Aller au contenu

Le Big Bang En Requestionnement ?


Invité glevesque

Messages recommandés

  • Réponses 119
  • Créé
  • Dernière réponse
Invité glevesque

Salut

 

J'ai deux questions !

 

Après avoir enlever le redshift gravitationnel et celui correspondant au mouvement propre locale des galaxie (groupe, amas et superamas) et ceci afin que de laisser le redshift qui correspondant essentiellement à l'accélération constante qui décrit la vitesse de récession des galaxie selon leur distances.

 

Ce redshift propre aux galaxie et associé à l'expension de la trame de fond (tissu/continum d'espace-temps) qui les supporte. Alors ce pourrait-il qu'il pourrait y avoir une corrélation tout simplement avec la masse des galaxie sans rapport avec leur distance et vitesse de récession ?

 

Ici la matière Noir, ne pourrait-elle pas tout simplement corresponde au bilan énergétique qui serait associé tout simplement aux besonx de toutes sortes, et dispercer à travers toute la galaxie ! Car ici il me semble qu'il est bien difficile et prétencieux de vouloir modéliser tout ça. Car dans le bilan radiatif, il doit aussi y avoir en plus de l'énergie dégagé par les phénomènes d'interaction que nous pouvons mesurer sous différents angle (selon les longueur d'onde et les particules qui sont impliqué), il faut aussi prendre en considération les besons qui sont en mouvement et qui ne sont pas encore visible par des processus interactionnels. Car selon la RG et la MQ, il existe bien une équivalence entre masse et énergie et donc d'une équivalence entre gravité et énergie situé entre deux processus causale d'interaction.

 

Alors, cela pourrait bien expliquer des mystère, ne croyez-vous pas ?

 

Sur ce sujet on poursuit la discussion ici :

Les Secrets de la Matière Noir !

 

Gilles

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité glevesque

Salut

 

Pour ce sujet, je pense que je peux conclure que la vitesse de récession croissante des galaxies dont est associé le décalage doppler-fizeau, surfant sur le tissus subjectivement objectiver d'espace-temps en expension accéléré, n'est en fait qu'un simple fait d'approximation déductive que l'on transpose à travers le formalisme relativiste, qui lui est bien établit dans ses fondements ! Cette image est une vision de l'esprit découlant de la substancialité de temps et de l'espace que même la science n'a pas apporté de preuve ! Tout déduction ne fait pas partit d'un véritable objet scientifique, qui encadre des méthodes d'observations strick sur le comportement des chose observé et mesurer. Le redshift cosmologique ne découle donc pas de la science pure, mais de ses approximation extrapoler de manière déductive et appuyer par des objets mathématique ajuster a cette mesure.

 

Maintenent je me replirais sur l'effet Creil, pour vous montrer et vous mentionner qu'en plus des phénomènes d'emplifications, que ce phénomène ne manquera pas d'apporté, pour aussi comme objet de déduction scientifique expliquer le redshift cosmologique dans sa totalité.

 

Alors expension ou pas, et bien attendons dans être sur et soyons prèt a accepter tout les éventualité possible et objective et non juste de se focaliser sur un ensemble qui ne s'appuis définitivement que sur une seul et unique seule chose, celle de la substancialité du tissus d'espace et de temps.

 

Voici quelque vidéo conférence a ce sujet :

 

Mots et Maux de la Physique par Jean-Marc Levy Leblond

La gravité quantique : quand l'espace et le temps n'existent plus

Conférence de T. Damour sur la relativité générale [VIDEO en RANCAIS]

La théorie des cordes par Pierre Binetruy

Les tests et effets de la physique quantique par ASPECT, Alain

La physique quantique par HAROCHE, Serge

 

Gilles

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité glevesque

Salut

 

La question se pose ici :

 

Relativité d'Einstein ou de Lorentz ?

 

Qu'elles sont les objets qui subissent les réels conséquences de la relativité, l'espace et le temps (Einstein) ou les objets eux-même (Lorentz) (sur leurs état d'énergie interne, voir l'exemple du muon). Pour un référenciel relativiste donné, c'est l'univers entier qui se contracte a cause du facteur de proportionnalité V/C de Lorentz, mais pour le reste du monde qui se trouve en dehord de ce référenciel, l'univers est-il courbé pour autent au norme de ce dernier référenciel, est-il le seul dans l'Univers ? (pauvre de lui (solipsisme !!!), si cela serait le cas !!!!). Qui d'entre les deux se trouve ainsi pièger dans la caverne de Platon par rapport a l'objectivité de l'Univers même (qui nous es inconnu bien évidament) ou encore comme subjectivité locale d'un référenciel (point de vue sur les apparences externes) par rapport à l'objectivité globale de l'Univers (je sens que je viens dans froisser plus d'un ici !!!!).

 

Les données relativiste, ne concerne que le référenciel qui subit les accélérations (apport d'énergie et point de vue sur les apparence) et non l'univers lui-même ! Ce n'est pas l'univers qui se courbe, mais bien l'espace locale ou le référenciel se trouve (je sais, le référenciel a l'impression du contraire, mais cela ne reste qu'une impression, n'est ce pas !!!! Il faut relativiser les choses !!!!). A y pensé donc !!!!!

 

Pour plus de détail :

Einstein c trompé, le temps n'existe pas !

Le BigBang est-il devenu un Dogme ?

 

Gilles

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité glevesque

Salut

 

Ah, Gilles, je crois que la réponse à tes problèmes se résume à cette question : qu'est-ce qu l'Univers?

 

Reste qu'à y répondre.

Effectivement, une question qui pationne énormément, mais dont les réponses ne sont qu'approximatives pour l'instant !

