Aller au contenu

Classement

  1. sebseacteam

    sebseacteam

    Membre


    • Points

      11

    • Compteur de contenus

      16357


  2. Tofwech

    Tofwech

    Membre


    • Points

      4

    • Compteur de contenus

      140


  3. dlasserre17

    dlasserre17

    Membre


    • Points

      3

    • Compteur de contenus

      814


  4. soleilrouge

    soleilrouge

    Membre


    • Points

      3

    • Compteur de contenus

      396


Contenu populaire

Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 10/03/22 dans toutes les zones

  1. INTRODUCTION Voici comment régler la tension des axes sur les télescopes GOTO du type Orion XTg. Je suppose que cela s’applique aussi aux télescopes Skywatcher goto/autotrack, vu qu’ils proviennent du même endroit. Comme la procédure ne figure pas dans les manuels, toute intervention sera de votre propre responsabilité. Je n’incite personne à faire pareil. Au moins ce qui suit permet de comprendre le fonctionnement de ces motorisations. Le modèle présenté est un XT10g. MOUVEMENT EN HAUTEUR Le réglage de la tension sur l’axe de hauteur est ultra simple. Sur le capot extérieur du moteur (celui qui comporte le bouton on/off et les branchements), il faut enlever les quatre vis de fixation. Il suffit ensuite d’écarter légèrement le boitier, et on découvre ceci : Le boitier noir contient l’encodeur. Vient ensuite la pièce de jonction entre l’encodeur et l’axe de hauteur, puis l’écrou de réglage de la tension. Ce dernier comporte deux parties arrondies, dans lesquelles se trouvent deux vis de fixation (flèches bleues). Il suffit de les débloquer avec la petite clé Allen fournie avec le télescope, et après on peut régler tranquillement le gros écrou. Il vaut mieux le faire avec le tube du télescope en place, ainsi on peut vérifier tout de suite si la tension est bonne ou pas. Il n’y a aucun risque : si l’écrou n’est pas assez serré, le tube va piquer du nez tout seul avec des oculaires très lourds, ou remonter tout seul sans oculaires, et dans le pire des cas le moteur risque de ne plus rien entrainer (j‘ai essayé). S’il est trop serré, les mouvements manuels deviennent très désagréables. Une fois le réglage effectué, on resserre les deux vis de fixation de l’écrou, on remet le capot en place, et c’est terminé ! MOUVEMENT EN AZIMUT 1. Démontage L’opération est plus longue. Il faut commencer par démonter le rocker en deux parties, en séparant les panneaux avant et latéraux du plateau supérieur. Après on dévisse le capot du moteur, et on déconnecte les fils de la petite carte électronique pour travailler tranquille, en repérant les positions des fils pour le remontage. Voici ce qu’on obtient : Comme pour l’axe de hauteur, le boitier noir contient l’encodeur. Il faut l’enlever. Pour ce faire, il faut débloquer les quatre vis de fixation indiquées par des flèches bleues. Il est à noter que sur l’axe d’azimut, la vis désignée par une flèche oblique doit être entièrement dévissée, car elle traverse l’axe. Il faut pour cela une clé Allen qui n’est pas fournie avec le télescope. Une fois l’encodeur enlevé, on trouve un écrou nylstop, et en-dessous un roulement à billes. L’écrou nylstop n’assure aucun réglage, sa seule fonction est de maintenir le plateau inférieur attaché au rocker quand on soulève la monture. Il n’est pas serré. On enlève donc l’écrou nylstop, puis le roulement à billes. A ce stade, le plateau supérieur peut se retirer simplement en le tirant vers le haut. On découvre alors l’écrou de réglage, identique à celui de l’axe de hauteur : Comme précédemment, il suffit débloquer les deux vis sur les parties arrondies, indiquées par les flèches, et de tourner légèrement l’écrou pour régler la tension. Avant de parler du remontage, on ne va pas s’arrêter en si bon chemin, et on poursuit notre exploration 2. Fonctionnement L’écrou de réglage appuie sur une rondelle noire, qu’on voit sur l’image, et qui est bombée. Elle agit donc comme un ressort. Cette rondelle appuie sur un disque métallique, qui appuie lui-même