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Gerard.k

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Tout ce qui a été posté par Gerard.k

  1. Gerard.k

    T400 en aluminium

    Encombrement : -Rocker et son couvercle: 61x54x25 cm -Barillet: 49x49x15 cm Les tourillons, l'araignée, le chercheur, les oculaires et autres petits accessoires se rangent dans le Rocker. Seuls les tubes et les tiges de réglage se transportent à part.
  2. Gerard.k

    T400 en aluminium

    Je crois comprendre cette réponse un peu en suspens 😉 Quand je dis que "La collimation se fait très rapidement grâce à des goupilles de références sur les fixations des tubes" , cela veut dire que sur les tubes sont articulés sur une équerre fixée sur la cage du secondaire et maintenue par une vis imperdable, et pour assurer un positionnement toujours identique ces équerres sont dotés de 2 doigts d'indexation (goupilles) de diamètre 3 mm qui assurent un positionnement toujours identique. Je t'ai mis une photo de l'ensemble monté mais on ne voit pas les doigts. Ils sont fixés sur l'équerre et se centrent dans 2 trous percés sur la cage du secondaire. Du coup, l'ajustement de la collimation après démontage, transport, et remontage est vraiment minime.
  3. Gerard.k

    T400 en aluminium

    -Le PO est un hélicoïdal, Omegon Helicalfocuser 2" M48, cela correspondait à mon budget et j'ai lu que c'était moins sensible à l'usure. -Pour la platine du PO, je ne sais pas ce que tu appelle la béquille. La rigidité est donnée par les montants en profilés en L qui tiennent la platine et par une nervure latérale faîte également avec un profil en L qui permet de s'accrocher sur la cage du secondaire avec 2 points assez écartés. La cage du secondaire est élargie pour fixer le système décrit par 2 profilés en C pris en sandwich entre 2 plaques qui relient les profilés de la cage (voir photo en construction). Le tout est incroyablement rigide. Je n'ai pas observé de perte de collimation (après je ne suis pas un expert, non plus). A mon avis la rigidité des tubes et/ou de l'araignée sont plutôt d'ordre 1 par rapport à celle de la platine du PO. -J'utilise des oculaires de 550g maxi -Les tubes coupés sont raccordés par un emmanchement sur un tourillon en bois de 100 mm de long. Et sont verrouillés par 2 cornières en aluminium montées en opposition et fixées par 4 vis M3 (voir photo, il y a 3 vis, mais c'était avant mise à longueur des tubes). J'ai opté pour ce système pour sa rigidité, et parce que je ne démonte les tubes que pour des transports rares avec peu de place dans la voiture (famille, bagage), donc plutôt pour les vacances. Les tubes ne sont pas coupés strictement au milieu, j'ai cherché à baisser le plus possible ce petit excès de poids. Il n'y a pas de petites optimisation. Pour ce qui est de la stabilité de la collimation, j'ai une petite variation quand je passe d'une inclinaison horizontale à verticale. Mais je ne sais pas si c'est un problème de rigidité tubes/araignée ou du porte oculaire lui même avec le Cheshire qui est tout de même très long... Je règle la collimation à 45° d'inclinaison pour limiter cet impact. Et à ce jour, Je n'ai pas noté de problème lors d'observation, il faut dire qu'il est bien difficile d'avoir des conditions d'observations tip-top. Sinon je te confirme que j'ai passé un peu de temps pour la construction... J'ai démarré pendant le confinement en faisant tout à la main, scie à métaux, et lime pour assurer l'équerrage. J'ai récupéré ensuite une scie à onglet avec un disque pour l'alu, et j'ai pas mal gagné en productivité.
  4. Gerard.k

    T400 en aluminium

    Merci, c'est un système de collimation classique par l'avant, l'oeil à l'oculaire, comme sur les télescopes de Y Piette et S. Veillard, On voit sur la gauche de la photo les trous pour le passage et le maintien des 2 tiges de réglages. Merci, pour la stabilité du réglage, même s'il fait froid, une fois réglé à température extérieure, la température évolue de façon négligeable durant une séance d'observation, donc ça ne bouge pas. Je craignais que les tourillons et le rocker collent avec le froid (contact PVC/Teflon, Alu/Teflon) mais non. F/D = 4.5 rtout à fait classique Et sur un 400 c'est une position qui me convient avec un renvoi coudé, on passe facilement du chercheur à l'oculaire.
  5. Voici mon T400 fabriqué tout en aluminium grâce à vos conseils et à ceux glanés sur les pages d'Yves Piette, Serge Veillard, Pierre Strock, Serge Bertorello, et bien d'autres encore. La bête fait 25 kg au total et l'ensemble tient dans le rocker et le barillet à l'exception des tubes qui sont à part et peuvent se séparer en 2 pour des transports contraints. La collimation se fait très rapidement grâce à des goupilles de références sur les fixations des tubes, et le montage/réglage à 1700m d'altitude dans la neige par -10°C l'hiver dernier a été un jeu d'enfant. Bon j'ai un peu triché, les tourillons sont en contreplaqués et le support du secondaire imprimé en 3D. La stabilité et l'équilibre du télescope sont excellents, et le tout permet d'avoir des mouvements très fluides. L'araignée avec le miroir secondaire et le porte-oculaire ne pèse que 2.6 kg. Cela a demandé pas mal de travail, sans doute plus qu'avec du bois, mais je suis très heureux du résultat et du poids obtenu. Pour la conception j'ai utilisé FreeCAD, un logiciel gratuit de conception 3D. Je vous le recommande. Merci encore à tous pour votre support
  6. Merci pour cette réponse. Je n avais pas en tête l impact aussi important des objets proches sur La notion de focale. C'est cohérent avec mon constat. J'ai du me planter soit dans la mesure initiale, soit dans la coupe des tubes. J'ai rapproché le porte oculaire mais faute de météo clémente et de point très éloigné à l horizon je n ai pu tester la solution, et je suis parti en vacances sans le télescope... A suivre
  7. Bonjour, Je suis en cours de réalisation d'un T400 de voyage et après mon 1er test en nocturne, il y a quelque chose qui me laisse perplexe. Si vous avez un début d'explication je suis preneur. Les faits: 1-Lors de l'assemblage du télescope j'ai mesuré la position du plan focal en braquant le télescope face au soleil et en projetant l'image du disque solaire sur une plaque. J'ai relevé la distance pour laquelle le disque était le plus petit et le plus net (sa taille augmentant dès qu'on s'éloigne dans un sens ou dans l'autre de cette position). J'ai relevé une focale à 1814 mm pour 1800 théorique ce qui me semblait cohérent vis à vis de la tolérance +/-3%. 2-J'ai coupé mes tubes, et testé en plein jour la mise au point sur un immeuble entre 500m et 1km: impeccable 3-Je l'installe à la campagne et le collimate, puis teste la mise au point sur un arbre au loin pour régler le chercheur: impeccable (sur les repères plus proches, image floue) 4-De nuit je pointe une étoile, et là je vois un gros halo blanc avec les pattes de l'araignée et l'ombre du secondaire. Quand je règle au mini (oculaire rentré au maximum) le halo diminue en taille mais j'arrive en butée. (grosse frustration). Cela ressemble à ce que l'on obtient quand on défocalise franchement une étoile. Une petite vérification nocturne au cheshire avec une lampe montre que la collimation n'a pas bougé. J'aurai tendance à conclure que le point focal est encore plus à l'intérieur du tube, néanmoins comment se fait-il alors que de jour je puisse mettre au point? L'écart de distance entre objet proche (arbre) et objet à "l'infini" peut-il expliquer cela? J'avais pris la précaution de mesurer la focale avec le disque solaire pour éviter cela... Je vais faire quelques manips de jour dans la configuration actuelle, avant d'avancer mon porte-oculaire (opération qui permet de revenir au montage original). J'aimerai comprendre ce qui se passe avant de me lancer dans la coupe des tubes... Si vous avez une explication valable merci
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