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kenaroh

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Messages posté(e)s par kenaroh

  1. Au-delà de la Compréhension Humaine

    Un article de Casey Kazan pour Daily Galaxy : "Stephen Hawking nous a récemment alertés en déclarant que le contact avec une civilisation extraterrestre avancée pourrait avoir de graves conséquences pour l'espèce humaine. On se souvient de cette remarque d'Arthur C. Clarke, pour lequel "toute technologie suffisamment avancée serait indiscernable de la magie."

     

     

    Sur leurs traces, des experts de renommée mondiale tels le physicien Sir Martin Rees, de l'Université de Cambridge, et Paul Davies, astrobiologiste de l'Université d'Etat d'Arizona, se sont demandé, dans le cas où nous serions confrontés à une technologie extraterrestre de loin supérieure à la nôtre, si nous serions seulement capables de réaliser ce dont il s'agit. Une technologie en avance d'un million d'années ou plus, pourrait nous sembler miraculeuse.

     

    En fait, Davies explique dans son nouveau livre "Eerie Silence" qu'une technologie très avancée n'est peut-être même pas basée sur de la matière. Qu'elle pourrait ne pas avoir de dimensions, ni de formes déterminées, ni de contours bien définis. Qu'elle serait dynamique à tous les niveaux d'espace et de temps.

     

    Ou, inversement, que nous ne pourrions discerner ses comportements. Qu'elle ne consisterait pas en un assemblage d'éléments distinctifs, mais qu'il s'agirait plutôt d'un système, ou d'une subtile corrélation de choses sur un plan supérieur.

     

    Davies se demande s'il n'y a pas en réalité "autre chose que de la matière et de l'information". Il écrit : "Il y a cinq cents ans, on ne pouvait entrevoir le concept-même d'une information servant à manipuler des objets, ou le principe de logiciels."

     

    Se peut-il qu'il y ait une dimension encore plus élevée, hors de toute expérience humaine, qui organise les électrons ? Dans l'affirmative, nous serions incapables d'observer ce "troisième niveau" au plan informationnel et encore moins à celui de la matière.

     

    Nous devons être ouverts à la possibilité qu'une technologie extraterrestre avancée, âgée d'un milliard d'années, pourrait fonctionner à un troisième niveau - peut-être même à un quatrième ou cinquième niveau - tous totalement incompréhensibles pour l'esprit humain dans son état évolutif actuel, en 2010.

     

     

    Source

  2. PS: qui m'a mis ce préfixe de nébuleuse diffuse??? ce n'est pas une nébuleuse diffuse, le croissant?! Si?

    Si, si, c'est une nébuleuse diffuse en émission qui est en fait une bulle de Wolf-Rayet. Elle est issue des rapides vents solaires créés par l'étoile Wolf-Rayet WR 136, qui, par collision, ionisent les vents plus lents de cette même étoile lorsqu'elle était plus jeune et plus petite (de type géante rouge) il y a 400 000 ans. Le front de choc engendre ce que l'on nomme une bulle de Wolf-Rayet. ;)

  3. Certaines LED sont dangereuses pour les yeux

     

     

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    Les éclairages LED désormais très répandus et loués pour leur faible impact écologique ne sont pas si inoffensifs que cela. Une étude de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) révèle que la technologie n’est pas sans risque pour les yeux.

     

    90 % des LED produisent une lumière blanche par association d’une diode bleue (émettant des rayonnements à courte longueur d’onde, proche des ultraviolets) et d’un phosphore jaune. C’est cette lumière bleue qui présente des risques pour la rétine, plus sensibles aux lumières violettes et bleues. Les pigments des cellules peuvent ainsi s’oxyder et être à l’origine de lésions. Ces troubles risquent d'apparaître suite à une exposition peu intense sur de longues durées et sans filtre. Le jeune âge et certaines pathologies de l'œil (comme la dégénérescence maculaire) sont des facteurs aggravants.

     

    La luminance des LED est aussi mise en cause par l’Anses : « ces nouveaux éclairages peuvent conduire à des intensités de lumière jusqu’à 1000 fois plus élevées que les éclairages classiques, générant ainsi un risque d’éblouissement ».

     

    Trois LED sur neuf présentent un risque

     

    L’agence a classé neuf types de diodes disponibles sur le marché sur une échelle allant de 0 à 3. Une majorité est sans risque ou risque faible, mais trois d’entre elles présentent un risque de niveau 2 (risque modéré) avec une durée limite d’exposition de quelques dizaines de secondes. L’Anses estime que de plus en plus de LED apparaîtront dans les groupes de risque 2 dans le futur.

