Comme il a été dit Kinoptic ça fait cher de la bague alu... Avec un miroir aussi léger... il faut les solutions qui vont avec! afin de se tordre l'esprit avec des compromis... genre se retrouver avec l'histoire des contre-poids à gérer... S'il s'agit d'un dobson classique (pas un monobras) on peut à la limite accepter un contre-poids qui coulisse le long d'un tube serrurier... Mais il faut commencer par la pièce principale le porte oculaire... à choisir ce serait un Feather Touch (version légère!) en 2 pouces. Fiable et léger, c'est cher mais par la suite c'est le genre de truc qu'on ne regrettera pas... Cage secondaire légère en composite avec une structure pyramidale. Cela permet également le branchement de la cage le plus bas possible pour descendre le CG. Cage du primaire taille basse, pas la peine du coup de forcément avoir du composite pour la cage du primaire. Les tubes serruriers --> en carbone c'est moins lourd (tous ce qui peux abaisser le CG se devrait d'être fait). Après la CAO... bien que cela peut-être utile pour les modélistes patentés, après avoir fabriqué 5 télescopes je trouve que c'est une perte de temps organisée. Par contre un dessin papier à l'échelle rend des services inestimables. On peut s'y référer sans aller sur un écran au court de la fabrication, je suis pour à 2000% ! (Bon pour ceux et celles qui ont le privilège d'accéder à des machines à commandes numériques c'est certes un peu différent). Et pour l'estimation du positionnement CG, on peut utiliser un simple feuille excel pour faire une estimation grossière mais le juge de paix sera la mise en équilibre du tube seul monté (avec le PO+parracor+oculaires) et terminé que l'on pourra mettre à l'équilibre sur un tuyau de poêle par exemple. (Cela veux dire que l'on aura fait la découpe des tubes correctement pour déterminer bonne distance de mise au point avant). Et c’est seulement ensuite qu'on entame la construction des tourillons... et là on a quasi plus que la répartition géométrique du poids des tourillons à s'occuper pour faire un équilibre au poil de l'instrument + bien entendu tenir compte de l'intervalle des poids (min/max) des oculaires utilisés selon les pratiques d'observation.