 

J'ai trouvé ceci, qui me semble bien intéressent pour notre sujet :

 

L'accélération radiale anormale de Pioneer 10

 

Gilles

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 1 mois plus tard...
Invité glevesque

Salut

 

Et oui, je reviens a mon requestionnement vut qu'il est devenut quasi (stationnaire :be: ) impossible de contester l'autre fil qui traite de l'apostasie du Big Bang !!!!

 

Bon, y a t-il des question !!!

 

Gilles

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité glevesque

Salut

 

Pour une question de clarification, pour ne pas revenir constament sur ces définition, je recopie ici les définition :

 

D'abord quelque définition :

 

 

Constante cosmologique

Elle décrirait une force
,
encore hypothétique
, qui
accélererait l'expansion de l'univers
, appelée
.
Elle définit la densité moyenne
sur des échelles cosmologiques
, mise en évidence par l'observation de l'accélération de l'expansion de l'univers. Cette densité d'énergie calculée à partir de ces observations (de l'ordre de 10 exp − 29g.cm exp − 3) est associée a
, ainsi qu'à la
.
Énergie sombre

 

Le concept d'énergie sombre a été forgé, et devrait être employé préférentiellement à "
" pour désigner la densité d'énergie du vide sur de grandes échelles.

 

En cosmologie, l'énergie sombre est une forme d'énergie hypothétique remplissant tout l'Univers et exerçant une pression négative se comportant comme une force gravitationnelle répulsive. L'énergie sombre pourrait expliquer l'accélération de l'expansion de l'univers et la constante cosmologique.

 

L'énergie sombre (à ne pas confondre, comme c'est souvent le cas, avec
) est directement liée à la constante cosmologique. La nature exacte de l'énergie sombre fait largement partie du domaine de la spéculation. Certains estiment que l'énergie sombre serait
, représentée par la constante cosmologique de la relativité générale.

Celle-ci fut initialement proposée par Albert Einstein (en 1917) comme un mécanisme pour contrer la gravitation et conduire à un univers statique.

Après la découverte de Hubble en 1929 sur le décalage Doppler associé à la vitesse de récession des galaxies, la constante cosmologique fut releguée au rang de curiosité historique.

 

Dans les années 1970, Alan Guth a proposé que ce soit la constante cosmologique qui provoquerait l'inflation cosmique dans l'univers primordial.

 

 

On peut remarquer qu'une forme ou l'autre de l'énergie sombre est l'explication la plus plausible de l'inflation cosmique qui eut lieu peu après le big bang. Cette inflation est un mécanisme essentiel des théories cosmologiques actuelles expliquant tout à la fois la formation des structures et l'isotropie de l'univers à grande échelle.

 

Du fait de sa nature répulsive, l'énergie sombre a tendance à accélérer l'expansion de l'univers, plutôt que le ralentissement attendu dans un univers dominé par la matière. Cette énergie serait ainsi la source de toutes les forces agissant dans l'univers : elle serait à l'origine du big bang (
a retenir !
).

 

Formule :

ccsn6.png

G
la constante gravitationnelle (environ 6,6742 × 10 exp -11 m3 kg exp -1 s exp -2),
c
la vitesse de la lumière (exactement 299 792 458 m s exp -1) par définition, et
Tμν
le
.

 

La constante cosmologique vaut donc :
Λ
= 10 exp − 29g.cm exp − 3.

 

 

Constante de Hubble

La constante de Hubble est le nom donné en cosmologie, à la constante de proportionalité existant aujourd'hui entre distance et vitesse de récession apparente des galaxies dans l'univers observable, la fameuse
décrivant
(qui s'interprète de façon plus exacte par une dilatation de l'espace lui-même). Elle donne donc le
actuel de l'univers (75 km/s/Mpc).

 

L'expansion de l'univers se manifeste par l'observation d'une vitesse de récession des objets astrophysiques lointains par rapport à la Galaxie. Si l'on n'observe pas directement un déplacement de ceux-ci (leurs distance étant établient par la luminosité absolut (à 32,6 Al) des Céphéides), on observe un décalage de leurs raies d'émission et de leurs raies d'absorption que l'on peut interpréter en terme d'effet Doppler. Ce décalage étant presque systématiquement vers le rouge, l'on en conclut que les objets s'éloignent de nous[1]. De plus, ce mouvement d'éloignement relatif est homogène et isotrope dans l'univers : une galaxie située à une distance donnée s'éloigne de la nôtre à la même vitesse, quelle que soit la direction où elle se trouve, et il en est de même pour tout observateur qui serait situé dans une autre galaxie. Il existe donc une relation entre la vitesse de récession des galaxies et la distance qui nous sépare d'elles, connue sous le nom de Loi de Hubble. Mais pour la Relativité Général, ce n'est plus les galaxies qui ont un mouvement propre de récession, mais bien l'espace qui les entours et qui deviens élastique. Les objets ne se déplacent plus seul dans l'univers, mais avec lui.

 

Et cette expension commence au-delà des galaxies, et non à l'intérieur d'eux. Ce n'est que la distance entre ceux-ci qui varie au cours du temps, et ce uniquement pour des objets suffisamment éloignés. (amas, superamas)

 

Bien que dénommée « constante », ce paramètre cosmologique varie en fonction du temps. Il décrit donc le taux d'expansion de l'univers à un instant donné. L'expansion de l'univers est une conséquence générique des lois de la relativité générale.

 

Loi de Hubble :

 

lhcq4.png

La vitesse de récession
v
des galaxies étant connue par
et sa distance
d
mesurée par les céphéides, où
H0
est la constante de Hubble, un nombre sans dimension qui est aujourd'hui estimé à 0,7. La relation entre la taille de l'univers observable et le
(RH = c / H0), dépend du modèle cosmologique considéré. Par exemple, dans un scénario de type Big Bang sans constante cosmologique, la taille de l'univers observable est très légèrement inférieure à 2 rayons de Hubble (voir
et
) soit environ 14 milliards d'années lumière.

