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Effondrement Gravitationnel


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(texte cité)

Dans le cas du champ électromagnétique' date=' une identité de Green permet de transformer une intégrale de volume en intégrale de surface (modulo une équation différentielle décrivant la propagation), ce qui implique que le champ en chaque point d'un volume fermé est déterminé par sa valeur au niveau de la surface. Si on comprend la nature de cette transformation, ce n'est pas si anti-intuitif.

[/quote']

J' imagine que tu veux parler du théorème de Gauss ? Ce n' est pas la nature de la transformation qui induit cette propriété, mais la nature des équations différentielles définissant le champ. En particulier, ça ne marche pas avec les champs à divergence non nulle, il me semble.

 

Il y a pas mal de situations en physique où la connaissance d'une grandeur sur une surface détermine sa valeur dans un volume : on dispose d'un système d'équations différentielles décrivant l'évolution spatio-temporelle du champ (EM ou autre) en chaque point de l'espace, et des conditions aux limites sur une surface, et on se débrouille pour montrer l'existence et l'unicité du champ en chaque point du volume.

Ce n' est pas le cas général. Je ne crois pas que ça marche avec la gravitation, par exemple.

 

Dans le cas des trous noirs il s' applique à des grandeurs pour lesquelles habituellement le théorème de Gauss ne s' applique pas (l' Entropie et la température notamment)

Le principe holographique postule qu' il en est de même pour l' Univers pris dans son ensemble, il me semble.

 

A+

--

Pascal

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(texte cité)

J' imagine que tu veux parler du théorème de Gauss ? Ce n' est pas la nature de la transformation qui induit cette propriété' date=' mais la nature des équations différentielles définissant le champ. En particulier, ça ne marche pas avec les champs à divergence non nulle, il me semble.

[/quote']

 

Non, il ne s'agit pas du théorème de Gauss. Je faisais allusion à l'intégrale de diffraction. Mais ce n'était qu'un exemple.

 

(texte cité)

Ce n' est pas le cas général. Je ne crois pas que ça marche avec la gravitation' date=' par exemple.

Dans le cas des trous noirs il s' applique à des grandeurs pour lesquelles habituellement le théorème de Gauss ne s' applique pas (l' Entropie et la température notamment)

Le principe holographique postule qu' il en est de même pour l' Univers pris dans son ensemble, il me semble.

[/quote']

 

Ce n'est pas le cas général, effectivement, mais c'est quand même une situation qui revient souvent. Ca ne marche pas toujours quand l'évolution du champ est décrite par des EDP d'ordre supérieur ou égal à deux, ou quand les équations ne sont pas linéaires (et les équations d'Einstein sont bien non linéaires, surtout avec les champs intenses au voisinage d'un trou noir).

 

Mais bon, je ne suis pas si sûr qu'on parle de la même chose, et il n'y a peut-être qu'une vague analogie. Il faudra que je regarde plus en détail ce qu'est ce principe holographique.

 

A+

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salut à tous :be:

 

excellent lien néo et très intéressant ;)

 

 

 

Avant tout ça prend une Analyse Dimensionnelle de la théorie de holique.

 

Cette pratique permet, avec comme point de départ, les constantes physiques pertinentes , de prévoir l’ordre de grandeur des quantités physiques qui risquent d’apparaître dans ce domaine nouveau. :?:

 

Bien sûr , pour les FORMALISTES, cela ne tient pas deboût :?:

 

Des scientifiques comme Planck ont même démontré que les unités, ainsi que leur nombre, étaient arbitraires :?:

Il y a donc une scission fondamentale entre les physiciens : ceux qui " sentent " une distinction entre le Temps et l’Espace. :?:

 

Et de l' autre côté nos formalistes , en automates inconscients qu’ils sont en fait, assimilent allégrement Espace et Temps, et font dans leurs formules h = c =1… :?:

 

L'annalyse dimensionnelle donna comme résultat que à partir de G, h et c). Il en avait déduit dans son article de Cambridge que les constantes universelles et les masses des particules sont invariantes :?: .

