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La Structure De L'univers


Elie l'Artiste

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salut à tous :mdr:

 

tu sais elie, il y a beaucoup de phénomène spécial sur une étoile à neutron :?:

 

au moment de sa création, l' étoile à neutron va récupérer le mouvement rotation de l' étoile qu' elle était auparavent.( conservation du mouvement cinétique) :?:

 

avec sa minuscule taille, elle va se mettre à tourner très rapidement sur elle-meme, :?:

 

avec ce qui suit comme conséquense;

 

intense champs magnétique conjugué à une rotation rapide,l' étoile à neutron devient un générateur de courant comme la dynamo d' une vélo qui roule. :?:

 

donc, le mouvement de l' étoile est proportionnel à la masse, à la vitesse angulaire et au rayon de l' étoile

c' est la conservation du moment angulaire. :?:

 

 

 

amicalement

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au moment de sa création, l' étoile à neutron va récupérer le mouvement rotation de l' étoile qu' elle était auparavent.( conservation du mouvement cinétique)

 

:lol::lol: S'il y a "conservation", il ne peut pas y avoir "récupération". Soyons logique quelque peu.

 

avec sa minuscule taille, elle va se mettre à tourner très rapidement sur elle-meme

 

Comme un patineur qui rapproche ses bras près de lui; le même effet causé par la pression qui rapproche la matière vers le centre de l'étoile. C'est toujours une conséquence de la pression.

 

donc, le mouvement de l' étoile est proportionnel à la masse, à la vitesse angulaire et au rayon de l' étoile

c' est la conservation du moment angulaire

 

Non pas de la masse mais de l'étendue de cette masse. Et la diminution de cette étendue est causée par la pression d'où suivent toutes les autres conséquences. La pression en question est causée, elle, par le sens du mouvement de l'expansion négative locale.

 

Amicalement

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Aucun inconvénient.

 

Une étoile à neutron est moins grosse qu'elle était à l'origine et cette étoile à neutron tourne plus rapidement que l'étoile d'origine. Le volume de la masse de l'étoile à neutron est plus petit que celui de l'étoile d'origine.

 

Lorsqu'un patineur étend les bras, sa masse est plus étendue que lorsque ses bras son croisés sur sa poitrine. C'est donc l'étendue de la masse qui détermine la vitesse de rotation.

 

Amicalement

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mais qu'il est dérangé par une résistance de l'air moindre.

 

Donc ce serait le même cas pour une étoile à neutron qui, elle aussi, obtient le même résultat en devenant plus petite. Mais je cherche toujours la résistance de l'air autour d'une étoile à neutron. La résistance de l'air serait-elle une réponse qu'aurait eu Newton??? :mdr:

 

Amicalement

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Newton, je sais pas, mais Elie, oui :mdr: J'pense que t'as grandi en banlieu d'une étoile à neutrons toi, avec la résistance de l'air et les radiations intenses :mdr:

 

C'est sûr que le patineur s'arrache les bras pour faire une vrille, perdant ainsi du volume. Une étoile à neutrons, elle, elle perd du volume, elle ne déplace pas son volume dans l'espace :mdr:

 

Universus

 

PS: je reste persuadé que tu aurais fait un super humoriste Elie :mdr:

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salut à tous :be:

 

quand nait une étoile à neutron , le coeur de l' étoile à neutrons est un conducteur, parce qu' il contient également des protons et des électrons,et si cette étoile a une vitesse de rotation supérieur à 200/tours sec. :?:

 

le coeur liquide va pouvoir déclencher un effet dynamo pendant une vintaine de secondes, ce qui est suffisant pour changer le champs magnétique à des valeurs huit cent fois à mille fois supérieurs ( 8 fois 10 ,14 gauss) :?:

 

un champ magnétique aussi intense va pouvoir pousser la matière à l' intérieur de l' étoile, et par conséquent exercer des forces énormes sur sa croute solide, :?:

 

A ce moment-là, l' étoile laisse échapper des bouffées de particules à haute énergie qui vont provoquer une émission brève mais intense de rayon x durs, :?:

 

L' étoile à neutron perd à cet instant autant d' énergie que le soleil en 1000 ans, et cette émission de radiation peut se reproduire à intervalles plus ou moins réguliers( soft gamma repeaters) :?:

 

mais pas plus que 10,000 ans ;)

 

 

amicalement

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Euh, albert einstein, je n'ai pas remis en cause le fait que tu saches ou non si tu parlais d'un pulsar, mais bien s'il s'agissait d'un pulsar. J'ai quand même écrit:

 

Un pulsar?