 

En présence de constante cosmologique, ce chiffre augmente. Quand le paramètre de densité de la constante cosmologique atteint 0,7 (valeur communément admise pour notre univers), alors la taille de l'univers observable est de l'ordre de 3,2 fois le rayon de Hubble, soit, avec les chiffres précédents, un rayon de 45 milliards d'années lumière.

 

Si l'on se restreint à l'application de la loi de Hubble dans l'univers local (quelques centaines de millions d'années lumière), alors il est tout à fait possible d'interpréter la loi de Hubble comme un mouvement des galaxies dans l'espace. Mais entre le cadre de la Relativité Restreinte (objets qui s'éloigne selon 2 fois le rayons de Hubble) et la Relativité Générale (l'espace qui s'étire selon 3,2 fois le rayons de Hubble)

 

CONCLUSION :

 

La modèlisation des différentes formes d'évolution de l'Univers est effetué à partir des équations de Friedmann (relation entre le facteur d'échelle et le temps cosmique.) qui correspondent aux équations de la relativité générale (appelées équations d'Einstein) écrites dans le contexte d'un modèle cosmologique homogène et isotrope. Elles régissent donc l'évolution du taux d'expansion de l'univers et par suite de la distance entre deux astres lointains (le facteur d'échelle) et en fonction du temps appelé dans ce contexte temps cosmique (servant aussi a déterminer l'Horizon Cosmique). Relié à la densité de l'énergie de la constante cosmologique, qui peut s'interprêter comme une forme de matière de densité d'énergie constante et de pression exactement opposée à celle-ci.

 

En particulier, dans le cadre du modèle standard de la cosmologie, l'univers peut être décrit comme étant rempli de trois types d'espèce : des la matière relativiste (neutrinos et rayonnement), de la matière non relativiste (matière baryonique et matière noire), et de l'énergie noire, que l'on va ici approximer par une constante cosmologique (l'énergie des particules individuelles décroît avec l'expansion (ce n'est rien d'autre que l'effet de décalage vers le rouge).

 

La constante cosmologique est donc tributaire de la constante de Hubble, soit entre matière relativiste et non relativiste pour trouvé les valeure équivalente à l'étirement de l'espace situé entre les galaxies et conforme aux donné d'observation fournis par la mesure du décalage Doppler.

 

Les différents modèles du BB, découles donc éssentiellement de la Relativité général (RG), qui cherche à expliquer l'origine de cette énergie sombre, qui est à l'origine de l'expension accéléré de l'univers. Selon la RG, c'est l'espace qui est en expension et non la matière elle-même qui ne fait que subire les conséquences ! La constante cosmologique deviens ici que l'expression des densités d'énergies sombre, pour expliquer la structure de l'univers établit par la lois de Hubble effectué sur le décalage Doppler des galaxies, mais adapté à l'étirement de l'espace (RG) et non plus a l'éloignement/vitesse propre des galaxies (RR). Le tout est inclut dans les équations de Friedmann, et vous pouvez vérifié !

 

La taille de l'horizon cosmologique :

dgoc0.png

H0 représente l'actuel taux d'expansion de l'univers (la constante de Hubble) et les différentes quantités Ω correspondent aux paramètres de densité des différentes espèces présentes dans l'univers, à savoir rayonnement et particules de masse nulle (r), matière non relativiste (matière baryonique et matière noire, m) et constante cosmologique (Λ) mesurés aujourd'hui.

 

Et c'est pour cela que j'utilise le terme plus générale de constante cosmologique à celle de la constante de Hubble. Car le premier est liée à l'expension (taux d'accélération) du tissus espace-temps (RG) et hubble aux objets (RR) pour vitesse de récession et le tout en fonction du rayon de Hubble, voilà leurs différence éssentiel.

 

Ici on calcule l'espace entre les particules et leur énergie, et non pas l'énergie et les particule eux-mêmes, on définit un effet (matière-énergit) par une cause (continum), et non l'inverse comme il devrait être ! Alors la cause devient l'étirement de l'espace par l'énergie sombre via la constante cosmologique. Le BB est donc dans ses condition originaire d'une fluctuation d'espace via l'énergie sombre, et non plus l'origine de la matière-énergie comme t-elle ! Voilà ce que dit la RG

 

Et voilà le mystère éclaircis !!!!!!

 

Gilles

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité akira
l'apostasie du Big Bang !!!!

 

Re- ouvre un disctionnaire. Le fil ne traite surement pas de l apostasie du BB.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Gilles : bonne idée d'avoir tout récapitulé. Mais je ne comprends pas bien la fin qui, si j'ai bien compris, introduit tes idées. Donc ça doit être important d'arriver à comprendre !

 

Et c'est pour cela que j'utilise le terme plus générale de constante cosmologique à celle de la constante de Hubble.

Tu peux rappeler ce que tu appelles constante cosmologique ? Car dans le texte récapitulatif, c'était Lambda, mais en disant "j'utilise", tu as l'air d'utiliser cette dénomination pour autre chose. En fait, on dirait que la constante de Hubble, tu la renommes "constante cosmologique" (c'est ce qui ressort de ta phrase si je la relis). Or cette dénomination est déjà utilisée ! Bref : ça vaudrait le coup d'être plus précis !

 

Car le premier est liée à l'expension (taux d'accélération) du tissus espace-temps (RG) et hubble aux objets (RR) pour vitesse de récession et le tout en fonction du rayon de Hubble, voilà leurs différence éssentiel.

