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Le paradoxe temporel


neo

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SAlut à tous ;)

 

Salut elie ;) excuse-moi si j' ai été long, mais j' était partit avec la famille :p

 

Pour te répondre là-dessus;

 

Il semble que le satellite voyager actuellement hors de notre système solaire, ne se retrouve pas là où sa vitesse de croisière devrait le situer. Il y a un problème de distance dans son trajet. (J'essaie de retrouver l'info sans succès; j'y reviendrai si je trouve). Ce problème pourrait résulter de la métrique de l'espace où il se trouve. Normalement, plus il s'éloigne de nous, plus la métrique est dilatée puisqu'il sort de la "contraction produite par la déformation spatiale du système solaire.

 

J' ai ce lien chez-moi à montréal sur mon ordi;)

 

Et sur celà;

 

Dans une métrique "compressée, la longueur d'onde est nécessairement "compressée"; dans une métrique dilatée, elle est dilatée. Et comme lorsque nous regardons dans le passé, nous regardons dans une métrique compressée, la longueur d'onde devrait être tout aussi compressée.

 

Très intéressant ton point de vue elie;)

 

Donc, selon toi , plus on regarde dans le passé , plus la métrique était compresser:)

 

 

amicalement

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SAlut à tous;)

 

Merci elie pour ton point de vue;)

 

Donc, si la métrique était compresser , tout le reste y était aussi:?:

 

Le temps, l' expansion,...etc

 

Donc cette compression de l' univers a due déterminer plusieurs facteurs sur le cheminement de l' univers;)

 

 

Qu' en pense-tu:?:

 

 

amicalement

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Le cheminement de l'univers s'est fait vers la "décompression" (la dilatation).

 

Ex: la densité était plus importante, la chaleur ect...Le temps est dépendant de la vitesse du mouvement, me semble-t-il. Est-ce que cette vitesse était plus grande? C'est possible.

 

Mais si la vitesse était compressée (augmentée) au même ratio que l'espace, le temps ne l'était alors pas puisque le temps serait la durée d'un déplacement dans un espace spécifique.

 

Amicalement

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Merde! Ça ne va plus du tout. Je me relis et je n'arrive pas à comprendre ce que je voulais exprimer. Je commence à saisir les difficultés que vous avez à me comprendre parfois. :(

 

Je vais essayer de me comprendre un peu:

Mais si la vitesse était compressée (augmentée) au même ratio que l'espace, le temps ne l'était alors pas puisque le temps serait la durée d'un déplacement dans un espace spécifique.

 

Donc, si la vitesse est augmentée au même ratio que la distance est diminuée, le temps ne serait pas compressé puisque le temps serait la durée d'un déplacement dans un espace spécifique.

 

J'imagine que je voulais dire que même si la durée du trajet n'était plus que d'une seconde, donc durée plus courte, on était face au même temps, ce n'était que la distance qui diminuait.

 

Mais la question qui me vient à l'esprit actuellement est pourquoi la vitesse augmenterait lors d'une compression de distance? Ce n'est que la durée du trajet qui serait plus court à la même vitesse??? De sorte qu'elle nous semblerait augmenter mais serait constante. :?: De sorte qu'un km (distance)parcouru à 1 km/hre (vitesse) résulterait en "impression" d'une augmentation de vitesse (2 km/hre) dans un km compressé de moitiée; et nous ne pouvons plus nous fier à la formule.

 

Amicalement

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Salut à tous;)

 

Pour te répondre sur ceci elie;

 

Merde! Ça ne va plus du tout. Je me relis et je n'arrive pas à comprendre ce que je voulais exprimer. Je commence à saisir les difficultés que vous avez à me comprendre parfois. :(

 

Crois-moi, j' ai vu bien pire;)

 

Bien que ce soit confus pour moi quelques fois, tu est parfaitement lisible et comprenable;)

 

Mais je t' avoue que je ne saisi pas trop bien ce que tu veut dire dans cette phrase;

 

Donc, si la vitesse est augmentée au même ratio que la distance est diminuée, le temps ne serait pas compressé puisque le temps serait la durée d'un déplacement dans un espace spécifique

 

 

Peut-tu élaborer:?:

 

 

merci d' avance

 

amicalement

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L'explication que j'avais ajouté était:

J'imagine que je voulais dire que même si la durée du trajet n'était plus que d'une seconde, donc durée plus courte, on était face au même temps, ce n'était que la distance qui diminuait.