sur la roue dentée. Ce disque est rendu solidaire de l’axe par l’intermédiaire d’un méplat. Une fois ce disque enlevé (ce qui n’est pas facile à faire), on voit la roue dentée en entier : Et voici la face interne du disque : Il est recouvert d’un matériau assez souple et plutôt indéfinissable, quelque part entre le carton et la feutrine. On voit bien le méplat au centre, qui le rend solidaire de l’axe d’azimut. La roue dentée peut alors se soulever, et on découvre un deuxième disque recouvert du même matériau : Ce disque et l’axe d’azimut sont solidaires et ne forment qu’un bloc. Cet ensemble est vissé sur le plateau inférieur par l’intermédiaire de quatre boulons. On peut démonter ces boulons, et enlever l’axe : On voit la tôle sur laquelle repose tout le poids du télescope. Une fois celle-ci enlevée, on découvre les roulements qui permettent les mouvements en azimut, ainsi que la tôle inférieure : Tout ceci permet de comprendre le fonctionnement du système. La vis sans fin, qui est liée au plateau supérieur de la monture (le rocker), appuie sur la roue dentée grâce à un ressort (j’ai oublié de prendre cette partie en photo). Quand on déplace le télescope manuellement, le rocker entraine donc la vis sans fin, qui elle-même fait tourner la roue dentée. Cette roue est prise en sandwich entre les deux disques à friction, qui sont solidaires du plateau inférieur, et donc restent immobiles. Par conséquent, il est normal que les mouvements soient fermes. Le mécanisme roue dentée / vis sans fin assure l’irréversibilité du mécanisme, et le moteur ne risque rien lors des déplacements manuels : il reste à l’arrêt. Lors des déplacements motorisés, la vis sans fin se met à tourner, ce qui impose que la roue dentée tourne par rapport au rocker. Les frottements entre la roue dentée et les deux disques étant supérieurs à ceux des roulements, cette roue va donc rester fixe, et c’est le télescope en entier qui va tourner sur les roulements du fond. Voilà pourquoi il faut que la tension des axes soit assez forte : elle doit permettre à la roue dentée de rester immobile, et éviter tout patinage de la motorisation. Je ne vois pas comment un mauvais réglage de tension pourrait endommager les moteurs. Si la tension trop forte, les mouvements manuels deviennent très désagréables à cause de la friction trop importante des disques. Cela n’affecte en rien le fonctionnement motorisé. Si la tension est trop faible, la roue dentée risque de tourner dans le vide, et la motorisation devient inopérante. Je n’ai pas démonté l’axe de hauteur, mais il est évident que le principe est le même. 3. Remontage Pour replacer le plateau supérieur de la monture, la vis sans fin poussée par le ressort va empêcher sa mise en place. Il faut donc repousser l’ensemble moteur- vis sans fin avec un tournevis par exemple. Une fois que le plateau supérieur est en place, il faut vérifier en le tournant manuellement que la tension est correctement réglée. Il doit opposer une certaine résistance. Contrairement à l’axe de hauteur, on ne peut pas vérifier en temps réel que le réglage de l’écrou est bon. Dans tous les cas, il faut procéder par petites rotations, par exemple 1/16 ème de tour, pas plus. Ensuite il faut remettre le roulement à billes, et l’écrou nylstop. Ce n’est pas la peine de le serrer : il faut arrêter de le visser dès qu’il touche le roulement à billes. Pour replacer l’encodeur, il faut se souvenir qu’une vis traverse l’axe. Donc il faut au préalable bien orienter l’axe d’azimut par rapport à l’encodeur, de façon à ce que les trous soient en face. Ensuite on rebranche les fils, on refixe le capot, on réassemble le rocker, et voilà ! CONCLUSION Cette motorisation est très astucieuse, et présente de nombreux avantages : absence totale de backlash, y compris aux plus petites vitesses, 9 vitesses de déplacement au choix, possibilité de passer instantanément d’un déplacement manuel à un suivi motorisé, pas d’embrayage à désengager sur les deux axes et à réengager ensuite, pas besoin de contrepoids si la tension est correctement réglée… L’utilisation est on ne peut plus intuitive. Les mouvements manuels sont durs, mais comme on l’a vu c’est nécessaire pour assurer le bon fonctionnement du suivi motorisé. Il faut aussi ajouter qu’à l’usage, les mouvements s’assouplissent, donc il ne faut pas se précipiter pour régler la dureté, et il vaut mieux attendre quelques semaines pour voir comment cela évolue. Voilà, vous savez tout.