"Car le premier"... le premier, c'est la première, c'est-à-dire la constante de Hubble, c'est ça ? OK, elle est liée à l'expansion et tout ça, ça colle. Et la deuxième ? Tu n'en parles pas, et tu dis ensuite "voici leur différence essentielle" ! Heu... tu n'aurais pas oublié une phrase ? :) Bref : tu pourrais repréciser la différence entre la constante de Hubble et ce truc que tu appelles la constante cosmologique ?

 

Ici on calcule l'espace entre les particules et leur énergie

Cette phrase ne veut rien dire, fais attention ! Un espace ne se calcule pas, c'est un objet géométrique ! Tu veux dire la distance ? C'est quoi la distance entre les particules (qui sont des objets situés dans l'espace) et leur énergie (qui sont des grandeurs et ne sont, bien entendu, pas situés dans l'espace) ? À mon avis, tu as dû te mélanger les pinceaux... :) Tu peux corriger ?

 

et non pas l'énergie et les particule eux-mêmes,

Et non pas (sous-entendu : on ne calcule pas) l'énergie et les particules. Ah, une énergie, effectivement ça se calcule ! Par contre, calculer une particule, je ne comprends pas. Calculer leur position ? Encore une phrase à revoir...

 

Alors la cause devient l'étirement de l'espace par l'énergie sombre via la constante cosmologique.

OK.

 

Le BB est donc dans ses condition originaire d'une fluctuation d'espace via l'énergie sombre, et non plus l'origine de la matière-énergie comme t-elle ! Voilà ce que dit la RG

Tu veux dire : l'expansion est donc dans ces conditions... J'ai même l'impression que c'est de l'inflation dont tu parles, non ? Bref, l'inflation serait due à une fluctuation de l'énergie du vide... oui, je crois bien avoir lu quelque chose comme ça, mais il me semble que ce sont des théories d'avant-garde qui n'ont pas encore été testées par l'expérience ou l'observation.

 

Et voilà le mystère éclaircis !!!!!!

Il sera éclairci quand on aura bien compris cette histoire de fluctuation du vide ! :) (si c'est bien ça le mécanisme...)

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité akira

Tu veux dire : l'expansion est donc dans ces conditions... J'ai même l'impression que c'est de l'inflation dont tu parles' date=' non ? Bref, l'inflation serait due à une fluctuation de l'énergie du vide... oui, je crois bien avoir lu quelque chose comme ça, mais il me semble que ce sont des théories d'avant-garde qui n'ont pas encore été testées par l'expérience ou l'observation.

 

 

Il sera éclairci quand on aura bien compris cette histoire de fluctuation du vide ! :) (si c'est bien ça le mécanisme...)[/quote']

 

 

Et c est pas demain la veille on dirait. Ce probleme est l une des interrogations les pus importante en physique (et pas seulement en cosmo). L energie du vide, l etat fondamental d un champs scalaire correspondant a cette energie du vide est calculable en theorie quantique. A cote de ca, la densite d energie de la constante cosmologique est aussi calculable a partir de l acceleration de l univers. Quand on fait le rapport des deux, on trouve que l energie du vide proposee par les theoriciens de mecaQ est bcp plus grande que la densite d energie cosmologique. Et qd je dis plus grand c est un facteur 10^120 ... oui oui ... 1 avec 120 zero derriere. Et deja ce nombre inclus une coupure de la sommation des etat fondamentaux en relation avec la limite de Planck. Si on bidouille tout ce qu on peut avec des symetries etc ... il reste toujours un bon 10^60 d ecart ...

 

Donc constante cosmologique = energie du vide ... pour l instant ca colle pas du tout.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité glevesque

Salut 'Bruno

 

Posté par 'Bruno
Poster par glevesque

 

Et c'est pour cela que j'utilise le terme plus générale de constante cosmologique à celle de la constante de Hubble.

Tu peux rappeler ce que tu appelles constante cosmologique ? Car dans le texte récapitulatif, c'était Lambda, mais en disant "j'utilise", tu as l'air d'utiliser cette dénomination pour autre chose. En fait, on dirait que la constante de Hubble, tu la renommes "constante cosmologique" (c'est ce qui ressort de ta phrase si je la relis). Or cette dénomination est déjà utilisée ! Bref : ça vaudrait le coup d'être plus précis !

La constante cosmologique inclut en elle-même la constante de hubble via le tau d'expension et aussi pour trouver le rayon de hubble (taille de l'Univers observable) dans les équations de Friedmann ! (voir les définition plus haut)

 

Posté par 'Bruno
Posté par glevesque

 

Car le premier est liée à l'expension (taux d'accélération) du tissus espace-temps (RG) et hubble aux objets (RR) pour vitesse de récession et le tout en fonction du rayon de Hubble, voilà leurs différence éssentiel.

"Car le premier"... le premier, c'est la première, c'est-à-dire la constante de Hubble, c'est ça ? OK, elle est liée à l'expansion et tout ça, ça colle. Et la deuxième ? Tu n'en parles pas, et tu dis ensuite "voici leur différence essentielle" ! Heu... tu n'aurais pas oublié une phrase ? Bref : tu pourrais repréciser la différence entre la constante de Hubble et ce truc que tu appelles la constante cosmologique ?