     

    Dans la pratique, l’étude estime que les éclairagistes, figurants, techniciens de spectacles, chirurgiens, dentistes, leurs patients et les professionnels de la photothérapie sont logiquement les plus exposés à ces risques. Elle recommande aussi de ne pas utiliser cette technologie dans les lieux fréquentés par des enfants. Enfin, elle met en garde contre leur présence dans les phares de voitures. Un étiquetage est demandé par l’Anses pour identifier clairement les LED sans risque, ainsi que la mise sur le marché de LED de moindre intensité. Les téléspectateurs ne risquent en revanche rien devant leur téléviseur LED, puisque les diodes sont filtrées par la dalle placée devant.

     

    Source

  4. Basse consommation : bien choisir les lampes à LED

    Les lampes à LED sont sur le marché grand public depuis environ 2 ans. Dans la jungle des produits référencés, il est bon de savoir trier sur le volet les modèles proposés en fonction de critères simples de sélection.

     

     

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    Selon Philips, la manière dont se comporte une LED est la suivante : la puissance descend lentement jusqu'à la moitié de sa vie puis chute fortement. Elle se stabilise par la suite et atteint un palier où elle va, de nouveau, baisser lentement jusqu'à sa mort. Ce schéma est valable pour les LED de forte et faible puissance.

     

    Xanlite s'oppose à ce schéma et indique que les plus grosses pertes de luminosité interviennent dans les 2000 premières heures. Après, le flux se stabilise jusqu'à la fin de sa vie. D'autres éléments peuvent intervenir dans la réduction du flux lumineux. Le filtre optique qui s'opacifie en est un par exemple.

     

    Concernant les garanties, les constructeurs proposent entre 1 et 3 ans sur leurs lampes. Econergyworld se positionne à 3 ans alors que Philips reste à 2 ans. Ce dernier envisage, néanmoins, de réévaluer sa garantie à l'avenir pour étendre sa durée, une fois qu'ils auront plus de retour sur leurs produits. Xanlite garantit ses lampes 48 LED 1 an. Au-delà de cette durée, les demandes sont traitées au cas par cas et sont très rares aux dires du constructeur.

     

    Moins de LED dans une ampoule, c'est mieux ?

     

    Philips et Econergyworld pensent qu'il vaut mieux privilégier une ampoule composée de 5 LED plutôt que 50 LED pour la même puissance. Pour Philips, les LED à forte puissance (supérieure à 2 watts par LED) ont une meilleure durée de vie. Elles parviennent à maintenir 70% de leur puissance en fin de vie, là où celles à faible puissance tombent à 20%.

     

    Xanlite tempère ce point de vue. A partir du moment où une LED, forte ou faible puissance, est utilisée dans des conditions normales, elle aura la même durée de vie et de luminosité en fin de vie. Vous allez toutefois réduire ces deux facteurs si vous poussez les LED hors de leurs caractéristiques initiales. Par exemple, d'obtenir une luminosité plus élevée.

     

    Choisir les matériaux et le système de refroidissement

     

    A l'intérieur d'une lampe à LED, il faut utiliser un circuit de refroidissement basé sur des matériaux comme l'aluminium (pour ses propriétés de conductivité thermique) au plus proche de la source de chaleur pour l'amener ensuite vers l'extérieur où elle peut se dissiper via un système d'ailettes (voir photo). Ces dernières peuvent également être constituées de plastique et cachées à l'intérieur (vous pouvez les voir en regardant par le dessus). Les ampoules Philips et Econergyworld, entre autre, en sont dotées.

     

    A l'inverse, pour son ampoule à 48 LED de faible consommation, Xanlite a choisi de ne pas inclure d'ailettes. La raison invoquée : l'ampoule ne chauffe pas suffisamment pour en avoir besoin.

     

    Choisir un produit doté d'une grille à optique

     

    Regardez en surface de la lampe le type de revêtement. Sur l'image, vous voyez que la surface n'est pas lisse. Chaque LED présente, au-dessus, une déformation de la surface qui permet de disperser sa lumière de manière homogène. Cela évite d'avoir une lumière directionnelle. Les constructeurs proposent à leur gamme des cônes de projection variable. Consultez bien ces spécifications.