 

Les rapports sans dimensions sont même reliés à une série mathématique ! la Série Décisive, prouvant ainsi leur caractère de constantes mathématiques ! :question:

 

amicalement

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Bof. Tout le monde sait que la constante universelle fondamentale, la réponse à toute chose, contenant le passé, le présent, et le futur, le sens de la vie, en un mot, la pierre philosophale de toute science, définissant la place de l'Homme dans l'ordre cosmique, est égale à 42 :be:

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Bon, je précise quand même : j'ai connu F.Sanchez pendant que j'étais étudiant à Orsay, et à l'époque (ça commence à dater !) il m'a donné l'impression de s'amuser comme un petit fou avec ses théories tarabiscotées, à tel point que je me suis toujours demandé s'il y croyait vraiment, ou si ce n'était pas un gros canular. Sinon c'était assez amusant : on fait un innocent TP d'optique (d'holographie justement), avec quelques lentilles et laser, et pouf, le gars arrive et commence à nous parler d'Einstein, du cosmos, etc.

Ca surprend un peu quand même.

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salut à tous :lol:

 

ça doit être ça lamdao ;):mdr:

 

-Le rayon de Hubble est actuellement connu avec une imprécision trop grande pour se prêter à des corrélations significatives.

Sa valeur officielle est Rmes=(1.3 ± 0.2) 1026 mètre. Par contre, le rayonnement de fond cosmique, qui suit remarquablement la distribution spectrale d'un équilibre thermique, a une température assez bien déterminée: Tfc = 2.728 ± 0.002 Kelvin. Ce spectre thermique a une longueur d'onde caractéristique lfc = hc/(kTfc) = 5.274 ± 0.004 mm et un maximum d'émission donné par l'historique loi de Wien : l'fc= lfc/u = 1.0622 mm, où u = 4.96511 est une constante mathématique caractéristique de la loi de Planck.

 

-Ces longueurs doivent être comparées avec les longueurs caractéristiques de la Physique.

L'analyse dimensionnelle permet de définir, à partir des trois constantes universelles G, c et h= h/(2p ) la "longueur de Planck" lP = (Gh/c3)1/2 = 1.6161 x 10-35 mètre.

L'imprécision sur cette valeur est déterminée par celle de G, environ 10-4.

 

Une autre longueur fondamentale est re = 2.81794 x 10-15 mètre, à la fois "rayon classique de l'électron" et dimension caractéristique du noyau nucléaire. Celle-ci est connue à 10-7 près. Son expression officielle, en fonction des constantes universelles, est qe2/(4p e0mec2), mais puisque 4p e0hc/qe2 est le nombre sans dimension a = 137.03599, son expression économique est re = h/amec.

 

Alors -là ,le big-bang mange une tape sur la gueule car,Il suffit donc de montrer qu'un seul de ces paramètres est invariant pour invalider ce modèle. :question:

 

 

amicalement

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(texte cité)

Et de l' autre côté nos formalistes ' date=' en automates inconscients qu’ils sont en fait, assimilent allégrement Espace et Temps, et font dans leurs formules h = c =1…

[/quote']

Ben oui, et c' est légitime. Faire c=1 et h=1 changent l' unité de mesure des valeurs calculées, mais pas les équations. C' est juste une convention,comme de mesurer les distances en mètres ou en miles ...

Il n' y a rien 'd' automates inconscients' la dedans :b:

Il faut juste ne pas oublier dans quelle unités sont exprimés les valeurs numériques à la fin des calculs ...

 

A+

--

Pascal.

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salut à tous :be:

 

 

 

Parcontre, la simple considération de la formule donnant le nombre caractéristique de la sphère de Hubble considérée comme un hologramme lu par la longueur d'onde dominante du rayonnement cosmologique, suffit à réfuter le Big Bang, de façon immédiatement vérifiable à la calculette scientifique: :question:

 

Sgº 4p (R/lgmax) 2» e 137.037 ± 0.02

 

Où R est simplement donné par R/2 = re3/lP2 la seule combinaison du rayon classique de l'électron re et de la longueur de Planck lP qui élimine c, (le Troisième Pilier de la Physique), soit R » 18,11 x 109 années-lumière :question: .