 

Ce qui n'est pas une affirmation, mais une interrogation.

 

l' étoile à neutron ou pulsar perd sa matière

 

Est-ce que toutes les étoiles à neutron perdent de la masse (énergie) de façon aussi prononcée ou est-ce seulement le cas des pulsars? Je dis cela parce que ton affirmation me laisse croire que tu identifies «étoile à neutron» et «pulsar» comme deux éléments identiques, ce qui n'est, à ce que je saches, pas tout à fait le cas.

 

Amicalement

 

Universus

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salut à tous :be:

 

j' ai le don parfois de compliquer les choses pour rien :s

 

 

disons universus , que l' étoile à neutron et le pulsar sont de meme famille , mais l' intense champ électrique et magnétique qui entoure l' étoile va générer un faiceau étroit de lumiere,(radiofréquense)

 

qui va scruter le ciel de la meme manière que le faiceau d' un phare scrute la mer, ces étoiles sont des pulsars :?:

 

 

parce que L ,axe magnétique du pulsar n' est pas aligné avec son axe de rotation, L émission radioélectrique due aux particules chargées piègées dans les lignes de champ magnétique balaye le ciel, :?:

 

amicalement

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salut à tous :be:

 

 

voiçi un exposée plus détaillé sur le sujet ;)

 

Lorsque la température interne des étoiles décroit assez vite en fonction qu'augmente la distance au centre (cas des étoiles dont la surface est "froide"),

 

une instabilité interne de la matière engendre des mouvements de convection : il y a des allers et retours verticaux, la matière chaude monte, et se refroidit au fur et à mesure qu'elle monte.

 

La matière plus froide redescend en chauffant, en prennant la place de la matière chaude qui est montée (comme l'eau bouillante dans une casserole monte en laissant sa place à de l'eau plus froide venant de la surface).

 

Cette convection combinée aux mouvement de rotation de l'étoile est succeptible d'engendrer un effet dynamo dont la conséquence est d'amplifier le champ magnétique de l'astre. C'est ainsi que sont produits les champs magnétiques de la Terre et du Soleil.

 

L'effet dynamo existe sur de nombreuses autres étoiles. L'énergie du champ magnétique provient alors de la conversion d'une partie de l'énergie mécanique de l'astre.

 

Les champs magnétiques qui résultent de l'effet dynamo ont souvent une structure assez complexe, et variable dans le temps (comme pour les cycles solaires, dont le plus connu a une période de deux fois onze ans).

 

On suspecte ces champs magnétiques d'être à l'origine du ralentissement de la rotation de certaines étoiles. En effet, en comparant la vitesse de rotation d'etoiles analogues mais ayant des champs magnétiques plus ou moins intenses, on a observé que les étoiles les plus magnétisées tournent généralement moins vite.

 

 

 

 

amicalement

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Newton, je sais pas, mais Elie, oui

 

Remarque que mon parallèle entre un patineur et une étoile à neutron était pour expliquer l'augmentation de la vitesse de rotation; ce n'est pas moi qui a annuler ce parallèle en attribuant l'augmentation de la rotation de la vitesse du patineur en l'expliquant par la diminution de la résistance de l'air. Comme si le volume d'un patineur aux bras rapprochés est différent du volume de ceui qui a les bras étendus. :s

 

C'est sûr que le patineur s'arrache les bras pour faire une vrille, perdant ainsi du volume. Une étoile à neutrons, elle, elle perd du volume, elle ne déplace pas son volume dans l'espace

 

Ah bon! Et pourtant, si l'étoile à neutron perdait du volume seulement en éjectant de la matière, elle n'augmenterait pas de densité; elle garderait la même densité en diminuant son volume. !pomoi!

