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french_7

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Tout ce qui a été posté par french_7

  1. Hor-rible 😰
  2. Super, c'est grossit combien de fois ? Question de novice, mais voit-on les protubérances bouger a l'œil nu ?
  3. Ahah le chercheur est monté à l'envers !
  4. Sache qu'avec un 200mm la plupart des galaxies (toutes ?) se percevront sous la forme de petites tâches flou. Tu ne verras qu'un petit noyau de forme allongée, pas les bras, pas de bande de poussière, etc. Elles restent intéressantes à observer, mais ne t'attends pas à voir ce que tu vois en photo "juste" en noir et blanc. Aussi, il faut attendre que ton télescope se mette en température avant d'en exploiter le maximum. Ca consiste à le sortir ~30' avant l'observation. Sinon, l'air chaud qui en sortira impactera l'image à l'oculaire. Émile
  5. Heuuu... Non je l'ai pas !
  6. Salut, J'ai toujours eu peur de déglinguer la collimation en faisant ça. Ça dépend du terrain, mais pour toi ça ne gêne pas ? Quel type de chaises as-tu @'Bruno? J'aimerais bien trouver une solution à l'inconfort de la position "debout cassé en deux" Emile
  7. J'ai pas tout compris au message précédent mais y'a quelques âneries, je sais pas si c'est du troll. Si un curieux passe par là et se pose la question : il est parfaitement possible de voir les Alpes depuis les Pyrénées même sur une terre ronde : - à l'échelle de la Terre les deux chaînes de montagnes sont tout près, suffit de regarder un globe terrestre : la France est quasi plate tellement la Terre est grosse - je vois très clairement les Alpes depuis Dijon par beau temps. Par contre je ne vois que le Mont Blanc mais si je m'élève de quelques centaines de pieds en avion, la chaîne se dévoile davantage. Au fait quand on regarde une éclipse de Lune, on voit l'ombre de la Terre. Elle est ronde.
  8. Construction d'un abri ? 😇 Certains placent leur Dobson géant sur rails afin de le ranger a l'abri et le sortir facilement.
  9. J'ai abordé le sujet avec une personne parmi le public, ça lui paraissait effectivement logique qu'on l'on parle de l'âge « perçu ». Et oui, j'essaie de donner des éléments de contexte sur ce que l'on regarde. Certains posent beaucoup de questions, c'est très intéressant. Et des fois je sèche ! J'ai bien compris le mécanisme de contraction par rupture de l'équilibre gravité/pression de radiation, entraînant une augmentation de la pression donc de la température, et permettant la fusion de l'hélium. Mais la suite est un peu floue, j'ai du mal à trouver une explication claire. De ce que je comprends, la fusion est transférée aux couches externes : pourquoi ? Je peux comprendre que cela fasse gonfler l'étoile, toujours par pression de radiation. En même temps, si je suis bien, l'étoile perd de la masse a cause de la pression de radiation et de la faible gravité en surface, d'où la NP. C'est juste ? J'avais aussi lu qu'un deuxième "souffle" faisait pression sur la matière éjectée, la comprimant sous la forme d'une coquille. Et l'état du noyau pendant tout ça ? Soupe de matière dégénérée et très chaude qui n'arrive plus à fusionner ? Au final je n'ai passé que très peu de temps sur M27, le clou de la première partie de soirée dans mon Dobson a été NGC 467. Une bonne occasion d'expliquer la notion d'amas d'étoiles, mais aussi de distance. Le ciel n'était pas assez bon pour la naine blanche par contre. Émile
  10. french_7

    CROA NDE vendredi 7 août

    Eh ben c'est marrant parce qu'hier soir, dernière soirée NDE dans mon club, on m'a conseillé la même chose. Du coup j'ai essayé, dans des conditions plus que nazes : une Lune gibbeuse bien présente, dans la PL de Dijon, la nuit pas encore entièrement tombée. J'avoue que du peu que j'ai vu, c'était très chouette. Un nuage d'étoiles assez faibles (vu les conditions). A réessayer sans Lune, sans PL, et en pleine nuit. Merci, ça fait effectivement partie de ce qui me manque vraiment dans ma gamme d'oculaires.