 

Ce ne peut être aussi simple.

 

D,après la théorie holique , l'extension de l'Univers, loin de se ralentir, augmente de façon exponentielle, l'Univers ne tend pas vers une mort thermique, qu'elle soit froidure ou fournaise et est beaucoup plus vieux (et non plus jeune) que 20 milliards d'années :?: .

 

La nouveauté apportée par la cosmologie holique est que "l'extension" s'opère à la densité constante, tendant vers la densité critique. :?:

 

De plus, elle se démarque des cosmologies parallèles telles que celles de Hoyle, par l'idée unificatrice à la racine de la théorie holique, qui veut que le temps qui s'écoule est porteur d' expérience, qui, loin d'être perdue est accumulée sous forme d'une information : voila le rôle des particules (par contre chez Hoyle, il y a "pure création", sans définition du rôle de la matière.) :?:

 

Le rayonnement cosmique, loin d'être un bruit, est porteur de la mémoire du passé. Dans ces conditions, le Second principe de la Thermodynamique doit être sérieusement amendé. :?:

 

 

amicalement

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salut à tous :be:

 

C'est ton avis néo , je respscte ça ;)

 

mais parcontre les implications en cosmologie sont considérables :?: :

 

-l'extension de l'Univers, loin de se ralentir, augmente de façon exponentielle, l'Univers ne tend pas vers une mort thermique, qu'elle soit froidure ou fournaise et est beaucoup plus vieux (et non plus jeune) que 20 milliards d'années. :?:

 

La nouveauté apportée par la cosmologie holique est que "l'extension" s'opère à la densité constante, tendant vers la densité critique :?: .

De plus, elle se démarque des cosmologies parallèles telles que celles de Hoyle, par l'idée unificatrice à la racine de la théorie holique, qui veut que le temps qui s'écoule est porteur d' expérience, qui, loin d'être perdue est accumulée sous forme d'une information : voila le rôle des particules (par contre chez Hoyle, il y a "pure création", sans définition du rôle de la matière.) :?:

 

Le rayonnement cosmique, loin d'être un bruit, est porteur de la mémoire du passé. Dans ces conditions, le Second principe de la Thermodynamique doit être sérieusement amendé. ;)

 

 

amicalement

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(texte cité)

Le rayonnement cosmique' date=' loin d'être un bruit, est porteur de la mémoire du passé. Dans ces conditions, le Second principe de la Thermodynamique doit être sérieusement amendé. ;)

[/quote']

 

Salut albert

 

Etant donné le contexte, je suppose que tu voulais parler du rayonnement cosmologique (et non des rayons cosmiques).

Je ne comprends pas cette phrasei. Il me semble que le rayonnement cosmologique est très isotrope, et contient donc très peu d'information. La seule information portée est la température du corps noir correspondant. On ne voit pas bien ce qu'est cette "mémoire".

Et pourquoi le second principe devrait-il être "amendé" ?

Peux-tu développer et expliquer ?

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salut à tous :?:

 

bien sûr lamdao; ;)

 

pourquoi on doit amender le second principe,

 

En utilisant la conservation de la "multiplexité" (nombre de canaux d'information) de la théorie holique, des relations sont déduites, qui relient les grandeurs cosmologiques et les paramètres libres de la microphysique, avec notamment prédiction d'une masse de "grande unification": 3,83 1015 GeV/c2 où la force nucléaire proton-neutron s'identifie avec la force gravitationnelle, dans le cadre d'un modèle de supercorde cosmique...

 

Certaines relations contenues dans le pli cacheté suggèrent que le rayonnement gravitationnel cosmique peut assurer la stabilité des particules principales, et qu'il pourrait être identifié, comme le soupçonnait Weber, à la source manquante de gravitation, (souvent, désignée par "masse cachée", alors qu'il faudrait dire "champ de gravitation" cachée...), ainsi qu'avec la "comatière" de la théorie holique.