    0 point
  2. 0. EPILOGUE Bonjour, enfin re-bonjur suite à une longue absence, Vincent alias Projectsoft résidant au nord de l’Alsace. Je voulais me créer un nouveau compte pour faire plus simple et repartir sur de « nouvelles bases » mais ça coince avec les @ hotmail, même après envoi de message à l’administration pas de nouvelles donc je poursuis avec mon ancien compte dont je me suis souvenu du mot de passe ! Ouf car je voulais à tout prix rejoindre des membres lors d’une sortie alsacienne. En plus j’ai revu toutes mes anciennes discussions et vu ma progression qui depuis. Attention soyez prêts à lire un pavé. Ce topic est destiné à : - ceux qui hésitent dans le choix de leur dobson, pour sa taille, encombrement, poids, transport - expliquer les bienfaits (oui j’assume, je voulais le barrer mais non, j’assume !) le choix du Goto - laisser une trace historique pour me rappeler de cet achat (je regrette de ne plus avoir de traces sur mes anciens achats de télescope) - les futurs équipements et achats d’accessoires avec mes impressions - vous faire partager mon expérience car ce sont les vôtres et toute la lecture sur le net qui m’ont permis de faire le bon choix correspondant à mes besoins, je vous la rends donc pareil, ou à toi tout simplement qui me lit dans l’ombre juste à la pêche aux informations comme je l’avais fait. Et pour finir l’astronomie est une passion qui est un plaisir de lire et à mon tour d’écrire avec autant de plaisir. 1. HISTORIQUE Avant toute chose, mon passé sur l’astronomie. Il y a quelques années de cela, de débute ma carrière d’astronome amateur niveau 0 avec un Kepler 200mm acheté chez Optique Unterlinden directement à Colmar. Après quelques galères à trouver les objets et restant sur ma faim de ne pas en trouver plus, j’opte 1 ½ - 2 ans plus tard pour un Orion 250 Intelliscope. Je pensais que ce système allait vraiment m’aider à trouver les objets plus facilement … en fait je ne me rappelle plus vraiment lol. Oui ça a dû marcher mais je me souviens surtout d’avoir drastiquement diminué le nombre de sorties, mon travail à cette époque me fatiguant de plus en plus sans compter par une baisse de motivation, sans non plus compter sur la météo capricieuse, la lune trop présente (remarque absurde :-p) et ma fainéantise pour déplacer le bousin … 3 étages sans ascenseur, c’est du sport ! Toutes ces raisons ont conduit à la vente de mon 250 intelliscope. Il y’a de plus que quelques kilos de différence entre la version motorisé et la sans (inférieur à 4 kilos) et les dimensions base, hauteur, diamètre sont identiques. Je me souviens cependant du super porte oculaire démultiplié sur le 200 et les belles images des objets découvert avec ces dobsons mais surtout de la pollution lumineuse depuis ma terrasse. Je ne regrette aucunement tous ces achats, si c’était à refaire de le referait ! Je me sépare donc du 250 avec grande tristesse, je me dis que je mets cette passion en standby, que si un jour j’ai à nouveau le temps et l’argent, je m’en rachèterai un. Ces deux dernières conditions étant à présents réunies je compte bien envoler mon esprit par-delà les cieux. 