 

La distance était diminuée donc la durée du trajet était diminuée; mais même si la durée est diminuée ce n'est pas le temps qui est compressé, c'est la distance qui est plus courte. Le temps (durée du trajet) est directement dépendant de la vitesse du mouvement; il diminue si on diminue la distance. Il diminue également si on augmente la vitesse. Diminuer la distance est équivalent à augmenter la vitesse. Mais dans les deux cas, le temps lui-même n'est pas "compressé" . On se sert de la même horloge dans tous les cas.

 

Amicalement

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La notion de temps est un corollaire de la notion de mouvement

 

On en déduit que le temps est une conséquence du mouvement ou de la Cause.

 

le mouvement se fait dans la durée et si le temps venait à s'arrêter plus rien ne bougerait

 

Au, si la conséquence n'existait plus, la cause n'existerait plus non plus. Une cause conséquence de sa conséquence. Quel casse-tête.

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Il faut les prendre à la queue leu leu; tout comme se sont déroulés les évènements de l'évolution de l'univers. :laughing: Une cause produit un effet et cet effet devient la cause d'un effet subséquant.

 

L'accrétion de trois quarks produisent des hadrons, l'accrétion d'hadrons produit des éléments, l'accrétions d'éléments produit des molécules etc...établit toute la chaîne évolutive et ensuite tu reviendras sur les caractéristiques individuelles de chacun des composants en gardant à l'esprit le tableau de la chaîne en question. Ça te cassera moins la tête.

 

Amicalement

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Salut à tous;)

 

 

Pour répondre à ceci;

 

Au, si la conséquence n'existait plus, la cause n'existerait plus non plus. Une cause conséquence de sa conséquence. Quel casse-tête.

 

OUAIS, c'est bien vraie:D

 

Je vais essaiyer de trouver un lien que j' ai dans mon ordi à montréal et vous le posterai , il est très intéressant;)

 

 

amicalement

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Salut à tous et à élie l’artiste

 

Je reviens de vacances, loin de tout ordinateur mais beaucoup plus dans mes pensées et mes rêves et vais repartir d’ici peu pour un certain temps encore.

 

Permettez moi de faire une petite incursion dans votre discussion.

 

Je vous avoue que je n’ai pas eu le temps de tout lire de cette discussion mais je me suis arrêté sur une de tes réflexions « élie l’artiste » qui me chiffonne.

 

Peut-être me chiffonne t-elle, justement parce que je n’ai pas tout lu et qu’il me manque une ou plusieurs données.

 

En effet tu dis, élie l’artiste.

 

Le temps est la durée d'un trajet. Durée qui dépend de la vitesse du mouvement; oui. à la vitesse de la lumière' date=' le temps est nul comme la distance. Le temps et l'espace n'existe qu'à une vitesse inférieure à la lumière semble-t-il.

Amicalement[/quote']

 

 

Je me pose donc la simple question « Et si je suis immobile et que rien ne bouge autour de moi, le temps s’arrête-il ?

 

Comme tu le sais pour moi il n’y a pas de temps qui se déroule que ce soit l’immobilité ou ce qui est dit mouvement.

 

Le mouvement est pour moi une suite d’interactions n’ayant, en fait, aucune durée.

 

Pour cela il suffit de décomposer ce qui ressemble à un mouvement, en un maximum de phases, non pas en commençant le décompte à 0 mais à 1, chaque phase ayant par contre une durée nulle non sécable à l’infini en 0,1-0,01-0,001…etc.

 

Amicalement à tous.

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Je me pose donc la simple question « Et si je suis immobile et que rien ne bouge autour de moi, le temps s’arrête-il ?

 

Et ma réponse sera aussi simple:

 

Ce qui te paraît comme immobile est simplement les objets qui partagent la même vitesse. C'est pourquoi ils te semblent immobiles. Mais ils ne le sont pas; donc, non le temps ne s'arrête pas. Par contre, si ton esprit parvient à se glisser entre deux pensées sans penser, alors, pour ton esprit, le temps s'arrêtera. Car il aura cesser son mouvement. La psycho est une drôle de science. :laughing:

 

Cette définition de l'immobilité n'est pas nouvelle; elle date de Galilée.

 

En fait, rien n’est absolument immobile et tout dépend du référentiel dans lequel on se place.

 

Ici il faut comprendre que "rien n'est absolument immobile" et que pour déceler le mouvement, "tout dépend du différentiel dans lequel on se place".

 

Plusieurs en ont déduit que dans un certain différentiel, lorsqu'on observe une apparence d'immobilité, le mouvement n'y existe pas. C'est du "Thomassique" aigü. :rolleyes::laughing: Le mouvement y existe, mais non décelé.

 

Comme tu le sais pour moi il n’y a pas de temps qui se déroule que ce soit l’immobilité ou ce qui est dit mouvement.

