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Le paradoxe temporel


neo

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Salut gab,

 

Il y a deux effets de dilatation du temps : il y a celui dû à la vitesse (et décrit par la RR, bien que la RG inclut la RR) et celui dû à l'accélération inertielle ou gravitationnelle (qui sont équivalentes grâce au principe d'équivalence de la RG).

 

Dans le cas de l'astronaute, je crois que l'effet accélération, bien que faible (à cause de la faible accélération gravitationnelle de la Terre), est plus important.

 

Pour en savoir plus, j'aime bien ce site qui, bien que n'étant que de la "vulgarisation d'introduction" permet, grâce à des expériences de pensées, d'avoir une idée de la chose :

 

http://www.astronomes.com/c3_mort/p331_espabsolu.html

 

Ce ne sont que quelques pages introduisant légèrement aux théories de la relativité, mais très accessibles :)

 

Amicalement

 

Universus

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Salut à tous

 

Pour te répondre sur ceci gab;

 

Pourquoi le temps ne s' écoule pas normalement pour les astronautes en orbitre

 

Je ne suis pas sûr du sens de ta question:?:

 

Le temps s'écoule sans que l' homme ne peuvent intervenir sur sa vitesse d'écoulement;)

 

Parcontre si on change de vitesse ou de champs de gravitation ça peut devenir possible.;)

 

parcontre dans les dimensions de temps,

 

nous pouvons subtitué notre déplacement en utilisant des forces:cool:

 

Si tu prend comme example comme en apesenteur ont suis une géodésique sans pouvoir changer de trajectoire^^

 

 

amicalement

 

P"S" repose ta question dans une autre forme:?:

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Il y a treize pages et plus de 300 posts, donc je n'ai pas tout lu !

 

Mon idée est que le voyage dans le temps en tant que personne physique est impossible, sinon nous aurions des gens de l'avenir parmi nous pour observer leur passé !

 

Il y a aussi ces paradoxes temporels : si tu tues ton grand-père, tu n'existes plus puisque tu n'as pas eu de père pour te donner la vie.

 

Par contre, dans un avenir sans doute assez lointain, on pourrait peut-être trouver le moyen d'assister aux évènements passés en allant à X... années lumières et observer la terre telle qu'elle était il y a dix ou mille ans selon la distance. Ceci suppose aller plus vite que la lumière, ou créer un "pli de l'espace" comme dans la SF, mais pourquoi pas dans 200 ou 500 ans, au train ou va la science...

En revanche, je ne vois vraiment pas comment aller dans le futur.

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En revanche, je ne vois vraiment pas comment aller dans le futur.

 

Rien de plus simple (en théorie)

Il suffit d'appliquer le paradoxe de Langevin

 

Si tu voyages à une vitesse proche de la vitesse lumière, l'espace autour de toi va vieillir plus vite que toi...

 

Donc tu va faire un tour à cette vitesse là en 2007, tu reviens sur terre, et tu te retrouve en 2307 !!! :)

 

Par contre personne ne délivre de ticket pour le retour ! :)

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Bien dit Estonius !

 

J'ajoute que la machine à avancer dans le futur existe : ça s'appelle un accélérateur de particules. Comme certaines particules ont une durée de vie très petite, on les accélère à grande vitesse, ainsi leur temps est dilaté : alors qu'elles ne "vivent" que 1/1.000.000 de seconde (par exemple), on les accélère suffisamment pour les observer pendant 1 sceonde. En 1/1.000.000 seconde par rapport à elles, elles ont avancé de 1 seconde dans le futur.

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Bonjours

 

 

Si la dilatation des durées et du mouvement peut se réprésenter par l’assertion ;

 

plus on accélere, plus le temps va lentement.:?:

 

Mais le mouvement est une notion relative, il est donc impossible de définir la vitesse intrinsèque d’un corps;

 

elle se définit toujours par rapport à un référentiel donné ^^

 

Parcontre, si le temps varie en fonction de la vitesse, il faut définir le référentiel (l’espace) par rapport auquel on évalue cette vitesse. ;)

 

Et cette espace (ce système de coordonnées) de base adopterais alors une vitesse nulle;

 

il se doit donc être considéré comme immobile pour que l’expression “plus on va vite” ait toute sa signification.:rolleyes:

 

 

 

chaos

 

Il serait donc en état de repos absolu, ce qui est en contradiction avec le postulat einsteinien qui précise qu’il n’existe pas d’espace absolu.

