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Discret68

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Tout ce qui a été posté par Discret68

  1. A titre d'exemple, pour la confirmation de la position park de la monture, je n'utilise pas l'information issue de la monture. J'ai préféré dissocier l'information du reste pour qu'il n'y ai aucune équivoque. J'utilise un détecteur à réflecteur, du genre de ceux qu'on monte au niveau des portails motorisés. L'émetteur/récepteur est fixé dans la partie fixe de l'abri et le réflecteur est fixé sur une patte réglable sur le télescope. De cette manière, il y a une position unique ou le détecteur est activé. Pas de risque d'avoir une information erronée qui ne correspond pas à la position réelle park. Un relais interne permet de récupérer l'info pour l'automatisme de manœuvre du toit roulant Pour la logique de commande, j'ai choisi une commande traditionnelle à base de relais uniquement (4 relais, 2 pour la logique de commande et 2 pour la puissance au moteur) et des fins de course. Aucune électronique qui risque de planter (rare certes, mais ...) et moins de sensibilité à la chaleur ambiante. Je peux quand même exploiter l'automatisme du toit via les logiciels d'acquisition en utilisant des scripts VBS . NINA, PRISM, SGP et d'autres permettent d'exploiter de tels scripts. Petite question : as tu fixé le moteur avec sa poulie sur une platine réglable, de manière à bien caler l'alignement de la poulie avec le câble de manœuvre ? Sans cela, le câble risque de venir se plaquer constamment sur un coté de la poulie avec à termes, une usure prématurée du flanc intérieur de la poulie.
  2. Bon, j'arrive à nouveau à placer l'image qui contient la cote qu'il faudrait connaitre pour calculer l'angle en deçà duquel la monture ne dois pas franchir Voici la cote H en question, ainsi que le diamètre du tube : De toute façon, il faudra comme tu le souhaites, bloquer informatiquement la rotation à la valeur de l'azimut mini. Une façon sûre de connaitre l'angle est, une fois le tube en place, de le mettre à la position maxi et de placer une équerre à angle réglable et niveau à bulle qui permet d'indiquer directement un angle. Encore plus simple, est l'utilisation d'un téléphone portable sur le tube avec un petit logiciel qui mesure le niveau et l'angle par rapport à l'horizontal ou la verticale. C'est simple et efficace, et pas de doute vis à vis d'un calcul avec lequel il peut toujours y avoir une méprise dans la mesure des différentes dimensions. Il faut rester pragmatique !
  3. Bon, ça sert quand même d'être resté collé aux bancs d'école pendant des années 😃 Ce qu'il faut connaitre en plus des dimensions que tu as indiqué, c'est le diamètre du tube et la différence de hauteur entre le haut du muret périphérique et l'axe de fixation du tube. C'est la cote H matérialisée sur le schéma ci-dessous : Flute, le site déconne et je ne peux plus ajouter une image. Je reviendrai essayer un peu plus tard avec mon image, mais en complément, il faudrait savoir si l'axe de rotation du tube est au dessus de l'arase du muret périphérique ou en dessous, et comme dit plus haut, et de quelle valeur.
  4. Est-ce que le problème est celui que je crois avoir compris ? Je me place au nord de la monture et je regarde le sud. Le risque de collision est entre le tube et le muret périphérique lorsque le tube est totalement à l'est ou à l'ouest ? C'est ça ?
  5. Bien que je sois arrivé bien plus loin que le certificat d'études sans que ça me coûte une seule clope, je n'ai rien compris à l'exposé du problème 🤕 Ah si, le fait que le tube ne vienne pas heurter le bords de la coupole. Mais pour ce qui est de reste !!!!🤔 Une image étant plus parlante qu'un long discours, elle serait effectivement la bienvenue. Et avant même de proposer une solution, dans quelle technologie souhaites tu (ou tu imagines) une solution ? Électrique, électronique, informatique, mécanique, ...... Ça évitera à la discussion de partir dans tous les sens !
  6. Si tu es en nomade, tu n’as besoin que de la batterie et dans ce cas, tu n’as pas besoin de « traîner » ton onduleur et ton alim atx ! A moins que ce soit une opportunité pour toi de faire de la musculation..
  7. Je ne comprends pas bien ton objectif ! Partir d’une batterie 12V pour faire du 230V afin d’y brancher des alims 12v lorsque tu es en nomade ? Pour du nomade, il est préférable de rester sur une solution purement 12V. Convertir une tension entraîne toujours une perte de rendement.
  8. Salut Raphaël Pour le moment, je n'ai pas vraiment trouvé de guide pour développer mon driver ASCOM de A à Z. Pour contourner le problème, je me suis contenté pour le moment de récupérer un driver existant pour utiliser mon rotateur avec NINA ..... qui fonctionne Mais je ne désespère pas de pouvoir développer mon driver maison. J'avais vu effectivement que VS2022 produisait un fichier avec le manager d'extension. Mon problème est que je ne sais pas quoi faire avec ce fichier. Il me manque surement pas grand chose pour amorcer la pompe mais pour moi, pour l'instant, je bloque. Coté Arduino, pas de problème, mais je ne sais pas quoi rajouter dans les fichiers créés par VS pour dialoguer avec mon Arduino. Je ne comprend pas non plus comment créer le driver ASCOM et où le loger pour que NINA le prenne en compte, et ce, sur n'importe quel ordi et pas forcément celui où a été développé le driver. L'idéal serait que je puisse récupérer un programme de description d'un driver en VB.net afin d'analyser la structure. Je pense que ça pourrait constituer l'étincelle qui me permettrait de comprendre le cheminement. JP
  9. Oh que non ! Je ne pense pas que cette lulu soit adaptée, ta caméra risque de présenter un important vignettage 😱 Par contre, ayant encore une ancestrale PL-131M, je pense que je vais craquer pour cette lulu
  10. Voici un modèle qui répond à tes critères : https://www.apm-telescopes.net/de/apm-lzos-apo-refraktor-2802800-cnc-lw-ii Et manifestement, disponible assez rapidement. Lances toi 😜
  11. Merci. J'avoue que je suis très satisfait de cette imprimante. Pour les filetages, je descends l'épaisseur des couches à 0,1mm alors que d'ordinaire, je suis à 0,15mm. En fait, je me rends compte que je me suis fourvoyé en écrivant que ma lulu fait 480 de focale. En fait, elle fait 400mm, donc ça devrait passer. C'est une autre de mes lunettes, celle dédiée au CP qui fait 480mm ! Et pour cette lulu sol'ex de 80, j'ai pris un filtre de 82mm pour ne pas perdre en diamètre.
  12. Le filtre Hoya ND16 est vissé dans la bague par son filetage. Le filetage de M82 x 0,75 est directement imprimé avec mon imprimante (une Prusa I3 MK3+). Il est difficile de mettre en évidence le filetage avec une pièce en plastique noir. Mais ur une pièce imprimée en gris, il est plus facile de voir les filets. Ci-dessous, une bague M48, avec un pas également de 0,75 : Et comme dit plus haut, la bague porte-filtre est introduite dans le pare-buée. Un léger serrage permet un bon maintien :
  13. Cela signifie à priori que je n'aurai pas non plus le soleil en totalité ! Flute. Comment fais tu tenir ton filtre ? Pour info, j'ai conçu une bague en impression 3D qui permet d'y visser le filtre. On introduit le tout dans le pare-buée de la lunette. Les multiples découpes qu'on voit au niveau de la bague permette d'obtenir une certaine élasticité, ce qui permet un léger effet ressort nécessaire au maintien dans le pare-buée. Au cas où, si ça t’intéresse :
  14. C’est plutôt un bon résultat pour une première. Quelle est la focale de ta lunette qui fait que tu n’as pas la totalité du disque solaire ? Je suis également en train de monter un sol’ex pour un montage sur une lunette de 80 avec une focale de 480. As tu installé un filtre complémentaire en amont de l’objectif (ND 8 ou 16) ? En parcourant certaines discussions sur le sol’ex, nombreux ont monté ce filtre devant l’objectif. Personnellement, j’ai monté un ND16, on verra si c’est probant.
  15. L'objectif n'était pas de dire que la GM est meilleure que la jtw, mais plutôt de dire qu'avec des équipements similaires, tu pourrais espérer des fonctionnalités qui s'y rapprochent. Merci. C'est effectivement bien pratique de pouvoir usiner ses propres pièces car ça permet de rapidement mettre en œuvre des modifications dont on a envie et qui ne reviennent pas très chères. Et si ce n'est pas bon, on a pas l’impression d'avoir jeté son argent par les fenêtres. OK, je comprends la problématique. Néanmoins, lorsqu'on change de train optique (CP vs planétaire), peu importe la perte de la cible. Ce qui est pratique avec une GM, grâce aux encodeurs (cela signifie qu'à termes, tu pourrais espérer cette fonctionnalité), c'est que tu peux débloquer les freins d'embrayage, tourner le tube dans tous les sens et resserrer les freins, la monture sait toujours où elle vise. Aucun ré-alignement n'est nécessaire et on repart direct en exploitation. Ce que je veux dire, c'est qu'au delà de l'approche purement tarifaire d'une monture, il peut y avoir tout un panel de fonctionnalités qui facilitent grandement la vie .... "astrophotographique". J'espère donc que les encodeurs de la jtw seront bien exploités un jour car se passer d'autoguidage par caméra annexe, c'est quand même appréciable 😎
  16. J'ai un peu galéré avec la dernière version de SIRIL, ou tout au moins depuis qu'il est possible d'avoir plus d'un catalogue perso. Vu que je ne savais pas quel est le nom qu'il faut donner aux catalogues supplémentaires (je n'ai rien trouvé dans la documentation), cela m'a pris un peu de temps. 2ème soucis, l'annotation via un catalogue personnel s'effectue bien, mais vu que j'utilise SIRIL très rarement, je ne vois pas comment enregistrer l'image annotée dans sa taille nominale. Lorsque je fais une copie, si j'ai l'image en totalité, elle est petite et vu le nombre d'annotation, c'est illisible, et si j’agrandis l'image, je n'ai que la partie réduite annotée. Voila ce que donne l'annotation avec le catalogue PGC complet, c'est illisible. En plus, je ne sais pas si la taille des caractères est modifiable : Si vous avez idées.
  17. Il est également possible de le faire avec SIRIL qui est gratuit. J'ai formaté le catalogue PGC afin de pouvoir l'utiliser avec SIRIL. Si un jour tu te décides. tu me fais signe.
  18. Merci pour ces informations. Pour avoir testé la MES avec SharpCap, je suis assez dubitatif sur le résultat annoncé. Vu que je dispose d'une GM2000, il y a des logiciels spécifiques pour effectuer la MES. En clair, on utilise un modèle de pointage sommaire (moins de 10 zones en automatique et qui prend moins de 10mn), ce qui permet à la monture d'indiquer directement l'erreur de MES et l'erreur RMS de pointage. A ce stade, c'est la valeur d'erreur de MES qui est intéressante et via le pointage d'une étoile à choisir dans la liste proposée, on règle mécaniquement la monture. Sur la base de comparaisons, j'aurais tendance à dire que l'erreur de MES indiquée par SharpCap est minorée d'environ 3 à 4 fois la valeur mesurée par le logiciel de la monture. C'est à dire qu'elle est plus importante qu'annoncée. J'ai également testé le module Three Point Polar Alignment de NINA (qui est totalement gratuit) qui fait 3 poses au lieu de 2 pour SharpCap. Le résultat est meilleur que celui obtenu avec SharpCap, mais il reste un écart par rapport aux outils 10Micron. Mes propos ont surtout pour objectif de dire que le résultat SharpCap est à prendre entre pincettes et qu'il est conseillé de réaliser plusieurs itérations afin d'obtenir l'erreur la plus faible possible, mais qui en réalité est probablement plus importante qu'annoncée. C'est dommage que les encodeurs ne soient pas pris en compte dans l'autoguidage de la monture, car c'est leur vocation principale. A quoi bon avoir des encodeurs si ils ne sont pas utilisés. Les encodeurs précis coûtent chers. Donc, soit ils sont précis et dans ce cas, plus besoin d'autoguidage avec caméra, les encodeurs font leur boulot (c'est le cas sur les 10Micron), soit, ils ne sont pas précis et dans ce cas, ils n'ont aucune utilité et peuvent être omis, le prix de la monture se réduisant également. Même pour du pointage en astrophotographie, les encodeurs ne servent pas à grand chose. Aujourd'hui, avec la résolution astrométrique, un logiciel d'acquisition bien "gaulé" (NINA par exemple) se charge de pointer le télescope avec une précision de quelques secondes d'arc et ce en 2 coups de cuillère à pot. La qualité mécanique de la monture (jeux réduits voire absents) va permettre d'obtenir un pointage très précis et rapide. Avec ma GM2000, le newton de 300 avec une ASI2400MC, et un modèle de pointage étoffé (environ 60 zones analysées - 45 mn pour la réalisation), j'obtiens une erreur de pointage RMS de l'ordre de 5 secondes d'arc. Avec la résolution astrométrique de NINA, je descend à 2 secondes d'arc. Et que dire de la lulu (FS60) qui est sur le dos du newton et qui, compte-tenu de la fixation mécanique, présente un décalage de 6 minutes d'arc par rapport au pointage du tube principal ? Avec NINA, la cible est à 2 secondes d'arc du centre image en moins d'une minute. Donc, si encodeurs il y a, il faut qu'il soient dans la boucle. Si tout est bien intégré, plus besoin d'autoguidage caméra. C'est quand même plus simple, plus de PHD2 (ou autre) à mettre en œuvre. C'est ça la réelle plus-value des encodeurs. A mon sens, ça reste possible. A titre de comparaison, pour produire de bons résultats au niveau du pointage et du suivi, une 10Micron doit présenter un écart d'équilibrage (avant/arrière du tube et tube/contrepoids monture) inférieur à 0,4%. Fort heureusement, la monture est équipée d'une assistance informatique pour l'équilibrage. En clair, on lance une séquence de mesure. La monture réalise quelques mouvements de balancement et indique la valeur du déséquilibre ainsi que le coté du "surpoids". En quelques itérations, on arrive à ces 0,4% préconisés On comprends vite que dans cette situation, on pourrait se dire logiquement qu'une fois le système réglé, il ne faut plus y toucher. Et par conséquence, on fait du CP ou du planétaire. J'ai finalement trouvé une combine pour associer changement de setup (CP/planétaire) et maintien de l'équilibrage sans devoir relancer la procédure complète à chaque changement. En fait, j'ai placé une première barre de contrepoids sur le flanc du newton. Un contrepoids coulisse sur cette barre. J'ai usiné 2 butées à serrage en aluminium qui me permettent de caler le contrepoids selon les 2 setups. Idem sur la barre de contrepoids de la monture. J'ai réalisé l'équilibrage avec chacun des setups et j'ai placé les butées aux endroits où l'équilibrage était conforme. J'aurais pu faire des marques, mais avec des butées, pas de risque d'erreur. Avec ta monture, tu pourrais également changer de setup en un tournemain 😎
  19. Avec les coordonnées de l'image, on arrive plus facilement à faire l'annotation. Avec Pixinsight et le catalogue PGC complet, il y a quelques 680 galaxies supplémentaires identifiées en plus des NGC/IC : En prenant des catalogues plus récents, je pense qu'on en identifierait encore plus 😱
  20. Il y a effectivement beaucoup de monde sur ton image. Je voulais annoter ton image pour identifier toutes les galaxies présentes mais je n'arrive pas à trouver les coordonnées du centre de l'image. Pourrais tu indiquer cette valeur ainsi que le coefficient de réduction de cette image par rapport à l'original pour permettre la résolution astrométrique ? Merci à toi. JP
  21. J'ai préféré frotter un taraud au pas correspondant sur la partie filetée pour éliminer les fils présents. Tu pourrais développer un peu car là, je ne vois pas à quels paramètres tu fais référence. J'ai repris l'impression en y plaçant un support au niveau de la partie femelle qui se trouve en partie inférieure lors de l'impression : Après retrait du support, le filetage ne présente plus de fils disgracieux : J'essaierai avec de l'ASA pour voir le comportement à l'impression.
  22. Bonjour à tous N'arrivant pas à trouver de réponse à ma question en parcourant le net, je me décide à vous la poser. Dans NINA, est-il possible de réduire les dimensions de la capture ? En clair, de faire du ROI ! Ayant une ASI2400MC (capteur FF), il arrive que le champ capturé soit bien trop grand par rapport à la cible visée, notamment pour des galaxies de petite taille. La 2400MC étant relativement sensible, avec un filtre LPS-D2, je tourne fréquemment à un temps de pose de 30s. Cette sensibilité me permet d'empiler de nombreuses images, mais occasionne un stockage important sur le disque (48Mo) par image, et une durée de prétraitement très longue. Alors qu'au final, je vais effectuer un crop "généreux" pour ne garder que la partie intéressante. Dans NINA, il y a bien cette notion de ROI au niveau du focus auto et au niveau de l'onglet Cadrage, mais, sauf si je m'y prends mal, la capture reste à la pleine résolution de la caméra. Merci à vous JP
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