 

Le mouvement est pour moi une suite d’interactions n’ayant, en fait, aucune durée

 

Ce que tu dis est vrai mais à une seule condition; et cette condition est que pour arriver à affirmer ce que tu dis, tu te dois de comparer le mouvement "à la vitesse sub-lumière" au mouvement "à la vitesse de la lumière".

 

L'état existant à la vitesse de la lumière est = distances nulles et temps figé. Tu détermines alors l'univers comme étant intrinsèquement dans un présent continuel; éternel "présent" devrais-je dire. Je n'ai aucune objection à cela, c'est aussi ce que je pense. Maintenant, tu compares "l'état" de cet univers global aux parties qui le composent et qui sont pas en "état" mais en "mouvement" (on peut aussi dire en "action"). Remarque que, pour toi, le temps dont tu parles est le temps "présent" appartenant au différentiel "univers" et comme l'univers est "tout ce qui est" il n'existe pas d'autres référentiels de comparaison. Donc, tu ne peux pas comparer l'univers à quelque chose d'autre.

 

Mais, tu le fais quand même en comparant l'unité totale à certaines fractions de cette unité. Je ne crois pas que cela puisse te donner des informations exactes sur la structure de l'unité totale; mais je peux faire erreur, évidemment.

 

Je pense que tu devrais considérer l'univers comme une unité mouvementée "statique", ou plutôt, une unité "non statique" parce que "mouvementée"; et ensuite plonger dans l'univers pour en étudier le "mouvementé". ;)

 

Amicalement

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Et ma réponse sera aussi simple:

Ce qui te paraît comme immobile est simplement les objets qui partagent la même vitesse. C'est pourquoi ils te semblent immobiles. Mais ils ne le sont pas; donc' date=' non le temps ne s'arrête pas. Par contre, si ton esprit parvient à se glisser [i']entre deux pensées sans penser[/i], alors, pour ton esprit, le temps s'arrêtera. Car il aura cesser son mouvement. La psycho est une drôle de science.

Ici il faut comprendre que "rien n'est absolument immobile" et que pour déceler le mouvement, "tout dépend du différentiel dans lequel on se place".

Plusieurs en ont déduit que dans un certain différentiel, lorsqu'on observe une apparence d'immobilité, le mouvement n'y existe pas. C'est du "Thomassique" aigü. Le mouvement y existe, mais non décelé.

Ce que tu dis est vrai mais à une seule condition; et cette condition est que pour arriver à affirmer ce que tu dis, tu te dois de comparer le mouvement "à la vitesse sub-lumière" au mouvement "à la vitesse de la lumière".

L'état existant à la vitesse de la lumière est = distances nulles et temps figé. Tu détermines alors l'univers comme étant intrinsèquement dans un présent continuel; éternel "présent" devrais-je dire. Je n'ai aucune objection à cela, c'est aussi ce que je pense. Maintenant, tu compares "l'état" de cet univers global aux parties qui le composent et qui sont pas en "état" mais en "mouvement" (on peut aussi dire en "action"). Remarque que, pour toi, le temps dont tu parles est le temps "présent" appartenant au différentiel "univers" et comme l'univers est "tout ce qui est" il n'existe pas d'autres référentiels de comparaison. Donc, tu ne peux pas comparer l'univers à quelque chose d'autre.

Mais, tu le fais quand même en comparant l'unité totale à certaines fractions de cette unité. Je ne crois pas que cela puisse te donner des informations exactes sur la structure de l'unité totale; mais je peux faire erreur, évidemment.

Je pense que tu devrais considérer l'univers comme une unité mouvementée "statique", ou plutôt, une unité "non statique" parce que "mouvementée"; et ensuite plonger dans l'univers pour en étudier le "mouvementé". ;)

Amicalement

 

Salut élie l’artiste et merci pour cet intervention

 

Je sais bien que rien n’est immobile dans l’UNIVERS : Déjà dans notre corps tout est en interaction avec notre environnement et bouge un tant soit peu, les atomes qui le constitue, nos neurones…….

 

A un autre niveau, nous même, nous sommes plus ou moins en mouvement par rapport à la terre.

Au niveau supérieur c’est la terre qui tourne sur elle-même puis autour du soleil……etc

 

Tout bouge et c’est pour cela que j’ai bien précisé «Et si je suis immobile et que rien ne bouge autour de moi, le temps s’arrête-il ?

 

J’aurai du peut-être ajouté «Et en moi »

 

Par contre, si, comme tu le dis, mon esprit parvient à se glisser entre deux pensées sans penser, alors, pour mon esprit, le temps semble, peut être s’arrêter (Cas du sommeil) mais en réalité il ne s’arrête pas car pour les autres et pour l’UNIVERS, le temps aura continué à sembler passer.

