Aller au contenu

honoresia

Membre
  • Compteur de contenus

    5
  • Inscription

  • Dernière visite

À propos de honoresia

  • Date de naissance 03/05/1982

A propos

  • Résidence
    Ardennes
  • Intérêts
    Aéronautique, Astronomie, Astrophysique
  • Occupation
    Professeur des écoles - Pilote d'ULM - Science, technologies, simulation du ciel et de l'espace
  • Matériel
    En cours de réflexion :
    SW 200/1000 ou SW 200/800 sur EQR-6
    ou bien
    Skywatcher Flex-Tube 300/1500 ou 350/1600 Goto
  • Site Web

Visiteurs récents du profil

Le bloc de visiteurs récents est désactivé et il n’est pas visible pour les autres utilisateurs.

honoresia's Achievements

  1. Merci à tous pour vos précieux conseils ! Je penche de plus en plus vers le SW-200/800, pour limiter la prise au vent et le porte à faux (je vais imager dans un premier temps avec ce que je possède déjà, un Nikon D5600 et D7200, çà fait 675gr pour ce dernier). En comparant dans Stellarium une observation planétaire avec 1000mm de focale ou 800mm de focale, il y a trop peu de différence (à mon goût) pour sacrifier la rapidité du f/4 en astrophoto, en considérant que l'observation planétaire sera occasionnelle (les enfants, Madame et les amis n'ont jamais mis l’œil dans un télescope, donc quoi qu'il arrive il y aura un effet "waouu", en commençant par la Lune, Saturne et Jupiter. On laissera Vénus et Mars tranquilles pour l'instant). Aussi pour le visuel sur ce 200/800, j'y ajouterai comme prévu au moins deux oculaires plus qualitatifs (explore scientific 82° de champ) que le 25mm LER fourni. Comme il y a ce port sur l'EQ6-R qui permet de piloter son APN, je vais commencer par là. Et j'ai toujours l'intervallomètre Nikon si besoin. Je récapitule alors pour ce projet : 1) Première commande : - Télescope Black Diamond Newton Skywatcher 200/800 sur EQ6-R avec EQ-MOD et alimentation 12V. - 2 oculaires explore scientific (4.7mm et 14mm 82° pour compléter le 25mm fourni). - Bague T-M48 grand champ pour APN Nikon - tirage 8.5mm. - Collimateur laser Mark III Baader. - Masque de Batinov (ou je le fais moi même avec ma découpeuse, peu importe). - Un correcteur de coma >>> j'hésite totalement entre le correcteur coulant 50,80mm GPU pour Newton f/4 Sky-Watcher (proposé par le revendeur P.A.) et le correcteur coulant 50,80mm MPCC Mark III pack visuel + photo avec bagues Baader (souvent vu et revu dans les review d'astros de Youtube). - Peut-être une Barlow de qualité (Skywatcher Deluxe 2X ou Télévue 2X) pour allonger occasionnellement la focale (à moins de garder ce budget pour autre chose). - Accessoires (résistances chauffantes, couverture de survie, tapis de sol pour faire un pare buée...) Avec tout cela, j'ai déjà largement de quoi m'occuper tout cet été, et plus encore ! Jj'apprends à utiliser le matériel sérieusement, à explorer le ciel, et à capturer au reflex. J'apprends à faire les premiers empilement et à tester la pléthore de logiciels. Et je n'en doute pas je reviens vers ce forum pour poser des questions qui amèneront d'autres questions qui en amèneront encore d'autres. 2) Deuxième commande dès que je suis à l'aise avec la première phase : - Caméra monochrome de guidage / planétaire , type ZWO ASI290 mini. - Lunette de guidage avec focale adaptée au capteur de guidage et à l'APN. - Éventuellement l'ASIAIR Plus. - Des filtres selon les attentes et contraintes. Dans cette phase j'ajoute l'autoguidage sous PHD2 ou avec l'ASIAIR, selon disponibilité et budget (encore en réflexion pour valider l'ASIAIR ou commencer à économiser pour une caméra CP refroidie). Le but est donc de maîtriser l'autoguidage et commencer éventuellement à imager avec une caméra en planétaire (juste pour apprendre, car c'est pas ma finalité le planétaire. La Lune forcément plus que Saturne sera capturée). 3) Troisième commande : - Le Graal qui saigne le budget : la caméra CP refroidie et qui fait le café aussi, en résolution mouture fine 🤪 En couleur ou monochrome ? On en rediscutera plus tard, j'en suis sûr, je reste concentré sur la première commande. @+
