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Benoist

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Tout ce qui a été posté par Benoist

  1. normalement votre photographe doit pouvoir vous fournir les fichiers ICC après l'idéal est de confirmer sur le moniteur du labo, c'est se que nous proposons à nos clients.
  2. Bonjour, je voudrais assembler plusieurs sessions sont certaines sont réalisé avec un autre instrument. j'ai donc plusieurs seriez de lights, Darks, Biases, Flats et j'ajout que je suis un peu perdu 😉 Merci par avance de votre aide. Benoist
  3. Pour répondre franchement : oui, un vrai profil ICC imprimante Il faut effectivement : une sonde de mesure (spectrophotomètre, pas un simple colorimètre écran), imprimer une ou plusieurs chartes de couleurs sans aucune correction, mesurer les patches, et générer le profil à partir de ces mesures. C’est exactement ce que font les labos… et c’est pour ça qu’un profil précis a une vraie valeur. Sans cet équipement, on peut s’en approcher, mais on ne fera jamais un profil réellement fiable. Dans ton cas précis (Canon G650) Bonne nouvelle : Canon fournit déjà des profils ICC corrects pour ses papiers officiels → ils sont souvent très bien. Pour des papiers tiers, certains fabricants sérieux proposent leurs propres profils pour les imprimantes grand public courantes. Ça vaut toujours le coup de vérifier avant de bricoler et de perdre du temps et de l'argent. Les profils dits « universels » peuvent dépanner, mais il faut les voir comme une béquille, pas comme une solution définitive. Si un jour tu veux aller plus loin, il existe des services de profilage à distance : tu imprimes une charte, tu l’envoies, ils te renvoient le profil. Ce n’est pas très cher et ça change tout. Papier mat Très bon réflexe. Un beau papier mat de qualité (baryté mat, fine art coton) est souvent une révélation… à condition de préparer l’image pour lui. Le rendu est plus subtil, plus “photo”, moins spectaculaire mais souvent plus juste. perso je n'utilise que du papier mat pour les propres tirages jamais de lustré ou encore pire du brillant 😉 Format de fichier pour l’impression Réponse courte et claire : TIFF si possible (16 bits, non compressé ou LZW), sinon JPEG qualité maximale fonctionne très bien aussi en pratique ( et dans 99% des cas la différence de rendu n'est pas visible) L’essentiel n’est pas tant le format que : rester en RVB, (jamais de sRVB) conserver l’espace couleur (Adobe RGB ou ProPhoto), et éviter toute reconversion sauvage avant l’impression. En résumé profils ICC précis = matériel spécifique, oui, profils constructeur ou papier = très bon point de départ, fichier RVB propre + écran calibré = 80 % du boulot, le reste… c’est de l’expérience et du papier consommé 😄 Dernier point, souvent contre-intuitif : dans beaucoup de cas, confier ses fichiers à un bon laboratoire est plus économique que d’imprimer soi-même. Entre : le coût des encres, les papiers, les essais ratés, le temps passé à ajuster, recommencer, comparer, et l’investissement en matériel (sondes, profils, maintenance), le tirage “maison” devient vite cher dès qu’on cherche un résultat vraiment maîtrisé. Un bon labo, c’est : des machines calibrées en permanence, des profils ICC éprouvés, des papiers connus et maîtrisés, et surtout un tireur qui interprète l’image, pas juste un bouton “imprimer”. Pour des tirages importants, des formats exigeants, ou des images complexes (comme le ciel profond), le labo fait souvent gagner du temps, de l’argent… et quelques cheveux blancs. et je sais de quoi je parle j'étais à ta place il y a une vintaine d'année avant de creer mon labo et mon studio photo
  4. Bonjour, Retour très intéressant. Pour me situer brièvement : je suis tireur dans un laboratoire photo professionnel, et ce que tu décris correspond exactement à ce que l’on rencontre dès qu’on passe de l’écran au papier — encore plus en ciel profond. Le tirage n’est pas une simple étape technique, c’est un métier à part entière, et les essais successifs que tu évoques font pleinement partie du processus. Un point important à clarifier, car il revient souvent : le CMJN n’a aucune utilité en impression photo jet d’encre. Les imprimantes photo, qu’elles soient de bureau ou de laboratoire, impriment toutes à partir de données RVB. Elles utilisent leurs propres encres (souvent bien au-delà du simple CMJN) et un moteur de conversion interne piloté par le profil ICC du papier. Travailler en CMJN, ou avec un profil type ISO Coated, revient donc à restreindre inutilement le gamut et à compliquer la chaîne couleur sans bénéfice réel. En pratique, en labo comme en atelier : on travaille exclusivement en RVB, avec un espace large et propre : Adobe RGB (1998) ou ProPhoto RGB selon les habitudes, et on laisse la conversion se faire au