vezguy

Maintenant avec la Lune cela devient très difficile de voir cette fichue comète. Théoriquement, sans la Lune et un très beau ciel, on devrait la voir à l’œil nu et bien sûr aux jumelles. Mais avec un ciel pollué on ne fait que la deviner au télescope.

Je l'ai suivie à l’œil plusieurs jours dans mon affreux ciel de la banlieue d'Avignon avec mon Strock 250, et pu voir une vague tache blanchâtre. Elle se trouve pile là où la place Stellarium. J'avais fait trois copies d'écran à divers champs de vue (FOV) en traçant les positions successives de plusieurs jours : 24° pour la situer dans les constellations, 12° pour préciser, et 5° pour comparer la vue dans l'oculaire (champ 1°)avec celle de la carte (il faut la tourner) et être sûr de se trouver au bon endroit.

Pourquoi vouloir ajuster le faisceau du laser rouge de collimation ? Normalement, il donne un spot quasiment ponctuel qui suffit pour collimater son scope.

Comme Roger l'a dit ’inscrire à un club astro de façon à connaître d'autres astrams, apprendre l'astro et à utiliser leur matériel.

De quelle région es-tu ?

Salutations à toutes et à tous !

 

26 février

 

Nouvelle observation de la conjonction Mars-Uranus, ce soir, toujours aux jumelles 9x63. Cette fois-ci, les deux planètes étaient à environ 0,7° l'une de l'autre. Demain, elles auront commencé à s'éloigner. Par rapport à l'observation du 20 février, Uranus ne semblait pas s'être significativement déplacée par rapport aux étoiles du champ, tandis que Mars s'est nettement déplacée vers le NNE pour se retrouver ONO d'Uranus.

 

Je vous souhaite de beaux ciels !

Pas besoin d'être au Canada pour voir la conjonction. Je l'ai raté le jour même à cause du temps, mais j'ai pu observer Mars et Uranus hier 28 février. Aux jumelles dans mon mauvais ciel on la voit comme un point (merci Stellarium qui permet de la repérer), mais au scope on discerne sa couleur plus ou moins verte. Mars s'éloigne rapidement sur l'écliptique de sa consœur Uranus, et c'est bien normal. Uranus ne bouge pratiquement pas dans le ciel, faisant le tour du Soleil en 84 ans alors que Mars le fait en seulement 2 ans.

Je signale que malgré l'éloignement de Neptune, on peut aussi la voir quand elle n'est pas au dessous de l'horizon comme maintenant.

Avec de grosses jumelles droites sur pied, ça permet de pointer la cible et ensuite de régler finement le pied à la bonne hauteur sans avoir à se tortiller en dessous.

 

Tu devrais plutôt monter un chercheur optique sur ton télescope parce que les jumelles d'une main et le télescope de l'autre, ce ne doit pas être très performant en rapport

Avec mon dobson, cela marche très bien. On tient effectivement les jumelles d'une main, et on pointe le télescope de l'autre main, sans fatigue, pour voir le faisceau du laser dans les jumelles. Avec un Newton sur monture, en le laissant libre de bouger, je subodore que la manipulation ne doit pas être difficile.

Un laser sur des jumelles ? Je vois pas à quoi cela peut servir ! On pointe très bien un objet céleste avec des jumelles sans avoir besoin de laser. En revanche, moi j'ai placé un laser dans l'axe optique de mon scope, ce qui aide grandement au pointage. On l'allume, on pointe le scope à peu près vers l'endroit où se trouve l'objet à observer, et on affine en se servant des jumelles en bougeant le scope et son faisceau laser de façon à voir ce dernier dans les jumelles, et voilà !

Comme suggéré un peu plus haut, je pense qu'un laser vert 5 mw et une paire de jumelle faciliteraient grandement les choses. Il faut fixer le laser sur le tube, bien dans l’alignement optique (ce qui est fait quand on doit voir le bout du faisceau lumineux dans l'oculaire).