Voici la partie du texte en question
Et c'est pour cela que j'utilise le terme plus générale de constante cosmologique à celle de la constante de Hubble. Car le premier est liée à l'expension (taux d'accélération) du tissus espace-temps (RG) et hubble aux objets (RR) pour vitesse de récession et le tout en fonction du rayon de Hubble, voilà leurs différence éssentiel.
La constante cosmologique cherche en encadrer l'expension accéléré du tissus espace-temps de la RG, cette constance agit comme étant l'expression d'une force gravitationnelle répulsive, et veut donc par le fait même exprimer la densité de cette forme d'énergie répulsive, que l'on suppose être l'énergie noir (ou une sorte de densité d'énergie du vide sur des distances cosmologique qui étirerait l'espace situé entre les structures de galaxies). La cause viens de l'observation de la luminosité plus faible que prévut de certains supernovae de type 1 (voir : l'accélération de l'expansion de l'univers de Wikipedia). Ce qui a eu pour effet de modifier les interprétation de la lois de hubble, vut que les galaxies mesurer était beaucoup plus loins que le stipulait cette lois. La constante cosmologique se veut donc être une sorte de synthèse a tout cela pour expliquer cette croissance accélérer du tissus de l'univers (le continuum d'espace-temps de la RG), c'est-à-dire :

 

1 - Le déccalage doppler des galaxies, qui atteste leurs mouvement propre et qui crois avec leurs distance par rapport a nous (la vitesse de récession des galaxies), définit par la loi de Hubble ^pour trouvés le taux d'expension via le rayons de courbure de Hubble !

2 - Les distances plus grande attestées par les mesures de luminosité des supernovae de type 1 très éloignés de nous. Qui est un corrélaire de l'effet doppler pour les vitesse de récession propre des galaxies. Mais dont les distance sont devenut plus grande, dont l'ajout d'une expension accélérer qui implique des notion de comobilité (l'étirement du tissus qui entraine les galaxies d'autent plus vite quelles sont éloignées de nous)

 

Le tout est bien corrélé a partir de la constante cosmologique, par la supposée densité de l'énergie du vide (jouant ici le role de l'énergie sombre ou noir), et ceci afin d'expliquer cette force répulsive qui entraimnenent tout dans un concepte de comobilité qui crois selon cette même densité d'énergie sombre d'étirement et selons les distances des galaxies. Mais le tous est aussi encadrer et basé sur le taux d'expension qui est fournit par la constante de Hubble, et ceci pour définir la différence qui existe entre l'univers observable (notre horizon visuelle de 13,7 gal) de l'univers réelle (ou comobile de plus de 45 gal).

 

La constante de hubble est donc inclut dans le formalisme (voir les équations de Friedmann plus haut) de la constante cosmologique pour définir la densité de l'énergie répulsive noir ou sombre, et ceci afin de corrélé les données d'observation sur les vitesses de récession des galaxies et de leurs distance réelle mesuré a partir des supernovea de type 1, ce qui définit la comobilité en quelque sorte qui est porté sur les distances réelle des galaxies par rapport a nous et a travers l'expension accéléré de l'Univers.

 

En résumer, tout ce concepte d'expension accélérer viens juste de cela ! Et vut qu'einstein l'avait intégrer dans la RG pour calculer la dynamique de l'univers qu'il voulait garder statique, et qui a été enlever par la suite par les découverte de Hedwin Hubble en 1929, sur le décalage doppler relié aux vitesse de récession des galaxie, et bien ces nouvelles données fournit par les supernovae de type 1, on permit de réintégrer le concepte de la constante cosmologique pour expliquer la croissence accéléré du tissus Univers (concepte de comobilité de la trame de fond). D'un Univers ce voulant statique au début via cette constante pour stabilisé l'univers, on est passer a un Univers en expension accéléré par l'agout d'une force répulsive pour expliquer le tout !

 

Mais le tout découle de ces deux type de mesure (doppler et luminosité des supernovae), et cela est a retenir, car d'autre phénomène peut très bien expliquer cela autre que les explication fournit a l'heure actuelle ! On y reviendera !

 

Posté par 'Buno
Posté par glevesque

 

Ici on calcule l'espace entre les particules et leur énergie

Cette phrase ne veut rien dire, fais attention ! Un espace ne se calcule pas, c'est un objet géométrique ! Tu veux dire la distance ? C'est quoi la distance entre les particules (qui sont des objets situés dans l'espace) et leur énergie (qui sont des grandeurs et ne sont, bien entendu, pas situés dans l'espace) ? À mon avis, tu as dû te mélanger les pinceaux... Tu peux corriger ?

 

....

 

Et non pas (sous-entendu : on ne calcule pas) l'énergie et les particules. Ah, une énergie, effectivement ça se calcule ! Par contre, calculer une particule, je ne comprends pas. Calculer leur position ? Encore une phrase à revoir...

Je fais toujours références au continuum d'espace-temps de la RG, voir ici pour plus d'explication :
Si la relativité approche et aborde les effets des champs gravitationnelle par un système dynamique de mesure qui est axés sur l'espace (étendut) et le temps (les durée) qui se trouve entre les objets (dont découle réellement les cause phénoménales) et non les objets eux-même, et bien c'est justement pour faire resortir l'action de cette dynamique et donc les effets et non la cause ! La géométrie courbe découlant directement de l'invariance de C (V/C).

 

ici......

 

Tu veux dire : l'expansion est donc dans ces conditions... J'ai même l'impression que c'est de l'inflation dont tu parles, non ? Bref, l'inflation serait due à une fluctuation de l'énergie du vide... oui, je crois bien avoir lu quelque chose comme ça, mais il me semble que ce sont des théories d'avant-garde qui n'ont pas encore été testées par l'expérience ou l'observation.