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Mais que veux-tu dire par "vitesse intrinsèque" ???

 

Si le post précédent veut signifier qu' il n' est pas possible dans le cadre de la relativité de définir de vitesse absolue, ni de référentiel absolu, alors oui, en effet, tu as raison.

 

Sinon, alors je n' ai pas compris ce que tu voulais dire.

 

Un référentiel a toujours une vitesse nulle par rapport à lui-même, oui, en effet. Je vois mal pourquoi cette constatation engendrerait le chaos ?

 

A+

--

Pascal.

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Salut à tous

 

Bon point de vue gab;)

 

Parcontre selon moi, le mouvement accéléré est une propriété intrisèque du mouvement de la matière;)

 

Les équations de maxell explique très bien ce mouvement^^

 

Mais dans la physique, le temps est donc un paramètre mathématique;)

 

Nous ne pouvons pas mesurer le temps, nous pouvons exclusivement que mesurer les intervalles du temps des phénomènes naturels:cool:

 

Donc, la physique de nos jours n' est pas tout-à-fait en règle avec les vraies propriétés du mouvement de la matière:?:

 

 

 

amicalement

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Bonjours

 

Mais que veux-tu dire par "vitesse intrinsèque" ???

 

Exactement ca arthurdent;

 

il n' est pas possible dans le cadre de la relativité de définir de vitesse absolue, ni de référentiel absolu, alors oui, en effet, tu as raison.

 

On se comprend alors^^

 

 

chaos

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Salut à tous

.....Par contre selon moi, le mouvement accéléré est une propriété intrisèque du mouvement de la matière.

Les équations de maxell expliquent très bien ce mouvement.

Mais dans la physique, le temps est donc un paramètre mathématique.

Nous ne pouvons pas mesurer le temps, nous pouvons exclusivement que mesurer les intervalles du temps des phénomènes naturels

Donc, la physique de nos jours n' est pas tout à fait en règle avec les vraies propriétés du mouvement de la matière.

amicalement.

Salut à albert einstein et à tous

 

Un petite question au sujet du mouvement uniformément accéléré.

 

Imaginons une expérience qui se déroule dans le vide ou l'on néglige la valeur des résistances habituelles possible, frottement de l’air en particulier….etc,

 

1) Imaginons que nous puissions placer une fusée à réaction dans le vide en un point précis de l’espace, moteur éteint.

 

Il semble qu’en vertu du principe d’inertie, cette fusée restera immobile au point ou elle sera placée.

 

Dans ce cas là, puisqu’il n’y a pas de mouvement, il n’y a pas, semble t il aussi, de dépense d’énergie.

 

 

2) Imaginons cette même fusée placée au même point de l’espace.

 

Mettons le moteur en marche de telle sorte que celui ci applique sur la fusée une poussée constante et régulière en puissance.

 

Il semble que cette fusée va être animée d’un mouvement uniformément accéléré.

 

Nous constaterons que pour en arriver là il y aura une dépense d’énergie quelle qu’elle soit (Ici carburant).

 

 

3) Maintenant plaçons cette même fusée, moteur éteint, à une certaine distance de la surface de la terre par exemple à 100 Km d’altitude mais qui puisse évoluer dans le vide

 

Cette fusée attirée ou poussée par la gravitation universelle ou encore entraînée par la courbure de l’espace temps vas se diriger, semble t il, vers le sol avec également un mouvement uniformément accéléré et cela sans dépense d’énergie apparente.

 

Dans ce 3eme cas, puisque le moteur est éteint, où se situe la dépense d’ énergie qui entraîne le corps vers le sol avec un mouvement uniformément accéléré, puisque le moteur est éteint?

 

L’interaction gravitationnelle se dépenserait elle d'une façon ou d'une autre?

 

L'énergie de l'interaction se transformerait elle en énergie cinétique et éventuellement en chaleur au moment du choc avec la surface de la terre?

 

Pourtant l'interaction gravitationnelle est toujours en action par rapport à la fusée lorsque celle ci est au sol

 

La courbure espace temps engendrerait elle une dépense d’énergie quelconque ?

 

Y aurai t il une erreur dans la rédaction de ma question ?