Sur mon scope, je n'ai pas d'autre chercheur que le laser et les jumelles. Je pointe à la main le scope et son faisceau laser vers l'endroit approximatif où se trouve l'objet à observer ; j'affine la position du scope-faisceau avec les jumelles vers le spot exact de l'objet céleste (bien sûr, il faut avoir bien étudié la carte du ciel) ; et à coup sûr je suis proche de l'objet dans l'oculaire (objet d'ailleurs que souvent on voit avec les jumelles, ce qui simplifie le pointage).

Avec ce système, finies les contorsions pour regarder dans une chercheur mal fichu, où se positionner pour être dans l'alignement d'un point rouge. On reste debout, ou dans un fauteuil, pour positionner le scope. Évidemment, après il faut bien mettre son oeil à l'oculaire.

Pour faciliter l'allumage et l'extinction du laser sans avoir à appuyer sur le bouton, j'ai bricolé un petit système avec un interrupteur.

Comme dit plus haut, un laser vert <5 mw ne doit pas être utilisé pour la collim. Un laser rouge 1 mw suffit largement. Et de toute façon, on ne peut voir le faisceau sur le mètre et quelque de parcours du faisceau entre miroir secondaire puis primaire et retour, même en pleine nuit dans une pièce. C'est d'ailleurs sans intérêt puisque seul compte l'impact sur les miroirs.

En revanche, le rayon du laser vert <5 mw est bien visible la nuit. Je n'ai pas de chercheur et j'utilise un tel laser à la place, bien orienté dans l'axe optique du scope, avec des jumelles dans une main et l'autre main bougeant le laser-scope vers l'objet à observer. Idéal !

Pas facile Uranus ? Mais si, avec une magnitude de 6,08 on la voit aux jumelles et on peut la pointer avec le télescope facilement. Elle est reconnaissable avec sa couleur verte.

J ai acheté finalement un télescope go to, j en suis comptant.

Par contre comment faire pour être sur de visée la bonne étoile?😓

Merci d avance.

Ben, faut connaître le ciel !

Eh bien moi, dans un ciel pollué, je prendrais un laser vert <5mw en poste fixe et des jumelles. C'est ce que j'emploie sur mon Dobson et je n'ai pas d'autre chercheur !

bonjour

Je suis un jeune retraité mais suis tombé dans l'astro un jour de Juillet 1969 et depuis j'ai toujours eu le nez en l'air .

Actuellement, suis membre du club "Orion Provence" situé à Pujaut dans le Gard ; nous y sommes une bonne dizaine à pratiquer l'astrophotographie.

J'ai suivi une formation d'animateur AFA "petite ourse" à Observatoire des Baronnies

mon matos: C11 edge, une lulu APM 107/*700 et une Lunt 60

 

A très bientôt

Bonjour voisin. Je suis content que le club Orion Provence que j'ai fondé et nommé continue son chemin. Pour ma part, je suis maintenant au Parc du Cosmos ainsi qu'au club astro. de l 'ADAPR. Avec ce dernier, on va de temps à autres au terrain d'aviation de Pujaut, où vous avez vos réunions, pour des observations.

A bientôt peut-être.

Bobosol va se faire bobo s'il ne se forme pas d'abord.

Quand on y connaît rien, il est nécessaire d'apprendre d'abord le ciel et le maniement des télescopes dans un club ou avec des amis avant de faire une acquisition.

Un nouveau pas loin, enfin ! J'espère qu'on pourra se rencontrer au Parc du Cosmos par exemple, dont je suis membre. J'y vais souvent avec mon Strock 250. Je fais aussi parti d'un club astro dans l'association ADAPR des Angles (30), où on fait des exposés et des observations, mais il faut être préretraité ou retraité pour en faire partie, ce qui n'est pas (encore) ton cas.

A propos de ton oculaire, pas besoin d'un oculaire spécial en visuel. J'ai un 20 mm à 60 euros qui suffit largement pour commencer dans le ciel d'ici.

En tout cas bravo d'être la tête dans le cosmos.

Sauf Uranus, qui pour une raison qui m’échappe toujours porte un nom grec

Et si, Uranus est bien le nom latin du Dieu du Ciel correspondant à l'Ouranos des Grecs, qui est le grand père de Jupiter/Zeus.