2. CHOIX DU TELESCOPE : LE DOBSON Je ne fais que de l’observation visuelle et je sais que le dobson est l’instrument ultime ! Pas de raison pour changer, je suis fan de tous les objets célestes surtout le ciel profond et me suis pris en particulier d’affinité pour les nébuleuses (c’est beau, les galaxies sont sympas mais des clientes assez difficiles nécessitant des diamètres bien supérieures à mes visions pour profiter de détails). En ayant déjà eu un, je sais que je peux observer tout type d’objet surtout avec le suivi grâce au Goto. 3. CHOIX DU GOTO Je me rappelle des galères que j’ai dû endurer pour trouver les objets. Mais bon c’était il y a fort longtemps et c’est vraiment là que j’ai bien appris le ciel avec ses constellations et étoiles maitresses. Et que de temps pris à trouver l’objet !!! La pêche était parfois bien maigre, pas assez doué je le conçois. D’un côté je m’aperçois maintenant que je pensais avoir un beau ciel de campagne alors que je me trouvais à peine à 10 km d’une grande ville ! Tu m’étonnes que je galérais ?! (cf mes anciens post pour trouver tel ou tel objet, normal je voyais à peine les étoiles jalons !) Par contre ce qui m’embêtais très fortement c’est de suivre les planètes à grossissement assez important, c’était assez sportif, mon œil était donc moins concentré à l’observation et fallait attendre que le tube se restabilise et la planète refoutait le camp ! OK je n’avais pas un 82° de champ :-p Mon retour à cette passion est venue par un tour sur le site d’Optique Unterlinden, Télescopes > Dobson. Mmmmm système Goto ?! (N’existait pas quand je pratiquais encore, juste l’intelliscope) Je découvre en détail cette technologie sur les Dobsons qui me semble infantile, pouvant réduire à néant mes problèmes de recherche et suivi. Bon, l’option - certes plus cher - est validée coûte que coûte – c’est le cas de le dire ! -, de plus que le pointage manuel reste toujours possible. Pour ma part, pas de soucis pour pointer les objets faciles et lumineux, par contre se dire que pour le chtit truc minuscule houlà, plus besoin de s’arracher les cheveux. Le surcoût et le surpoids par rapport à une version manuelle ne m’étant pas problématique, avec joie je le veux ! D’ailleurs, le prix manuel -> goto est-il vraiment un frein ?! Suffit de patienter encore un peu plus si vous voulez cette fabuleuse option ! C’est comme le diamètre, on ne peut plus l’augmenter une fois le scope acheté ! OK, les principaux freins vont être le prix (avec le rajout d’une batterie externe) + une dizaine de kilos supplémentaires sur la balance par rapport à la version mano. Même si je détaillerai ce point plus tard, plus de déception si l’objet n’est pas trouvé et en une phrase : waouh c’est dingue le nombre d’objets à voir grâce à ce système ! C’est comme avoir le GPS dans la voiture quand il s’agit d’aller à un point inconnu (Goto), on ne peut plus s’en passer. Bon d’un côté je n’ai pas le kif trouver un objet en manuel, je n’ai le plaisir qu’à l’observation, même si je pointe certains objets manuellement car trop faciles. Je passe beaucoup plus temps l’œil derrière l’oculaire bien que je repère à chaque fois où se trouve l’objet dans le ciel, ce qui fait que maintenant j’en pointe certains manuellement (pédagogie du Goto !). Je rebondis juste sur certaines remarques que j’ai pu lire sur ce forum: « Je n’ai pas envie de m’emmerder avec de l’électronique et plein de câbles » >> mouef argument non valable, OK y’a un câble qui va de la monture à la batterie qui lui seul peut être « dérangeant », les autres restants « intégrés » à au scope. « Faut une batterie et qu’elle soit chargée » >> mon Dieu que c’est difficile de brancher un câble secteur et de l’enlever quelques heures plus tard. « Bien plus lourd que la version manuelle » >> oui en moyenne +10/15 kilos. Mais ça se transporte en 2x parties, 20 kilos en moyenne chacun. Vous avez certainement porté bien plus lourd et assez longtemps : cela s’appelle un enfant d’environ 6 ans (sans prendre le facteur âge ou problème de santé bien sûr !). J’ai envie de dire que vous manquez un peu de sport et faut faire attention à sa santé ! « Ça casse le plaisir de trouver seul » >> oui c’est vrai c’est une joie de trouver l’objet par soi-même je plussoie. Par contre quand on n’a pas trop le temps, que les nuages arrivent, qu’il fait froid … c’est un déplaisir ! Quand je vois que certains membres (dont j’en faisais partie !) n’arrive pas à pointer M27, là j’me dis, « dommage ! » lol Bref je ne veux surtout pas polémiquer sur le débat pour/contre Goto, pour moi il n’y en a pas, c’est juste que je remarque que certains non-gotoiste vont défendre à « mort » leur point de vue, ce qui n’est pas le cas des possesseurs de goto, alors laisser les faire leur choix en toute impunité de cette option ! 