moment du tirage, via le profil ICC précis du couple imprimante / encre / papier. Le soft proofing a bien sûr tout son sens, mais en RVB, avec le bon profil papier. Le CMJN est un excellent outil… pour l’offset et la presse, pas pour le tirage photo. Concernant les papiers, un point mérite aussi d’être nuancé. On lit souvent que seuls les papiers brillants permettent d’obtenir des noirs profonds. Ce n’est pas faux… mais ce n’est pas toute l’histoire. Un papier mat peut parfaitement produire des noirs très denses, à condition que ce soit un vrai papier photo mat de qualité (baryté mat, cotton rag, fine art mat) et que l’image soit préparée pour ce support. La différence, ce n’est pas tant la profondeur du noir que sa perception : en brillant, le noir paraît plus dense grâce aux reflets, en mat, le noir est plus doux, plus absorbé, mais souvent plus lisible et plus stable selon l’éclairage. En laboratoire, on constate souvent que : un mat bien choisi donne des noirs moins « claquants », mais plus détaillés, les très basses lumières passent parfois mieux en mat qu’en brillant, surtout sans lumière rasante, et l’absence de reflets change complètement la lecture d’une image très sombre comme le ciel profond. Le papier n’est donc pas un simple support, c’est un outil de rendu. Chaque surface impose sa logique : le brillant flatte, le satiné équilibre, le mat interprète. Aucun n’est supérieur aux autres — ils ne racontent juste pas la même chose. Et j’insiste vraiment sur un point fondamental : l’étalonnage écran et papier n’est pas une option, c’est la base absolue. Sans écran calibré correctement, on ne corrige pas une image : on la devine. Et sans profil ICC précis du couple imprimante / encre / papier, on ne tire pas une photo : on tente sa chance. En laboratoire, la chaîne est simple et immuable : écran calibré à des valeurs cohérentes (luminosité, point blanc, gamma), fichier travaillé en RVB (Adobe RGB ou ProPhoto), soft proofing activé avec le profil ICC exact du papier utilisé, et une seule gestion des couleurs, pas deux. C’est ce qui permet d’avoir : un tirage prévisible, reproductible, et fidèle à l’intention de départ. Sans cette cohérence écran → fichier → papier, on peut multiplier les essais, baisser ou monter la luminosité, changer de papier… le résultat restera aléatoire. Avec elle, un tirage bien préparé sort juste du premier coup, ou presque — et quand ce n’est pas le cas, on sait exactement pourquoi. si vous avez des questions hesitez pas 😉
  5. oui c'est sur mais quand on a déja une caméra c'est dommage de changer.
  6. bonjour à tous, je viens d'aquerir via LBC une zwo 120mc USB2 chinoise. le pb est qu'elle etait reconnu mais plantage à chaque tentative de photo. j'ai réussi à installer un firmware compatible. je vous donne la procédure si cela peut servir. voici les fichiers : https://drive.google.com/drive/folders/1rIY3_gQJn144yBZHkCFKZbPpZPRR2dDW?usp=sharing ------ Mise à jour du firmware ZWO ASI120MC sous StellarMate / Raspberry Pi 64 bits (aarch64) — Procédure validée pour stabiliser la caméra en USB2 — Certaines caméras ASI120MC / MM peuvent être instables sous Linux ou Raspberry Pi (freezes, non-détection, timeouts). La solution consiste à flasher le firmware compatible fourni par ZWO. Voici la procédure fonctionnelle, étape par étape. 🟦 1. Préparation des fichiers Téléchargez le pack ZWO et placez-le sur le Desktop du Raspberry. Vous devez obtenir une structure similaire à : Desktop/bin/ ├── armv7/ │ ├── zwo_FWTool_USB2 │ └── zwo_usb2_cam.conf └── firmware/ ├── ASI120MC-compatible.iic ├── ASI120MC.iic ├── ASI120MM-compatible.iic └── ASI120MM.iic 🟦 2. Ajouter le support des binaires ARM 32 bits (nécessaire sur aarch64) StellarMate est en 64 bits → impossible d’exécuter l’outil de flash sans installer le support ARM32. sudo dpkg --add-architecture armhf sudo apt update sudo apt install libc6:armhf libstdc++6:armhf libusb-1.0-0:armhf 🟦 3. Flash du firmware Se placer dans le dossier contenant l’outil : cd ~/Desktop/bin/armv7 Vérifier la présence du firmware : ls ../firmware Pour une ASI120MC, choisir : ASI120MC-compatible.iic Lancer la mise à jour : sudo ./zwo_FWTool_USB2 -i ../firmware/ASI120MC-compatible.iic -t LI2C ⚠️ Attention -i en minuscule LI2C en MAJUSCULES extension firmware = .iic Si tout se passe bien, vous verrez : Info: Forcing FX2 CPU into reset Info: Downloading Vend_ax hex into FX2 RAM Info: Releasing FX2 CPU from reset FX2LP firmware programming to LI2C completed 🟦 4. Finalisation Débranchez la caméra Rebranchez-la Vérifiez qu’elle est reconnue lsusb Vous devez voir une ligne correspondant à ZWO / ASI120. 🟩 Résultat Votre caméra ASI120MC utilise désormais le firmware compatible, recommandé pour Raspberry Pi. Cela supprime les freezes USB2 et améliore la stabilité sous StellarMate / INDI / Ekos.
