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Cycle de Céphée - Tome 2 UN DOMAINE TOURMENTÉ (Mosaïque FSQ106 - ASI6200) Il y a de cela deux ans, Céphée m'ouvrait les portes de son royaume, me laissant capturer ses trésors, que je vous présentais dans : Les Joyaux de Céphée À l'époque, je n’imaginais pas que cette première mosaïque serait le point de départ d'une si longue quête. Aujourd'hui, elle constitue le premier volet d'un cycle que j’ai poursuivis dès la saison suivante. Aussi j’ai pensé que le thème du roman de science-fiction serait une judicieuse manière de relier ces images. Alors comme pour tout bon roman, j’ai façonné la présentation de cette image comme un récit, que je vous invite à explorer en cinq chapitres, au cours desquels l'énigme et l'émerveillement se dévoileront peu à peu… PROLOGUE Après nous avoir permis d'admirer ses Joyaux, Céphée nous convie, pour cette suite, à une excursion au cœur d'une contrée de son vaste domaine. Deux ans de périple le long de son bras, nous ont menés dans une région traversée par la Voie lactée, obscure et angoissante. Elle est peuplée d'objets qui semblent osciller perpétuellement entre ombre et lumière, créant une atmosphère pesante et oppressante. Ce second volet du récit se déroule dans un paysage brumeux et tourmenté que j'ai tenté d'illuminer à travers mon instrument, révélant des secrets qui, une fois dévoilés, pourraient nous hanter pour l'éternité. CHAPITRE 1 : PREMIERE RENCONTRE Nos premiers pas nous amènent à la rencontre d’une horde spectrale, menée par une figure que tout le monde connaît sous le nom du Fantôme de Céphée. Bien que souvent évoqué seul, il est aisé d'apercevoir à travers la brume, le cortège qui erre en ces terres. Les sillages laissés par cette lugubre troupe nous laissent presque deviner leur progression, une poursuite cosmique dans un chaos marécageux. Leurs trainées semblent chuchoter d'anciens secrets, tandis que les étoiles elles-mêmes feignent de se cacher, craignant de révéler les mystères qui se jouent ici... CHRONIQUES DU SAVOIR Globule Blanc Les Globules de Bok sont ces nombreuses petites taches noires que l’on peut observer dans les grands complexes nébuleux. Constitués de gaz et de poussière, leur densité élevée leur confère une teinte tres sombre et opaque, créant un contraste qui leur donne souvent l’air de flotter dans leur environnement. Ces objets sont des régions de formation stellaire, dans lesquelles naissent les protoétoiles. Celui qui nous intéresse dans cette région se cache dans la partie haute du Fantôme, au-dessus de VDB-141, une zone lumineuse de quelques secondes d’arc de diamètre. Catalogué CB230 (Clemens & Barvainis catalog of Bok globules, 1988), ce globule a fait l’objet d’études approfondies, dont l’enquête s'est notamment penchée sur la protoétoile CB230-A qu’il abrite, ainsi que sur le jet de Fe II qui lui est associé. L’objectif de ces études était de mieux comprendre les interactions entre les étoiles naissantes et leur milieu environnant. De par son stade d’évolution, et considérée comme un Jeune Objet Stellaire (YSO), cette protoétoile de faible masse en accrétion, émet dans l’infrarouge proche et moyen. Les relevés laissent également entrevoir la possibilité que deux noyaux tres proches (CB230-B1,B2) pourraient constituer un système triple avec la protoétoile principale CB230-A. Voici quelques figures de cette région relevée à travers le Telescopio Nazionale Galileo de 3.58 mètres à La Palma, capturées par le spectromètre NICS. Résultats des observations TNG/NICS de CB230 de l’émission H2 et [Fe II] (incluant l’émission continue) : Au centre, un zoom sur les objets détectés dans H2 au cœur de CB230, les contours permettent de mieux souligner l’émission la plus intense. La protoétoile est indiquée par A. À gauche, un gros plan du plus petit objet d'émission, qui contient clairement deux sources (B1 et B2). Le panneau de droite montre l'émission [Fe II] profilée (incluant toujours le continuum). Une nette différence est observée dans l'émission diffuse juste au nord de la protoétoile, par rapport à l'image H2 (panneau central) ; c'est la signature d'un jet. Un gros plan sur cette dernière figure, la soustraction du continuum permet de mettre en évidence les jets et les nœuds k1 et k2 dans CB230. CHAPITRE 2 : HARO SUR LE MARAIS Gyulbudaghian ! Voici le nom par lequel cet objet se présente à nous, nous souhaitant la bienvenue sur ces terres, et exhibant fièrement sa robe luminescente. Plus tard, nous découvrirons sa véritable nature, qu'il dissimule sous cette enveloppe fascinante en forme de boucle laiteuse. Il