  2. Je m'oriente vers un Newton mais j'hésite un chouïa entre le 200/1000 et le 200/800. Ce dernier à f/d4 sera plus rapide, mais n'ayant jamais pratiqué sur le terrain j'ai une appréhension pour la collimation. Ceci dit, faire les choses avec soins en prenant le temps ne me rebute pas. Donc si j'hésite encore entre ces deux tubes, c'est par rapport à la focale de 1000mm pour chatouiller un peu le visuel planétaire (il n'y aurait pas grande différence avec le 800mm je présume, et le visuel/photo planétaire se ferait avec une barlow 2" de qualité, et demeurerait quelque chose de secondaire, plutôt pour émerveiller les enfants et justifier l'achat à Madame). Si la photo demeure l'activité primaire, alors le 200/800 serait plus adapté, même si Saturne ou Jupiter sont "un peu" plus loin de l’œil (on ne peut pas tout faire j'ai bien intégré cela). Je vais étudier un peu cette histoire de lunette guide. Je suppose qu'il y a une équation entre la focale de l'instrument et celle de la lunette guide pour un autoguidage pertinent... J'essayerais bien PHD2 mais si le but est d'avoir l'ASIAIR afin de programmer une séquence de capture, alors autant utiliser l'autoguidage intégré de cette dernière solution. Ah oui, il est déjà dans le panier, j'ai oublié de le mentionner. Celui du tube à F/5 est deux fois moins cher que celui du F/4. Tant pis, je prendrais deux oculaires au lieu de trois... Pas encore prévu à l'achat, mais dans les Ardennes saturées d'eau çà devrait être un prérequis. Pour le moment, la rallonge orange sur dérouleur de la tondeuse, tirée jusqu'au fin fond du jardin fera l'affaire... Un powertank pour être nomade plus tard, mais le budget ira d'abord à la solution ASIAIR + autoguidage (nouvelle lunette + caméra) + caméra ciel profond dédiée. J'en ai deux, plus un grip (et donc plus de poids aussi). J'envisage l'alimentation secteur de l'APN. Au passage, en attendant l'ASIAIR, j'ai déjà l'intervallomètre du reflex, déclenchable à distance. C'est bien noté. Dans ce cas, je vais regarder peut-être vers une caméra planétaire, de gamme moyenne, qui pourrait à la fois m'amuser un peu en planétaire puis faire l'autoguidage lorsque je capture le ciel profond au reflex... - - - - - - - - - - Déjà un grand merci pour tous ces conseils. C'est vraiment super comme activité. Je vais dire démarche, car j'ai pas encore commencé. Mais que c'est bon ! Ça cogite dans tous les sens, y'a pleins de choses à voir, faire, anticiper, prévoir, modifier : génial votre truc ! Bande de dingues ! 🤪
  3. Bonjour à toute la communauté, voici mon deuxième message après ma présentation sur Webastro. J'ai besoin de vos avis éclairés (mais pas trop pour ne pas ouvrir ma pupille 😏 accommodée) afin de valider la commande de mon premier matériel dédié à l'astrophotographie. Après de nombreuses lectures et réflexions, j'en viens à la conclusion que je souhaite au final pratiquer l'astrophotographie plus que le reste. Avec la famille et les amis, il serait envisagé de faire "un peu" de visuel, de temps en temps, car c'est plutôt sympa, surtout l'été après le barbecue. Je pense également m'essayer au visuel assisté, mais "un peu", pour le côté techno et geek qui m'attire et parce que l'on peut révéler et partager "rapidement" ce que notre œil ne voit pas suffisamment. La priorité, la finalité, ça sera l'astrophotographie car je pratique déjà intensément la photo et que j'ai toujours eu la tête dans les