 

Amicalement

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1) Imaginons que nous puissions placer une fusée à réaction dans le vide en un point précis de l’espace, moteur éteint.

Il semble qu’en vertu du principe d’inertie, cette fusée restera immobile au point ou elle sera placée.

Non : si aucune force ne s'exerce sur elle, elle se déplacer en suivant un mouvement uniforme (vitesse et direction constantes).

 

Dans ce cas là, puisqu’il n’y a pas de mouvement, il n’y a pas, semble t il aussi, de dépense d’énergie.

Il y a mouvement (uniforme) mais pas force. Donc sans doute pas de dépense d'énergie, effectivement.

 

2) Imaginons cette même fusée placée au même point de l’espace. [...] Nous constaterons que pour en arriver là il y aura une dépense d’énergie quelle qu’elle soit (Ici carburant).

Oui, il aura fallu lui appliquer une force : celle provenant du moteur.

 

3) Maintenant plaçons cette même fusée, moteur éteint, à une certaine distance de la surface de la terre par exemple à 100 Km d’altitude mais qui puisse évoluer dans le vide [...] Dans ce 3eme cas, puisque le moteur est éteint, où se situe la dépense d’ énergie qui entraîne le corps vers le sol avec un mouvement uniformément accéléré, puisque le moteur est éteint?

Une force lui est appliquée : la force de gravitation.

 

(Pour la suite de la question, je n'ai pas compris le problème.)

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Salut Bruno

 

1) Imaginons que nous puissions placer une fusée à réaction dans le vide en un point précis de l’espace, moteur éteint.

Il semble qu’en vertu du principe d’inertie, cette fusée restera immobile au point ou elle sera placée.

Non : si aucune force ne s'exerce sur elle, elle se déplacera en suivant un mouvement uniforme (vitesse et direction constantes).

Dans ce cas là, puisqu’il n’y a pas de mouvement, il n’y a pas, semble t il aussi, de dépense d’énergie.

Il y a mouvement (uniforme) mais pas force. Donc sans doute pas de dépense d'énergie, effectivement.

 

Je ne comprend pas comment ayant placé la fusée en un point précis de l’univers, donc que je suppose fixe, la fusée en viendrait à se déplacer dans la mesure ou elle n’est pas mue par le moteur à réaction et ne reçoit aucune poussée la mettant en mouvement.

………………….

Citation:

3) Maintenant plaçons cette même fusée, moteur éteint, à une certaine distance de la surface de la terre par exemple à 100 Km d’altitude mais qui puisse évoluer dans le vide [...] Dans ce 3eme cas, puisque le moteur est éteint, où se situe la dépense d’énergie qui entraîne le corps vers le sol avec un mouvement uniformément accéléré, puisque le moteur est éteint?

 

Une force lui est appliquée : la force de gravitation.

(Pour la suite de la question, je n'ai pas compris le problème.)

Que je sache il doit bien y avoir transfert d’énergie entre ce que l’on appelle l’interaction gravitationnelle et la fusée puisque celle-ci entraîne celle là.

 

Et là je reformule mes questions qui , je l’espère te seront plus claires.

 

Si ce n’est pas le cas n’hésite pas à me le dire

 

L’interaction gravitationnelle qui entraîne la fusée, dépense t elle de l’énergie en la transmettant à la fusée comme le fait le moteur de la fusée qui dépense de l’énergie en la transmettant à la fusée pour la déplacer?.

 

Ce faisant, ne lui transmet elle pas une certaine quantité d'énergie cinétique, à la place.

 

Cette énergie cinétique ne se transformera t elle pas en chaleur et en déformation de tôle au moment du choc de la fusée avec la surface de la terre?

 

Si c’était le cas, l’interaction gravitationnelle ne devrait elle pas perdre de l’énergie et diminuer d’autant d’énergie que ce qu’elle a transmit à la fusée à mesure que celle ci est descendue?

 

 

Pourtant une fois à terre la fusée n'est elle pas toujours attirée par interaction gravitationnelle qui semble ne pas avoir diminué, bien au contraire?

 

Dans le cas où l’on considère que ce n’est pas une force ou une interaction qui entraîne la fusée mais la déformation de l’espace temps, alors, d’où provient l’énergie qui entraîne la fusée vers la terre?

 

Y aurai t il une erreur dans la rédaction de ma question ?