semble manifestement ravi de notre présence, nous indiquant la chance que nous avons de pouvoir le contempler. Il admet avoir croisé occasionnellement des visiteurs, mais il semble que c'est la première fois qu'il accueille quelqu'un durant une période si brillante. Apres nous avoir compté sa vie, à l’évidence tout aussi tourmentée que les étendues marécageuses qui l'entourent, il prit soudain un ton plus grave pour nous mettre en garde, nous exhortant à prendre nos distances pour mieux prendre conscience de la menace qui se profile dans la région. Gyulbudaghian, en faisait partie, mais il se trouvait impuissant face à cette réalité. Il y était lié par un destin inéluctable, et ne pouvait qu’observer l'inexorable avancée de cette menace, déferlant tranquillement à travers l'infini de l'espace. CHRONIQUES DU SAVOIR HH pour Herbig Haro La nébuleuse découverte par l’astronome Armen Gyulbudaghian est la partie lumineuse de forme triangulaire, au centre de l’image, d’où la boucle de matière semble jaillir. On lui associe l’étoile PV Cephei et l’objet de Herbig Haro HH-215. Les objets de herbig Haro, sont des émissions de gaz et de poussières se produisant lorsque de jeunes étoiles, éjectent de la matière à grande vitesse. Ils se forment lorsque ces jets de matière rentrent en collision avec le gaz et la poussière environnants. Ces régions de choc émettent de la lumière visible, de l'infrarouge et d'autres longueurs d'onde du spectre. Sur cette image nous pouvons distinguer l’etoile PV Cephei ainsi que les deux jets bipolaires caractéristiques des objets de Herbig Haro, On remarque que le jet nord, celui se dirigeant dans le sens de la boucle, est bien brillant, tandis que le jet sud, est obscurci par une nébuleuse sombre, lui donnant ainsi une apparence moins lumineuse. Cependant, la caractéristique la plus remarquable de cette nébuleuse est ailleurs. Gyulbudaghian et son objet de Herbig Haro, se distinguent par leur évolution dans une échelle de temps inhabituelle, pour les observateurs du ciel profond. Leur luminosité peut changer sur une période de plusieurs mois. Par conséquent, selon le moment ou les astronomes observent cette fascinante nébuleuse, ils peuvent la percevoir tres brillante ou quasiment insaisissable ! Pour illustrer cette particularité, voici une planche d’images de cet objet prises sur une période de plusieurs mois, puis pour finir une animation réalisée par Chris Deforeit, retraçant son évolution sur 22 ans. GYULBUDAGHIAN.mp4 C'est ici que ces deux premiers chapitres prennent fin, en espérant qu'ils vous ont plu, merci pour votre lecture ! La suite du récit ici pour les chapitre 3 et 4 : Malik9 points
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AMAS DU TOUCAN ET MESARTHIM Bonjour à tous, Voici une petite observation effectuée hier soir, sous un quartier de lune déjà fort lumineux. J'ai souhaité dire un petit bonjour à ce sublime amas du Toucan : NGC 104, quasi aussi brillant que celui du Centaure, mais plus ténébreux, au coeur bien plus compact. Il ne craint pas en tous les cas la présence de notre satellite. Pour autant il apparaît plus pâle qu'à son habitude ! Par nuit bien noire, c'est un feu d'artifice. Il explose de partout. Une splendeur à visiter pour tous ceux qui franchissent l'équateur ! Puis une célèbre étoile double du ciel d'automne : j'ai nommé Mesarthim de la constellation du Bélier. C'est une binaire très facile à résoudre. Les deux astres sont du même éclat et de magnitude similaire. Voilà, c'est tout pour cette fois. Le beau temps, ou plutôt le ciel pur revient en même temps que la lune ! Il faudra patienter pour les quelques explorations du ciel profond ! Bon ciel à tous. Gildas4 points
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Bonsoir, Un objet situé dans Cassiopée intitulé également le Fantôme de l'Opéra, surpris le 8-9 octobre. l'équipe habituelle : mon SW 254/1000 ramené à 254/ 742 avec un correcteur Starizona 0,75, avec compléto ASIAIR , soit, ASIAIR Plus, ASI294MM Pro, OAG, EAF , EWH, filtres Astronomik Ha, 6nm et RVB classicos pour les étoiles. Le tout supporté par mon AZEQ6GT et sur mon parking en périphérie toulousaine. Ha : 84 x 180S R, V, B : 30 x60s pour chaque filtre DOF associés (30 pour chacun) Prétraitement Siril .Cosmé PS, .StarXterminator pour starless. Les étoiles sont minimisées pour mieux apercevoir le fantôme. L'accentuation un peu forte mais volontaire pour mettre un peu en évidence les traits du fantôme,http://www.astrosurf.com/uploads/emoticons/happy.png Sûrement une de mes dernières prises avec mon SW, je reçois mon LACERTA 250F4 ce jeudi si tout va bien au niveau transport. Je piaffe.... Alain3 points
