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Universus

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Si jamais il est prouvé hors de tout doute que les forces fondamentales ne sont que des "conséquences" d'autre chose de plus simple, ce serait le plus grand avancé de l'histoire de la science. Mais est-ce la réalité?

 

Personnellement, je crois que oui, mais le "hors de tout doute" n'est pas encore là. Par contre deux forces sont , selon moi, à être effacées de nos esprits pour l'instant: la force de gravité et la force nucléaire forte. ;)

 

Amicalement

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bonjours tout le monde :be:

 

pour te rep elie ;

 

 

 

selon moi, à être effacées de nos esprits pour l'instant: la force de gravité et la force nucléaire forte./quote]

 

Peut-tu m' en dire plus elie , sur quoi te base-tu :?:

 

 

aurevoir

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Pour la force de gravité je me base sur la donnée d'Einstein qui dit que la force de gravité n'est qu'une conséquence de déformation de la géométrie de l'espace. (Ce qui m'agace est où, lui, il a pu avoir cette idée?)

 

Pour la force nucléaire forte je me base sur le fait que dans le plasma quarks-gluons, elle n,agit pas et j'explique alors le confinement des quarks par la loi que le "vide" (néant) ne peut pas exister dans l'univers.

 

Amicalement

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bonjours tout le monde :be:

 

Ça va pour einstein , je te comprend, et suis d' accord ;)

 

pour la force nucléaire, si les gluons n' agisse pas dans l' immédiat , et que les quarks sonts libres

 

Comme albert a dit plus loin , C'est à cause de la température et de la chronologie des événements,

qui selon albert,

 

les quarks serait apparus en premier et après les gluons :question:

 

et c' est pour ça que les quarks sont libres pendant un moment ;)

 

 

Qu, en pense-tu elie et les autres :?:

 

 

aurevoir

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bonsoirs tout le monde :lol:

 

Alors , explique- moi pourquoi elie sans te fâcher, pourquoi on appelle ça le plasma quark/gluon si ça serait l' inverse tout le monde l' appelerais le plasma gluon/quark, :?: non :!:

 

Si tu as raison , il y a quelque chose qui cloche :be::mdr:

 

Dis-moi ce que t' en pense ;)

aurevoir

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Apelle-le plasma gluons-quarks et le problème est réglé. :lol:

 

Sérieusement, les quarks sont considérés comme les constituants de la matière et ont probablement prépondérance dans nos esprit. On n'a qu'à penser à l'univers où il n'y a que tout au plus 10% de matière et on analyse l'univers sur la base matérielle au lieu de spatiale.

 

De toutes façons, un gluon se désintègre en une paire de quark/antiquark.

 

Et un quark collisionnant avec un antiquark produit des gluons (on m'avait fait remarquer le "s" pluriel). ;)

 

Remarque que le gluon possède un spin entier et que le quark possède un spin 1/2.

 

De toutes façon, la façon que se "fabrique" un proton au moyen de quarks et de gluons est l'un des grands sujets d'étude actuellement. On n'arrive pas à comprendre et les problèmes s'accumulent. Il y en a même un qu'on appelle la crise du spin. Alors on a devant nous un beau problème qui n'est pas encore solutionné.

 

Je me demande tout à coup si les déformations spatiales créées comme je l'ai décrit ne résoudrait pas les problèmes? Je vais me pencher là-dessus bientôt. :rolleyes:

 

Amicalement

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Est-ce que la collision d'un quark et de son antiquark ne produit que l'émission de gluons ou il y a en plus émission de photons? Ou simplement émission de photons?

 

Si la désintégration d'un photon gamma très énergétique donne un proton et un antiproton, que la désintégration d'un photon gamma moins énergétique donne un électron et un positron, est-ce que la désintégration d'un photon encore moins énergétique peut donner un quark et un antiquark?

 

:question:

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bonjours tout le monde :)

 

 

Moi ce que je dit est que l'émission d'un gamma accompagne une désintégration a ou b ou encore la capture d'un neutron par un noyau. ;)

 

Ces événements laissent généralement le noyau dans un état excité, c'est-à-dire avec un supplément d'énergie par rapport à son état naturel que les physiciens appellent « fondamental ». ;)

 

Le noyau perd alors cet excès d'énergie en une ou plusieurs étapes, émettant à chaque fois un « grain d'énergie électromagnétique », un photon gamma. ;)

 

La transition g est presque toujours immédiate. Elle peut exceptionnellement se produire avec un retard. Tel est le cas d'un état excité du technétium qui dure plusieurs heures et qui laisse le temps de l'utiliser dans les hôpitaux comme une source pure de rayons g. ;)

 

Comme l'atome, le noyau possède des états d'énergie bien définis. Le saut d'un état d'énergie à un autre se fait en émettant un g d'énergie unique, caractéristique de la transition et du noyau. La mesure de l'énergie des photons gamma constitue ainsi un moyen d'identification de la nature du noyau émetteur. ;)

 

aurevoir

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Donc, neo, si nous appliquons ce "fait" à ma proposition, lorsqu'une déformation contenant un proton et un champ électronique formant de l'hydrogène happe une autre déformation contenant un neutron pour former un atome de deutérium, il devrait se produire une émission d'un surplus d'énergie sous forme de quanta, c'est à dire émission d'un photon. C'est ça? Et est-ce prouvé?

 

 

 

Moi ce que je dit est que l'émission d'un gamma accompagne une désintégration a ou b ou encore la capture d'un neutron par un noyau

 

Amicalement

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bonjours tout le monde :)

 

Moi, je te répond , pourquoi pas ;)

 

mais je ne suis pas assez bon en physique pour te donner la réponse exact :confused:

 

demande ça à albert, lui sera te répondre mieux que moi ou à lamdao, eux se débrouille bien en physique ;)

 

Désolé , c' est trop pour ma petite tête ;)

 

 

aurevoir

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Ce n'est pas une question de "petite tête" c'est que tes infos se portent sur d'autres questions. ;) L'important est le questionnement, et non le "réponsement". :lol:

 

Je vais vérifier aussitôt que possible; mais si albert ou lamdao pouvaient répondre, ça simplifierait la recherche. ;)

 

Amicalement

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La capture d'un neutron, je pense que c'est en rapport avec la fission nucléaire. Un noyau atomique est heurté par un neutron en liberté, ce qui lui fait projeter deux à trois neutrons, un rayonnement gamma, de la chaleur et reste deux plus petits noyaux.

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Premièrement nous savons qu'un émission gamma est originaire du noyau de l'atome. C'est déjà un pas de fait. D'ailleurs, le fait qu'il soit originaire du noyau sert à le distinguer des rayons X. Ils sont d'ailleurs, également, plus énergétiques.

 

Voici l'info et, neo, tu avais raison:

 

 

L'émission d'un gamma accompagne une désintégration a ou b ou encore la capture d'un neutron par un noyau. Ces événements laissent généralement le noyau dans un état excité, c'est-à-dire avec un supplément d'énergie par rapport à son état naturel que les physiciens appellent « fondamental ». Le noyau perd alors cet excès d'énergie en une ou plusieurs étapes, émettant à chaque fois un « grain d'énergie électromagnétique », un photon gamma.

 

 

http://www.laradioactivite.com/pages/00_ph...le/03_gamma.htm

 

Universus, je ne comprends pas ton message. Un rayonnement gamma est l'émission d'un photon gamma. Le rayonnement alpha est l'émission de noyau d'hélium (2 protons + 2 neutrons) et le rayonnement beta est l'émission d'un électron (beta -) ou d'un positron (beta +).

 

Quand à la capture du neutron par un proton à l'origine de l'univers où n,existaient que des atome d'hydrogène est des neutrons libres, un atome d'hydrogène a bien du capturer un neutron sans rien briser pour produire du deutérium qui est le premier isotope d'hydrogène et le deuxième pas évolutif du tableau des éléments. Lors de la réunion des deux particules, (le neutron n'étant pas un noyau atomique, ce n'est donc pas une fusion) le proton fut excité et libéra un rayonnement gamma. Mais je ne suis pas certain que ce se soit produit lors de la fabrication du deutérium. Il semble que oui selon la règle.

 

Pour revenir à notre plasma gluons-quarks, nous avons oublier une caractéristique du plasma: Un plasma est normalement un gaz ionisé. Ici, on nous dit que ce gaz ionisé se comporte comme un liquide et on le considère donc comme un liquide...ionisé. Dans ce liquide ionisé on nous dit que les quarks sont libres dans une mer de gluons. Mais il doit bien y avoir des électrons en liberté dans cette soupe. Et comme les atomes ne sont pas encore formés on ne peut pas parler de ion positif (cations) ou ion négatif (anions) Alors comment peut-on parler d'un plasma? :?:

 

Amicalement

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Bon! On dirait que j'ai trouvé:

Dans le cas des plasmas de quarks / gluons, c'est légèrement différent(des gaz ionisés). On retrouve bien sa constitution à partir de très hauts niveaux d'énergie et donc de très hautes températures. L'indépendance ici concerne les quarks et les gluons qui ne sont plus liés. Un plasma étant en théorie un gaz ayant certaines propriétés, les chercheurs du RHIC se sont aperçus que l'état de la matière qu'ils avaient créée ressemblait à un plasma (indépendance des quarks et gluons) mais avec des propriétés plus proches de celles d'un liquide que d'un gaz ionisé.

 

http://www.onversity.com/cgi-bin/progactu/...b&P=N200504#090

 

Mais on ne parle pas d'électrons :?:

 

Amicalement

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salut à tous :)

 

Il faut prendre note qu'un exemple est celui de l'hydrogène et de ses deux isotopes, le deutérium et le tritium. Les cortèges électroniques sont réduits à un seul électron, car le noyau de l'hydrogène, du deutérium et de tritium n'ont qu'un seul proton. ;)

 

Les propriétés chimiques, la lumière qu'ils émettent et absorbent sont les mêmes. Par contre le deutérium est deux fois plus lourd que l'hydrogène (un neutron dans le noyau) et le tritium trois fois plus lourd (deux neutrons dans le noyau). ;)

 

Les isotopes de l'élément carbone constituent un second exemple. Un atome de carbone normal est composé de 6 électrons. Son noyau comprend 12 nucléons, 6 protons et 6 neutrons. ;)

 

Le cortège électronique n'est pas perturbé par l'ajout ou le retrait de neutrons qui ne modifie pas la charge électrique du noyau. Les propriétés chimiques restent les mêmes. L'atome est plus lourd ou plus léger, mais demeure du carbone. ;)

 

Variantes d'une même espèce chimique, les « isotopes » différent surtout par leurs propriétés nucléaires. Contrairement au cortège électronique et aux propriétés chimiques, l'ajout ou le retrait de neutrons a des effets sur le noyau. ;)

 

Il modifie son équilibre et conduit a des instabilités. Ainsi l'isotope 14 du carbone avec 8 neutrons, le Carbone-14, est radioactif. Cet isotope instable du carbone est produit dans l'atmosphère. ;)

 

Les isotopes radioactifs ont disparu à quelques exceptions près : quand leur durée de vie est très longue (cas de l'uranium), quand un mécanisme naturel les renouvelle (c'est le cas du carbone-14 et des descendants de l'uranium) ou encore quand l'homme en produit dans ses réacteurs ou accélérateurs. ;)

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bonjours tout le monde :)

 

À propos de l' hydrogène;

 

De tous les éléments chimiques, l’hydrogène est le plus léger car il possède la structure atomique la plus simple : son noyau se compose d’un unique proton et son atome ne compte qu’un électron. Il tient donc la première place dans la classification périodique de Mendeleïev. ;)

 

Chronologiquement, l’hydrogène est d’ailleurs l’ancêtre de tous les autres éléments. Présents dès les premiers instants de l’Univers, les noyaux d’hydrogène ont fusionné pour donner naissance à des noyaux plus lourds et plus complexes. ;)

 

et de plus ,Mais bien qu’il soit l’élément le plus abondant de la planète, l’hydrogène n’existe pratiquement pas dans la nature à l’état pur. L’hydrogène pourrait donc être converti en énergie de façon inépuisable… à condition de savoir le produire en quantité suffisante. ;)

 

 

aurevoir

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Elie, il est impossible de fendre un noyau d'hydrogène

 

Évidemment Universus.

 

Il modifie son équilibre et conduit a des instabilités. Ainsi l'isotope 14 du carbone avec 8 neutrons, le Carbone-14, est radioactif

 

Voilà et c'est cette "instabilité" provoqué par "l'exitation" du noyau qui provoque l'émission de rayonnement.

 

Un peu comme chez les humains. :laughing:

 

Amicalement

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salut à tous :)

 

-Savez-vous que , l'hydrogène est un métal : lorsqu'il est sous forme solide (très hautes pressions et très basses températures), il cristallise avec une liaison métallique (voir hydrogène métallique). ;)

 

Dans le tableau périodique des éléments, il est d'ailleurs dans la colonne des métaux alcalins. N'étant pas présent à l'état solide sur Terre, il n'est toutefois pas considéré comme un métal en chimie. ;)

 

 

De façon simpliste sa nature métallique est due à son électron périphérique sur son unique et dernière couche saturée à deux électrons. ;)

 

 

amicalement

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Extrêmement intéressant albert. ;)

 

Les scientifiques ont été étonnés de constater que, quand la pression atteint 1,4 million d'atmosphères, la largeur de la bande interdite de l'énergie électronique (une mesure de résistivité électrique) tombe presque à zéro.

 

L'espace de bande d'énergie électronique de l'hydrogène dans son état non comprimé est d'environ 15 eV, faisant de lui un isolant, mais à mesure que la pression augmente, la largeur de la bande interdite tombe graduellement à 0,3 eV. Puisque 0,3 eV sont fournis par l'énergie thermique du fluide (la température est montée à environ 3 000 K à cause de la compression de l'échantillon), l'hydrogène peut à ce moment être entièrement considéré comme métallique.

 

 

Je me demande quelle pression existait lorsque l'atome d'hydrogène est apparue dans l'histoire de l'univers? Par contre, il semble falloir plusieurs atomes d'hydrogène pour produire l'hydrogène métallique. Peut-on considérer un atome d'hydrogène dont l'électron n'est pas comprimé comme un métal?La question est passionnante au niveau de l'histoire de l'univers.

 

Amicalement

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salut à tous :)

 

pour ceçi;

 

Je me demande quelle pression existait lorsque l'atome d'hydrogène est apparue dans l'histoire de l'univers?

 

 

Les chercheurs ont employé des pistolets à gaz léger (utilisés à l'origine dans des études de missiles guidés des années 1960) pour tirer sur une plaque à impacts placée dans un récipient scellé contenant un échantillon d'hydrogène liquide épais d'un demi-millimètre.

 

D'abord, à une extrémité du pistolet, l'hydrogène a été refroidi environ à 20 K à l'intérieur d'un récipient qui contient une batterie reliée par des fils à un enroulement de Rogowski et à un oscilloscope ; les fils touchent également la surface de l'hydrogène à plusieurs endroits, ainsi l'appareil peut être utilisé pour mesurer et enregistrer sa conductivité électrique.

 

À l'extrémité opposée, jusqu'à 3 kg de poudre sont mis à feu. L'explosion résultante pousse le piston d'une pompe, comprimant le gaz à l'intérieur. Par la suite le gaz atteint une pression assez élevée pour ouvrir une valve à l'extrémité opposée de la chambre. En pénétrant le "baril" mince, il a propulsé la plaque à impacts en métal recouverte de plastique dans le récipient à une vitesse de 8 km/s, comprimant l'hydrogène à l'intérieur.

 

Les scientifiques ont été étonnés de constater que, quand la pression atteint 1,4 million d'atmosphères, la largeur de la bande interdite de l'énergie électronique (une mesure de résistivité électrique) tombe presque à zéro.

 

L'espace de bande d'énergie électronique de l'hydrogène dans son état non comprimé est d'environ 15 eV, faisant de lui un isolant, mais à mesure que la pression augmente, la largeur de la bande interdite tombe graduellement à 0,3 eV. Puisque 0,3 eV sont fournis par l'énergie thermique du fluide (la température est montée à environ 3 000 K à cause de la compression de l'échantillon), l'hydrogène peut à ce moment être entièrement considéré comme métallique.

 

source; http://fr.wikipedia.org/wiki/Hydrog%C3%A8ne_m%C3%A9tallique

 

 

Qu, en pense-tu

 

 

amicalement

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Je pense que 1,4 millions d'atmosphère c'est très "pressurisé" et doit augmenter la densité et la chaleur énormément. À l'origine de l'univers on devrait retrouver ce genre de densité et de chaleur. Ce qui donnerait des infos supplémentaires sur l'histoire de l'univers mais qui donnerait également des maux de têtes, je crois. :?: Je garde ton info en mémoire. ;) L'indication de la température à 3,000 K devrait être un bon point de repaire pour dater l'époque dans l'histoire de l'univers si d'autres facteurs n'éliminent pas sa possibilité d'avoir existé à l'origine. Mais il faut que cette date soit nécessairement postérieure ou identique à l'apparition d'atomes d'hydrogène et non avant.

Regarde ce que je viens de trouver:

 

3000 K, c'est donc la température à laquelle les photons vont pouvoir se libérer, et c'est le point de départ du rayonnement fossile.

Ce qui veut dire que l'image du ciel vue par le satellite COBE correspond à l'image de l'univers lorsqu'il était à 3000 K

 

On a l'âge de l'univers à 3000 k. C'est 300,000 ans après le Big bang. ;) C'est le moment où les photons se sont libérés. L'expérience de l'hydrogène métallique crée un questionnement extraordinaire: Est-ce que ça change quelque chose dans l'histoire du développement de l'hydrogène qu'il soit complètement métallique à cette époque? Est-ce que ça a une implication avec le fait que les photons se libèrent? Et sûrement d'autres questions qui ne me viennent pas tout de suite à l'esprit, dont cele-ci qui m'arrive:Est-ce que l'hydrogène est déjà formé lors de la libération des photons? Toutes des questions qui me semblent importante pour déterminer l'évolution de l'univers.

 

Amicalement

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Voici le texte neo:

L'hydrogène métallique est présent en énormes quantités à l'intérieur de Jupiter, Saturne et certaines exoplanètes. L'intérieur de ces planètes est sujet à d'importantes forces de compression gravitationnelles.

 

Les modèles de l'intérieur de ces planètes avaient pris pour acquis que l'hydrogène se métallifiait à de plus hautes pressions que celles ayant été découvertes subséquemment. Par conséquent, le noyau métallique de Jupiter est plus près de la surface que prévu et son champ magnétique, le plus fort de toutes les planètes du système solaire, est donc produit également plus près de la surface que prévu.

 

 

Je l'ai placé pour ceux qui n'iront pas voir le lien. :confused:

 

Mais ça ne dit pas si nous avons affaire à un métal solide ou liquide??? Et comme la pression (compression gravitationnelle) à l'intérieur est énorme, il est possible que cet hydrogène métallique soit liquide, et si la pression est assez grande qu'il soit solide. Je vais essayer de trouver.

 

Bon selon ce lien

http://www.biodeug.com/cours/planeto6.php

 

Il n'y aurait pas de surface solide sur Jupiter, L'hydrogène y serait liquide même si, et là ça me surprend, la pression sur Jupiter est 1/106 atmosphère terrestre. On ne parle pas évidemment de la pression interne de la planète.

 

Amicalement

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bonjours tout le monde :)

 

Merçi elie pour tes précisions ;)

 

Donc, au-dessus du noyau repose la plus grosse partie de la planète, sous forme d'hydrogène métallique liquide. ;)

 

Cette forme exotique du plus commun des éléments n'est possible qu'à une pression excédant les 4 millions de bars. L'hydrogène métallique liquide consiste en des protons ionisés et des électrons (comme l'intérieur du Soleil mais à une température bien moindre). ;)

 

A la température et la pression qui règnent dans Jupiter l'hydrogène n'est plus un gaz mais un liquide. C'est aussi un bon conducteur électrique, ce qui explique l'origine du champ magnétique de Jupiter

 

 

aurevoir

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Bin là, c,est toi qui m'a perdu. Je vais vérifier tout ça à un moment donné.

 

Comme quoi chacun développe sa propre spécialité selon ses intérêts et aucun n'est plus "supérieur" à l'autre. J'aime ça cette "égalité"; je trouve cela équitable. ;) Et en plus, ça nous indique qu'il vaut mieux travailler en équipe. B)

 

Amicalement

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