 

Amicalement

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Salut,

 

J'ai l'impression que tu essais de voir comment le principe d'équivalence peut s'appliquer. Je ne suis pas un expert dans la question, mais je vois une erreur de transposition dans tout cela : le mouvement de la fusée.

 

Contrairement au mouvement rectiligne uniforme, le mouvement accéléré est identifiable. Par exemple, imaginons un quai de métro ainsi que train du métro. Le train, tous les passagers étant montés, commence sa route vers une autre station ; il y a accélération. Les passagers du train ressentent une force les attirer vers l'arrière (c'est une force d'inertie peut-être liée, je dis bien peut-être, à une force réciproque selon le 3e principe de la dynamique). Et pourtant, le train ne bouge pas relativement à eu. Sur le quai, là où on ne ressent pas cette force d'inertie, on voit un train en accélération.

 

Voilà où tu as fais une erreur :

 

Sur Terre, pour que le vaisseau là-haut soit en mouvement, c'est qu'on se place comme un observateur sur Terre ressentant la gravité. Le vaisseau, lui, ne ressent pas cette force (le vaisseau est dans un référentiel galiléen, pas nous).

 

Dans l'espace, quand le vaisseau se met en mouvement par poussée, il est en mouvement par rapport à un astronaute "au repos" (il faudrait préciser par rapport à quoi). L'observateur est dans un référentiel galiléen, la fusée dans un référentiel qui ne l'est pas.

 

On voit que dans les deux situations, le référentiel galiléen (ou celui qui ne l'est pas) n'est pas lié au même objet, ce qui rend la transposition impossible (je crois).

 

Sinon, si on réussit la transposition, l'énergie est dépendante au référentiel.

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Salut à tous

 

 

Pour te répondre luciole sur ceci;

 

Dans le cas où l’on considère que ce n’est pas une force ou une interaction qui entraîne la fusée mais la déformation de l’espace temps, alors, d’où provient l’énergie qui entraîne la fusée vers la terre?

 

Bon,on a deux objets, la terre et ta fusée, les deux onts créer des champs de gravitation, mais ça ne dit pas pourquoi elles s' attirent:?:

 

Donc, tout objet pris dans un champ de pésenteur subit une force proportionnelle à la valeur du champ de pésenteur multiplié par la masse de cet objet;)

 

Conclusion;

 

 

La force est donc égal à;

 

FORCE=masse de l' objet A x champ de gravitation créé par l' objet B(centre de masse de l' objet A)

 

 

Amicalement

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Bonjour.

Juste deux commentaires à propos des questions de Luciole. Bruno et les autres ayant déjà partiellement répondu sur les autres aspects.

a) la formulation de la question sur l’énergie est en elle-même un piège : l’énergie étant un concept relatif, une fusée qui évolue dans un champ gravitationnel ne gagne ou perd « quelque chose » que relativement à ce champ

B) le début de l’exposé lie cette énergie à celui de l’inertie, sujet déjà abordé par Newton ; même sans apport d’énergie (et sans force), un corps peu très bien être en mouvement relativement à d’autres ; en ce qui concerne son accélération à distance (et, donc, en l'absence de champ significatif) par rapport à d’autres corps, il faut essayer d’imaginer que le mobile, à partir du début de l’accélération, se décompose en deux parties : l’une (éventuellement virtuelle), qui ne subit aucune accélération et qui sert de référence inerte, et l’autre, effectivement accélérée ; de la sorte, on peut évaluer le mouvement relatif de ce mobile par rapport à son « soi-même » inerte ; ce qui montre que, accélérer, c’est aussi modifier sa ligne d’Univers par rapport à ce qu’elle était dans le passé et aurait continué à être en l'absence d'accélération.

Salut à lejon et à tous

 

Excuses moi mais je ne saisis pas le sens de ta réponse.

 

Je pense vraiment que c’est moi qui pose mal les questions ou alors les questions n’ont pas de réponse.

 

Je vais essayer de les poser d’une autre façon mais vais-je y arriver assez clairement ?

 

Supposons 3 situations pour un même objet motorisé (Fusée à Moteur à réaction) utilisant ou non son moteur.

 

Hypothèse

1) Supposons que l’on arrive à positionner la fusée dans la situation

  • a) Moteur coupé,
  • B) Immobile dans l’espace
  • c) A l’écart de toute influence (Terrestre ou autres)
  • d) A coté d’un repaire ponctuel sans masse..