 

vraiment très intéressante cette théorie car en plus elle réfute le big-bang :?:

 

amicalement

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Tout celà est très profond (traduction: j'y comprend rien), mais je ne vois toujours pas le lien avec le Second Principe. Et quelles sont ces mystérieuses relations qui seraient contenues dans un pli cacheté ?

Si cette théorie réfute le Big Bang, comment explique-t-elle le red-shift, ou l'abondance des éléments ?

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salut à tous :be:

 

En effet lamdao ceçi est très complexe et je n' y comprend pas grand chose aussi, et je me cherche dans tout ça :D

 

lis bien le reste ,

 

La conservation topologique corde-surface de la multiplexité, rapportée à la longueur de Planck, s'identifie avec la formule de Schwarzschild donnant le rayon d'un trou noir, par l'intermédiaire de l'entropie de Bekenstein-Hawking.

 

De plus, cette unification cosmologie-microphysique est clairement reliée à la théorie des supercordes: le nombre de dimensions 26 caractéristique de la théorie bosonique des supercordes correspond, sur la "droite topologique" m(n)=exp(2n/4), au rayon de Hubble, et les réductions dimensionnelles n-4 fournissent les bosons des forces: X(n=22), g(n=18), W(n=14), Pion(n=10).

 

Les points n=6 et 2 devraient donner la masse du gluon et d'un sous-gluon: c'est le "nodon"2 partenaire du nodon 3 dans la structure du quark d, comme annoncé en 1995 (ANPA, Cambridge) n(u)=5, n(d)=6. Les autres quarks pourraient être donnés par la "droite topologique": n(s)=10, n©=12, n(B)=13, n(t)=15. En résumé:

 

Unification Cosmologie-Microphysique

 

Elimination du modèle actuel du Big Bang, donc du "mirage anthropique"

 

Interprétation de la masse comme mesure du nombre de canaux d'information

 

Confirmation des théories standards (justification et estimation des masses des bosons de Higgs et X), avec extension vers les sous-gluons 2, 3 et 5.

 

Elimination de la continuité spatiale: l'atome d'espace le "topon"à 10-96 m.

 

Calcul du rayon de Hubble de l'Univers observable: 7,71 x 1026 m (Constable 1995)

 

Immersion de l'Univers observable dans un Cosmos 1060 fois plus étendu, voir Invariance quanto-topologique

 

Au vu des résultats acquis en solitaire, on peut prévoir des développements spectaculaires s'il est possible de réunir une équipe multidisciplinaire autour de ces travaux.

 

Cette découverte est marqué du sceau de la simplicité que les pères fondateurs ont méprisée (à part Eddington, lequel s'est vu, de ce fait, rejeté par la communauté de ses pairs):

 

voilà l'origine de la crise en Physique Théorique. En liaison avec le stupéfiant "oubli" de la multiplexité, leur interprétation des phénomènes quantiques est d'une absurdité non nécessaire, fort justement critiquée par l'ensemble du public, lequel rejette donc la science dans la même foulée.

C'est pourquoi un ouvrage de réhabilitation de la physique s'impose maintenant, avec une claire connotation informative et biologique... :?:

 

 

amicalement

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salut à tous :lol:

 

 

l'existence d'une cinquième interaction fondamentale dont le médiateur est (le boson de Higgs.) :?::question:

 

-Une nouvelle interaction de nature un peu différente des deux (forte et électrofaible) autres et une nouvelle particule de spin 0: le boson de Higgs.

 

Les interactions entre les fermions élémentaires de masse nulle et le boson de Higgs donnent alors une masse à ces fermions, correspondant donc à la réalité telle qu'elle est observée.

 

Le modèle standard dans sa forme actuelle fait donc une double prédiction:

 

-l'existence d'une nouvelle particule de spin 0, le boson de Higgs, :?:

 

-l'existence d'une cinquième interaction fondamentale dont le médiateur est le boson de Higgs. :?:

 

-La recherche expérimentale actuelle en physique des particules est donc orientée particulièrement vers la vérification de cette double prédiction, en particulier avec le futur accélérateur du CERN, le LHC. :?:

 

A noter que son prédécesseur, le LEP, a peut-être déjà observé quelques bosons de Higgs en 2000, mais le nombre de candidats était insuffisant pour être sûr que ce n'était pas une simple fluctuation statistique... ;)

 

 

amicalement

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salut à tous :lol:

 

 

De quoi est constituer la matière, quels sonts ses propriété :question:

 

(1) Les fermions ;

 

Ils ont un moment angulaire (spin assimilable à la rotation de la particule sur elle-même) multiple de demi-entiers (1/2, 3/2..) et répondent au principe de l’exclusion de Pauli. ;)

 

(2)le boson ;

 

Les bosons sont les particules médiatrices des forces d’interactions. Ils ont leur spin de valeur entière (0, 1, 2..), et passent outre le principe de Pauli ; ils peuvent donc être dans un même état physique (même localisation, même charge, même spin). L’exemple le plus parlant est celui du rayon laser. En effet, les photons font partie de la famille des bosons ce qui autorise donc physiquement à les « regrouper ». :?:

 

(3)Le boson de higgs;

 

Le modèle standard est en fait incomplet. En effet, il prédit l’existence du boson de Higgs : particule de spin égale à 0 et qui permettrait de donner aux autres particules leur masse. :?:

 

De plus Le graviton serait le bosson virtuel à l’origine de l’interaction gravitationnelle. La théorie le prédit, mais il n’a encore jamais été observé, à l’inverse de tous les autres. :?:

 

 

Lorsque l’on parle de masses pour ces particules, elles sont exprimées en Gev/c². En effet, rappelons-nous de la formule si célèbre E=mc², la masse est une forme d’énergie avec 1Gev=1,6.10-10 Joules. Un proton a pour masse 1.67*10-27 kg, :?:

 

On remarquera la différence de masse très importante entre les différents quarks. De même, il est à noter qu’aussi étonnant que cela puisse paraître, si l’on additionnent la masse des deux quarks, un up et un down, qui constituent le proton, on obtient une masse totalement différente de celle du proton . :?:

 

Cela vient du fait que l’environnement dans lequel évoluent ces quarks n’est pas un simple vide. A cette échelle, on parle de vide quantique. :?:

 

En effet, la notion du vide en physique des particules prend un sens différent du sens commun. De ce vide sortent des paires de quark antiquark qui s’annihilent immédiatement mais qui, à l’échelle des nucléons doivent être pris en compte. :?:

 

 

amicalement

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bonjour tout monde :be:

 

Le modèle standard est en fait incomplet. En effet, il prédit l’existence du boson de Higgs : particule de spin égale à 0 et qui permettrait de donner aux autres particules leur masse.

 

Peut-tu m' expliquer , je ne comprend plus rien ton boson de higgs est un cauchemar :question:

 

comment peut-il être dans la même famille que le photon, ûisque le photon n' a pas de masse et le boson en a une :question:

 

 

aurevoir

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Les bosons sont une catégorie de particules qui ont un spin (moment angulaire, rotation...) entier. De plus, comme l'a fait remarqué albert einstein, ils ne sont pas sujettes au principe exclusion de Pauli (je ne le connais pas très bien, mais c'est grosso modo l'état quantique de la particule qui peut être le même pour deux particules).

 

À partir de là, on voit qu'on boson est décrit par la statique de Bose-Einstein. Plusieurs types de particules sont des bosons, dont les vecteurs d'interaction (photon, W-, W+, Z0, gluon, graviton, Higgs...), les atomes d'hélium et les noyaux il me semble.

 

C'est que le modèle standard prévoyait, il me semble, des particules sans masses, ce qui n'a aucun sens réel par l'expérimentation. Le boson de Higgs a été introduit pour donner des masses à certaines particules, dont elle-même. Mais puisqu'il faut d'énormes énergies pour qu'il soit perceptible, on a pas vraiment pu le trouver, mais en 2007, le LHC je pense devrait en avoir les capacités.

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salut à tous :be:

 

C'est ça universus ;)

 

et pour Le principe d'exclusion de Pauli;

 

Le principe d'exclusion de Pauli formulé en 1925 par Wolfgang Pauli interdit à deux fermions de se trouver au même endroit dans le même état quantique.

 

Ainsi dans l'atome, tous les électrons ont des nombres quantiques différents et c'est le cas dans tous les autres système de fermions... ;)

 

 

amicalement

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bonjour à tout monde :be:

 

Voiçi une description du LHC;

 

http://www.quantique.net/lhc.htm

 

La conservation topologique corde-surface de la multiplexité, rapportée à la longueur de Planck, s'identifie avec la formule de Schwarzschild donnant le rayon d'un trou noir, par l'intermédiaire de l'entropie de Bekenstein-Hawking. De plus, cette unification cosmologie-microphysique est clairement reliée à la théorie des supercordes : le nombre de dimensions 26 caractéristique de la théorie bosonique des supercordes correspond, sur la "droite topologique" m(n) = exp(2n/4), au rayon de Hubble, et les réductions dimensionnelles n-4 fournissent les bosons des forces: X(n=22), g(n=18), W(n=14), Pion(n=10).

 

Les points n=6 et 2 devraient donner la masse du gluon et d'un sous-gluon: c'est le "nodon"2 partenaire du nodon 3 dans la structure du quark d, comme annoncé en 1995 (ANPA, Cambridge) n(u)=5, n(d)=6. Les autres quarks pourraient être donnés par la "droite topologique": n(s)=10, n©=12, n(B)=13, n(t)=15. ;)

 

voilà ou je voulais en venir la théorie BOSONIQUE des supercordes ;)

 

 

aurevoir

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salut à tous :be:

 

merçi néo de ta réponse;

 

mais, il faut prendre en considération que l' une conséquence essentielle de la théorie des cordes est que la physique observable de l'univers connu peut être formulée comme résultant de deux géométries apparemment incompatibles :?: :

 

celle « telle que nous la voyons » et une autre, beaucoup plus petite que la longueur de Planck. Puisque les deux géométries amènent à la même physique observable, mais que les phénomènes dans l'échelle la plus petite sont au-delà de nos possibilités d'investigation, :?:

 

il y eut d'importantes discussions sur l'impact de la théorie des cordes concernant la philosophie des sciences (est-ce une « science » si l'on ne peut faire d'expérimentations pour la réfuter ?) et la philosophie des mathématiques (si deux géométries amènent à la même physique, la géométrie elle-même ne devrait-elle pas refléter le même univers que celui dans lequel vivent ses inventeurs et codificateurs, et prouver qu'il n'y a qu'un seul phénomène commun que les deux géométries reflètent ?) :question:

 

 

amicalement

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Dans la théorie des cordes, un autre problème s'affiche: la portée de la gravitation. Si on estime l'intensité de la gravitation à f=1/r², dans un espace à trois dimensions (laissons le temps pour ça), alors quand r double, f est divisé par 4. Mais si on ajoute des dimensions, alors quand r double, f est divisé de plus de 4, ce qui est en accord avec la formule, mais pas avec l'observation.

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Pour ajouter une précision concernant les bosons et les fermions, un système de particules composé d'un nombre paire de fermions est un bosons. Si ce nombre est impair, alors le système est un fermions.

 

Exemple de fermions :

 

noyau d'hydrogène (un proton = 1)

noyau de tritium (un proton et deux neutrons = 3)

noyau d'hélium léger (deux protons et un neutron = 3)

atome de deuterium (un proton, un neutron, et un électron = 3)

atome d'hélium léger (deux protons, un neutrons, et deux électrons = 5)

...

 

Exemple de bosons :

 

atome d'hydrogène (un proton et un électron = 2)

noyau de deuterium (un proton et un neutron = 2)

atome de tritium (un proton, deux neutrons, et un électron = 4)

noyau d'hélium ou particule alpha (deux protons et deux neutrons = 4)

atome d'hélium (deux protons, deux neutrons, et deux électrons = 6)

...

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Bonjour tout monde :be:

 

J' ai trouver la première et la deuxième réponse à albert ;)

 

Comment agissent les W+, W- et Z0 ?;

 

Dans la théorie électrofaible, l'interaction faible présente deux aspects :

 

(1)l'interaction faible par courants chargés où les vecteurs de l'interaction sont les W+ et W-,

 

(2)l'interaction faible par courant neutre où le vecteur de l'interaction est le Z0.

 

Ces deux formes de l'interaction faible agissent entre tous les fermions élémentaires, en particulier c'est la seule interaction à laquelle est sensible le neutrino. ;)

 

La masse des W et du Z0 est très élevée (80GeV pour les W et 91GeV pour le Z0, soit presque cent fois plus qu'un proton), la portée de l'interaction faible est donc très courte, de l'ordre de 10-18m ! :oo:

 

Les W ont une charge électrique non nulle, ce qui signifie que lors de l'échange d'un W, les fermions changent de charge électrique, ils changent donc aussi de saveur (on appelle la "saveur" d'un fermion sa nature : électron, neutrino, quark u, quark d, etc...). ;)

 

Ainsi, la radio-activité beta d'un neutron est expliquée par l'émission d'un W- par un quark d du neutron, qui change donc alors de saveur et devient un quark u, puis le W- se matérialise en un électron et un anti-neutrino électronique. ;)

 

Schéma de désintégration d'un quark d (en rouge) en un quark u (en magenta) avec émission d'un W- (en bleu) qui se matérialise en un électron (en noir) et un anti-neutrino électronique (en blanc). Le temps va de la gauche vers la droite. ;)

 

Le Z0 n'a pas de charge électrique, il n'y a donc pas de changement de saveur lors d'une interaction faible par courant neutre. En fait, l'interaction faible par courant neutre est assez similaire à l'échange d'un photon. En règle générale, si deux fermions peuvent échanger un photon, ils peuvent aussi échanger un Z0. Par contre, un neutrino peut échanger un Z0 avec une autre particule mais pas un photon ;) .

 

et pour le modèle standard;

 

le modèle standard n'est pas la théorie ultime de la physique. La raison principale est l'absence de la gravitation dans la théorie. Ensuite, le modèle standard est incapable d'expliquer l'existence des trois familles de fermions, ni de prédire leurs masses. ;)

 

Enfin, il semble naturel de tenter d'unifier toutes les interactions, ce qui a partiellement été fait avec la théorie électrofaible, en une seule interaction universelle (c'est ce qu'on appelle les théories de grande unification). ;)

 

Ainsi, la recherche continue pour tenter de percer les mystères de la matière, sur le plan expérimental comme sur le plan théorique... :?:

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

aurevoir

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salut à tous :be:

 

Mreçi beaucoup néo , c'est très instructif :be:

 

le modèle standard n'est pas la théorie ultime de la physique. La raison principale est l'absence de la gravitation dans la théorie. Ensuite, le modèle standard est incapable d'expliquer l'existence des trois familles de fermions, ni de prédire leurs masses.

 

Est-ce-que quelqu' un pourrait expliquer tout ça clairement :question:

 

 

amicalement

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(texte cité)

 

Est-ce-que quelqu' un pourrait expliquer tout ça clairement :question:

 

 

Dans le modèle standard les masses des particules sont des paramètres "libres", qu' il faut mesurer par l' expérience. Rien ne "force" la masse du neutron et celle du proton à etre proche, ni même à etre non nulle.

 

De plus, le modèle standard est un modèle perturbatif, dans lequel on néglige les intéractions entre particules "virtuelles" (style : photon-> anti electron + electron -> photon), appelées "boucles", au delà d' une certaine "profondeur" (variable selon la théorie considérée). Cette "coupure" se justifie par la décroissance rapide des probabilité d' observer de telles intéractions. Manque de chance, quand on rentre la gravitation dans ce modèle, on constate que la probabilité d' intéraction entre deux, trois, ... gravitons ne décroit pas (parce que la gravitation est toujours attractive), ce qui ne permet pas de justifier la coupure, et on ne peut donc pas inclure la gravitation dans la structure du modèle standard.

 

A+

--

Pascal.

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