En effet chacun des éléments quels qu’ils soient aura continué à interagir avec les autres éléments de l’UNIVERS(Ces interactions étant, pour moi, ce temps qui semble passer).

 

Je précise à nouveau que chaque interaction ne doit pas être considérée dans sa totalité mais dans la plus petite de ses parties à laquelle je donne la référence 1 comme à toutes celles qui suivent et qui ajoutées les unes aux autres amènent à un mouvement complet, chacune ayant lieu dans l’origine le seul concept ou des interactions peuvent avoir lieues.

 

Excusez moi mais je n’ai pas encore de définition qui me satisfasse concernant ces interactions, je pourrais dire que je l’ai au bout de la langue mais que je n’arrive pas à l’exprimer en clair.

 

Pour arriver à une bonne définition il faudrait en fait décomposer tous les éléments en leurs plus petits constituants et considérer les interactions de ces différents constituants entre eux et à leur place, pour finalement remonter à l’interaction globale qui n’en est que le résultat apparent.

 

Ce résultat apparent nous fait penser à une différence de positionnement ou d’attitude de ce que l’on dit être «D’un moment à l’autre»

 

Ce résultat est en fait celui d’une multitude d’interactions que l’on pourrait dire simultanées parce que toutes réalisées dans ce seul concept «l’origine».

 

J’ajoute que dans le cas que j’évoque n’y a pas de temps donc pas de vitesse.

 

Mais il y a d’autres façons de poser les problèmes.

 

Bien sur cela ne semble être que de la fiction.

 

A ce sujet si je peux vous donner un conseil c’est de lire les articles que je trouve très bon du hors série de Science et Avenir de juillet août 2006 qui traite «Des fictions de la sciences» avec comme thèmes :

Des expériences imaginaires.

La fiction corpusculaire.

L’antiréalisme scientifique,

Le gène, une fiction équivoque, (A ne pas manquer)

Hypothèse, fable et fiction.

L’introuvable ancêtre commun.

La fiction de Mr Bohr.

Sauver les phénomènes,

Des nombres imaginaires,

Fictions mathématiques.

 

A mon avis ce numéro mérite d’être épluché.

 

Amicalement

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Par contre, si, comme tu le dis, mon esprit parvient à se glisser entre deux pensées sans penser, alors, pour mon esprit, le temps semble, peut être s’arrêter (Cas du sommeil) mais en réalité il ne s’arrête pas car pour les autres et pour l’UNIVERS, le temps aura continué à sembler passer

 

Pas tout à fait Luciole; si tu te glisses entre deux de tes pensées(qui sont mouvement) sans penser, tu prends contact avec ton "être" et cet "être", étant un "état", est "statique"; et sans mouvement l'être est dans un "éternel présent". ;) mais pour les autres, ainsi que ton corps et ton esprit, tu as raison, le temps continue de "passer". (nous bifurquons quelque peu du sujet, je crois)

 

Excusez moi mais je n’ai pas encore de définition qui me satisfasse concernant ces interactions

 

Puis-je te suggérer que toute interaction est, à la base, un mouvement?

 

Pour arriver à une bonne définition il faudrait en fait décomposer tous les éléments en leurs plus petits constituants et considérer les interactions de ces différents constituants entre eux et à leur place, pour finalement remonter à l’interaction globale qui n’en est que le résultat apparent.

 

C'est le cheminement habituel de la recherche scientifique. Mais le mot "définition" n'est plus alors une description généralisée des phénomènes qui fait également partie de la science, mais plutôt une description axée sur la "précision" de chacune des caractéristiques de chacun des phénomènes. Il faut faire les deux sans entremêler ces deux nuances du mot "définition", je pense.:confused:

 

Ce résultat est en fait celui d’une multitude d’interactions que l’on pourrait dire simultanées parce que toutes réalisées dans ce seul concept «l’origine».

 

mais le concept "origine" n'existe que pour marquer une "date"; tout comme le concept "fin". Toutes les interaction dont tu parles se retrouvent entre ces deux concepts.

 

 

J’ajoute que dans le cas que j’évoque n’y a pas de temps donc pas de vitesse.

 

Si le cas que tu évoques est l'ensemble de toutes les interactions se trouvant entre "origine" et "Fin", tu as évidemment raison; l'ensemble est dans un état "statique" donc dans un éternel présent sans mouvement et sans temps. C'est comme une bouteille d'eau; il n'y a pas d'eau à l'extérieur de la bouteille. Mais c'est également comme à l'instant zéro ou les distances et le temps sont nuls; état identique à celui de la vitesse de la lumière. Le mouvement perceptible ne se retrouve qu'entre ces deux extrêmes. ;)

 

Merci pour l'info sur Science et Avenir de Juillet. ;)

 

Amicalement

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......mais le concept "origine" n'existe que pour marquer une "date"; tout comme le concept "fin". Toutes les interaction dont tu parles se retrouvent entre ces deux concepts.

....Si le cas que tu évoques est l'ensemble de toutes les interactions se trouvant entre "origine" et "Fin"' date=' tu as évidemment raison; l'ensemble est dans un état "statique" donc dans un éternel présent..... Amicalement[/quote']

 

Salut élie l'artiste

 

Non!, excuses moi mais l’origine n’est pas cela du tout pour moi.

 

L’origine c’est le concept qui remplace les trois temps : Présent, Passé, Futur, dans le seul cadre duquel les interactions se déroulent et l'univers matière évolue.

 

L’origine est ce concept qui existe depuis toujours (Si l’on peut dire) et qui est bien «l’éternel présent», comme tu le dit plus loin mais par contre il ne se situe pas du tout entre deux limites : origine et fin.

 

Il n’a aucun commencement et aucune fin «Il est», c’est tout.

 

"Il est" au même titre que l’énergie qui ne se crée pas ne se perd pas mais se transforme comme je l’ai déjà précisé dans d’autres post.

 

L'origine est le prolongement de cette énergie qui ne se crée pas ne se perd pas mais se transforme.

 

LUnivers, l’Espace, les Ondes, l’Ether, la Matière, les Forces, les Interactions sont également le prolongement de cette énergie qui au fil des interactions nous laisse une apparence de matière, de quelque chose qui semble consistant et en mouvement.

 

Là il y a beaucoup à dire sur cette apparence de consistance de la matière.

 

Amicalement.

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L’origine est ce concept qui existe depuis toujours (Si l’on peut dire) et qui est bien «l’éternel présent», comme tu le dit plus loin mais par contre il ne se situe pas du tout entre deux limites : origine et fin.

 

Évidemment, origine se situe au début. Origine est le présent d'une potentialité. La fin se situe "à l'autre bout et devient le présent d'une réalité. Entre les deux se dessine le cheminement évolutif des probabilités devenant plus définies que l'on appelle des possibilités qui résultent en la réalité finale. Évidemment, la réalité est une potentialité réalisée; donc potentialité et réalité sont la même chose intrinsèquement mais l'une possédant une nuance "potentielle" et l'autre une nuance "réelle" ou "réalisée".

 

Tout le mouvement évolutif est réguler par la "viabilité" des résultats des expériences de survie de chacune des probabilités. Toute "non viabilité" est éliminée et recyclée jusqu'à l'atteinte de la réalité "finalement viable". De là le constat: rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme. Donc l'énergie est uniforme et constante.

 

"Il est" au même titre que l’énergie qui ne se crée pas ne se perd pas mais se transforme

 

Exactement; il se transforme et je viens de te démontrer le cheminement de cette transformation. Par contre, s'il y a "transformation", l'origine ne peut pas être identique au résultat de la transformation que nous appelons la fin.

 

Amicalement

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Salut à tous;)

 

 

Ausujet de ça elie;

 

A ce sujet si je peux vous donner un conseil c’est de lire les articles que je trouve très bon du hors série de Science et Avenir de juillet août 2006 qui traite «Des fictions de la sciences» avec comme thèmes :

Des expériences imaginaires.

La fiction corpusculaire.

L’antiréalisme scientifique,

Le gène, une fiction équivoque, (A ne pas manquer)

Hypothèse, fable et fiction.

L’introuvable ancêtre commun.

La fiction de Mr Bohr.

Sauver les phénomènes,

Des nombres imaginaires,

Fictions mathématiques.

 

A mon avis ce numéro mérite d’être épluché.

 

Je suis en train de lire l'article, le gène, une fiction équivoque, et c' est extrêmement intéressant, je te donne mon point de vue là-dessus aussitôt que j' ai fini;)

 

 

amicalement

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Salut à tous;)

 

 

Je suis revenu de vacances hier soir:confused: aujourd' hui c' était le retour au boulot^^

 

Quel journée de misère:mad:

 

Pour te répondre là-dessus elie;

 

Très bien; et donne-moi des nouvelles sur la possibilité d'une rencontre éventuelle. ;)

 

Je vais avoir des nouvelles de néo cette semaine et on organise tout ça:rolleyes:

 

Dans les plus brefs délais:laughing:

 

 

amicalement

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