Je fait référence a une sorte de fluctuation du vide, effectivement pour expliquer l'origine de l'Univers (de nos dimension d,Univers a partir d'un Unviers multidimensionnelle à la théorie M, par exemple), mais a partir de dimension autre qui était dans un véritable univers avant d'émerger dans le notre sous forme de nos 4 dimensions (mais j'avout que je ne crois pas au BB, c'est juste pour expliquer un peut les début d'avant le temps de Plank et selon d'autre théorie sur le sujet !). Ce n'est pas une situation de multi-Univers, mais bien de création ou d'émergences de nos 4 dimension a partir d'un Univers Unique plus englobant (par résonnance, échos ou autre). Notre univers représente donc, des dimensions parrallèle de cette Univers véritable et dont tout et absolument tout originerait, il n'est pas un Univers a part, mais bien comme une dimension d'Univers différents de celui d'origine (un peut comme la théorie d'Evrett mais en dimension différentes et non en univers multiple) !

 

Gilles

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité glevesque

Saluy akira

Et c est pas demain la veille on dirait. Ce probleme est l une des interrogations les pus importante en physique (et pas seulement en cosmo). L energie du vide, l etat fondamental d un champs scalaire correspondant a cette energie du vide est calculable en theorie quantique. A cote de ca, la densite d energie de la constante cosmologique est aussi calculable a partir de l acceleration de l univers. Quand on fait le rapport des deux, on trouve que l energie du vide proposee par les theoriciens de mecaQ est bcp plus grande que la densite d energie cosmologique. Et qd je dis plus grand c est un facteur 10^120 ... oui oui ... 1 avec 120 zero derriere. Et deja ce nombre inclus une coupure de la sommation des etat fondamentaux en relation avec la limite de Planck. Si on bidouille tout ce qu on peut avec des symetries etc ... il reste toujours un bon 10^60 d ecart ...

 

Donc constante cosmologique = energie du vide ... pour l instant ca colle pas du tout.

Et tu as exactement réson, je veut juste mêtre une image a cette énergie ou densité d'énergie sombre, afin de mieu représenter et visualisé les conséquences qu'apporte la constante cosmologique sur l'expension accéléré de l'Univers (et la comobilité des distances réelles) !

 

Gilles

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

La constante de hubble est donc inclut dans le formalisme (voir les équations de Friedmann plus haut) de la constante cosmologique pour définir la densité de l'énergie répulsive noir ou sombre, et ceci afin de corrélé les données d'observation sur les vitesses de récession des galaxies et de leurs distance réelle mesuré a partir des supernovea de type 1, ce qui définit la comobilité en quelque sorte qui est porté sur les distances réelle des galaxies par rapport a nous et a travers l'expension accéléré de l'Univers.

Tu mélanges tout.

La constante de Hubble, c' est un taux d' expansion. On peut avoir un univers en expansion sans avoir de constante cosmologique (c' est pour ça qu' Einstein, quand il a eu connaissance des travaux de Hubble, a regretté de l' avoir introduite : S' il ne l' avait pas fait, il aurait pu prédire que l' univers était en expansion !)

La constante cosmologique, c' est un terme de l' équation d' Einstein, qui selon sa valeur va provoquer un accélération , un ralentissement ou une absence d' expansion.

Bref, ça n' a rien à voir. En tirant très fort sur les cheveux de l' analogie, on pourrait dire que la constante cosmologique est un terme d' accélération, alors que la constante de hubble, c' est une vitesse :

 

On peut avoir une vitesse nulle, avec une forte accélération (pense à une pierre qui tombe sur le sol : au moment du choc l' accélération est considérable mais la vitesse est nulle), et une vitesse élevée avec une accélération nulle (pense à un avion en vitesse de croisière).

 

Et bien avec la constante cosmologique et le paramètre de Hubble, c' est la même chose: Il existe des solutions à constante cosmologique nulle et paramètre de Hubble élevé, et d' autres avec constante cosmologique et paramètre de Hubble nul (la solution statique d' Einstein).

 

 

Attention, c' est une analogie, pour faire comprendre qu' il est possible d' avoir l' un sans l' autre et réciproquement, je n' ai pas écrit que le paramètre de Hubble était une vitesse ni que la constante cosmologique était une accélération (je me méfie, maintenant, je préfère préciser ;) )

 

A+

--

Pascal.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité glevesque

Salut

 

OK, le taux d'expension accéléré est définit par quoi alors ?

 

Gilles

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

le taux d'expension accéléré est définit par quoi alors ?

Par un paramètre de Hubble qui augmente (ou diminue, selon le signe de l' accélération) avec le temps. On peut obtenir ce genre de solution avec une constante cosmologique positive (solution de De Sitter par exemple)

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

La constante cosmologique inclut en elle-même la constante de hubble via le tau d'expension et aussi pour trouver le rayon de hubble (taille de l'Univers observable) dans les équations de Friedmann !

Elle inclut ?????? Tu veux dire que ce que tu appelles la constante cosmologique, ce n'est pas un nombre mais un ensemble de nombres ???? En tout cas, il est clair que tu n'appelles pas "constante cosmologique" le nombre Lambda qui était rappelé dans ton texte préliminaire, vu que celui-ci n'a absolument rien à voir avec la constante de Hubble. Maintenant, qu'est-ce que tu appelles "constante cosmologique" ? Mystère !

 

Ah, je crois que je commence à comprendre (grâce aux longues explications qui suivent...) Tu fais remarquer que la constante de Hubble décrit le taux d'expansion de l'Univers, et que la constante cosmologique (la vraie) décrit sa décélération, d'où un point commun entre les deux. Et tu voudrais donc décrire ces trucs là par une seule constante (qui ne serait donc pas un ensemble de deux nombres ?). Mais je ne suis pas sûr d'avoir compris.