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Bonsoir Geoffrey Merci, mais le meilleur telescope c'est celui qu'on sort souvent😎 Bon c'est surtout qu'on voit bien dedans, je prepare un CROA Ca va me prendre du temps car la TTS 160 PANTHER est vraiment top2 points
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Bonjour, Je vous partage cette observation/photo réalisée par un utilisateur Allemand avec son OVNI-M (oculaire de vision nocturne intensificateur). Difficile de savoir ou la publier car il y une observation visuelle et une photo. « Most fascinating for me was the observation of Andromeda's parachute on the 24" Dobson, a gravitational lens splitting a quasar 11 billion light years away into four parts. Visually without OVNI-M three components could just be seen indirectly as a curved structure, with the OVNI-M and extended focal length even a split into three components could be seen, the middle one appeared a bit brighter. The fourth component was not visible. In the following night I tried to image the structure via Deep-Sky Lucky Imaging (500*0,1s exposure time, Player-One Saturn-M). Then even the faint fourth component was visible. » Et voici sa photo prise en Allemagne avec son télescope de 600 mm comparée à la photo prise avec le télescope professionnel Pan-STARRS de 1,8 m à Hawaï. Et la photo d'origine (fortement détériorée à cause de la compression)2 points
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Tous les accessoires sont utiles. Aucun n'est indispensable. Attention : si tu demandes les avis des participants, chacun va te proposer ce qu'il aime bien utiliser, or c'est subjectif. Tu risques d'avoir une longue liste de course... Ne te laisse pas influencer ! Tu as demandé l'indispensable, et rien n'est indispensable sinon un plus fort grossissement. J'approuve l'oculaire de 6 mm. Ce qu'il faut surtout, c'est acquérir une bonne petite expérience, donc progresser. Pour la recherche des objets, c'est plus un atlas du ciel qui peut te manquer, que des accessoires optiques. Le Pocket Sky Atlas est quasi indispensable (si on veut pointer les objets « à l'ancienne »).2 points
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J'avais rédigé une documentation pour construire sa propre plateforme logicielle sur RPI4 (Ma plateforme RPI). J'avais oublié à l'époque d'évoquer le travail de Dragonlost, qui a donné corps à plusieurs carte pour le RPI, dont une carte d'alimentation 4x12V: https://github.com/dragonlost/NAFABox-hardware Je répare mon erreur, tardivement. Si vous êtes bricoleur, je suis intéressé par un exemplaire, vous disposerez ainsi d'un "AISAIR" like, sur lequel vous ferez tourner votre propre configuration ou Stellarmate (45€), sans subir les limitations imposées par ZWO.1 point
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Bonjour, Je vous emmène aujourd'hui faire un tour dans Pégase, pour y débusquer une galaxie noyée dans les IFNs. NGC 7497 est une galaxie spirale barrée située dans la constellation de Pégase. Sa vitesse par rapport au fond diffus cosmologique est de 1 343 ± 26 km/s, ce qui correspond à une distance de Hubble de 19,8 ± 1,4 Mpc (∼64,6 millions d'a.l.)1. NGC 7497 a été découverte par l'astronome germano-britannique William Herschel en 1784. Elle fut également observée par l'astronome britannique John Herschel en 1825. Les infos: Celestron C8 + réducteur f6.3 Antares @ 1400mm Player One Artemis-c imx294 + ircut Player One Anti-halos Monture HEQ5 kit courroie Rowan Autoguidage via diviseur optique, Asi290mm / PHD2 Acquisition NINA 29x 60s Gain 120 capteur à -10°C Traitement Sirilic, Siril, pix, Toshop. une brute de 60s: Elle mériterait bien plus de temps, l'année prochaine surement.1 point
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En imagerie planétaire il est effectivement recommandé de veiller à conserver un histogramme, plutôt entre 60 et 70 % (il faut rester en deça de 70 %). Ainsi on adapte le gain et le temps d'exposition pour rester dans cette valeur de l'histogramme. Certains disent : le gain on s'en fout puisque ce qui compte c'est d'obtenir un maximum d'images ce qui permettra de réduire le bruit. Je ne prétends donner ici des leçons, d'autant que je reste un béotien dans cette pratique, mais tout cela me semble un peu de la théorie. En pratique, il faut tester son matériel et ne pas hésiter à jouer sur le gain et le temps d'expo quitte à ne pas conserver un histogramme dans la fouchette 60/70 %, puis voir ce que cela donne. En revanche il me paraît primordial d'essayer d'obtenir le plus grand nombre d'images possible.1 point
