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la vie à base de silicium
Bart Simpson a répondu à un sujet de helie dans Astronomie & Astrophysique
Pyrene: Oui, ce monde des baleines en symbiose avec des algues est une "expérience de pensée" très simplifiée. Il faudrait l'affiner et le complexifier en expliquant pourquoi les algues ne deviendraient pas toxiques pour se protéger. Allons-y pour une algue elle même stable et qui n'aurait plus dévolution Darwinienne. Une algue qu'on ne mangerait pas entièrement et qui repousserait. Comme si on mangeait les feuilles d'un arbres et non pas les branches. Peut être que cette algue stable aurait intérêt à se faire grignoter par les baleines pour ne pas trop proliférer (comme moi je vais me faire couper les cheveux quant il sont trop longs, et que je remercie le coiffeur. Car si je les laisse trop pousser, je marche dessus et me casse la figure. Et puis ça tient trop chaud l'été). Et que deviendraient les excréments? ... je l'ignore. Et si l'algue s'en nourrissait après? Un peu comme nos végétaux savent se nourrir des excréments des animaux qui les ont mangés . On étend de la bouse de vache sur les champs pour fertiliser le sol, et cette bouse vient de l'herbe mangée par la vache. Certes il y a un processus complexe pour pouvoir ainsi recycler la bouse, avec des bactéries et tout... Alors alors-y aussi pour des bactéries qui auraient stabiliser leur évolution. Soyons fous: tous les être impliqués dans l'écosystème auront stabilisé leur évolution pour ne pas dérégler l'horloge Suisse (qui finira bien par s'arrêter un jour de toute façon). Je ne souhaitais pas inventer tout un monde entier qui fonctionnerait parfaitement en en réglant les moindre détails. Je n'ai pas les compétences pour inventer tout un monde , seule la nature sait faire ça. Mon objetcif était simplement de tracer des grandes lignes, très simplifiées, très schématique, d'une vie (ou de tout un écosystème) différente de notre expérience terrestre par la stabilisation de son évolution. L' intention était de dire "et si peut-être... ailleurs autrement". -
la vie à base de silicium
Bart Simpson a répondu à un sujet de helie dans Astronomie & Astrophysique
rmor51: oui on est bien d'accord, la "stabilité éternelle" ça n'existe pas. De toute façon l'univers se dilue et se refroidi, et même les atomes se désintègrent sur des échelles immense. À moindre échelle, les étoiles meurent une fois tous leur combustible consommé. À chaque fois que j'ai parlé d'éternel, notamment pour supposer des formes de vie éternelles, c'est un abus de langage pour signifier en réalité: "une période vraiment très longue". Une période stable de3-4 milliards d'années, c'est déjà pas mal! -
la vie à base de silicium
Bart Simpson a répondu à un sujet de helie dans Astronomie & Astrophysique
Pyrenne: pardon, je me suis mal exprimé, ou tout au moins de manière imprécise. En parlant d'une "planète stable", je ne voulais pas évoquer une planète totalement figée, sans jour ni nuit, sans aucune pluie, sans aucun mouvement. Je voulais plutôt exprimer des variations "modérées". - C'est à dire un monde avec un cycle jour-nuit, mais un cycle stable comme la terre aujourd'hui. - Un monde avec une respiration et un taux d'oxygène stable (comme la terre aujourd'hui), même si ce taux d'oxygène actuel est la suite d'une longue histoire chaotique. - Un monde avec un niveau des océans stable . Celui de la terre a fortement varié dans le passé, et si il remonte actuellement c'est à cause du - CO2 émis par l'activité humaine. Sinon il semblait s'être stabilisé pour une longue période. - Un monde avec des variations de température, oui, mais pas des variations extrèmes et avec des extrémitées qui changent constamment de valeur. Disons des variations de température comme sur la terre aujourd'hui (avant que l'activité humaine ne commence à dérégler tout ça). Bref, je pensais à une planète qui, après une histoire mouvementé pour sa formation, se serait stabiliser avec des variations de conditions modérées, compatibles avec la vie; variation qui suivraient des cycles toujours identiques et bien réglé (un cycle jour-nuit qui ne change pas, un cycle de l'eau avec évaporation et pluie presque toujours pareil, etc...) Je voulais imaginer un monde aux variations modérées et bien réglées, éloigné et protégé de presque toute interaction extérieur qui viendrait le dérégler, et permettait ainsi à une forme de vie de perdurer sans n'avoir plus besoin d'évoluer, de muter et de s'adapter, ayant trouver au finale la forme parfaite pour exister dans ce monde stabilisé. Peut-être pas pour l'infini des temps, mais seulement pour 3,5 milliards d'années (âge de l'apparition de la vie mono cellulaire sur terre). Note: bien sur, une planète ne peut pas être protégée d'absolument toute interaction extérieur. Un choque avec un astéroïde comme Théia, qui impacta jadis la Terre pour former la Lune, restera toujours possible, et mettra un terme a toute la vie de cette planète sans possibilité d'adaptation. Cela fait partie des risques de toute planète qui hébergerait la vie, de voir celle-ci s'éteindre brusquement par accident. -
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Bart Simpson a répondu à un sujet de helie dans Astronomie & Astrophysique
Bonsoir Ney : Voici un extrait du net parmi tout ce que je viens de trouver concernant le métabolisme des méduses : Les méduses ont un métabolisme simple grâce à leur structure en sacs d'eau, ce qui leur permet de grandir et de se nourrir efficacement sans les inconvénients d’un métabolisme rapide, leur permettant de survivre à des extinctions massives depuis plus de 600 millions d'années. Cela me semble être un bon exemple de créatures vivantes qui évoluent très peu, sont très stables et dont l’espèce peut survivre plusieurs centaines de millions d'années. Oui, mais de toute façon « La vie, c'est la mort assuré ! » La question est de savoir en combien de temps... Car la vie sur la terre est condamnée à mourir entièrement. Au plus tard lorsque le soleil gonflera en géante rouge pour engloutir la terre puis s'éteindre, je doute que la vie terrestre arrive à s'adapter aux nouvelles conditions climatiques. Nous les terriens, non, on ne vit pas dans une éprouvette protégé. Mais sur d'autre exoplanètes, qu'en est il ? La vie est apparue sur la terre grace à une très longue liste de circonstances exceptionnelles. En réponse à cela, j'imagine que la vie sur une autre planète aurait elle aussi nécessité une très longue liste de circonstances exceptionnelles. Il est vendu dans le commerce ce genre de biosphère hermétique contenant des écosystèmes très simples (dont des crevettes) qui se suffisent à eux même dans une éprouvette. Comme ça : https://www.naturellement-deco.com/biosphere-crevette-w5.htm Bon d'accord, après quelque années ça fini quand même par crever, le record de vie étant précisé à 12 ans. Mais ça présente le principe d'un écosystème simpliste qui n'a besoin que de l'énergie du soleil pour continuer à vivre. Ne peut-on pas supposer un monde sans guerre, sans famine, ni maladie ? Allez, si vous le voulez bien, habitants de cette discussion, je vous embarque pour un petit voyage dans l'imaginaire vers d'autres mondes extra-terrestres : # Planète AQUA-W1 : Cette planète est entièrement recouverte d'eau et d'océans profonds. La planète orbite de manière parfaitement régulière autour de son étoile qui lui apporte de l’énergie de manière constante. La température est parfaitement stable. La vie s'y est développée mais seulement sous la forme de 2 espèces. Il y a des être similaires à des animaux. Je précise « similaire », car étant donné qu'ils sont extra-terrestres ils présentent des différences de constitution avec ce que l'on nomme chez nous des animaux. Ça ressemble quand même a des grosses baleines, de par leur forme, mais sinon a des grosses méduses par leurre composition. Ces « animaux n'ont aucun prédateurs, sont parfaitement pacifiques, n'entrent jamais en conflit mortel (comme des agneaux) et ne se nourrissent que de micro-algues. Ces micro-algues sont la deuxième espèce qui est apparue sur cette planètes. « La lumière permet aux micro-algues de produire par photosynthèse de l'oxygène et de la nourriture pour les baleine-méduses. À leur tour, les baleines-méduses produisent l'anhydride carbonique et les éléments nourrissants pour faire croître les algues ». (c'est une copie de la notice de l'écosphère en remplaçant « crevette » par « baleine-méduse). Et cet écosystème simplifié se suffit à lui même. Les micro-algues sont mortelles et se reproduisent constamment afin de nourir les baleines-méduses qui vivent par bancs de dizaines d'individus. Les baleine-méduses, quand a elles sont immortelles. Elles sont arrivées à un stade d'évolution de parfait équilibre dans leur écosystème, et n'ont plus de raison d'évoluer. Ne vieillissant pas, n'ayant pas de prédateur, pas d'accident possible dans l'océan, et par le faite qu'il n'existe pas de virus ou élément pathogène, ces être n'ont aucune raison de mourir. Se reproduire en revanche, vue la mortalité quasi nulle, provoquerait une surpopulation qui souffrirait d'un manque de place physique dans l'océan, et que les micro-algues n'arriveraient pas à nourrir. Ce serait la famine, la consommation de la totalité des micro-algues et la mort des deux espèces. Mais à l’opposé de cela, l’espèce a su trouver son juste équilibre par rapport à la quantité de nourriture et a son espace, puis cessé de se reproduire. Bien sur à l'origine, les baleines-méduses se reproduisaient afin de devenir ce qu'elles sont aujourd'hui grâce à une évolution Darwinienne, jusqu'à aboutir sur sa forme définitive et parfaitement stable. Ces baleines-méduses vivent toutes individuellement depuis 100 millions d'années sans ne jamais mourir (c'est l'âge de dinosaures), et en parfaite symbiose avec les micro-algues. Je parle ici de bancs de baleines-méduse. Mais sur une planète jumelle : AQUA-W2 les mêmes créatures sont apparues « micro algues et baleines-méduse » à la différence que la baleine-méduse est une créature unique qui jouit de tout l'océan pour elle seule. Voici comment s'est passée l'histoire : Lorsque le premier organisme vivant unicellulaire est apparu, par un prodige que l'on ignore comme celui qui s'est déroulé sur terre, la cellule unique, plutôt que d'avoir l'idée folle et totalement improbable de se diviser en deux pour se reproduire, a eu l'idée folle et totalement improbable de muter depuis l’intérieur ! Son ADN s'est transformeé et l'organisme vivant a changeé de forme de manière continue pour lui permettre d'évoluer. Bien sur, la cellule en se complexifiant, s'est finalement divisée, mais par pour produire des êtres distincts, mais un seul être multicellulaire. Cette créature auto-mutante a évoluer durant plusieurs millions d'années pour se stabiliser sous la forme finale d'une Baleine-méduse. Dans ce cas ces n'est pas une évolution Darwinienne qui a guidé cette évolution, car il n'y a pas l’apparition de milliers de génomes différents, triés par le sélection naturelle au fur et à mesure des générations. Puisqu'il n''y a pas de succession de génération au delà de la toute première. Qu'est ce qui a alors guidé l'évolution de cet être unique et mutant vers sa forme de baleine-méduse éternelle ? Je ne le sais pas, il faut attendre qu'un autre Darwin aille étudier la question sur AQUA-W2 ! La nature est parfois tellement géniale, créative et improbable dans ses inventions, et je ne sais pas tout ! # La planète BAOBA-TF4 : Il n'y a rien qui ressemble à des animaux sur cette planète, mais plutôt à des végétaux. Donc aucun insecte, aucun prédateur. Mais la quantité d'eau et la température sont stable. Prenons cette première créature qui ressemble à « un arbre », bien que dans ce monde extra-terrestre les végétaux ne sont pas tout à fait des végétaux, et les arbres tout a fait des arbres. Mais comme ils y ressemblent, je nommerais cette créature « arbres ». Cette arbre, apparu suite à une évolution Darwinienne est abouti étonnamment à une seule créature unique de son espèce. C'est en fait un arbre qui possède un milliard de troncs tous reliés entre eux. Ils recouvrent une énorme partie de la planète. Mais il ne s'agit bien que d'une seule créature, puisque la même « sève » coule dans chaque tronc et chaque branche reliées et que son ADN est le même dans chacune de ces cellules. Lorsque le vent couche quelque tronc, ou bien qu'un orage provoque un incendie sur quelque troncs, et bien l'arbre n'a qu'à en faire repousser d'autres. C'est une immense forêt d'un seul arbre. Cet arbre se nourrie des sel minéraux et nutriment qu'il puise dans le sol par ses racines. Il n'a aucune raison de mourir, ni de vieillir, et donc pas non plus de se reproduire. Cet arbre est éternelle et vie depuis 100 millions d'années. Mais il ne vit pas seul, il vit en symbiose avec tout un écosystème d'autres espèces qui fonctionnent comme lui et avec lesquels il a de nombreux échanges symbiotiques. Soit ce sont d'autres espèces d'arbres. Soit ce sont des créatures qui ressembleraient plutôt à des champignons. Soit encore des créatures qui ressembleraient plutôt à des blobs. Bref, une bio-diversité mais sans animaux prédateurs. Mais qu'est devenu cet écosystème lorsque toute la place possible a été prise par les arbres, les champignons et les blobs ? Lorsqu’il n'y eut plus de place où pousser ? La situation s'est-elle figée ainsi avec des créatures inertes ? Pouvait-ont alors encore nommer ça de la vie ? Et bien, en réalité ça ne s'es pas passer comme cela... Parce que la planète BAOBA-TF4 a un rythme de rotation sur elle même extrêmement lent. Un jour est tellement long (environ 100 ans terrestre) qu'un tronc d'arbre avec toutes ses branche a le temps d'y pousser. De plus, sur le côté nuit, il y fait tellement froid et tellement sombre que les partie de l'arbre qui y seraient installées mourraient. Alors l'arbre n'a de cesse de rétracter ses troncs qui sont rattrapés par la nuit et d'en faire pousser de nouveaux sur le croissant de planète sur lequel le jour s'est levé. Plutôt que de perdre ses feuilles ou ses branches, vu qu'il n'y a pas d'insectes pour les recycler, l'arbre rétracte ses membres et les ré-ingère lui même afin d'avoir la matière suffisante pour en faire pousser de nouveaux. Un peu comme si je mangeais la viande de ma main pour régénérer le reste de mon corps, ou bien une salamandre qui se mangerait la queue pour faire repousser sa patte. Ainsi, l'arbre aux milliards de troncs n'a de cesse de se déplacer, rétractant ses anciens troncs, en faisant pousser de nouveaux, afin de suivre le soleil. Et il en est de même de la population de pseudo-champignions et pseudo-blobs. Et tous sont éternels, non évolutifs dans leur structure, et non reproductibles. Mais vivants... # La planète VERAPATTE-SS09 Une planète assez plate recouverte d'herbe vertte et délicieuse que broute de drôle de grosse chenilles. Elles ne présentent pas vraiment de sens tête-queue, mais un orifice sous le ventre, sorte de bouche pour manger l'herbe. Il y a tout un écosystème complexe qui héberge cette espèce de ver à pattes, permettant à l'herbe de poussée. Mais c'est de loin cette créature qui domine la planète. Tout au moins n'a t elle pas de prédateur. C'est le seul « animal » à part les petits insectes qui pollinisent les végétaux et les micro-vers de terre qui fertilisent le sol. Verapatte est le plus gros et n'a personne à craindre. Après une longue évolution Darwinienne il s'est stabilisé dans cette forme parfaitement adaptée a son environnement. Et puis il a cesser de vieillir, de mourir et de se reproduire. Même son nombre d'individu s'est stabilisé à 1 millards reparti partout sur la planète. Son secret pour que l’espèce survive aux accidents, et aux maladie ? Et bien il ne se reproduit que lorsque sa population baisse un peu. Il se reproduit par auto-clônage. La créature qui n'a ni queue ni tête se coupe en deux. Avant cela, en préparation de la séparation, une seconde bouche se forme, afin qu'ancune des deux parties se retrouve sans bouche après la séparation. Puis les deux demi créatures se s’allongent à force de manger et se refont pousser des pattes pour redevenir des être entiers. Mais ce phénomène ne se produit que lorsque la population baisse d'environ 5%. Car la condition siné qua non pour que ce phénomène de division se produise est que l’espace disponible pour la créature soit plus grand que l’espace de vie nécéssaire dont elle ai besoin. Chaque individu a besoin de 5 km2 pour vivre correctement avec suffisamment d'herbe. Une fois que tous les lots de 5km2 sont remplis, chacun par un individu, cela crée une certaine fréquence de rencontre avec les autres individus. La créature est en mesure de ressentir ces écart de fréquentation et d'espace libre. Et lorsqu'elle sent ces écarts trop important pendant trop longtemps alors elle se coupe en deux. Mais en l'absence de baisse de la population par accident ou maladie, chaque individu vie éternellement et ne cherche pas a se reproduire. # La Terre, an 2150 : Il me semble que tous les êtres vivants terrestres son capable de générer des télomères neufs. Au moins lors de la production de gamètes. Sinon qu'en serait-il des fœtus et des nouveaux nés qui naitraient alors déjà vieux ? Et quand je dis vieux, avec des télomères archi-usés, je veux dire vieux d'au moins 2,5 millions d'année (âge de Homo Habils). Lors du dédoublement cellulaire qui crée les chromosomes qui se trouvent dans les spermatozoïdes et les ovules, le corps fabrique nécessairement des télomères tout jeunes, afin de pondre un embryon de 0,0 million d'années. Cela signifie qu'il y a a une moyen de régénérer les télomères qui sont responsables de notre vieillissement. Il ne tient qu'aux savants fous de comprendre ce processus afin de manipuler les télomères , et de donner naissance à une génération d'êtres humains génétiquement modifiés qui présenteront deux différences avec nous : - le fait de posséder au bout de leurs chromosomes des télomères qui puissent se régénérer, ce qui stoppera le vieillissement du coprs - le fait d'être rendu stérile, sans quoi la surpopulation exponentielle ferait s’effondrer la planète sur elle même façon trou noir. Grâce à cette nouvelle technologie (ou plutôt à cause de), permettant de régénérer les télomères, les humains ont enfin accédé à la vie éternelle. La reproduction a complètement disparue de leur préoccupations quotidiennes, du but de la vie de chaque individu comme de celui de l'espèce tout entière. Néanmoins, il y a toujours des pertes par accident, maladie, meurtres et par les guerres. Aussi l'humanité stabilise sa démographie en produisant au besoin des bébés éprouvettes, né d'un stock considérable de gamètes congelées, afin de combler les pertes. Et en cas de stock épuisée, un processus est déjà prévu pour générer artificiellement de nouvelles gamète par brassage en laboratoire de chromosomes prélevés sur des individus aléatoirement choisi. Certes c'est un monde un peu triste et sans enfant. Sinon quelque rares enfants qui se sentent très seuls dans un monde d'adultes qui n'ont pas le temps de jouer avec eux. Mais bon, le propre de l'humanité n'a jamais été de chercher à construire un monde joyeux. En, l'an 3150 il y aura les premiers humains millénaires encore vivants.... ------------------------------------------------------------ Voici pour ce petit voyage dans des mondes extra-terrestres ou futuro-terrestres. Evidement je ne peux nullement affirmer que ces mondes existent ou existeront ailleurs que dans ma tête. Mais à l'inverse, est-il possible de démontrer que ces mondes sont impossibles ? Dans la négative, ne doit-on pas garder quelque part dans nos hypothèses, la possibilité de formes de vie quasi immortelles qui ne vieilliraient pas et ne se reproduirait pas ? Si l'on cherche quelque part de la vie extra-terrestre, ou qu'on l'envisage simplement, ne doit-on pas s'attendre à des formes et des organisations fortement différentes de ce que l'on observe sur la terre, par le fait que ces autres vies auraient une origine et une histoire totalement différente de la nôtre ? Et pour reparler du blob : il me semble que le phénomène de son vieillissement est réversible après avoir dormi ou fusionné avec un congénère et qu'il ne se reproduise pas autrement qu'en étant déchiré en deux nouveaux blobs. Ils sont fous ces blobs !!! Je fus bavard ce soir, c'était l'histoire pour s'endormir avant d'aller se coucher -
la vie à base de silicium
Bart Simpson a répondu à un sujet de helie dans Astronomie & Astrophysique
Bonjour Ney, je m'étais fait cette réflexion seul ( et donc ici, sans aucune source d'article scientifique), qu'il existe 2 types d'usure: 1/ L'usure par utilisation. Plus on utilise un objet, et plus celui-ci s'use, jusqu'a devenir inutilisable (= mort). C'est l'exemple du pneu de voiture par exemple qui s'use par frottement sur la route, d'une ampoule électrique lorsqu'on la laisse allumée ou d'une chaussure lorsqu'on marche avec. 2/ L'usure programmée. C'est une usure qui ne dépend pas de la fréquence d'utilisation de l'objet mais simplement du passage du temps. C'est le cas d'un élastique en caoutchouc qui n'aurait jamais servi, mais qui resté dans sa boîte se serait désséché, et craquerait à son premier usage. C'est aussi le cas des objet à obsolescence programmée, comme mon caméscope dont je me suis très peu servie et qui après 15 ans s'est détérioré, où d'un ancien téléphone dont la batterie à lâché. J'ai changer la batterie, mais 1 mois après c'est l'écran qui a laché... Notons que dans le cas "d'usure programmé", il n'y a pas nécessairement une volonté de quelqu'un pour que l'objet s'use, cela peut être naturel comme la radioactivité. Dans le cas d'un pneu de voiture qui roule, il s'usera différemment si il roule beaucoup et si il roule peu. C'est de l'usure d'utilisation. Ainsi, si 2 personnes achètent les même pneu à la même date, mais que l'une fait 50 000 km/an et l'autre 50 km/an, il y aura une usure beaucoup plus prononcée sur le pneu du gros rouleur durant une année. D'ailleur le pneu du gros rouleur sera mort, alors que le pneu du p'tit rouleur sera encore "tout frais tout jeune". C'est pareil pour les paires de chaussures. Observons une première paire qui marche 10km par jour et une seconde qui ne sort que le dimanche pour allez au resto. Les 2 paires ont une usure très différente. Elles sont marquées par de l'usure d'utilisation. Et pourtant la semaine passée j'ai retrouvé au fond de mon placard une paire de baskets achetées il y a 20 ans dont je ne me suis qu'à peine servi. Mais le caoutchouc des semelles a complètement séché. il est devenu très dur et glissant et même s'est cassé en morceaux lorsque j'ai marché avec. C'est de l'usure "programmée". 2 paires de chaussures auraient eut la semelle séché à l'identique qu'elle est servie beaucoup ou très peu. On pourrait alors conclure qu'elles ont le même âge (achetées toutes les 2 il y a 20 ans). Alors j'ai appliqué ces notion "d'usure d'utilisation" et "d'usure programmée" aux êtres humains. Je constate que les ouvriers du bâtiment utilisent beaucoup plus leur corps et leur dos que d'autre métiers. Ils sont donc touchés par une "usure d'utilisation" très marquée: leurs disques entre les vertèbres s'écrasent et ils développent des hernies discale, et d'une manière générale à force de tenir les marteaux piqueur ils souffrent de troubles musculo-squeletiques bien plus tôt que la moyenne. En revanche, que l'on utilise beaucoup son corps ou non, le vieillissement générale du corps est inéluctable et évolu à peu près pareil pour tout le monde. C'est pour cela qu'on peut affirmer sans se tromper, simplement en regardant une personne, si son âge est plutôt autour des 20 ans, plutôt autour des 50 ou plutôt autour des 80 ans. Et cela indifféremment du fait que ces personnes aient beaucoup utiliser leur corps ou pas (port de charge lourdes, travail dans les champs, ou bien travail de bureau pour caricaturer). Contrairement aux pneu de voitures dont on ne saurait évaluer l'âge en fonction de leur usure. J'en ai déduit que, quoi que l'on fasse avec notre corps, qu'on l'économise ou pas, il est soumis à une usure programmée. Et que par ce programme les humains sont condamnés à mourir après une durée du même ordre pour tous (disons une espérance de vie de 90 ans hors accident, maladie et mauvaise hygiène type tabagisme...). Même pour les yogis qui méditent beaucoup, il gagneront sans doute un peu, mais restent condamné au même ordre de grandeur. Voici mon raisonnement pour penser qu'un programme intérieur nous fait vieillir pour aboutir à la mort. Alors qu'un pneu qui ne roule pas reste "vivant" ou tout au moins "utilisable" très très longtemps. Je ne connaissait pas les télomères. Après une recherche sur le net, je comprends que ce sont des protections aux extrémités des molécule d'ADN qui les protègent. Et lors de chaque réplication de nos cellules (pour régénérer notre corps) alors ces télomère se raccourcissent, ce qui provoque notre vieillissement. Alors je me dis pour schématiser le phénomène, que ces télomères sont victimes d'usure d'utilisation. À force de servir de protection lors des la division cellulaire, ces télomère s'usent comme le pneu sur la route. Par ce fait, l'usure programmée de notre corps est induite par l'usure d'utilisation de ces télomères. Et puisqu'on ne peut pas se passer de régénérer nos cellules, on ne peut pas non plus économiser ces télomères qui s'usent de manière régulière, tel le pneu d'une voiture qui ne pourrait pas s'arrêter de rouler. À coté de cette réflexion sur l'usure, deux de mes hypothèses dans mon message précédent étaient inspirées d'articles que j'avais lu dans la presse scientifique papier. (Je ne sais plus si c'était "science & avenir" ou "sciences illustrées"...) 1/ J'avais lu qu'une équipe de scientifique était arrivé à isoler le gène responsable du vieillissement chez la mouche drozophile, ce qui ouvrait la porte sur l'idée de trouver le même gène chez l'homme. C'était donc surement déformé et exagéré, comme aiment à le faire les médias pour rédiger du "tape à l'oeil bien vendeur". Toutefois, si les télomères protègent l'ADN et s'usent, ces télomères sont bel et bien générés par nos gènes, comme chaque caractère et organe de notre corps. Il y a donc bien un gène qui commande l'efficacité et la durabilité des télomères non? Pourquoi un cheval (plus lourd qu'on humain) a une espérance de vie de 30 ans, qu'un chien (plus léger qu'un humain) a une espérance de vie de 12 ans, qu'une tortue a une espérance de 200 ans, qu'un humain à une espérance de 90 ans, alors que ces sont des organismes d'une complexité similaire? Ces 3 espèces auraient-elle un programme d'usure différents? Par le fait d'avoir des télomères de qualité différente? 2/ Sur un autre article scientifique j'avais lu que la vie lors de son évolution avait eu 2 grands choix possibles: - Soit engendrer des êtres vivants programmés pour se reproduire et mourir, perpétuant le phénomène de la vie par un éternel cycle de naissance et de mort. - Soit engendrer des êtres vivants à longévité infinie (hors accident). Et que le premier choix était sans doute le meilleur car il permettait premièrement de renouveler facilement les êtres vivants pouvant mourir par accident, et secondement d'évoluer plus facilement. Cela semblait suggérer que, même si un chemin parait meilleur que l'autre, alors l'autre n'est pas non plus impossible. Et que sur une exoplanète, la nature aurait pu faire le choix moins judicieux. J'en avais conclu que la porte n'était pas complètement fermée au second choix. Cela suggérerait par d'autres moyens d'évolution (comme le cocon qui transforme la chenille en papillon que j'ai mentionné plus haut), ainsi qu'une structure très solide carrément insensible aux accidents (comme un insecte au sommet de la chaine alimentaire avec une carapace très solide dans un monde plat et sans pierre qui tombent, sans voiture ni avions ou central nucléaire). Tout ce blabla façon Bart Simpson pour finalement poser la question: Une vie éternelle sans vieillissement, et donc sans besoin de reproduction, est elle vraiment inenvisageable et absolument impossible? Par exemple avec des télomères capable de se dupliquer eux-même comme les cellules afin de se régénérer, ou bien capables de repousser comme la salamandre est capable de faire repousser sa queue, ses pattes, ses yeux, sa moelle épinière, son coeur et l'axolotl qui est capable de faire repousser une partie de son cerveau. Ou encore parce qu'une autre forme de vie sur une exoplanète aurait inventer un autre moyen de régénération des cellules qui ne mettraient pas en péril des télomètres induisant un vieillissent ? Est-ce totalement déraisonnable d'émettre l'hypothèse d'une vie sans processus de vieillissement? -
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Bart Simpson a répondu à un sujet de helie dans Astronomie & Astrophysique
Pourtant avec un effort on peut imaginer des mondes différents du notre, où les études de Darwin n'auront aucun intérêt et ne seraient plus applicable puisque ces mondes auraient un fonctionnement tout autre. Nous savons que l'univers (d'après ce qu'on en observe) présente des planètes et satellites très différents. Pourquoi ne pas imaginer une planète autour d'une étoile en orbite parfaitement stable, et qui ne connaitrait aucun changement de température, de montée ou baisse des océans, de variation de taux d'oxygène, de choque avec des astéroïdes, etc... Un système solaire avec cette planète stable et puis une seconde très éloignée, si grosse qu'elle attirerait par son champs gravitationnel tous les astéroïdes qui passeraient par là, protégeant ainsi la première planète de tout choque. Cela et tout autres éléments qui permettraient de stabiliser le système... Pourquoi ne pas imaginer qu'à un endroit de l'univers il puisse y avoir un système si éloigné de tout élément perturbateur qu'il resterait réglé, après avoir trouvé son point d'équilibre, comme une horloge suisse? Quelque chose de différent du système solaire mais qui permettrait tout de même à la vie d'apparaître par d'autres chemins que ceux observés sur terre. Alors cette "vie", une fois qu'elle aurait atteint son stade d'évolution idéal, le plus adaptée à cet environnement, n'aurait plus de raison d'évoluer. Cela n'est bien sur qu'une hypothèse. Mais pourquoi devrait on l'écarter du domaine des possible? Ben non, je proteste . Un être vivant qui n'aurait pas pour but de se reproduire n'est pas un caillou. Ou un objet inerte. Il y a des recherches scientifiques qui tentent de briser le programme de vieillissement des êtres humains pour accéder à la "vie éternelle". Je ne dit pas que cela aboutira, mais supposons que oui: qu'avec une manipulation génétique on annihile le gène responsable du vieillissement. Alors on obtiendra au finale une population qui n'a plus besoin de se reproduire, et même pire: qui n'a plus la place sur son territoire pour contenir des enfants, et des petits enfants. L'hypothèse d'une humanité qui ne vieilli plus va souvent de pair avec l'hypothèse de la stérilité de cette humanité. Des humains stériles et éternelles qui continueraient leur vie en travaillant, en construisant, en organisant, en pratiquant de l'art, des jeux, du sport, de la science, en développant des rapport sociaux, de l'amitié, des couples, faisant l'amour avec donc un but totalement détourné du but originel de l'acte sexuel, devront-ils être considéré comme des cailloux? Sur un plan philosophique: il y a une part non négligeable d'êtres humains qui ne font pas d'enfants par choix. Il auraient la possibilité biologique de se reproduire, mais il ne veulent pas le faire. Quel est alors le but de leur vie? Il suffiraient de leur poser la question pour s'apercevoir qu'il ont tous une motivation à la vie, une raison motrice qui leur est personnelle à chacun. Mais comme ils ne veulent pas d'enfant, on ne peut pas dire que leur but est de se reproduire. Sont-ce alors aussi des cailloux? -
la vie à base de silicium
Bart Simpson a répondu à un sujet de helie dans Astronomie & Astrophysique
Bonjour Lefranc, Mettons qu'on découvre une "vie" extra-terrestre qui nous ressemblerait beaucoup par le fait qu'elle serait constituée de cellules carbonées, qu'elle serait structurée grâce à de l'ADN, mais très différente par le fait qu'elle ne se reproduirait pas et ne mourrait (disparaitrait) pas. Elle ne se reproduirait par par exemple pour l'une de ces raisons: 1/ Soit elle se serait déjà suffisamment reproduite pour faire muter son ADN afin d'arriver finalement à une forme parfaitement stable dans un environnement lui même stable, ce qui ne nécessiterait donc plus de mutation et de reproduction. Cette "vie" se serait alors stabilisée dans une forme "éternelle" qui ne vieillirait pas, ne mourrait pas et qui saurait régénérer chacune de ses cellules. 2/ Soit elle aurait la capacité de faire muter son propre ADN, qui alors pourrait changer sans avoir besoin de se reproduire. La "créature" aurait alors la capacité de changer de forme au cour de son existence (par exemple comme une chenille qui se transforme en papillon). De même qu'en 1, cette "créature" ne mourrait pas et serait éternelle (jusqu'au limites de l'existence de son environnement). Devrait-on alors nier que c'est "de la vie"? Le fait de se reproduire et de mourir, font-ils obligatoirement partie de la définition de la vie? -
De la vie sur l'exoplanète K2-18B ?
Bart Simpson a répondu à un sujet de Ravun dans Astronomie & Astrophysique
Jean pierre Bibring a écrit un livre que je suis en train de lire et qui s'appelle "Seuls dans l'univers" sans "?" à la fin du titre comme il aime à le préciser en interview. C'est le seul savant que j'ai entendu, défendant l'hypothèse que nous puissions être (nous les habitants de la terre) les seuls êtres vivants parmi l'immensité de tout l'univers, fût-il infini. Nombreuses personnes qui traitent le sujet de la vie extra-terrestre (savantes ou non) défendent l'hypothèse inverse: qu'en raison de son immensité et des loies de probabilité, alors la vie existe certainement ailleurs. Certain même vont jusqu'à l'affirmer de manière catégorique, mais sans jamais fournir aucune preuve à l'appuis. Ce qui me semble aller à l'encontre d'une démarche scientifique. Car le propre d'une théorie scientifique, pour être validée comme juste, c'est d'être vérifiée par l'expérience réelle. Comme par exemple les ondes gravitationnelles qu'on a véritablement détecté 60 ans après la mort d'Einstein qui les avaient prédites. Cette observation a enfin validée la théorie. Bref, j'aime cette position de JP Bibring, de ne pas s'enfermer dans la certitude de l'existence de vies extra-terrestres, mais d'au contraire envisager très sérieusement la possibilité de notre solitude. On trouve aussi JP Bibring sur YouTube pour des conférences ou interview. -
De la vie sur l'exoplanète K2-18B ?