     

    Dans le cas de LED traversantes (cf. photo tout en haut de l'article), c'est la forme de l'enveloppe de la LED qui va donner son angle de projection. S'il est en forme de dôme, l'angle sera ouvert. Si c'est un cylindre, l'angle sera très fermé.

     

    Éclairage maximal immédiat

     

    Une lampe à LED atteint son maximum d'éclairage en 0,5 seconde (temps de chauffe des composants internes). Ce temps est quasiment invisible pour l'utilisateur et, en conséquence, nous estimons qu'il est immédiat. En comparaison, une lampe fluocompacte qui intègre un système d'allumage instantané arrive directement à 60%. Philips annonce même arriver à 80 % avec ses produits.

     

    Lumens par watts

     

    C'est le point clé dans le choix d'un produit. Les LED sont très efficaces dans la transformation de l'énergie électrique (watts) en lumière (lumens). Dans nos tests, nous ne donnons pas directement cette valeur. Néanmoins, nous précision la consommation de chaque lampe et les mesures en lux sur 9 points.

     

    Rayonnement électromagnétique faible

     

    De récentes analyses, commandées par l'Ademe (agent de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie) et relatées dans ce rapport, ont montré que les lampes fluocompactes sont émettrices de rayonnements électromagnétiques. Ceci, dans une mesure bien moins alarmante que ce que nous avons pu entendre par le passé. Sur 300 modèles testés, seuls quelques modèles se sont approchés de la maximale de 87 V/m des normes européennes. La grande majorité est restée bien en-deçà. Les lampes à LED, comme tous les autres équipements électroniques, sont également émettrices de rayonnement électromagnétique. Ceci, dans une bien moindre mesure toutefois.

     

    Ne chauffe pas...trop

     

    Une ampoule à incandescence "classique" a une température interne de 2400°C (!). Une ampoule fluocompacte, pourvue d'un système de refroidissement, monte à 45 - 60 °C et jusqu'à 85°C sans. Les ampoules à LED de forte puissance affichent 35 à 50 °C. Celles dotées de LED de faible puissance sont un peu moins chaudes et restent plutôt aux alentours de 25°C à 35°C.

     

    Recyclage

     

    Une lampe à LED est recyclable à 98%*. Son principal intérêt, face à une ampoule fluocompacte, est qu'elle n'embarque ni de mercure (présent à hauteur de 0,005%), ni de poudre fluorescente. Cette dernière, dispersée en couche sur l'intérieur du verre de l'ampoule, permet de transformer la lumière en lumière blanche visible par l'oeil humain. Ce chiffre de 98 % est à opposer à celui de Recylum, eco-organisme agréé pour la collecte et le recyclage des lampes usagées. Ce dernier annonce avoir atteint, en 2009, un chiffre record de taux de recyclage pour les lampes autres que LED de 96%. L'éco-contribution reflète cette différence et est un peu plus élevée sur les fluocompactes (0,12 cts HT) que les LED (0,10 cts HT).

     

    A noter, pour compléter cette information, que 32 % des lampes fluocompactes vendues sont amenées dans des dispositifs de recyclage. Elles ne doivent pas être cassées pour être prises en charge.

     

    * le pourcentage annoncé se base sur les matériaux employés et leur capacité à être recyclés dans d'autres domaines d'utilisation que les lampes à LED. Ce n'est pas un chiffre mesuré.

     

    Pourcentage de SAV

     

    Econergyworld, sur leur activité dédiée aux professionnels (volume nettement supérieurs à leur "activité particulier"), annonce un taux de retour de 2%. Pas de chiffre pour l'instant sur le segment particulier par manque de retours.

    Philips n'a pas été en mesure de nous répondre, par manque de retour également, sur ses ventes 2009. Sur cette année, Philips a vendu 200 000 ampoules sur un total de 1,5 million d'unités pour le marché grand public.

    Xanlite à moins de 1% de retour sur sa série 48 LED et ce chiffre descend avec les nouvelles générations de produit. Sur la totalité de la gamme totale, impossible d'avoir un chiffre pour l'instant.

     

    Quel IRC et FSCI ?

     

    L'IRC est l'indice de rendu des couleurs. Il donne la capacité d'une source lumineuse à restituer fidèlement les couleurs d'un objet par rapport à la lumière naturelle du soleil. Le FSCI est un indice d'homogénéité de spectre de lumière. Pour plus d'informations, consultez cette brève. Ces deux valeurs sont données dans chaque test grâce à l'aide du Lighting Research Center et du logiciel Argyll CMS.

     

    Quelques idées reçues pour finir

     

    Idée reçue n°1 : utiliser un variateur réduit la durée de vie d'une lampe LED. Faux si la lampe est prévue pour, et fonctionne avec un variateur adapté.

     

    Idée reçue n°2 : allumer et éteindre une LED est une source de problème. Faux. Cette opération n'a quasiment aucun impact sur la durée de vie.

     

    Idée reçue n°3 : Les lampes fluocompactes sont les seules "basse consommation". Faux. Cette expression est aujourd'hui associée aux lampes fluocompactes. Néanmoins, elle n'est pas restrictive à cette catégorie de produits. Les ampoules à LED font également partie des lampes basse consommation de même que les halogènes haute efficacité.

     

    Idée reçue n°4 : Les LED c'est cher. Ça dépend du prix d'achat et de l'économie d'énergie réalisée. Le retour sur investissement dans le temps est la clé de cette question. La fourchette retenue, fonction du prix d'achat et d'économie d'énergie réalisée, est de 2 à 8 ans pour une ampoule LED par rapport à une à filament. Pour comparaison, le retour sur investissement d'une lampe fluocompacte, par rapport à une à filament, est de 8 mois à 4 ans. Celui d'une fluocompacte, par rapport à une LED, est quasi nul à cause du prix encore trop élevé des lampes à LED. Il n'est donc pas intéressant de remplacer votre fluocompacte par une LED si elle fonctionne toujours. Attendez sa belle mort pour le faire.

     

    Source

  5. Salut yaplusdenuit ;)

     

    et qui soit gratuite au sens de sa distribution chez les particuliers.

    Le problème c'est que ça ne marche pas comme ça : toute l'énergie produite par un particulier doit être revendue à EDF, il y a deux compteurs : un pour ta consommation et un pour ta production, sur ta facture apparaît la différence des deux, le plus souvent EDF te doit du pognon (avec l'aberration actuelle de racheter cette production plus cher que leur production...).

     

    Pour moi, je ne vois que 2 solutions :

     

    - on arrête de parler de "croissance", on diminue la consommation partout, on revient à des choses plus humaines, on se met à vivre en harmonie avec la planète (rêve, utopie, je ne sais pas...)

     

    - on trouve une forme de production d'énergie apparentée à la fusion contrôlée (rien à voir avec ITER qui ne marchera jamais) dans un mode de fonctionnement par rafales (style Z-machine de Sandia) contrairement au fonctionnement continu des Tokamak et autres qui ne sont que des chaudières améliorées.

  6. Des éclairages à diodes jugés dangereux pour les yeux

    Certains éclairages à LED (diodes électroluminescentes), utilisés couramment, présentent un risque pour les yeux, particulièrement pour les enfants. L'agence de sécurité sanitaire Anses recommande ainsi d'éviter leur utilisation dans les lieux qu'ils fréquentent et dans leurs jouets. Bien que plus coûteux que les autres, les diodes, devenues ultra tendance et design, sont de plus en plus utilisées pour l'éclairage, décoration lumineuse.

     

    Vu leur faible consommation électrique et leur durée de vie très supérieure à celle des lampes à incandescence (retirées progressivement du marché). Une LED de base peut durer 50 000 heures contre 1 000 heures pour un éclairage classique. On les trouve partout : flash de téléphones portables, éclairage domestique, éclairage de spectacle, lampe de poche ou frontales...

     

    «Un effet toxique sur les cellules de la rétine»

     

    L'Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail) qui vient de réaliser la première expertise sur les effets des LED sur la santé, recommande aux industriels de procéder à un étiquetage sur les caractéristiques de l'éclairage et ses effets sanitaires, et permettre ainsi au grand public de différencier les éclairages à LED nocifs, des autres. Le directeur de l'évaluation des risques à l'Anses, Dominique Gombert explique que la lumière bleue émise par certaines de ces ampoules avait «un effet toxique sur les cellules de la rétine». Du coup, chez les enfants, dont le cristallin reste fragile pendant toute la croissance, le risque est encore plus élevé. Autre particularité de ces LED : il s'agit d'un éclairage particulièrement intense qui peut éblouir facilement.

    L'Anses a également demandé aux industriels de restreindre la mise sur le marché de ces LED présentant davantage de risques. Sur la vingtaine d'ampoules évaluée, 30 % présenteraient une menace sanitaire.

     

    Source

  7. Entièrement d'accord avec toi Stéphane ! L'éolien est une fausse bonne idée et un gâchis épouvantable des espaces naturels. Si on tapissait la France avec des éoliennes on aurait bien du mal à fournir l'équivalent d'une centrale nucléaire. D'autre part, quand il n'y a pas de vent, que pensez-vous qu'on allume ? Des centrales thermiques, et oui ! Super écolo !

     

    Pour le photovoltaïque là aussi c'est une immonde supercherie quand on connaît les faibles rendements, la durée de vie plus que limitée et la pollution énorme qu'engendre leur fabrication, là on s'en fout, c'est pas chez nous !

     

    Mais voilà, c'est la mode et puis il faut se donner bonne conscience...

  8. Le Plan de Cent ans de la NASA

     

    La NASA et la DARPA ont formé le projet commun de lancer l'opération sans retour, qui emportera des humains vers d'autres mondes pour les y laisser à jamais.

     

    Si la NASA finit par obtenir qu'on lui indique clairement ses objectifs concernant l'exploration interplanétaire, ce nouveau Plan de Cent ans pourrait les conduire à présenter leur propre version du Mayflower. Tout comme les premiers pélerins, les explorateurs envoyés sur Mars doivent être informés qu'ils ne reviendront jamais à la maison.

     

    La NASA et la DARPA ont uni leurs efforts pour concevoir ce 'Hundred-Year Starship', selon le général Simon 'Pete' Worden, directeur depuis avril 2006 du Ames Research Center de la NASA.

     

    Simon Worden, ancien directeur du développement au sein de l'Air Force Space Command, a annoncé que son agence avait contribué à hauteur de 100.000 dollars sur ce programme, tandis que la DARPA (agence américaine en charge des projets en recherche avancée pour la Défense) engageait 1 million de dollars.

     

    Il a ajouté, sur le blog de la Singularity University : "L'objectif de ce programme spatial habité est de s'installer sur d'autres mondes. Il y a une vingtaine d'années, on aurait murmuré ces propos dans un recoin sombre d'un bar, avant de se faire virer."

     

    Worden a précisé qu'il avait été licencié par le Président George W. Bush.

    Les détails de l'opération n'ont pas été révélés. Mais la perspective d'une collaboration entre la DARPA et la NASA pour monter une exploration à la Star Trek est une nouvelle captivante - même si, par définition, le lancement d'un 'vaisseau pour un siècle' signifie qu'on quitte la Terre pour ne jamais revenir.

     

    L'annonce coïncide avec la publication d'un article détaillé dans le Journal of Cosmology, une revue à comité de lecture relativement récente.

    Dirk Schulze-Makuch et Paul Davies y proposent d'envoyer des astronautes sur Mars dans le but qu'ils y demeurent à vie, pour être les pionniers d'une colonie martienne permanente.

     

    Paul Davies pense que nous devrions commencer par nous établir sur les lunes de Mars, et il estime que ça pourrait se faire dès 2030. -

    Source

  9. Il me semblait que c'était pour signaler que discuter avec un adepte du canular lunaire était une perte de temps, message argumenté avec des "vous" et "nous" en général.

    Bien sûr, avec mon message en citation, ben oui, bien sûr... Non, non, il ne s'adressait pas à moi, juste à la communauté. Ben voyons.

  10. Et, franchement, je ne comprends pas! Vous parlez la même langue et vous avez des différents.

    :D:D:D Apparemment toi tu ne comprends l'humour français :D on a aucun différent, c'est juste des plaisanteries comme les nantais qui se croient bretons par exemple, ça fait marrer tout le monde (enfin, les bretons) :be:

  11. Merci roger pour tes preuves scientiques...

     

     

     

    :confused:http://news.bbc.co.uk/2/hi/europe/8226075.stm

     

    http://www.neotrouve.com/?p=395

     

     

    Peut être l'expert était un adepte de la théorie du complot ,ou peut être pas .

    Avec 382kg de roches ils auraient pu leur en donner un vrai morceau non ?

    Tu ne vois pas que tu mélanges tout là ? Un mec s'est fait arnaquer en croyant acheter un "vrai" morceau de roche lunaire et c'est ça ta preuve comme quoi ils n'ont pas été sur la Lune ? On est encore dans le foutage de gueule, là...

     

    Bon, sérieusement, comment explique-tu les 382 kg de roches lunaires ? Ils viennent d'où ? De nombreux spécialistes du monde entier les ont étudiées, évidemment. Alors ? Ils sont tous dans le coup ? Tu commences à comprendre pourquoi je parle de foutage de gueule ?

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