 

Sous l'effet de l'effondrement gravitationnel d'un coeur de plus de 1,4 Masse solaire, la matière est contrainte de prendre un état dégénéré : les électrons ne peuvent plus rester sur leurs orbites autour des noyaux (il leur faudrait une vitesse supérieure à celle de la lumière pour répondre au principe d'exclusion de Pauli) et sont forcés de pénétrer dans les noyaux atomiques, fusionnant ainsi avec les protons pour ne plus laisser place qu'à des neutrons confinés.

 

 

http://nrumiano.free.fr/Fetoiles/neutrons.html

 

 

 

Les électrons sont repoussés à l'intérieur des noyaux atomiques pour former des neutrons avec les protons. La matière étant composée de protons de neutrons et d'électrons, je me demande quelle matière est éjectée hors de l'étoile qui devient une étoile à neutrons.

 

Facile de passer outre ce petit problème pour sauter sur un autre sujet (pulsars) sans le régler. :confused:

 

A ce moment-là, l' étoile laisse échapper des bouffées de particules à haute énergie qui vont provoquer une émission brève mais intense de rayon x durs

 

Intéressant d'avoir ici une partie de réponse! Les rayons X sont un rayonnement électromagnétique. Il ne vous reste qu'à prouver que le rayonnement électromagnétique est un rayonnement de matière; à peu près comme de prouver que les patates sont des carottes. Quoique ce sont tous les deux des légumes. Et si toutes les particules sont matière (légumes) l'univers est composé de 100% de matière, évidemment. C'est d'une logique maraîchère incontournable.

 

Amicalement

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Euh, ton patineur, quand il se rapproche les bras, il garde quand même le même volume dans l'espace, contrairement à une étoile à neutrons qui diminu de volume comparativement à son stade antérieur d'étoile, ce qui lui fait augmenter sa densité. En effet, la résistance de l'air ne doit pas expliquer entièrement le ralentissement du patineur aux bras tendus, mais ton parallèle n'est pas parfait du tout.

 

Le patineur, une fois ses bras collés sur son corps, n'a pas une densité supérieur et garde un volume constant. Une étoile à neutron, le volume est moindre et la densité supérieur. Quel similitude!

 

Universus

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En effet, la résistance de l'air ne doit pas expliquer entièrement le ralentissement du patineur aux bras tendus

 

Merci; c'est déjà un grand pas en avant.

 

Le patineur, une fois ses bras collés sur son corps, n'a pas une densité supérieur et garde un volume constant. Une étoile à neutron, le volume est moindre et la densité supérieur. Quel similitude!

 

Si tu regarde le volume que représente le diamètre des bras étendus du patineurs, et que tu le compare à celui représenté lorsque les bras sont repliées, tu comprendra que la densité spatiale du dernier est plus grande que celle du premier puisque réunit dans un volume plus petit; ce qui est le même cas pour l'étoile à neutron.

 

Le problème est que tous affirment que l'espace n'est pas vide mais personne n'accepte que ce "pas vide" possède des "conséquences" au niveau du mouvement. Et pourtant, ce "mouvement" est la réponse à toutes les questions. :b:

 

Amicalement

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la densité spatiale comme tu dis n'est jamais plus grande!

 

Je me dois de t'accorder que la "densité" au sens usuel n'est pas plus grande; mais la densité spatiale n'est pas la densité de matière. Trouvons un autre terme: ce que je remarque dans les deux états est que "l'accrétion de matière" lorsque les bras du patineur sont rapprochés est plus définie; tout comme pour l'étoile à neutrons. Peut-être que ça fait comprendre mieux la différence entre les deux "situations". ;)

 

Amicalement

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D'accord, ton dernier message m'a fait comprendre ce que tu voulais dire par densité spatiale, me faisant rappeler d'ancien message sur ce sujet. Dans mon esprit, une densité est absolument spatiale, étant donné qu'on appelle ça aussi masse volumique ;)

 

En fait, on ne devrait pas parler de densité (masse/volume), mais de compacité (masse/rayon). Ce n'est pas la densité qui fait l'astre, mais sa compacité; s'il est compact (je viens de l'apprendre) ;).

 

Universus

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Ton problème est simple :

1°) Tu pense en géométrie de l'espace, alors qu 'il devrait etre question de l'espace-temps. C'est une notion tres dure à comprendre.