Le meilleur chercheur grand champ que je connaisse est la paire de jumelles. Certains ont pris celles de Lidl qu'ils ont coupé en deux pour la mettre à la place du chercheur d'origine. Pour ma part j'ai une 10x60 (5° de champ) que je tiens avec une main, l'autre main bougeant le dobson muni d'un laser à poste dans l'axe optique. On vise l'endroit de l'objet à voir avec le laser-scope, et on affine la position à l'aide des jumelles. Très pratique, surtout dans un ciel pollué où on ne voit à l’œil nu que très peu d'étoiles.

On l'a dit plus haut : d'abord se renseigner, s'informer, charger Stellarium sur son ordi, faire partie d'un club, ne pas se précipiter, etc. Je conseillerai de ne pas s'équiper d'instrument pour l'instant. Le choix viendra en temps utile après l'apprentissage.

Pour les jumelles, en revanche, je dirai que des 8-50 ou 10-60 sont idéales, pour une centaine d'euros, point trop lourdes et permettant de voir par beau temps bon nombre d'objets de Messier. Au dessus, c'est intenable à la main.

Sur PriceMinister il y a plein de Cosmos à vendre pour 6 ou 7 euros. Voir sur le site.

Pour un débutant, ça commence très fort.

Avec une photo on pourrait mieux voir le problème.

Comme toujours, ne pas se précipiter pour acheter un scope. D’abord apprendre le ciel, faire partie d'un club, etc. Ensuite seulement, une fois un peu formé, on peut choisir en toute connaissance. Et alors comme dit plus haut un dobson est idéal pour se perfectionner. On le manipule à la main, ce qui force à regarder les cartes du ciel (sur Stellarium ou autres).

Salut Salut !

 

Bon ben voilà, fraichement arrivé sur le forum. Je me suis mis à l'astronomie il y a peu.

Je ne sais pas trop quoi ajouter.

A bientôt !

Bon ben voilà, c'est bref comme présentation. A part savoir que tu existes, on en sait pas plus !

Bonjour à tous,

Ne sachant comment m'y prendre pour récupérer des infos au sujet des étoiles à observer, pourriez-vous

me conseiller sur l'achat de livres imagés ou non qui précisent leurs positions exactes dans le ciel.

Par exemple, Epsilon Eridani ou PZ Cassiopée ou UY Scuti dans le Grand Chien etc..........

C'est aussi valable pour les amas, les galaxies, les nuages etc.......

Du 8/09/2016 au 11/09/2016, je vais participer à la manifestation de RAAGSO dans l'Aveyron.

Vous connaissez ?

Si vous ne m'avez pas conseillé avant, j'espère qu'un passionné me l'indiquera la-bas.

Bien cordialement.

Ben ! et Stellarium alors ? Et les autres logiciels du même genre qui donnent tout le ciel d'aujourd'hui, d'hier, dans cent ans, etc. C'est mieux qu'un livre et on peut imprimer les cartes de la partie du ciel désirée.

Ras le bol de ces éternelles discussions sur les lasers. On s'en sert ou on s'en sert pas.

Moi j'ai un laser vert <5 mw en poste fixe sur mon dobson qui remplace le chercheur que je n'ai pas. Ça évite de se contorsionner et on pointe tout objet en 5 secondes. J'en ai un autre pour montrer ces objets aux curieux.

Ceux qui ne veulent pas s'en servir, ça les regarde.

Point final !

Le seul bon conseil que l'on peut donner à notre nouvel ami est de s'inscrire à un club d'astro, de se former en lisant divers livres, d'acheter une carte tournante genre Miniciel (10 euros) pour apprendre le ciel, etc.

Ne pas se précipiter. Se hâter lentement. Persévérer dans l'apprentissage.

Donc, avant tout, se FORMER si on ne connaît rien à l'observation astronomique. Et pour cela aller dans un club, se renseigner, lire les ouvrages adéquats, apprendre le ciel, etc.

Le choix d'un appareil viendra ensuite, tout naturellement.