 

La constante de hubble est donc inclut dans le formalisme (voir les équations de Friedmann plus haut) de la constante cosmologique pour définir la densité de l'énergie répulsive noir ou sombre

Ah non, je n'avais rien compris ! Le formalisme de la constante cosmologique !!!! Ça ne veut rien dire. On parle de formalisme d'une théorie. Et la constante cosmologique, c'est la vraie, ou celle de ta définition ? N'oublie pas de préciser à chaque fois.

 

Ça y est, j'ai compris ! Tu dis que l'objet qui décrit le taux d'expansion de l'Univers contient à la fois la constante de Hubble (qui décrit la valeur de ce taux à un instant donné) et la constante cosmologique (qui explique que ce taux accélère). Et cet objet (qui contient cette information), tu l'appelles "constante cosmologique". Non, cet objet n'est pas un nombre. C'est ce qu'on appelle une fonction. Disons, pour simplifier, que c'est un "nombre variable" (il varie en fonction du temps). Donc je te propose d'appeler "fonction cosmologique" la fonction qui décrit le taux d'expansion. Mais pas "constante cosmologique", puisque cette fonction n'est pas constante (sa valeur varie) ! Ou plutôt non, je te propose de l'appeler comme tout le monde : "taux d'expansion de l'Univers". Donc, tu faisais remarquer que le taux d'expansion de l'Univers est lié à la constante de Hubble et à la constante cosmologique. C'est ça ?

 

et bien ces nouvelles données fournit par les supernovae de type 1, on permit de réintégrer le concepte de la constante cosmologique pour expliquer la croissence accéléré du tissus Univers (concepte de comobilité de la trame de fond). D'un Univers ce voulant statique au début via cette constante pour stabilisé l'univers, on est passer a un Univers en expension accéléré par l'agout d'une force répulsive pour expliquer le tout !

OK, ça je comprends, mais je ne vois pas où tu veux en venir (?).

 

Pour le reste, tes réponses ne clarifient rien du tout. Par exemple, quand je te demande ce que tu appelles l'espace entre les particules et leur énergie, tu réponds « Je fais toujours références au continuum d'espace-temps de la RG, voir ici pour plus d'explication : », puis tu fais référence à un texte d'une longueur affolante... Je te demande juste une petite précision, alors fais une phrase ! C'est quoi que tu appelles l'espace entre les particules et leur énergie ? Réponse : on appelle espace entre une particule et son énergie [à toi de compléter].

 

-------------

OK, le taux d'expension accéléré est définit par quoi alors ?

Pas par un nombre, mais par une fonction (ce qu'ArthutDent appelle le "paramètre de Hubble qui augmente"). Par exemple, la vitesse d'un train entre son départ et son arrivée est décrite par une fonction (qui vaut 0 au départ et 0 à l'arrivée, mais un tas de valeurs positives (normalement) entre les deux).

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité glevesque

Salut

 

Il y a donc corrélation entre le taux d'expension fournit par la constante de hubble (décalage duppler et vitesse de récession propre) et la constante cosmologique (expension accéléré du tissus sous forme de comobilité) !

 

La densité d'énergie sombre est corrélé avec l'expension de la trame de fond comobile en superposition avec le décalage doppler qui fournis le taux de récession pour définir cette densité d'énergie !

 

Non !!!!

 

Gilles

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a : ça se réfère au fait qu' une solution des équations d' Einstein étudiée avec une constante cosmologique non nulle peut , mais n' est pas toujours en expansion accélérée ?

donc corrélation entre le taux d'expension fournit par la constante de hubble (décalage duppler et vitesse de récession propre) et la constante cosmologique : Ben non. C' était l' objet de mon post précédent.

 

(expension accéléré du tissus sous forme de comobilité) !

ça, je le retire, puisque ça ne veut rien dire (jusqu' à preuve du contraire). Si tu veux qu' on comprenne, il faut définir ce qu' est un "tissus sous forme de comobilité", et quel est le rapport de ce tissus avec le sujet.

 

Par ailleurs, que vient faire le décalage Doppler et la vitesse propre là dedans ? La loi de Hubble est valable pour des objets comobiles, donc il n' y a pas de décalage Doppler ni de vitesse propre.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité glevesque

Salut 'bruno

 

Mais pas "constante cosmologique", puisque cette fonction n'est pas constante (sa valeur varie) ! Ou plutôt non, je te propose de l'appeler comme tout le monde : "taux d'expansion de l'Univers". Donc, tu faisais remarquer que le taux d'expansion de l'Univers est lié à la constante de Hubble et à la constante cosmologique. C'est ça ?
Effectivement, les deux sont intégrer pour exprimer la corrélation du tout !

 

taux d'expansion de l'Univers, n'exprime pas vraiment ce que je veux exprimer car elle exprime moins bien le liens avec la densité de l'énergie noire, je veux exprimer par cette terminologie le corrélaire des deux constante en fonction du temps effectivement qui est relié à la comobilité de l'accélération (traduisant les décalage des spectres doppler de plus en plus élever selons leurs distance) a travers le mouvement d'ensemble de la trame de fond, qui y est définit par la densité de l'énergie sombre ! Le mouvement propre des galaxie, définit le type de décalage selon leurs distance dont la comobilité dilate les longueurs d'ondes d'autant quel sont éloigner de manière réelle !

 

Il me semble que le concepte de constante cosmologique, en y incluant de manière implicite ces variations en fonction du le temps, exprime intuitivement cette notion. Vut que cette constante n'en est pas une en définitive vut quelle suit le taux d'expension de la constante de hubble. Une constante aux propriété fonctionnelle sur le temps, qui stipule de la densité de l'énergie sombre sous une forme de répartition densitométrique en fonction des distances par rapport a nous !!