  11. Salut, Un petit CROA d'une petite soirée en grande partie sous les nuages. J'avais donné rendez-vous aux habitants de mon village à mon spot, au dessus de la falaise qui nous surplombe. Malgré un ciel complètement voilé en altitude, une vingtaine de personnes m'ont rejoint, de tous les âges. J'installe le Dobson 250, les premières questions arrivent, et aussi le "ah mais c'est énorme ton truc !". Et oui ça prend de la place ! Une petite fille me demande timidement si je veux bien l'aider un jour à régler son télescope qu'elle n'a jamais réussi à faire marcher. 😁 On profite que la Lune soit seulement voilée et non pas cachée pour se mettre en appétit. C'est pas terrible, l'image bave, le contraste n'est pas là, mais c'est déjà ça : je suis frustré mais les gens sont contents ! Bon, vu le temps ça parait mal barré cette histoire. Les nuages vont vite mais n'en finissent pas, on est au dessous d'un vrai couloir nuageux. Du coup on s'installe, on commence à déboucher les bouteilles Au vu de la non-amélioration des conditions, malgré la bonne ambiance et les discussions intéressantes, beaucoup abandonnent et rentrent à la maison. Tous, sauf 3, qui ont eu la patience d'y croire un peu. Et ils ont eu raison : 15' après le départ des derniers, le ciel commence à se dégager pour de bon. En attendant la disparition totale de ces nuages de malheur, je jongle d'un objet à l'autre profitants des trous de ciel noir. On commence alors par Alcor et Mizar, qui fait son petit effet. On voit le dédoublement de Mizar au télescope, je raconte évidemment ce qu'est une étoile double, etc. En attendant qu'il fasse bien sombre, je n'ai pas trop d'autre choix que de montrer des étoiles. J'aime bien montrer la variété de couleurs : le rouge d'Arcturus, le duo d'Albiréo. On commence à voir des constellations alors je fais une petite visite guidée : les classiques circumpolaires, le triangle d'été, ... Je ne suis pas un bon conteur de mythologie mais je démystifie un peu le repérage dans le ciel : jongler d'étoile en étoile c'est rigolo, c'est pas si dur de se repérer. Le ciel se dégage alors on peut commencer la ciel profond ! Et un peu de planétaire. Amas de la chouette. Pour ceux qui ne connaissent pas, il s'agit de NGC 457 situé dans Cassiopée. Facile à trouver, l'étoile la plus brillante (Phi) est très légèrement visible à l'œil nu. C'est un amas ouvert peu dense ayant la forme d'une chouette, je préfère y voir E.T. l'extraterrestre Les photos rendent moins bien la forme que dans l'oculaire. Je vous invite à y jeter un œil à faible grossissement, c'est original. Les AO me gonflent habituellement mais celui-ci est rigolo. M27. L'occasion d'expliquer ce qu'est une nébuleuse planétaire, et digresser sur le cycle de vie d'une étoile. L'avantage quand on n'est pas beaucoup, c'est qu'on peut prendre le temps. Le public observe, commente, discute, observe à nouveau, comprend mieux ce qu'il voit, ... Le problème de la NDE dans les structures très populaires, c'est l'aspect "à la chaine". Le public attend parfois 1h pour observer 20" une tâche flou qu'il ne comprend pas, ou une planète décevante parce que trop basse. 😕 M57. La suite logique de M27. Elle rend vraiment bien au 250, je peux zoomer à x255 ça reste propre et l'anneau est très gros, sa forme ovaloïde perceptible surtout en vision décalée. Vraiment un de mes objets préférés au 250 : on a assez de diamètre pour pouvoir zoomer en conservant du détail, ce n'est pas frustrant contrairement aux galaxies dont les faibles détails sont vraiment en limite de visibilité. Double amas de Persée. J'hésite toujours à le montrer parce que la réaction est quitte ou double : soit c'est "wooah c'est magnifique", soit c'est "faut voir quoi ? Je vois plein d'étoile...". En expliquant un peu mieux ce qu'il y a d'intéressant ça captive quand-même. Personnellement je le trouve joli mais pas incroyable. Les AO ça me gonfle Il est vrai que je n'ai pas d'oculaire permettant d'avoir vraiment une vue d'ensemble, alors on est un peu en plein dedans, sans contexte. J'utilise un Orion 17mm 68°, qui me permet un champ d'à peine 1°. Des suggestions de focale et champ d'oculaire, compatible avec un 250/1200, pour l'observer dans les meilleures conditions ? M13. Pour lui les réactions sont toujours plus enthousiaste. Normal, c'est beau Je peux zommer là encore, ça reste dans le champ, c'est bien résolu, un régal. M31. Après une petite introduction sur les galaxies, sur Andromède, et sur ce qu'il faut voir (ce n'est pas évident pour un débutant d'observer les extensions sans le savoir), ça plait, malgré la réputation bof d'Andromède en visuel. Je dirais qu'il faut bien contextualiser. A l'œil nu, la Voie Lactée. Là aussi il y a beaucoup de choses à dire ! La PL étant faible, les zones claires et sombres sont bien visibles et méritent des explications. Quand les deux grosses sont levées : Saturne et Jupiter. Le fameux "ah quand même !" fait toujours plaisir à entendre Pour finir, un petit tour dans le Sagittaire pour atterrir sur M17. Pas beaucoup de monde qui a effectivement observé, mais tout le monde s'accorde pour dire que c'est à refaire dans de meilleures conditions. Les chanceux (courageux) qui ont attendu que le ciel se dégage sont enchantés, mission accomplie ! Émile
  12. Salut, On lit souvent des infos sur l'âge des nébuleuses. Par exemple, on apprend que M27 serait âgée d'environ 4000 ans (même si certaines sources parlent de 48000...). Pour moi, cet âge correspond à celui de la nébuleuse lorsque la lumière que nous recevons actuellement en est partie, c'est à dire qu'on la voit aujourd'hui telle qu'elle était dans sa 4000ème année (à peu près). Elle a 4000 ans "vu de la Terre". Auquel cas pour avoir son âge réel actuel il faut tenir compte de sa distance, dans le cas de M27 on trouve souvent 1200 années lumières, donc son âge réel actuel serait d'environ 5200 ans, même si la lumière de sa naissance nous est parvenue 1200 ans plus tard. L'autre possibilité, c'est que ce "4000 ans" soit son âge réel, auquel cas on la voit aujourd'hui telle qu'elle était dans sa 2800ème année. Laquelle des propositions est correcte ? Merci Émile
  13. Salut à tous, Ca fait 2 ans quasi jour pour jour que j'ai mon dobson. Voici un petit compte-rendu sans prétention de ce matériel. Déjà, un peu de contexte. C'est mon 3ème instrument et 2ème télescope. Je suis passé par une petite lunette (60mm je pense) quand j'étais très jeune, optique plutôt bonne mais monture déglinguée, et par un Meade 130/1000 GoTo quand j'avais 13 ans, en 2008. Le tout avec les oculaires de base (un Plössl 10 et 25 dans le cas du télescope, pour la lunette je ne sais plus). La lunette était correcte mais le Meade vraiment bof : incapable de se mettre en station tout seul correctement, optique pas très bonne (la barlow intégrée y étant pour quelque chose), je n'utilisais même plus le moteur et me contentais de pointer sans chercheur (le point rouge n'a jamais fonctionné correctement). Je me souviens aussi avoir été bluffé par les GSO 200 et 250 de mon club d'astro : le champ était large, lumineux, le tube très facile à manier. Ca m'avait fait réaliser que mon Meade GoTo n'était pas un bon choix, et que j'aurais dû m'orienter vers un Dobson. Mais bon, à 13 ans et malgré les conseils de mon club d'astro, j'étais parti là dessus. Mes loisirs fonctionnant par cycle et le Meade m'ayant un peu dégouté, j'ai fait une longue pause astronomique. Jusqu'à Neowise. Là, regain d'intérêt pour la discipline, je me rends compte que j'ai encore des connaissances, que l'astrophysique est toujours aussi passionnante, que je sais toujours pointer pas trop mal, et je me retrouve vite limité avec mon matériel. J'ai envie d'aller plus loin, et je savais qu'un Dobson répondrait à mes attentes : du visuel aucunement assisté, du diamètre, et de la simplicité d'utilisation. Mon choix s'est arrêté sur le Sky-Watcher Classic 250P (254/1200) : Il est dans mon budget Le diamètre permet des observation correctes du ciel profond La marque est plutôt reconnue L'encombrement et la transportabilité sont acceptables Matériel commandé en juillet 2020 sur Optique Unterlinden. Par rapport à mon Meade c'est le jour et la nuit : les oculaires de base sont de bonne qualité, le champ est riche. Et puis bon, voilà quoi, la taille ça compte quand même 😄 Il est livré avec : Un Super Plössl 10mm et un 25mm 2 bagues pour passer en 1,25" un chercheur 9x50 La base fait 12,5kg, le tube 15kg. La seule modification que j'y ai apporté est le collage d'un patin en bas du tube pour éviter qu'il ne cogne trop fort contre la base au zénith (cf. photos plus bas). Comme ça c'est amorti, le miroir ne subit pas de choc en cas de mauvaise manip. En 2 ans je l'ai relativement couramment utilisé, avec une longue pause suite à mon déménagement à la campagne (et tout ce que cela implique). Alors, le test ! Déjà, vu le peu d'instruments que j'ai touché, mon avis est extrêmement subjectif et ce "test" pas du tout rigoureux. Mais au bout de 2 ans, j'ai pu identifier les points positifs et négatifs qui bénéficient ou nuisent à mes observations personnelles. Les plus : Le rapport qualité/prix : acheté 575€ neuf (les prix ont bien montés depuis), y'a rien à dire. Les oculaires livrés avec sont bons, il est solide, facile à régler, stable. La collimation est très stable. J'ai déjà lu et entendu des avis contraires, mais le mien n'a que faire des déménagement, des balades en voiture dans les chemins de forêt où les racines et pierres raclent le châssis de ma voiture quand mon GPS fait n'importe quoi, ça reste aligné. Bon par contre je suis très soigneux avec, les petits chocs sont rares. J'ai juste failli me vautrer avec le tube dans les bras à l'une de ses premières sorties 😱 Fichu trottoir. L'encombrement est correct : la base prend de la place, mais elle tient dans le coffre de ma 207. Le tube quant à lui tient tout juste sur ma banquette arrière. Je n'ai plus qu'à l'attacher avec 2 ceintures de sécurité et on est partis (voir photos). La simplicité de montage et d'utilisation. Bon c'est un Dobson, tout est dit. En prenant mon temps pour être précautionneux, je le monte en 2' tout compris : je sors la base du coffre, je la pose, je sors le tube je le pose dessus, je vis les 2 manettes de serrage, je fixe le chercheur, ma bague 2"-1,25" et voilà. Les manettes de serrage sont pratiques à utiliser (roulement à bille), la petite "boule" sous le tube pour le guider aussi. Le chercheur, 9x50 réticulé, est dingue. Beaucoup ne jurent que par le Telrad, mais quand on sait manier ce chercheur on peut être vraiment efficace. Il est super lumineux. Pour donner une idée par bon ciel j'y aperçois M51. Au niveau du champ, il est un tout petit peu plus grand que l'écartement entre Beta Lyr et Gamma Lyr, les 2 étoiles qui entourent M57. Il est entièrement démontable ce qui permet d'évacuer l'humidité en fin de séance (sans le déregler d'ailleurs). J'utilise une technique consistant à ouvrir les 2 yeux pour voir à la fois où je pointe dans le ciel et à la fois une version zoomée (mais inversée) de la zone. C'est pas du tout intuitif pour un débutant mais quand on est habitué c'est efficace. Par contre par ciel très sombre la réticule est difficile à distinguer. Après, un Telrad serait un très bon complément, c'est un achat que j'envisage. Le chercheur, une fois réglé avec 2 vis, ne bouge pas. Je le démonte systématiquement à la fin de la séance, la fois d'après je le remonte, il est toujours parfaitement réglé. Je le transporte dans une caisse à mousse. La collimation du primaire est facile avec le système de double vis : une pour verrouiller et une pour pousser/tirer le miroir. Les moins : Il supporte mal les oculaires très lourds. L'ES de 40mm de @bpollet, qui fait 1,2kg, est un poil trop lourd pour la monture. Il faut serrer les manettes au maximum et c'est pas stable. Le PO est assez mauvais : il existe une vis pour verrouiller le mouvement à coulisse, mais très compliquée à doser : trop serrée ça tourne dans le vide, trop lâche il descend tout seul à la moindre pression. Avec un oculaire lourd, il s'enfonce tout seul. Il y a peut-être un réglage à faire avec un tournevis. Je vais changer pour un crayford démultiplié. Les mouvements sur l'axe vertical sont doux grâce aux patins au niveau de l'axe et à la manette à roulement à billes, mais les mouvements sur l'axe horizontal sont beaucoup plus durs. On peut jouer sur une vis et un écrou (faut retourner la base c'est pas faisable en live), mais ça reste moins doux que les GSO que j'avais testé, qui lui était limite trop "glissant". Ca demande une certaine habitude pour être à l'aise. La collimation du secondaire est moins simple, il faut une clé Allen, on ne peut pas regarder dans l'oculaire et régler les 3 vis facilement. Le rack porte oculaire sur le côté de la base est difficile à fixer car le bois est très dur. En l'absence de visseuse électrique je n'ai pas pu le visser correctement. La hauteur du PO. Il n'existe aucune position convenable. Je suis systématiquement cassé en deux, ce qui rend mes séances plus qu'inconfortables. De plus, je ne suis pas très grand (1m70), j'imagine pas la galère pour les gens plus grands. Je vois 2 solutions : une chaise capable de monter et descendre, ou une base de 30 ou 50cm pour poser le socle. Mais bon, je pense que c'est un défaut que connaissent tous les Dobson... Quelques exemples d'observations "classiques" : M42 : superbe, sous ciel pollué il m'a semblé voir de la couleur, pas sûr. M57 : on peut zoomer sévèrement (x250) sans perdre de qualité. Les nébuleuses du Sagittaire sont bien brillantes, on voit du détail. M27 est très lumineuse. Toutes les planètes sont accessibles. M13 supporte très bien le grossissement (x250 là encore), c'est splendide. Quelques exemples d'observations "extrêmes" sous bon ciel : La double-double de la Lyre, sans aucun souci si bien collimaté, à x250 La naine blanche de M27 L'enroulement des bras de M51 Les dentelles du Cygne sans filtre, très ténues La bande de poussière de M31 Éclipse d'un satellite sur Jupiter Par un air très stable, des détails de fou sur Saturne à x500. En résumé, ce Sky-Watcher est de mon point de vue un excellent télescope pour se mettre un peu plus sérieusement au ciel profond. Évidemment ça reste de la grande série avec ses défauts et son miroir qui n'est pas artisanal, mais pour le prix c'est pas déconnant. Avant d'arriver au bout de ses capacité, on peut passer une sacrée poignées d'heures derrière l'oculaire. Le nombre de nébuleuses, d'amas et surtout de galaxies accessibles est dingue. Quand ma panoplie d'oculaires et de filtres sera complète, je ne serai pas prêt d'avoir fait le tour du ciel profond. 😁 2 CROA : Et quelques photos. Ici dans une C5 sur la route des vacances : Les bagues : Le chercheur : La manette de guidage : Le petit pare-choc rajouté à la base du tube : Le rack porte-oculaire : Une manette de serrage : Émile
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