2°) Tu parle de force, notion qui est liée notion qui est liée à l'espace/temps en fait un rayon de courbure dans cet espace.

3°) Enorme erreur de ta part : tu parle de notions dues à la théorie quantiqe qui n'est malheureusement pas du tout une théorie scientifique mais une description empirique de phénomènes microscopique réalisée à partir d'observations mésoscopiques (tu parle de neutrino, de particules, ...). Esseyer de déterminer des phénomènes grâce à cette théorie est plus de l'ordre de masturbation de mathématicien que d'interprétation physique.

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salut à tous :be:

 

 

je ne sais pas a qui tu t' adressait alnitak , mais comme premier message c' est réussi. :mdr:

 

surtout la dernière expression de ton texte !pomoi!

 

 

respire, un peu , :oo:

 

on est sur un forum, apprend à connaitre ton monde avant de les brasser, ^^

 

une présentation aurait été plus apprécier , ;)

 

 

quoi qu' il en soit , soit le bienvenue ;)

 

 

amicalement

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une densité est absolument spatiale, étant donné qu'on appelle ça aussi masse volumique

 

Exact si on pense strictement matière comme source de toutes manifestations; mais comme la matière ne compte que pour 5% @ 10% de l'univers et que l'espace compte pour 100%, j'incline plutôt à attribuer la majorité des manifestations à l'espace lui-même en considérant les manifestations de la matière que "localement".

 

Ton problème est simple :

 

Tout dépend à qui tu t'adresses. ;)

 

1°) Tu pense en géométrie de l'espace, alors qu 'il devrait etre question de l'espace-temps. C'est une notion tres dure à comprendre.

 

La géométrie de l'espace est ce que nous observons; le temps comme dimension n'est pas observable mais découle de concepts mathématiques. Et comme je travaille sur les bases observées pour éviter les erreurs.... :confused:

 

Ajoutons que, jusqu'ici, ce que j'ai décris se déroule logiquement sans le besoin d'inclure la notion de "forces" ni imaginer des "réalités" non observées comme la matière noire et l'énergie noire.

 

tu parle de notions dues à la théorie quantiqe qui n'est malheureusement pas du tout une théorie scientifique mais une description empirique de phénomènes microscopique réalisée à partir d'observations mésoscopiques

 

La physique mesoscopique est du domaine des effets de cohérence de phases versus les interférences quantiques. Elle décrit les échelles de longueur intermédiaires entre la physique atomique et celles du monde macroscopique. Donc, les échelles de longueur intermédiaires entre les particules dites "virtuelles versus les particules dites réelles. C'est une étude relative entre deux sortes d'entités observées. Le quantique fait partie de théories scientifiques et en est la base pour presque toutes. Je ne vois pas vraiment où tu te diriges avec cet argument.

 

Bienvenu à toi Alnitak. ;)

 

Amicalement

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salut à tous :be:

 

à propos de la physique mésoscopique;

 

La découverte de l'universalité des fluctuations de conductance a constitué une étape importante de la physique mésoscopique des 10 dernières années.

 

Sur le plan théorique, des calculs perturbatifs dans le régime diffusif, où certains diagrammes de la série de perturbation peuvent être resommés, permettent de voir que la variance de la conductance ne dépend pas de la longueur de collison élastique.

 

Ces résultats ont été retrouvés à l'aide de la théorie des matrices aléatoires dans le cas où le nombre de canaux transverses du conducteur étudié est grand.

 

une méthode numérique a été dévelopée pour générer des matrices aléatoires à faible nombre de canaux (N≈30) ayant la propriété d'unitarité.

 

 

La conductance typique d'un système désordonné a donc été déterminée pour un désordre spécifique, c'est à dire pour une concentration d'impuretés fixée.

 

La conductance moyennée sur différentes configurations de même désordre, ainsi que sa variance, ont pu être calculées. Ceci a permis de vérifier, sur un modèle relativement simple, l'universalité des fluctuations de conductance:

 

les fluctuations de conductance ne dépendent pas du régime de désordre considéré et l'amplitude de ces fluctuations est proportionelle au quantum de conductance 2e2/h. On obtient numériquement un accord raisonnable avec les prédictions analytiques pour la variance.

 

 

amicalement

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