. Forward en est arrivé aux mêmes conclusions, mais a plutôt montré que le système ne viole aucune loi sur l'énergie.

     

    Étrangement, même si les deux objets accélèrent dans la même direction sans qu'aucune masse ne voyage de l'autre sens, l'énergie totale est toujours nulle. Après avoir atteint la vitesse v, la somme de leurs quantités de mouvement est nulle.

     

    Il n'y a ainsi pas non plus de violation de la conservation de l'énergie puisque leurs énergies cinétiques K) s'annulent :

    Forward concède que la masse négative et l'énergie cinétique négative ne sont pas des concepts standards de la physique newtonienne, mais présente son concept comme « logiquement valide » et propose une utilisation future en tant que propulsion gravitationnelle.

     

    Ma question :

     

    Comment peut-on faire une analyse de masse négative en partant d'une équation qui a été construite pour expliquer le rapport entre des masses positives ?

     

    Et de fait, on rencontre un paradoxe qui est expliqué seulement en concluant que les masses négatives n'existent pas. Mais Einstein a construit son équation en négligeant l'existence de telles masses négatives puisqu'elles n'étaient pas envisagées à l'époque. Donc, l'équation n'est pas faite pour les gérer. Il faut donc la modifier ou rajouter une équation de champ capable de gérer de telle particule dite exotique.

     

    Et si l'on refuse la conclusion de cette démonstration à partir d'une équation d'Einstein impropre à gérer les masses négatives, on ne peut pas conclure que des particules d'antimatières de masses négatives n’existent pas.

     

    Le fait de conclure qu'une particule d'antimatière est obligatoirement de masse positive, comme celles que nous concevons dans les laboratoires n'est que le fruit de cette démonstration de Bondi, Bonnor et Forward. Il n'y a pas de légitimité à être certain qu'une masse positive et une masse négative subissent cet effet runaway. Elles pourraient tout aussi bien avoir un effet répulsif l'une contre l'autre, propulsant chaque particule aux antipodes créant 2 parties distinctes d'univers et tellement éloignée qu'on ne pourrait pas les voir.

     

    La notion d'énergie négative est traitée dans un article de Pour la Science :

     

    https://www.pourlascience.fr/.../lenergie-negative-4056.php

     

    Si on exclu que, comme pour tout scientifique qui se respecte, une antiparticule possède obligatoirement une masse positive, il est mentionné que :

     

    "Quand un électron heurte son antiparticule (le positon), ils se détruisent mutuellement, produisant des rayons gamma, dont l'énergie est positive. Si les antiparticules avaient une énergie négative, l'annihilation ne libérerait aucune énergie."

     

    L'idée de masse négative est donc traité, mais, il me semble, pas avec la bonne équation de champ. Il faut une autre équation liant les masses positives et les masses négatives pour pouvoir gérer les 2 concepts. Et pour le moment, officiellement, cette équation ne semble pas exister.

     

    Et c'est exactement le travail qu'a mené Monsieur PETIT. Il a tout d'abord reconsidéré les résultats de Bondi, Bonnor et Forward en supprimant cet effet RUNAWAY pour de nouveau rendre viable l'existence de masses négatives. Il en a déduit une double équation de champs permettant de gérer les 2 types de masses.

     

    Concernant la détection de ces masses, il prévoit que les galaxies naines que l'on observe dans les grands vides sont en fait des galaxies de taille standard mais rétrécies par un effet de lentille gravitationnelle du à ces congloméras.

     

    Je pense qu'il est important de parler des bases du modèle avant de parler des implications.

     

    Et même si l'homme a un caractère que l'on peut juger difficile, autocentré, râleur,... il n'en mérite pas moins notre écoute si ses travaux le mérite. Car si les fondations du modèle standard ne sont pas solides, s'il manque effectivement un ensemble complet de particules dans le modèle, on ne trouvera jamais une équation permettant de concilier le quantique et la RG.

     

    Merci de votre lecture.

     

     

     

  20. Le 28/06/2017 à 01:10, Z80 a dit :

    Ben... De ce que j'ai appris à la fac, les anti particules sont simplement de charge et de spin inverse, non ? On ne m'a pas parlé de masse négative... Ca existe, ou c'est une simple hypothèse ? Je veux dire, intuitivement, la masse n'est qu'une quantité de matière, quelle que soit sa charge électrique ou son spin...

    Bonjour,

     

    Telle est bien la question la plus importante de son modèle.

     

    - Est-ce que des particules  masses négatives ?

    - Si elles existent, comment peut-on les mettre en évidence ?

     

    Jean Pierre Petit répond à cette question et a publié un article qui met à mal le calcul théorique de Bondi, Bonnor et Forward sur le comportement de telles particules hypothétiques dans l'équation métrique d'Einstein. Les travaux de ces 3 scientifiques amènent à un résultat de comportement paradoxal des particules de masses opposées. Les travaux de Jean Pierre Petit ont permis de supprimer cet effet paradoxal et de remettre dans le domaine du possible l'existence de particules de masse négative.

     

    Le document publié : https://l.facebook.com/l.php?u=https%3A%2F%2Fwww.jp-petit.org%2Fpapers%2Fcosmo%2F2014-AstrophysSpaceSci.pdf&h=AT03VFAw3phroadtUtA5fK9Qp3deU2dEM2b_hVJumTo3utvl_cg0ruVp7eaClvbS0De0WsWM1Mnf9elQ7LVkJJlW2rD68n7Mo1qiR9GgfpLaQt1xb86Vhcl5dE8tf6Ka

     

    Le document en français :  https://l.facebook.com/l.php?u=https%3A%2F%2Fwww.jp-petit.org%2Fscience%2Farxiv%2FCITV_1_acceleration_site.pdf&h=AT06lBKDWJxwOr5k5XvwNbAmq92wMl4_bHS1OnsPaGm0qpkMIMrTiYMuEHm3TlGIwzdf7IcWhICJUga0y_AV_yUMdluQuqJBJ6Bf_6AMnhf2oOFLu623SsnQB5CE6X9J

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