  7. oui mais la raison ? 😉
  8. Bonjour, Je me posais une question auquel, je ne trouve pas de réponse clair, quel est vraiment la différente entre le contrôle d'une monture entre le cable EQMOD et le cable USB-B. merci par avance de vos explications. Benoist
  9. je testerais des que le ciel reparait ...
  10. et bah juste je ne trouve pas ? j'utilise Kstar/ekos.
  11. en faite je pense que le pb vient du fait que le sens des axes sont inversées ( je viens de tester avec et sans stellarmate et idem). comment est possible de changer le sens sans la raquette ?
  12. l'alimentation est 12v 5A
  13. oui j'ai fait le test, le goto n'est pas hyper précis, pour le suivi j'ai pas de caméra guide, mais quand je teste avec le canon 7d pas de pb, il suivi.
  14. dessus j'ai pour le moment une skywatcher 62ED, Canon 7D defiltré. Alignement dans stellarmate long mais ok avec guidage interne. je vous joins les aperçus la première avec le suivi activé et la seconde avec le suivi désactivé
  15. bonsoir à tous, j'ai un problème que je n'arrive pas à expliquer. j'avais une star adventurer 2i + stellarmate et tout allez bien Je viens de passer sur une EQ5 goto +stellarmate, et la impossible de sortir la moindre image. j'ai beau faire équilibrage des poids nickel, la mise en station nickel, la synchro sur 2 ou 3 étoiles nickel et mon suivi toujours aussi mauvais, je me retrouve avec un belle collection de trait d'union ? auriez vous une idée ? je coince. Merci par avance de vos idées. bonne soirée
  16. aurais tu une idée de la reférence de ton boitier ?
  17. grosse erreur de ma part le moteur est une prise de type jack mono donc la polarité est assez basique. c'est la télécommande qui est en prise 6 poles. de base le moteur de la mise au point est brancher sur la monture en U. hors je voudrais l'utiliser sur une HEQ5 donc plus d'embase. je serais bien tenter pour garder la télécommande et me brancher sur la prise 6 pins mais impossible de trouver la combinaison de la prise.
  18. c'est un vieux modele 6 pin
  19. bonjour à tous, j'ai un celestron C8 avec son moteur de mise au point. la prise associé est une prise avec 5 ou 6 broches. est il possible de modifier le branchement pour pouvoir le commande via stellarmate ou autre. ? Merci à tous de vos retours. Benoist
  20. je suis toujours sur le Celestron C8, je cherche à démonter une platine afin de fixer une queue d'aronde pour pouvoir le mettre sur la nouvelle monture HEQ5.J'ai beau essayer toute les tailles de clé 3, 2,5 trop grand 2, trop petit, rien à faire impossible de dévisser. serait on sur un pas américain ? ou ... j'ai essayé de faire une clé à la bonne taille mais je ne suis pas équipé pour faire quelques choses d'assez précis. Merci par avance de vos idées.
  21. je viens de trouver une monture HEQ-5 goto, elle arrive d'ici quelques jours donc plus qu'a trouver une queue d'aronde, une alimentation pour l'HEQ-5 et par la suite un cable EQMOD, un bandeau anti-buée (les miens sont bien trop petit et en bretagne en bord de mer sans anti buée ...) pour brancher le tous sur stellarmate.
  22. Bonjour à tous, J'ai réalisé une session comète 100 lights de 60s, + Darks and co, Canon 7D défilté, 70-200 2.8 à 200mm j'ai traité sur siril, je trouve mon résultat vraiment bof enfin je trouve que la queue ne ressort pas tant que ca. qu'ai je raté, la prise de vue, le traitement ? J'ai traité suivant le tuto de NAZtronomy. Si vous avez des suggestions je suis preneur 😉 Merci à tous de votre aide. Résultat non sauvegardé de la recomposition de l'étoile.fit
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  23. Bonjour à tous, je vous partage cette photo de la comète réalisé le 13 octobre à de 6h à 7h. lunette SW 62ED Canon 7D défiltré staradventurer 2i 50photos de 60s, j'ai bien galéré pour le traitement. j'ai utilisé le tuto auriez vous des conseils. j'ai mis pas loin de 8h de calcul 😉 et je ne suis pas sur d'avoir compris grand chose ? j'ai vu qu'il y avait dans siril un script R-comet mais je ne trouve pas d'info dessus ? Merci à tous pour vos retours et votre aide futur. Benoist
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