cieux et l'espace (j'ai piloté des avions et des ulms, pratique toujours la simulation aérienne et spatiale, et j'ai une grande appétence pour tous les sujets de science et de technologie liés à ça). Comme je possède déjà deux reflex APS-C, mes réflexions m'amène vers ce type de configuration : - un newton Sky-watcher 200/1000 sur EQR-6 ; - deux oculaires 4.7mm et 14mm à 82° de champs pour le visuel (explore scientific) pour compléter le 25 LER fourni avec le tube (et dont la qualité est 🙄) ; - un correcteur de coma accompagné de sa bague Nikon pour vite entamer l'astrophoto ; - un collimateur laser Baader... Ce premier setup me permettrait de découvrir la pratique de l'astronomie et un peu de visuel et d'entamer assez rapidement mes premiers essais en astrophoto. Très rapidement (dès que disponible car en rupture un peu partout), j'envisage l'acquisition de l'asiair-plus afin de piloter la monture et le reflex qui sera utilisé pour imager. Je souhaite prendre mes premières captures avec le reflex. Même s'il n'est pas défiltré, il faut prendre le temps d'apprendre les choses et le posséder me permet de garder un peu de budget pour l'après : une caméra viendrait ultérieurement (d'ici 1 à 2 ans). Je me pose encore des questions sur la nécessité de prendre une caméra immédiatement pour autoguider (phd2), et si le chercheur fourni avec le SW200/1000 serait adapté. J'ai bien lorgné sur les FlexTubes SW 300mm ou 350mm, mais que je n'ai pas retenus car pas adapté pour l'astrophoto, et moins adapté pour le VA (en tout cas moins qu'avec une monture équatoriale à cause de la rotation de champs, à moins que cela ne se corrige par logiciel). Et vous, qu'auriez-vous fait ? Dans quel ordre : caméra d'autoguidage ou asiair d'abord ? Aurais-je oublié des choses (j'ai déjà la frontale rouge, car ancien militaire). Dans mon jardin, en bord de village, j'ai un ciel bortle 4 à 5. Hier j'ai pu voir à l’œil nu une étoile de magnitude 6 virgule quelque chose dans la "petite casserole" de la Petite Ourse. Toutes les étoiles de la Petite Ourse étaient visibles, j'en conclus que j'atteins une magnitude 6 + 7 = 13, à la louche. Questions bonus : - L'asiair plus permet-elle d'autoguider via le reflex lorsqu'il image, ou faut-il une caméra dédiée type ZWO120 - Je comprends pas mal les choses, mais reste perplexe et un peu perdu faces aux nombreuses références de caméras... @+ sous les cieux et la voute étoilée.
  4. Superbe chanson, tellement de vrai là dedans. Je me souviens parfaitement de "Monsieur le Maître d'école" de la classe de CM1. Sa séquence sur le système Solaire et la Terre était magistrale. On (plus lui que nous, en CM1) avait fait une maquette du système Solaire en conservant les proportions. La Terre était une tête d'épingle, il a fallu marcher et marcher pour passer du Soleil à notre planète bleue. Il avait également amené un télescope pour observer la Lune en plein jour. Assurément les prémices de la magie du ciel me sont arrivés en classe de CM1, bien avant le BIA passé au lycée. Merci pour ce partage. Ma classe de CM2 adore les choses du ciel et on arrive bientôt à l'étude de la Terre et du système Solaire. J'ai conservé ce sujet pour la dernière période, et qui sait, je pourrai peut-être leur présenter la Lune dans un télescope.