 

Gilles

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité glevesque

Salut Arthur

 

tissus sous forme de comobilité
l'étirement du continuum, qui en fonction des distance crois et fait accéléré l'expension selon la RG ! Une sorte de mesure densitométrique qui dépand uniquement du point d'observation, vut quand générale la dilation du tissus est égale en tout point, mais qui parait croite par rapport à un point d'observation données (d'ou l'aspect densitométrique qui lui est rataché à partir de ce point et pour expliquer l'accélération en fonction des distances) !

 

Gilles

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité glevesque

Salut

 

bonjour en ce qui concerne le big bang je vous propose un article sur le site suivant oû j'emet une hypothèse pour laquelle j'attend vos commentaires éventuels Merci d'avance

http://www.astronomie.over-blog.org/categorie-320253.html

Regarde ce papier :

L'accélération radiale anormale de Pioneer 10

 

Je suis de cette avis également, puisque que j'étais rendut a faire justement ce type de liens a partir de la constante cosmologique, qui au lieu d'être le fruit de la densité de l'énergie sombre (ou du vide). pourrait symbolisé une sorte de densité de la matière qui se trouve entre nous et les objets observés ! (milieu semi-transparent)

 

Une sorte de principe d'équivalence entre les deux représentation que peut prendre ici la constante cosmologique ! Ainsi les supernovae qui nous paraisent plus loins a cause de leurs luminosité plus faible que la normale, dont a découler l'interprétation de l'énergie sombre et du principe de la comobilité de l'expension accéléré, serait en fait qu'un simple phénomène de densité de la matière traverser sur la ligne de visée, qui par processus de diffusion fatiguerait la lumière en quelque sorte, en dilatent leurs longueur d'ondes par émission et absortion successif et multiple et a travers des niveaux d'énergie (harmonique et résonnance) un peut différents (taux vibratoire des molécules sur leurs différents états d'énergie et selon le milieux ou elles se trouvents (champs magnétique, élecyrique, densité des champs gravitationnelle locale et etc...)).

 

Les image de mirage diffusionnelle que j'ai postés plus haut, veulent un peut représenter cela !

 

Gilles

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Ainsi les supernovae qui nous paraisent plus loins a cause de leurs luminosité plus faible que la normale, dont a découler l'interprétation de l'énergie sombre et du principe de la comobilité de l'expension accéléré, serait en fait qu'un simple phénomène de densité de la matière traverser sur la ligne de visée, qui par processus de diffusion fatiguerait la lumière en quelque sorte, en dilatent leurs longueur d'ondes par émission et absortion successif et multiple et a travers des niveaux d'énergie (harmonique et résonnance) un peut différents (taux vibratoire des molécules sur leurs différents états d'énergie et selon le milieux ou elles se trouvents (champs magnétique, élecyrique, densité des champs gravitationnelle locale et etc...)).

Sauf que ça n' explique pas la dilatation temporelle de la courbe de décroissance de luminosité des supernovae à fort redshift (contrairement au modèle actuellement admit par toute la communauté scientifique).

Ni pourquoi le fond diffus cosmologique possède un spectre de corps noir (même si c' était le cas à l' origine, la perte d' énergie des photons aurait du modifier le spectre).

J' emprunte la figure à Ned Wright :

tiredlit.gif

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité glevesque

Salut Arthur

 

Il faudrais que tu me fournis a quoi correspond les ordonné (MJy/sr) par rapport au décalage de l'axe des x, je n'est pas bien compris le graph à cause de cela !

 

Sauf que ça n' explique pas la dilatation temporelle de la courbe de décroissance de luminosité des supernovae à fort redshift (contrairement au modèle actuellement admit par toute la communauté scientifique).
L'aspect temporel du fort alongement des longueurs d'ondes (grand redshift), peuvent aussi être expliquer par la distribution assymétrique des nuage de gazs extragalactique (situé entre un amas de galaxies ou tout simplement à travers certaines bulles de la structure de l'univers plus globale, par exemple). Pour vérifier il faudrait connaitre les aires de distribution de ces supernovae (à travers leurs galaxie mêre) et voir quelle sorte de corrélélation il peut y avoir avec la superposition du rayonnement diffut cosmologique (à 2,7 K) et les structure des amas/supermas. Il y a toujours la longueurs d'ondes de l'Hydrogène de 23 cm, mais il faudrait aussi vérifié les autres longueurs d'ondes qui chevauche les différents niveaux d'excitation, et pourquoi pas aussi pour l'hélium ! Cela n'est pas encore fait !!!!!! Le tout peut prendre la forme d'une certaines aires de concentration qui serait par exemple, représentatif d'une sorte de distribution densitométrique des gazs et poussière pouvant entrer en résonances avec les longueurs émisent et incidantes qui travers ses régions extragalactique a densité moins élevé et dàcomposée de matière moins lumineuse (une concentration de matière plus diffuse et non compactes)

 

Ni pourquoi le fond diffus cosmologique possède un spectre de corps noir (même si c' était le cas à l' origine, la perte d' énergie des photons aurait du modifier le spectre).
Et pourquoi ? Je dirais plutôt le contraire, la distribussion du rayonnement fossiles suis une distribution (quasi symétrique) de rayonnement d'un corps noirs, c'est justement je crois, a cause que l'Univers locale (observable) est la représentation radiatif d'un corps noir ! Cette relation peut traduire tout simplement une sorte de bilan sur la distribussion de la matière et des champs d'énergie, et le tout selon la répartission et la dynamique locale de la structure d'amas, superamas, bulle (aire de distribussion plus vide) vers la structure de plus en plus générale de l'Univers !

 

Gilles

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Archivé

Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.

  • En ligne récemment   0 membre est en ligne

    • Aucun utilisateur enregistré regarde cette page.

×
×
  • Créer...

Information importante

Nous avons placé des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer ce site. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer.