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Discret68

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A propos

  • Résidence
    Aux environs de Colmar (68)
  • Intérêts
    Les galaxies, les trains (petits et grands)
  • Occupation
    Retraité
  • Matériel
    Newton ONTC1212 300 f/D4, ASI2400MC, TS 3" Wynne, Integra 85 et RAF sur une GM2000HPS en poste fixe.
    Lunette TS 80/480 avec correcteur 3" et ASI2600MC
    A7S avec Samyang 135mm sur StarAdventurer.
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  1. Oui et non, car vu l'évolution des volumes de stockage disponibles et la baisse des coûts de ces supports, on arrive assez facilement à conserver les images. Pour donner un exemple, j'ai un disque dur de 8To dédié uniquement au stockage des images astro (toutes les brutes et les images des différentes phases de traitement). En réalité, un disque annoncé à 8To dispose de 7,3To effectifs. A ce jour, j'ai environ 36000 brutes natives issues de l'ASI2400MC (48Mo unitaire) et 1600 de l'ASI2600MC (52Mo unitaire). Plus un nombre réduit d'images issues du 450D 😄 , de la G2-8300, de la QHY10L et de l'A7S. Vu les temps de pose de l'époque, le nombre d'images et surtout la taille des images, l'occupation disque est faible. Je stocke également un certain nombre de vidéos pour du planétaire. Et plus tout un tas d'autres images en lien avec l'astro. Le nombre de brutes de la 2400MC est important car vu la sensibilité de cette caméra, les temps de pose sont relativement courts par rapport aux pratiques habituelles. Je suis à 60s max par brute, ce qui entraine un nombre important d'images pour un objet donné. Avec la 2600MC sur la lulu de 80, je suis dans les 300s en pose unitaire, donc beaucoup moins d'mages au final par rapport à la 2400MC. Bref, si je prends une moyenne de 50Mo par image, mes 40000 images représentent une occupation de 2 To. De plus, en empilant à chaque fois que possible les images en drizzle 1,5 voire 2, les images d'empilement et de chaque pas de traitement successif passent à 1,2Go chacune. Aujourd'hui, mon disque est occupé à 50%, ce qui me laisse encore de belles années devant moi avant d'être obligé de prendre des mesures. Si j'utilisais uniquement une 2600MC (sur la lulu comme sur le newton), j'aurais encore beaucoup plus de marge. Oui, mais même si les logiciels d'empilement font moins de progrès comparativement à ceux destinés au traitement, je me dis que partout où je peux gratter, c'est du plus pour l'image finale. Mon point de vue n'a rien de dogmatique et je comprends très bien les différentes démarches mises en œuvre par les uns et les autres. JP
  2. Quel dommage de supprimer toutes les brutes, mais bon, c'est un choix. Je me rends compte que j'ai bien fait de conserver mes anciennes brutes, les logiciels d'empilement et de traitement ayant bien évolué, il y a de quoi obtenir un résultat sensiblement meilleur avec les brutes d'hier ! Si on avait 300 nuits exploitables par année, je dis pas, mais avec le peu de nuits dont on dispose, on est parfois content de ressortir les anciennes images.
  3. Salut Guillaume. Beau projet que d'aller faire du remote en Espagne ! C'est effectivement plaisant, mais pas dénué de surprises. Si tu n'as jamais fait de remote, tu as intérêt à bien déverminer le système en local car il peu y avoir. Quand le matériel est à proximité, ça va bien, mais à longue distance c'est moins facile. Moi qui ai mon abri en remote dans le jardin depuis plus de 6 ans, j'en ai eu des surprises auxquelles je ne m'attendais pas. D'un autre coté, ce ne sont pas les mêmes cibles que tu vas viser. Avec la lulu, ce sera plutôt les nébuleuses, à part évidemment quelques galaxies de grandes dimensions (M31, ...). Mais il est vrai qu'avec une lulu, il y a beaucoup moins de tracas qu'avec un télescope. J'ai quelques petites questions : le setup tel que tu le présentes n'est peut-être pas encore complet pour son départ. Quid de la résistance chauffante pour l'objectif ? As-tu prévu un obturateur motorisé, avec éventuellement un panneau EL pour les flats ? Vu qu'en Espagne, il fait très sec, avec le vent, le matériel est vite sous la poussière. J'étais passé un jour par Nerpio et j'ai vu l'état du matériel, c'était bien poussiéreux et ça faisait un peu peine à voir. Je suis un peu mitigé avec l'ARCO car pour l'avoir eu en main pour faire des essais, j'ai constaté qu'il ne peut être utilisé qu'avec un focuser PrimaluceLab. Sinon, ça à l'air d'être de la belle mécanique. A voir à l'usage. Est-ce que l'ARCO et le focuser associé disposent d'un driver ASCOM afin de pouvoir les utiliser avec n'importe quel logiciel d'acquisition ? Ou ils ne fonctionnent qu'avec PLAY ? Jean-Pierre
  4. Passer à un capteur FF n'est pas aussi évident qu'il y parait. J'ai une 2400MC dont je suis super ravi compte-tenu de la sensibilité qu'elle offre vu la taille de ses pixels. Les temps de pose deviennent très courts ! Par contre, il faut passer tout le train optique à minima en 3" (correcteur notamment) et il faut que le champ corrigé couvre la diagonale du capteur. Sur mon newton 300 en f/d4 (avec un correcteur TS Wynne 3"), la taille des pixels me donnent un échantillonnage de 1", ce qui est un bon compromis. Concernant les filtres, les 2" montés génèrent un vignettage mécanique que les flats n'arrivent pas à corriger. Il faut cropper l'image en fonction de ce qu'on considère comme acceptable dans les angles. J'ai usiné le carrousel de ma roue à filtre (Starlight Xpress 5x2") pour monter des filtres IDAS. Ce sont des filtres de M52 qui ne sont pas montables directement dans ma RAF. Je les ai démonté pour récupérer uniquement le filtre en verre qui fait 49mm de diamètre. Les trous de passage dans la RAF sont à un peu moins de 48mm et il y a encore du vignettage. Cet AM, je viens d'usiner à nouveau une cavité dans le carrousel de la RAF pour monter un filtre non monté de 50mm de diamètre, avec un diamètre de passage de 49mm. D'après les essais fait avec le logiciel "Vignettage", cela devrait passer tout juste. Si on veut vraiment éviter le vignettage, il faut à mon sens passer en filtres carrés de 50, avec la RAF qui va avec, et les tarifs qui s'envolent ! Comme on faisait avec une caméra CCD en FF. Sauf erreur de ma part, tu n'as pas précisé si tu voulais une caméra couleur ou NB. En tout cas, pour la 2400MC, la question ne se pose pas. Mais pour la 6200, vu qu'elle existe dans les 2 configurations, je me dis qu'en version NB, elle doit pouvoir fonctionner en bin2, ce qui permet d'avoir des pixels encore plus gros que la 2400MC et donc une sensibilité accrue, avec un échantillonnage intéressant pour les longues focales. C'est ce qu'on faisait avec les caméras CCD. J'ai demandé à un astram qui a une 6200MM de me faire quelques images en bin2 (il n'en a jamais fait jusqu'à présent) pour faire des mesures. J'attends encore, et l'espoir diminue chaque jour qui passe. JP
  5. Salut Francis Un abri, ça facilite grandement l'exercice de l'astronomie. Avec un setup prêt à l'emploi, un petit créneau où le ciel est dégagé, ça permet de lancer rapidement les acquisitions. Cela fait 8 ans que j'exploite le mien avec une montée en puissance qui s'est faite dans le temps, mais c'est quand même super pratique. Par contre, je suis à 100% d'automatisation et tout le repli des équipements s'effectue automatiquement. Le principal ennemi de l'abri astro, c'est l'humidité. Peu importe la température, mais pour éviter le risque de condensation, même avec une hygrométrie ambiante de 100%, il faut ventiler en permanence. La circulation d'air doit pouvoir se faire en permanence. Dans mon abri, il y a un jeu d'environ 15mm entre le haut de la partie fixe et le toit, avec bien évidemment, des