Bart Simpson a répondu à un sujet de Ravun dans Astronomie & Astrophysique
Bienvenue Raven La réponse la plus exacte c'est qu'on n'en sait rien. Mais si l'on doit répondre à ce qu'on en pense ("notre intime conviction" comme aimait le formuler Hubert Reeves), alors j'aime beaucoup l'hypothèse de Jean Pierre Bibring (Astrophysicien contemporain) qui dit: "si on observait la vie sur une autre planète, elle serait tellement différente de la vie terrestre qu'on aurait du mal a appeler "de la vie". Ce n'est pas une citation avec ses mots exactes, mais c'est l'idée. -
Questions sur la densité des trous noirs.
Bart Simpson a répondu à un sujet de Bart Simpson dans Astronomie & Astrophysique
MKPanpan, merci d'avoir rattraper la question Et oui, pour le grand publique (ceux qui ne s'intéressent pas à l'astronomie mais qui en entendent parler) et les débutants (qui s'y intéressent mais tombent dans les approximations sensationnalistes des médias), les trous noirs sont des ogres hyper dangereux qui sont en train de dévorer tout l'univers. Et moi-même, j'étais un dans le flou concernant les limites de la gloutonnerie de TN et de leur champs d'action. Alors non: on ne va pas tous finir dans le ventre d'un TN géant. Au fur et a mesure j'affine mes connaissances. D'ailleurs cette quête de sensationnalisme des médias, me rappelle cette rumeur qui avait couru dans la presse, alertant sur le fait qu'au LHC de Genève, les savants fous créaient des micro trous noirs qui risquaient d'engloutir toute la terre. Alors oui, il faut faire le tris dans tous ce qu'on lit. Merci pour l'aide de ce forum à faire ce tri. (Note: je n'ai peut-être que 8 doigts, mais j'arrive à tous les mettre à la fois dans mon nez ) Bart -
Questions sur la densité des trous noirs.
Bart Simpson a répondu à un sujet de Bart Simpson dans Astronomie & Astrophysique
Merci Bruno d'avoir penser à moi L'exposé de GeoffreyJoe est très intéressant. Et le monde se divise en 2 catégories: ceux qui mettent des traits d'unions pour rien et ceux qui n'en mettent pas -
OJ 287, un an de données photométriques d'un trou noir supermassif binaire
Bart Simpson a répondu à un sujet de GeoffreyJoe dans L'astro autrement
Merci pour cet exposé sur OJ 287 dont je suis un grand admirateur. J'ignorais que le petit trou noir traversait le disque d'accrétion du gros durant son parcours. Mais si les flashs sont distant de plusieurs années (le prochain vers 2030), combien de temps est ce qu'ils durent? Ça doit dépendre de la vitesse de rotation du petit TN et de l'épaisseur du disque d'accrétion. -
Questions sur la densité des trous noirs.
Bart Simpson a répondu à un sujet de Bart Simpson dans Astronomie & Astrophysique
Je vous remercie tous pour votre participation à cette discussion et votre patience à vouloir m'expliquer et me partager vos connaissances. C'était très instructif . Ecouter des conférences sur Youtube, ou lire des articles c'est bien, mais on ne peut jamais lever le doigt pour poser une question. Ce qui fait l'intérêt de ces échanges interactifs. Omer n'a pas compris ce que je bricolais sur ce forum, mais Marge est très fière de moi pour avoir lâcher mon skate pendant de temps là Bart -
Ah oui pardon, je n'avais pas compris le titre: Il s'agit d'une fusée de SpaceX.
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Questions sur la densité des trous noirs.
Bart Simpson a répondu à un sujet de Bart Simpson dans Astronomie & Astrophysique
Cette discussion me permet de rebondir comme un enchainement parfait sur ma seconde question : Dans mon roman j'écris, pour décrire le cahot de l'univers, que : « Les trous noirs dévorent les galaxies » . Je ne sais pas si je peux conserver cette phrase. D’abord, il ne s'agit pas de tous les TN. Les TN stellaires par exemple, après effondrement de leur étoile d'origine, me semblent très peu actifs et rester pépère dans leur coin, retenant divers objets en orbite à peu près stable. Cela, de la même manière que nombreux TN de type « noyau galactique non actifs », comme Sagittarius qui ne mange presque rien, et se contente de retenir toute la voie lactée en orbite autour de lui, de manière inoffensive. Les TN actifs en revanche, comme notamment les quasars, dévorent belle et bien de grandes quantités de matière. J'avais trouvé sur le net que les quasars peuvent engloutir jusqu'à l'équivalent en matière de 3 millions de planètes Terre par an. Joli coup de fourchette Mais un quasars mange le disque d'accrétion de matière qui est à sa portée. Peut être pas la galaxie elle même qui reste en orbite à peu près stable autour de lui. Je ne sais pas jusqu'où s'étend le repas des quasars. N'est-ce pas exagéré, de dire que les TN peuvent dévorer les galaxies ? Ou peut être dans un autre cas de figure : lors de la collision de 2 galaxies, le TN central le plus gros des 2 n'engloutit-il pas une partie important de la galaxie rencontrée ?