  5. Bonjour à toute la communauté de Webastro. J'ai la tête dans les cieux depuis mon enfance. Tout a commencé par un BIA (Brevet d'Initiation Aéronautique) passé au lycée : l'un des professeurs était pilote privé d'avion et faisait passer ce premier petit brevet qui comprenait quelques heures de pilotage en duo. J'avais 15 ans. Cette année là est arrivé dans la famille le premier ordinateur, cadencé à 166Mhz. Flight Simulator 95 a rapidement été installé dessus après avoir été émerveillé chez un copain qui l'avait. J'ai grandi, fait des études, travaillé, eu une famille, et malgré mes occupations le ciel et l'espace ne m'a plus jamais quitté. J'en ai fait des simulations : j'ai volé sur tous les Flight Simulator et xPlane, sous contrôle aérien virtuel (IVAO/VATSIM), développé des compagnies aériennes virtuelles, j'ai aluni avec Orbiter, exploré le système Kerbol avec Kerbal Space Program... Bref, j'adore tester, vérifier, me planter, recommencer, comprendre, mais surtout m'émerveiller de cette science et technologie du ciel et de l'espace. J'ai entamé ma formation PPL pendant un temps, mais je n'ai pas abouti car cela était trop onéreux pour moi à ce moment de ma vie. J'ai ensuite passé le brevet d'ULM : quel bonheur ! assis sur des tubes, les pieds dans le vide, c'est impressionnant. Il y a moins d'avionique, mais quelles sensations ! Avec l'ULM, j'avais une pratique de pilotage très fusionnelle avec l'air (par exemple lorsque l'on ressent le vent et ses vibrations qui parcourent la voile triangulaire de l'ulm, puis le trapèze, pour arriver finalement dans les mains). Avec Flight Simulator 2020, je peux me prendre pour un commandant de bord qui applique des check-lists hardcore avec des addons d'avions de ligne très développés. Ou bien voyager plus léger et admirer le paysage, puisque toute la terre est reproduite à l'échelle 1:1 avec des textures sols réelles : que de chemin parcouru depuis les premières versions de ce simulateur dans la représentation réaliste de notre Terre ! J'ai une demie-vie à présent. J'aurais quarante printemps au mois de mai. Après avoir été technicien de bureau d'étude, puis sous-officier de l'armée de terre, je suis à présent professeur des écoles : après avoir servi le pays civilement et militairement, je me plaîs à présent à transmettre le savoir pour faire de nos enfants de futurs citoyens. La tâche n'est pas simple j'en conviens. Mais ça colle parfaitement avec ma période de vie et mon tempérament. Logé en bordure de village avec un grand jardin, j'ai immédiatement accès à un ciel Bortle 4 à 5. À 10min en voiture, j'ai un Bortle 4. À une heure, j'ai presque un Bortle 3. On est donc pas trop mal du tout pour passer la nuit sous la voute étoilée. La maison est sur les hauts du village, je vois bien une différence depuis le déménagement, c'est prometteur. L'éclairage public de la rue est orangé (Sodium ?) et orienté vers le bas. Il est moins dérangeant que les lumières blanches de mon ancien village. La maison masque les lampadaires de la rue et je suis bien isolé des sources lumineuses dans le jardin. J'ai compté 7 étoiles de la Petite Ourse hier, avec un ciel magnifique. HIP 74818 - SAO8211, étoile de magnitude 6.65, situé dans cette petite casserole était discernable à l’œil. Il n'y a plus qu'à s'équiper et à venir discuter sur ce forum ! Assurément, je vais repasser dans le forum du côté du matériel : je suis en grande hésitation entre un 200/1000 sur EQR-6 pour une base de setup astrophoto (au passage, je pratique la photographie diurne depuis une décennie sur APS-C. Donc même si la technique n'est pas la même, je connais bien les problématique de lumière et capteur. Je me renseigne depuis deux ans sur l'astrophotographie) ou bien un Skywatcher Flex-Tube 300/1500 ou 350/1600. J'ai un choix à faire avec d'un côté l'astrophoto et visuel assisté sur une monture équatoriale, et de l'autre du visuel plaisir avec "un peu" de visuel assisté. Entre les deux mon cœur balance. Entre les deux mon budget devra choisir ;) A très vite les astros !
×
×
  • Créer...

Information importante

Nous avons placé des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer ce site. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer.