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Lefranc

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Tout ce qui a été posté par Lefranc

  1. Bonjour Je suis nouveau sur Webastro et viens de survoler cette discussion, j’aurai tendance à en déduire que le voyage à travers l’univers d’une vie biologique ou mécanique contrôlée par IA est peu probable au stade de notre évolution technologique, devons-nous généraliser notre situation à toute forme de vie qui aurait pu apparaître ? Au cours de cette discussion un sujet m’a interpellé: comment définir la vie. Les essais de définition dont j’ai vaguement souvenir comportaient un nombre interminable de critères mais à l’inverse il semble possible d’arriver à une définition brève en formulant que les êtres vivants apparaissent, se développent, se reproduisent avant de disparaître. Ces caractéristiques devraient être propres au domaine du vivant cependant par certains aspects ces caractéristiques se retrouvent chez les éléments radioactifs, nous utilisons par exemple des expressions telles que familles radioactives ou pour déterminer la période radioactive de demi-vie. Lors de cette discussion nombre de corps simples entrant dans le métabolisme du vivant ont été cités tels que l’hydrogène, le carbone… le sujet du silicium a été largement abordé mais malgré qu’il constitue l’un des éléments les plus abondants sur Terre il semble est exclu. Un élément qui n’a pas été cité attire mon attention depuis des décennies L’utilité du potassium au niveau de nôtre métabolisme se situe au niveau du transfert de l’influx nerveux il me semble utile d’y faire référence: le potassium qui possède trois isotopes naturels: 39K – 40K – 41K avec une période radioactive d’un milliard deux cent quarante-huit millions d’années mais seul le 40 K se désintègre produisant pour l’essentiel un rayonnement dans le Béta moins(B-) (env. 89 0/0)nerveux, il est dosé avec précision au niveau de nos cellules par la pompe sodium-potassium, le potassium nous est donc indispensable mais il est aussi présent chez les procaryotes et là son utilité m’échappe, aurait-il une autre utilité ? La question qui se pose chez les procaryotes peut aussi se poser chez les eucaryotes ? Chez un individu de 70 kg chaque seconde 4400 isotopes de 40K se désintègrent mais ce rayonnement reste manifestement compatible avec la vie (1) malgré que sa propagation dans les tissus vivants est de l’ordre de quelques centimètres, il possède donc le potentiel de toucher un nombre considérable de cellules en son voisinage, malgré qu’il ne semble pas faire de dégâts apparents ce rayonnement en raison de son énergie pourrait avoir un effet sur les liaisons chimiques qui se situent au niveau de l’ADN en particulier les points de réplication dont l’activation provoque la mitose sont caractérisés par des énergies de liaisons faibles (2). La reproduction constitue un aspect important pour ne pas dire fondamental de la vie, serait-ce là la raison première de la présence du potassium chez tous les êtres vivants ? Nota: Une étude parue au Etats-Unis il y a déjà quelques années visait à démontrer à quel moment dans la vie d’une cellule la mitose est activée, le résultat de cette étude interpelle: dans le temps la mitose semble se produire au hasard ! Si l’on considère un isotope radioactif de 40 k en particulier, sa désintégration peut se produire maintenant ou dans un milliard deux cent quarante-huit millions d’années ou plus, ce qui rejoint parfaitement l’étude ci-dessus… donc aussi au hasard. 1- Malgré qu’à forte concentration des mutations sont observées. 2- résumé à partir de l’IA Chat mistral : les liaisons hydrogène dans les molécules du vivant ont généralement une énergie comprise entre 10 et 40 kJ/mol. Cette valeur est considérée comme faible comparée à d'autres types de liaisons chimiques. Par exemple, les liaisons covalentes sont environ vingt fois plus fortes que les liaisons hydrogène. L'énergie de rayonnement bêta moins (β-) de l'isotope de potassium 40 k est de 1,311 MeV, cette énergie est largement supérieure à l'énergie des liaisons hydrogène dans l'ADN, qui se situe généralement entre 10 et 40 kJ/mol. Par conséquent, l'énergie de rayonnement bêta moins du potassium 40 k est plus que suffisante pour dissocier les liaisons hydrogène au niveau des points de réplication de l'ADN.
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