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Ça veut dire quoi "faire son Papalima" ? J'ai pas compris la dernière moi non plus.1 point
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J'ouvrais la bouche pour le dire ! Pratique petit format, à spirales, des cartes très lisibles, un must ! Jacques1 point
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Et que dire des vieux scientifiques comme moi qui se sont arrêtés au Fortran77… j’aime connu les programmes sur cartes perforées, alors les disques durs, les SSD et les cartes graphiques… Heureusement que les DJeuns codent à ma place, ça me permet de lancer des calculs de mécanique des fluides incompréhensibles sur 5000 procs… ou de ne boire qu’un seul café lorsque mon brave PC fait un starless…1 point
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Bonjour, La déception ne vient peut-être pas que des oculaires, cela vient peut-être également du ciel, du réglage du materiel ou encore de ce que tu observe par rapport à ce que tu aimerais observer. Sur ce dernier point, le cas typique est m31, ou on s'attend à voir quelquechose de chouette car c'est un objet lumineux, qui est gros et dont on a vu plein de photos, et finalement, c'est bof, quelque soit l'oculaire. Ne connaissant pas ton budget (à 17 ans, je le suppose pas énorme), ni ton expérience (je suppose débutant) je pense que ce qui est le plus important au début, c'est acquérir de l'expérience. Un observateur expérimenté percevra plus de choses avec un oculaire basique qu'un novice avec un bon oculaire. Sinon, dans l'ordre des priorités, je partirai sur un 6mm comme l'a dit Alhajoth et un instrument de collimation si ta collimation ne te semble pas bonne (à tester sur la polaire). Puis, par la suite, remplacer le 10, ... Si tu n'est pas débutant, cela signifie que tu connais un peu le pb dû à la qualité du ciel, que le réglage de ton télescope n'est plus un pb, et tu sais ce que tu observes et ce a quoi tu t'attends en observant, ce sera donc sur les oculaires que tu pourras jouer pour augmenter la qualité de tes observations ou sur l'ajout d'une table équatoriale pour avoir un suivi. Bon ciel1 point
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Bon, j'ai voulu me frotter au Gecko dans le Lezard (ça s'invente pas hein) LBN 437 (dans la nébuleuse SH2-126). Je n'ai malheureusement pas suffisamment anticipé pour faire du Ha d'une part et une mosaïque par ailleurs mais pour la prochaine fois, je sais maintenant Du coup, très peu de rouge...mais au moins on voit le Gecko Askar FRA300 / HEQ5 / QHY183M 180x120" en Lpro 20x90" pour chaque R/V/B Sirilic/siril pour prétraitement Pix + PS pour traitement avec quelques assemblages et masques.1 point
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Ok, je posais la question uniquement pour mon propre apprentissage, j'apprends énormément grâce à vous tous. 😉1 point
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Bande de mômes Les premières disquettes 5"1/4 c'était 160ko, avec 8 secteurs par piste et 20 pistes. On calait 1ko par secteur (1024 octets). Puis on est passé à 9 secteurs par piste, en 180ko. Ensuite sont arrivées les double-face, en 360ko, et enfin les 1.2Mo en haute densité (15 secteurs par piste et 40 pistes par face). 15 x 40 x 2 = 1200ko. Les premières disquettes 3"1/2 c'était 720ko, puis sont arrivées les 1.44Mo, et enfin les 2.88Mo en haute densité. Il n'y a jamais eu de 2Mo Sans compter qu'avant les disquettes, on utilisait des cassettes audio comme mémoire de masse. 20 minutes d'attente pour lire un programme de quelques dizaines de ko Et souvent à l'issue de la lecture => Loading error !!! Je me souviens que quelques lecteurs de cassettes ont traversé la pièce à cette époque1 point
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oula, c'est des hiéroglyphes pour moi J'ai jamais été très bon en chimie... ni en math d'ailleurs, et pas beaucoup mieux en physique.... par contre j'étais au top en langues et en dessin technique (je bouclais mes dessins de 4h en 1/2 heure), en automatisme (filière industrielle...) mais pour le reste, je préférais faire de la musique et boire des bières .1 point
