mizirox

Je suis dans un village avec jardin, l'éclairage est coupé à 23H et j'ai une nuit plutôt bien noir. J'ai également la montagne accessible en voiture à 20 minutes

Merci j'ai pris note de tous ce que vous m'avez dit. Par curiosité, est ce que quelqu'un a déjà comparé la différence entre un maksutov 127 et le dobson par exemple, je vois souvent le maksutov aussi recommandé car il semble utilisable pour la lune, le planétaire et le ciel profond.

Merci pour vos conseils, je vis effectivement partir dans un premier temps avec le 250 GSO Deluxe et je complèterais par la suite en fonction. Dernier point qui a son importance, prendre le moins chère ou prendre forcément dans une boutique française ?

Des conseils pour les oculaires en compléments de ce déjà fournit ?

Merci pour vos retours. effectivement j’avais déjà vu le GSO Deluxe comme étant un modèle très performant. pour compléter le GSO Deluxe, quels autres accessoires je pourrais ajouter ? Oculaires, telrad… ?

Bonjour à tous, Je prévois d’offrir (et de m’offrir un peu aussi 😄) un télescope Dobson 250/1250 pour Noël. L’idée est que toute la famille puisse en profiter : observations planétaires, du ciel profond et soirées d’émerveillement partagées. Après plusieurs jours de recherches et de visionnage de nombreuses vidéos, je m’oriente vers ce diamètre, qui me semble être un excellent compromis entre puissance et maniabilité. En revanche, je souhaite investir dans une version haut de gamme et durable, avec : un miroir de qualité optique reconnue, un porte-oculaire avec démultiplication, une monture stable et bien finie. Je vois qu’il existe plusieurs variantes du Dobson 250/1250 — notamment les modèles GSO, Deluxe, Sky-Watcher, etc. J’aimerais donc avoir vos retours d’expérience et recommandations : Quelle version offre la meilleure qualité mécanique et optique ? Le surcoût des versions “Deluxe” est-il réellement justifié ? Y a-t-il un modèle que vous conseilleriez particulièrement pour un usage familial et durable ? Merci d’avance pour vos conseils et partages d’expérience, Michael