débords qui évitent la pénétration de la pluie. En partie basse de chaque mur, il y a une grille de ventilation diam 100mm. De cette manière, quelle que soit la direction du vent, l'air circule. Et je n'ai jamais eu en 8 ans de traces de condensation lorsque le toit est fermé. J'avais installé un ventilateur de VMC, mais je ne voyais aucune variation de température ou d'hygrométrie après mise en service. J'ai différentes sondes de température et d'hygrométrie avec enregistrement dans l'abri, et rien n'évoluait à la baisse ! Dans le domaine de l'humidité, une isolation thermique ne servira à rien. Une isolation ne peut qu'éviter une trop forte montée en température à l'intérieur en plein été. Mais ça n'apporte rien en cas de froid. Il faut ventiler naturellement en permanence. Concernant tes glissières, j'ai quelques doutes sur leur tenue dans le temps. Ce système me parait trop sensible lorsqu'il est placé en conditions externes. Quand je vois la forme des profilés, je me dis que la pluie et la saleté qui va se déposer au niveau des glissières vont apporter leur lot de problèmes. Les billes vont s'en donner à cœur joie. J'ai mis de simples rails omega, ceux qu'on utilise pour les portails, avec des roues à gorge et je n'ai même pas eu à les nettoyer en 8 ans de service. Et ils sont toujours comme neufs. Ce qui est dommage, c'est que tu es "obligé" d'aller manipuler ton toit à la main, mais c'est ton choix pour le moment. Tu verras à l'exploitation, mais je pense qu'à termes, tu vas te poser la question de la motorisation. Moi aussi au début, j'allais ouvrir et fermer le toit à la main, mais ça limite les possibilités, et en pleine nuit ou en plein hiver, même si l'abri est à proximité, au bout d'un moment, on pense indéniablement à la motorisation. Une motorisation et son système de commande, ce n'est pas si compliqué que ça. Par contre cela demande quelques précautions. Il faut bien évidemment que le tube soit en position horizontale pour éviter les interactions entre toit et télescope. J'ai installé un capteur à réflecteur qui est connecté dans la chaine de pilotage du toit. Le capteur est fixé contre un des murs et le réflecteur est fixé sur le télescope, ce qui garantit une position unique. Si le télescope n'est pas en bonne position (position park chez moi à l'horizontale comme chez toi), le toit ne peut pas manœuvrer, que se soit en commande manuelle ou en commande pilotée (depuis l'ordi ou en séquence automatique). Je crois comprendre que tu as une difficulté pour définir une position park horizontale avec ton système, mais cela me parait un peu étonnant. L'avantage du toit motorisé est également de pouvoir commander la fermeture automatiquement en fin de séquence acquisition ou lorsque les conditions météorologiques se dégradent. Dans ce dernier cas, il faut y adjoindre un système qui permet de surveiller l'état du ciel, un "CloudWatcher") comme on dit couramment. J'ai comme beaucoup un modèle de chez Lunatico en service depuis plus de 6 ans sans broncher, mais il est possible de s'en fabriquer un soi-même si on est bricoleur. En ce moment, il arrive très fréquemment que le ciel soit potable en début de soirée et que les nuages arrivent ... au bout d'un certain temps. Pour l'anecdote, il m'est arrivé un soir de lancer une séquence vers 20h00 et de me rendre compte qu'à 23h, la pluie tombait, avec bien sûr tous les équipements sous la pluie. Entre temps, je me suis développé un petit programme qui me permet de replier les équipements en cas de dégradation de la météo, et ce, indépendamment de ce que la séquence peut lancer en fin d'acquisition. Je peux dire aujourd'hui que je dors sur mes 2 oreilles. Depuis que j'ai ce genre de système, je lance une séquence le soir, et le lendemain matin, tout est replié que ce soit par fin de séquence ou dégradation de la météo. La séquence a pu durer toute la nuit comme elle a pu durer 1h en cas de survenue de nuages, mais tout est en ordre au petit matin. Voila, il y aurait encore plein de choses à dire, mais pour le moment, profites bien de ton abri. Jean-Pierre
  6. Superbe image avec une très bonne définition. Y'a pas à dire, la durée totale de pose est payante. JP
  7. Il ne te reste pas grand chose à faire pour avoir un abri fixe 😚 Même un petit abri sur roulettes qui se déplace à la main, ça serait plus pratique que la bâche. Là, je n'ai pas tout compris. La molette du C8, c'est bien ce qui déplace le primaire ? Donc, variation de la focale ! Le focuser externe permettant lui de ne pas modifier la focale. Pour la double acquisition, tu lances bien 2 sessions de NINA ? Avec chacune son setup.
  8. Un premier petit retour peut-être suite à la pose du feutre dans le tube ?
  9. Salut Seb j’en déduis que dans ce cas, tu ne fais pas de dithering ? Ou alors, dithering et perte d’une image toutes les X, fonction de la fréquence du dithering sur le setup « pilote » ? Je me suis posé la question de faire tourner mes 2 setup simultanément (newton 300/ASI2400MC et lulu 80/ASI2600MC clampée sur le newton). A moins qu,il y ai une possibilité de synchroniser 2 setup avec dithering sous NINA ? JP
  10. Dans ce cas, tu peux monter jusqu'à 3 fois fois la HFR mini pour la HFR en bout de courbe. Inutile d'aller au delà !
  11. Ton FocusCube est monté sur quel type de tube ? Il peut y avoir quelques précautions à mettre en œuvre selon que tu utilises une lunette, un newton ou pire, un SCT Celestron. D’une manière générale, je conseille de commencer par chercher le point de focus idéal en utilisant la commande de position du focuser via NINA en relevant la position du moteur (nombre de pas). Et tu relèves la HFR correspondante. Tu décales progressivement le focuser en intra ou extra jusqu’à arriver une HFR d’environ 2,5 fois la HFR mini relevée précédemment, surtout avec un tube équipé d’un miroir secondaire (newton, SCT, ...). Avec une lunette, tu peux aller un peu au delà. Le problème avec un tube équipé d’un secondaire, c’est que l’image défocalisée d’une étoile forme un donut, et la mesure de la HFR devient difficile, avec échec à la clé. D’où la préconisation des 2,5 fois maxi la HFR mini. Tu relèves le nombre de pas correspondant et tu y retires la valeur relevée à la HFR mini. Tu as la valeur de variation pour une demi-course du focuser. Tu divises la valeur obtenue par le nombre de points de mesure (valeur de décalage initial) que tu as saisi pour la courbe automatique. J’ai mis 5 pour mes différents focuser, y compris pour le FocusCube. Tu saisis le nombre résultant dans le champ taille pas FA. Avec ces réglages, la focalisation auto réussit à 100%. D’une manière générale, avant de lancer la focalisation auto, ton focuser doit se trouver dans la plage de mesure de la courbe en V, sinon, NINA va partir dans les choux. JP
  12. Tu peux l'utiliser comme disque de sauvegarde incrémentale (ou séquentielle) des fichiers que tu considères les plus importants. Vu que j'ai installé un SSD également de 2TO pour le système, et vu la place qu'il reste énormément de place, tous les fichiers que je crée (excel, Word, ...) sont placés dorénavant dans un sous-dossier su dossier "Documents" et il sont intégrés dans la sauvegarde séquentielle.
  13. Discret68

    M51

    Il n’y a aucun intérêt à diminuer le gain à 252 car tu vas perdre en sensibilité et augmenter le bruit de lecture.
  14. Discret68

    M51

    Maintenant que la partie gauche de la courbe est décalée vers la droite et ne touche plus l’axe vertical du graphique, tu peux progressivement réduire la valeur d’offset caméra pour ramener légèrement la courbe vers la gauche, en veillant à laisser un petit jeu à gauche pour garantir l’absence de pixels à 0 adu. si la mesure avec Siril te donne une valeur min inférieure à 200 sur les 3 couleurs et qu’aucune valeur min n’est à 0 adu, tu peux considérer que tu as le bon réglage d’offset caméra.
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