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Hello, on continue dans les traitement de la semaine intensive de la nouvelle lune. Je vous propose ma version de l'amas du Voilier (The Sail boat Cluster) dans la constellation de Cassiopée. Beaucoup de choses sont allées de travers sur cette image. Le cadrage tout d'abord, je ne sais pas ce que j'ai fabriqué mais en l'ayant préparé pendant des heures à parcourir les photos existantes sur Astrobin et sur telescopius, j'ai trouvé le moyen de me louper. Je souhaitais une autre orientation de capteur pour aller voir davantage ce qui se passait en haut à droite. Le traitement ensuite. En commençant la montée d'histogramme, des raies lumineuses sont apparues assez rapidement. Premier réflexe : "Qu'est ce qui s'est encore passé comme entrée de lumière"... Et puis j'ai compris, notre vieille copine Navi, qui n'est pas tres loin impose sa présence jusqu'ici... J'ai du usé de méthodes peu orthodoxes pour les masquer, mais au final, çà fait le job et çà ne se voit plus tant que çà. Le traitement ensuite, calibration des couleurs (et surtout neutralisation du fond de ciel) infernale. Je pense être arrivé à une version réaliste, mais tout ce rouge qui ressortait sur la couche couleur m'a beaucoup questionné. Après recherches, il semble y avoir pas mal de Ha dans la zone et donc pas surprenant que le rouge prenne le dessus. Ce serait d'ailleurs intéressant de faire quelques heures de poses en Ha pour enrichir. J'ai longtemps hésité à cropper l'image car l'ensemble donne une sensation bizarre de gradient ou je ne sais quoi. Mais j'ai finalement gardé le champ d'origine qui apporte quelque chose avec la densité d'étoiles colorées de cette zone de la voie lactée. Bref au final, une image que je trouve malgré tout réussie, n'hésitez pas à donner vos avis et / ou critiquer car il y a surement de quoi dire. 12 h de poses au total : 200x180s en Luminance 20x180 s sur chaque filtre RGB 2600 Mono avec filtres LRGB Antlia / Newton ONTC 200F5 / correcteur starizona 0,75. La pleine résolution sur Astrobin pour les intéressés : https://www.astrobin.com/xeq34j/ Une version annotée également (ce qui ressemble à un amas ouvert en bas à droite en est bien un même si non recensé par Pixinsight, il s'agit de Stock 24)0 point
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Bonjour à tous, Je m’appelle Emilien, j’ai 17ans et je suis nouveau sur ce site. J’ai récemment fait l’acquisition d’un télescope dobson sky-watcher 203/1200 et j’ai l’impression que je n’utilise pas ses capacités au maximum. C’est pourquoi j’aimerais acheter de nouvelles choses mais seulement je ne sais pas quoi. Avez-vous des choses à acquérir en priorité à me conseiller ? Actuellement, j’ai les oculaires fournis avec le télescope (10mm et 25mm) et c’est tout. À noter que mon télescope possède des connexions de 1.25’’ et de 2’’. Grand merci d’avance.0 point
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Bonjour à Tous, Je suis poursuis mon apprentissage de Pix en traitant mes images réalisées récemment avec ma nouvelle lunette ZWO FF130. Voici donc le nébuleuse du Cocon aperçu de nombreuses fois ici. J'ai choisi de ne pas effacer les étoiles car j'aime beaucoup l'atmosphère généré par cette rose rouge posée sur cette myriade de petit point lumineux de différentes couleurs. La difficulté que j'ai rencontré ici était de faire ressortir les nuages sombres qui entourent le cocon et qui laisse une trainée dans la diagonale de l'image. Je n'y suis pas assez bien parvenu, en partie à cause de mon traitement perfectible et en partie par des poses unitaires en luminance sans doute un peu courte (120s auraient sans doute été mieux que 60 & 90s mais j'avais peur de saturer le coeur du Cocon). A noter que j'ai injecté un peu de Ha pour faire rougir cette belle nébuleuse... N'hésitez pas à critiquer mon image, afin de trouver des voies d'améliorations dans mon post-traitement. En ce qui concerne les données techniques de l'image : * instrument : lunette ZWO FF130 + réducteur (Focale résultante = 705 mm) * caméra ASI2600MM + RaF & filtres ZWO + guidage au diviseur optique * prises de vues étalées sur 2 nuits (6 & 10/10) * au total : - 60 poses de 60s en Luminance la première nuit puis 60 poses de 90s la deuxième nuit - 21 poses de 180s en Ha la deuxième nuit - 20 poses de 60s sur chacun des filtres R-G-B la première nuit * pré-traitement & empilement des brutes avec Sirilic + SiriL * post-traitement sous Pix (BlurX - Starnet - GHS - PixelMath) & touche finale sous Lightroom Un petit zoom sur le coeur du Cocon...0 point
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C'est pas faux 👍 Merci à @Moot de nous avoir déniché tout ça 👌0 point
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😄 la dernière elle est pour toi @Lune cendrée 😅 Cela dit ça pourrait marcher dans les Ardennes à l'aise 😆0 point
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Ou le petit Starquest SW (Mak également) qu'il faudra motoriser. Ce sera un usage parental (monture équatoriale) pour initiation à la photo. Si dans le budget.0 point