Je pense que ce mobile ne se mettra pas tout seul en mouvement et qu’il restera à hauteur du repaire (Principe d’inertie : Lorsque un corps inanimé n’est soumis à aucune force, s’il est au repos, il y reste indéfiniment…….).

 

Donc j’en conclus qu’il n’y a aucune dépense d’énergie : OUI ou NON ?

 

2) Supposons que l’on arrive à placer cette même fusée près du même repaire mais :

  • a) Moteur en fonction continue.
  • B) A l’écart de toute influence autre que celle du moteur
  • c) Départ à partir d’un repaire ponctuel sans masse
  • d) Dés qu’il est en place l’objet démarre immédiatement.

Je pense que :

  • a) La fusée emmagasine de l’énergie cinétique fournie par le moteur lequel en dépense tout au long du parcours.
  • B) Si l’on place un barrage sur la route de la fusée, le choc sera d’autant plus grand que cette barrière sera plus loin par rapport au repaire de départ.
  • c) Il y a donc dépense d’énergie.

3) Supposons maintenant que l’on arrive à placer ce même objet mais à proximité de la terre.

  • a) Moteur coupé
  • B) Sous l’influence de l’attraction gravitationnelle de la terre
  • c) Positionné près d’un repaire ponctuel
  • d) Dés qu’il est en place on lâche l’objet qui entraîné par la gravitation descend vers le sol d’un mouvement uniformément accéléré.

Nous nous trouvons, apparemment, dans la même situation qu’en 2, au détail près que ce n’est pas le moteur qui transmet sont énergie à l’objet mais bien l’attraction gravitationnelle de la terre.

 

Si dans le cas 2 la dépense d’énergie est réelle et calculable (Carburant).

 

Ma question se divise donc en 3 parties pour le cas 3

  • a) Comment discerner dans ce cas une dépense d’énergie?
  • B) S’il n’y a pas de dépense d’énergie, doit on considérer le déplacement accéléré de la fusée vers la terre comme un mouvement perpétuel dans lequel il n’y a aucune dépense d’énergie.
  • c) Si c’est le cas il me semble qu’il y a un problème d’échange ou de transmission d’énergie.

Amicalement.

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Dans ta situation 2 , tout dépends d' où se trouve le repère de référence.

 

A ) il est en chute libre, avec ta fusée : Dans ce cas, pas de différence, la fusée reste immobile dans le repère, comme dans la première situation.

Les deux sont en accélération par rapport à un repère situé sur Terre.

 

B )le repère est fixe par rapport à un autre repère lié au centre de gravitation. Dans ce cas, la fusée est accélérée et son énergie cinétique varie comme le gradient du potentiel gravitationnel.

 

Deux trucs:

 

1) l' énergie est relative. Sa valeur dépends du choix de la référence, qui est parfaitement arbitraire. C' est la différence d' énergie qui intervient "physiquement" (i.e. a des effets visibles), pas la valeur "intrinsèque".

 

2) En première approximation (Newton) , la Terre et la fusée accélèrent toutes les deux vers le centre de masse du système {Terre + fusée} , qui lui reste immobile ,par rapport à un repère inertiel situé au centre de masse dudit système au début de l' expérience. Autrement dit, l' énergie totale du système terre+fusée reste constant. La gravitation engendre des forces qui dérivent d' un potentiel. Au début , les vitesses des deux éléments sont nulles mais leur énergie potentielle est maximale. A la fin (collision), les vitesses sont maximales mais leur énergie potentielle est minimale. Le total reste inchangé. Tout celà étant évalué dans un repère inertiel lié au centre de masse.

 

En RG, il me semble qu'il y a émission d' ondes gravitationnelles, ce qui diminue l' énergie totale du système.

Mais on est en effet assez proche du "mouvement perpétuel", la déperdition étant infime.

 

Je sais pas si j' ai été clair, et j' espère ne pas avoir raconté trop de bêtises.

 

A+

--

Pascal.

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Salut AthurDent

 

Merci de ton explication qui me permet d’y voir un peu plus clair.

 

Par contre tu me dis par exemple:

« …….En première approximation (Newton), la Terre et la fusée accélèrent toutes les deux vers le centre de masse du système {Terre+ fusée} », je pense qu’il s’agit du centre de gravité de l’ensemble qui donc se trouve à l’intérieure de la masse de la terre….

Puis tu ajoutes:

«……… qui lui reste immobile, par rapport à un repère inertiel situé au centre de masse du dit système au début de l'expérience.. »

N’est ce pas le même centre ?……..

 

J’ai egalement une interrogation au sujet du cas 3 :

 

D’une part tu dis

« …….. Autrement dit, l'énergie totale du système terre+fusée reste constante»

Puis tu précises

« …….Au début, les vitesses des deux éléments sont nulles mais leur énergie potentielle est maximale.»

Je pense que c’est parce qu’ils sont à l’arrêt tout les deux au point maximum de la chute (Comme un pot de fleur sur un appui de fenêtre) !.

 

Enfin tu dis:

« ……..A la fin (Collision), les vitesses sont maximales mais leur énergie potentielle est minimale.

Oui mais alors il y a un truc que je ne saisis pas :

 

Dans la mesure où, comme tu le dis:

« ……leur vitesse réciproque augmente.. »

Il me semble que leur masse doit aussi augmenter, donc leur énergie cinétique devrait augmenter d’autant et c’est là où je pense qu’il y a un problème car tu me dis que :

« ……….Le total reste inchangé …….».

 

Ce qui me semble ne pas être le cas ……

 

A moins que mon raisonnement soit faux.

 

Amicalement

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Salut à tous

 

Tu as absolument raison universus;)

 

Et pour te complémenter, j' ajouterais que tout problème de mécanique met en jeu deux types d'énergie :

 

potentielle et cinétique (l'une pouvant très bien se transformer en l'autre).;)

 

Donc l'énergie potentielle est liée à la position relative des différentes parties d'un système. :o

 

C'est le cas de l'énergie potentielle de pesanteur que possède un système comme(Terre-objet) ou de l'énergie potentielle élastique que possède un ressort par exemple. ;)

 

L'énergie cinétique, elle, est associée au mouvement d'un corps et est proportionnelle à la masse de ce corps, ainsi qu'au carré de sa vitesse.;)

 

 

amicalement

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SAlut à tous

 

 

Pour vous répondres( néo et gab ) sur ceci;

 

 

Vous retiendrez qu'il n'existe en fait que deux formes d'énergie.!!!!

 

Une énergie liée au mouvement, que l'on nomme "énergie cinétique K" et une énergie liée à la position ou à la masse que l'on nomme "énergie potentielle U".;)

 

L'énergie cinétique K est ce qui pousse un système à s'étendre dans l'espace,^^

 

tandis que l'énergie potentielle U au contraire est très souvent attractive, obligeant le système à se contracter sur lui-même.;)

 

Donc,

Alors que la forme cinétique de l'énergie est universelle K = ½m×v2, la forme de l'énergie potentielle U elle est au contraire très variable.

 

Toutefois dans de nombreux cas, on peut l'écrire sous la forme U = C×ra, où C est un facteur d'unité sans intérêt, r la position et a est un nombre entier positif (a = 2 par exemple pour un ressort) ou négatif (a = -1 pour la force électrique ou gravitationnelle).

 

Maintenant, tout système matériel est obligatoirement soumis aux deux types d'énergie, cinétique ou centrifuge et potentielle ou centripète.

 

Or la plupart des objets autour de toi ne changent pas de taille. Cela signifie sûrement qu'il y doit exister une certaine compensation entre ces deux formes d'énergies, conduisant à un optimum de taille.

 

C'est tout à fait vrai, et si en prime on peut écrire U = C×ra, alors tout état stationnaire en taille dans le temps sera toujours tel que: 2×<K> = a×<U>. Les crochets entourant K et U signifient qu'il ne faut considérer les valeurs instantanées des énergies cinétique et potentielle, mais uniquemment leur moyenne sur une très longue durée.

 

Il s'agit bien sûr du célèbre théorème du viriel, véritable clef de voûte de la structure interne de toute matière: atomes, molécules, cristaux, étoiles et galaxies...;)

 

Source;http://semsci.u-strasbg.fr/energie.htm

 

 

amicalement

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Bonjours

 

Bon, je vois la différence des principes;)

 

 

Mais ca

du célèbre théorème du viriel

 

 

ca me dit absolument rien:?:

 

je vais faire une recherche et te reviens sur le dit sujet^^

 

 

aurevoir

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