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Sinon, un petit mak 90mm ou 100mm sur une petite monture azimutale manuelle peut être pas mal, compact et dans le budget. Et doit pouvoir servir de téléobjectif au reflex.0 point
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Depuis hier en alpha-test, mais il fait moche ici... 2023.10.18 - ASIAIR [v2.1.2 - 10.89] - Added camera support: Canon EOS M50II/M200/1D X Mark III/Rebel T3/Rebel T6/Rebel XSi/Rebel T2i/Rebel T3i/Rebel T4i/Kiss X2/Kiss X3 Nikon Z9/Zfc/DSC D6/DSC D3500/DSC D4s Sony A9/A6300/A5100 - Added Fujifilm cameras (try to develop, only released in internal test version to testing): Fujifilm GFX 100/GFX 100S/GFX 50 R/GFX 50S/X-A5/X-E3/X-E4/X-H1/X-Pro2/X-Pro3/X-S10/X-T10/X-T2/ X-T20/X-T3/X-T30/X-T4 - Added fuzzy search in the objects list - Added LDN catalog - When selecting the 【ZWO AM5/AM3】 driver, the guiding 【Max DEC/RA Duration】 are recorded separately - ASI2600 series cameras, gain extended to -25 - 【Guide minimum move】 changed to 0.2 - 【ZWO AM5/AM3】 added guide speed setting - Added 【Explorer Scientific EXOS-2 (PMC-8)】 Southern Hemisphere support (testing) - When using Onstep driver, send unpark command after going home position - Fixed the issue of colored dots appearing in images taken by Sony cameras - Fixed the issue of firmware update failing multiple times - Telescope focal length/guide star focal length upper limit changed to 10000 - Optimized the Comet list and fixed the problem that Comet cannot update normally. - When using Sony cameras, hide the【Release Exposure with Shutter】 - When using STA mode, switching Wi-Fi frequency is prohibited - Fixed the problem that HEQ5 Pro RA axis cannot move - Fixed the problem of ASI462 camera exposure failure - Fixed the problem that ASIAIR voltage, current and power values would not change - iOptron CEM120/HC-FW 20171001+ default baud rate changed to 115200 [Android] - Support Android OS 13 - Fixed the problem of app language error - Fixed the issue where the bottom of the navigation bar of some Android models blocks the page [iOS] - Fixed an issue where annotation information could not be saved when saving a JPEG - Fixed ASI 461 image preview crash issue - Fixed the occasional stuck issue when downloading large image FITS files0 point
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Non seulement c'est très beau, mais il y a de la science là-dedans. Bravo, @Malik !0 point
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https://en.wikipedia.org/wiki/Wil_Tirion Belles observations (pour ceux qui n'ont pas de pluie) !0 point
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il suffit de tracer un cadre autour de l’objet et de mesurer sa taille en pixels puis de multiplier par l’échantillonnage.0 point
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Bonjour Pour répondre à tes interrogations si jamais tu n'as pas encore acheté, je te conseille la SW90/900 (c'est la mienne depuis pas mal de temps et je ne m'en lasse pas) mais si tu peux, cherche la version sur EQ-3-2, c'est plus cher mais ça tremble beaucoup moins donc c'est bien plus agréable pour observer.0 point
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Superbe image, quel boulot. Bravo ! il est rare de voir ces nuages sombres aussi lumineux… le rendu est vraiment incroyable et donne une superbe profondeur à l’image. A mettre d’urgence dans ses fonds d’écran…0 point
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Une jeune fille de 8 ans ... Oui, du simple, du très simple. Mais du bon que l'on peut conserver ou revendre aisément : une lunette ED sur une monture correcte, le tout d'occasion (l'optique ne s'use pas). Perso, je dispose d'une Scopos66 (plus fabriquée) : c'est mon instrument préféré (voyage, observation rapide etc ...). Sur la Lune , la demoiselle en aura pour des années (avec un bon guide comme le Manuel d'observation lunaire).0 point
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Bravo Malik pour cette image incroyable. J'attends les prochains chapitres avec impatience!0 point
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Salut Pierrick 😉 Je me permets d'intervenir en tant qu'homonyme et aussi papa d'une fillette de 9 ans qui malgré tout leur enthousiasme ont une concentration assez limitée en tout cas la mienne. Tout ça pour aller dans le sens des intervenants précédents, la simplicité de mise en œuvre te fera sans doute gagner un temps précieux pour apprécier tes futurs observations . Une bonne petite lunette de 70 AZ assez stable, j'en ai offert une à ma nièce certes un peu plus âgée mais qui au bout de quelques sorties se débrouillait toute seule et s'éclatait à voir la lune, jupiter etc, c'est déjà sympa ... si tu apprécies aussi, j'aurai un petit faible pour le dobson de Alhajoth. Pour résumé, à mon sens l'essentiel c'est de commencer à voir quelques cibles sympathiques la lune, les planètes, quelques amas, perso ma fille est assez fan des étoiles doubles ce qui est largement faisable de la lunette au dobson et plus tard ...ben c'est plus tard. Bon ce n'est que mon avis, enfin plutôt des pistes de réflexion, pour les avis sur le matériel, tu auras sûrement des bons conseils ici. Surtout je te souhaite d'excellents moments avec ta fille .0 point
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Bravo, superbe image... et difficile au traitement de bien garder des détails dans le coeur tout en faisant ressortir les extension périphérique au trognon de pomme.0 point
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Avec une sirène bien entourée, c'est tout de suite plus simple (par contre l'IA fait ruisseler de l'eau... sous l'eau). Sinon il y a cette autre sirène, hors de l'eau :0 point
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Testé et approuvé, se mettre dans un champ avec clôture électrique. Une fois, je prenais des photos dans un tel champ. Deux types bourrés sont passés sur un chemin qui longeait le champ, et ont vu les lumières de mon matériel, ils m’ont pris pour un « braco » et voulaient « me faire la peau »… Ils ont essayé de passer, mais j’ai entendu « aye, aye » quand ils se sont pris les volts de la clôture… puis ils sont partis. Les vaches assuraient une protection supplémentaire car elles étaient entre les types et moi.0 point
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pour moi le vrai intérêt du projet est la transportabilité extrême sa modularité passe (pour moi en tout cas) au second plan mais je dois avouer que je l'interroge franchement sur les flexions / collimation et tilt en tout genre. Jamais je n'achèterais un tel matériel sans avoir pu tester que ça tient la route car de prime abord (dés qu'il s'agit de mes sous, je ne suis pas aventureux… pour un sous) je n'ai aucune confiance a priori sur un système qui tien avec une seule paire de tige. Mais j'ai le droit de me tromper est j'espère que c'est le cas. je pense que les concepteurs ont testé / vérifié leurs système, mais comme pour moi il s'agit d'un truc extraordinaire (au sens strict) je demanderais de garantie tout aussi extraordinaire0 point
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En fait, si je compare des choux avec des choux, sans prendre en compte le type de filtre utilisé par toi et Markus, ni le rendement optique de vos caméras et leur comportement face au bruit. Ton systeme a 61 mm de diamètre, une focale de 270 mm et des photosites de 3.76 µm, avec un triplet et un flattener en quadruplet Markus a 250 mm de diamètre, 1000 mm de focale et des photosites de 4.54 µm, avec un correcteur de coma en quadruplet (probable) Pour des objets surfaciques, comme les nébuleuses, l'indice collecteur par photosite est de p²/(F/D)², soit 0.72 pour toi. En fait c'est moins car tu as plein de couches de verre dans ton système, entre ta triplette - 6 surfaces de verre - et ton flattener - 8 surfaces de verre, d'où une perte de l'ordre de 10% (0.75% de perte par interface verre coated/air), soit un indice global de l'ordre de 0.65. De son côté l'indice de Markus est de 1.21. Sur les nébuleuses, à temps de pose égal, son système capte près de 1,9x plus de lumière que toi, donc pour capter autant que lui, il faudrait que tu poses 1,9x plus que lui. Il faudrait que tu poses environ 19 heures en OIII et 37 heures en Ha !!! 🤨 Pour des objets ponctuels, comme les étoiles, l'indice collecteur est de D²/(F/D)², et le ratio entre vous est de 1:21. Il capte donc les étoiles 21x mieux que toi, soit un gain d'un peu plus de 3.3 magnitudes à temps de pose égal. En posant 1,9x plus que lui, pour avoir une belle nébuleuse, il aurait toujours un gain de 2,6 mag sur les étoiles. Source des formules :0 point
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Bonjour à tous Dimanche, je suis parti observer les étoiles avec mes 7x50, un peu à l'improviste. Le ciel est clair, pas de nuages ni de brume. Arrivé sur le coin, je finis de regarder ma vidéo (je suis un geek ) et je m'installe rapidement. Je fais mes premières observations du jour : Jupiter, Saturne et Capella, magnifique avec les perturbations atmosphériques qui la font briller en rouge et vert. Puis, je me dirige vers le ciel profond en commençant par la nébuleuse d’Amérique du nord (ngc 7000), beaucoup d'étoiles et léger nuage de poussière, peu visible ce soir. Puis, direction le double amas de Persée, que j'ai galéré à trouver mais au final, beau regroupement d'étoiles. Ensuite, Pléiades en vue, peu lumineuses a cause de quelques photons (beaucoup je veux dire ) qui polluent le ciel. Quand même un beau spectacle : Acylone et Maïa brillent d'un beau bleu, ainsi que toutes les étoiles de cet amas. Pour finir, je repère Andromède : carré de pégase puis mirach puis les deux étoiles au dessus. Je pointe les jumelles vers Mirach, je remonte et là... une intense lueur jaune au loin : le cœur (centre) de la galaxie, l'endroit le plus lumineux est facilement visible aux jumelles. C'est la première fois que je vois la galaxie aussi bien, elle n'est pas compliquée à voir et on constate bien le début des spirales à côté du cœur. Après ça, je rentre, des étoiles dans les yeux (c'est le cas de le dire), après une courte session d'observation (- de 30 minutes) mais remplie de découvertes. J'y retournerai dès que possible pour contempler ce paysage sublime.0 point
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Recu très rapidement, je suis vraiment content de cet achat. J'ai pu utiliser un des emplacement prevu sur le tube, pour fixer une embase, pour mettre en place la base du Quickfinder. (donc pas besoin d'utiliser le double-face) Il faut juste faire attention à ne pas trop serrer la vis sinon cela déforme la base et il devient impossible de clipser le chercheur dessus. Son utilisation est hyper pratique avec l'affichage de la mire clignotante sur des cibles peu lumineuses. La plage de réglage de la luminosité permet vraiment de l'abaisser à un niveau très faible contrairement au Celestron Star pointer pro. J'ai enfin un systeme de pointage efficace ! Et ca va me permettre de tester réellement l'alignement de la monture sur 3 étoiles. En prime, il est livré avec une 2éme base que je vais pouvoir mettre sur le Dobson.0 point
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Bonjour, Suite à une discussion chez les copains d'en face concernant la Perl Etudiant et en savoir un peu plus sur la marque SYW, j'ai posté un message sur Cloudy Nights et viens d'avoir un complément d'informations de la part d'un membre Japonais de CN et vous mets ci-après la traduction de son texte : " Yamamoto Seisakusho a été fondée en 1934 par Sei Yamamoto et fabriquait des outils mécaniques. Elle fut réorganisée en société par actions en décembre 1939. Selon un document publié en 1955, le président de l'entreprise, Tome Yamamoto (l'épouse de Sei Yamamoto ?), fabrique des pièces pour machines à coudre. Jusqu'en 1957 environ, Yamamoto Seisakusho fabriquait des machines-outils et des pièces de machines à coudre. À partir de 1959, il est écrit sous le nom de production de télescopes. Des documents publiés en 1969 indiquent que le président est Tome Yamamoto, qu'elle compte huit employés et que l'entreprise fabrique des télescopes et des équipements optiques. En 1991, Yamamoto Seisakusho décide de dissoudre l'entreprise et le processus s'achève en 1992. En 1990, le président était Isao Yamamoto (le fils de Tome Yamamoto ?). Je suppose que SYW signifie Sei Yamamoto Works. Il existe de nombreuses entreprises portant le nom de Yamamoto Seisakusho. Par conséquent, je suppose que Sei Yamamoto lui a donné son propre nom." C'est toujours enrichissant d'en apparendre un peu plus sur un constructeur ou assembleur dont les instruments ne sont plus en production. Bonne lecture à toutes et tous ! Alain.0 point
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Bonjour, Je viens de finir la rénovation de cette lunette Jupiter SYW 62,5 / 800 (Origine Etablissements Cerf Paris) des années 70. Malheureusement l'ancien propriétaire a enlevé l'étiquette de la lunette habituellement sur le dessus de porte oculaire. Quelqu'un aurait une photographie d'une étiquette pour ce type lunette pour que je puisse le reproduire. Pour info je fais également du modélisme auto 1/10e électrique et je fais souvent appel à un fabriquant de Stickers/Autocollants pour des modèles Vintage. Celui ci permet aussi la création de stickers qui sont très résistants aux agressions extérieures (par exemple ils proposent des stickers de moteurs électriques qui sont tout à fait équivalents en taille à des étiquettes de lunettes). https://mciracing.ca/collections/design-your-own-decals/products/8-5-x-11-design-your-own-cmyk-color-decals?sort_by=manual Merci d'avance Pascal0 point
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