4. TRANSPORT ET STOCKAGE Hormis le facteur money, j’étais confronté aux 2 autres facteurs les plus importants : transportabilité et stockage. Commençons par le stockage : un petit emplacement derrière le canapé ou derrière la porte ? Je mesure et prend note. Et la voiture ? On mesure également. Transport ? Seulement 10m à faire pour charger le scope dans la titine donc niveau poids, ce n’est point un souci, d’autant plus que je suis assez sportif. Je me renseigne sur les dobsons depuis plusieurs semaines et les Skywatcher flextube Goto me font de l’œil, avec le côté hyper pratique du remballage (mon ex 250 faisait vraiment chauffe-eau dans mon précédent salon). A présent les dimensions des scopes qui me feront décider de la taille à prendre. En parcourant les divers forums et envoyant des mails au gros site de vente en ligne, j’ai eu droit à des mensurations variant comme le cours du yen ! (métaphore reprise, je l’aime bien) Ces mails envoyés à diverses boutiques m’ont permis de voir qu’elles étaient les plus rapides et efficaces. Mention excellente à Teleskop-Express qui porte bien son nom ! Bon, je suis gentil j’ai récupéré toutes les infos qui me semblent fiables pour vous aider dans le choix des flextube Goto en dernière version 2014 (il me semble qu’il y a eu des changements de poids et de quelques modification donc attention aux topics se référant à des flextube Autotrack, ce ne sont plus les mêmes, attention au piège ! Uniquement les versions Goto des Skywatcher flextube, précis à +/- 2 kg, +/- 2 cm, si vous constatez des erreurs merci de m’en faire part. La hauteur mesurée est celle du sol jusqu'à la hauteur maximum de la base (les pieds de soutien du tube), incluant les pieds de la base. 250 Tube : longueur replié : 83,5 cm – poids : 15 kg Base : diamètre 52 cm – hauteur 74 cm – poids 12,5 kg 305 (mesures certifiées exactes par mes propres soins) Tube : longueur replié : 92 cm – poids : 21 kg Base : diamètre 63 cm - hauteur 83 cm – poids 25 kg 355 Tube : longueur replié : 97 cm – poids : 23,5 kg Base : diamètre 78 cm - hauteur 92 cm – poids 42 kg 400 Tube : longueur replié : 107,1 cm – poids : 33 kg Base : diamètre 86 cm - hauteur NC – poids 52 kg Le 250 remplit haut la main le cahier des charges voiture stockage passage de porte, pour le 300 cela se joue à quelques centimètres près. J’ai programmé mon jour pour passer chez OU, prévenant ma femme que sur un « coup de tête » je pourrai revenir le coffre plein. Nouvelle adresse (avant c’était à côté de la cathédrale, en étage, galère pour charger un scope et manque de place). Maintenant c’est big shop dans la zone industrielle, parking juste devant comme l’attestent les photos sur leur site. J’adore cette nouvelle caverne d’Alibaba qui fait passer un dobson de 150mm à un microscope ! Je sors mon mètre mesureur et vérifie sur mes possibilités : le 250 SW Goto, 0 problème comme prévu, le 300 coince à vraiment quelques centimètres près. Je réfléchis, cogite et arrive à la conclusion que le 250 est une solution plus sage. Ceci dit en passant il leur reste un seul 300 en stock. In the voiture, ça rentre facile dans une Clio 3 : Arrivé à domicile, on pose le tout dans le salon. Voici ce que cela donne : Par contre je ne peux m’empêcher de sortir le mètre, refaire des mesures dans tous les sens pour savoir si le 300 est stockable dans un coin de l’appartement. Je ne sais pas, je reste sur ma faim … le 250 j’en ai déjà eu un et quand on change de scope c’est toujours intéressant de passer au diamètre supérieur surtout que le 300 est un palier. Je dors, la nuit porte conseil, quand on arrive à dormir. Le lendemain donc mmmmm toujours pas d’ouverture de carton, je ne me sens pas convaincu, je remesure. Allez ça pourrait passer ! Mail à OU pour savoir si je peux effectuer un échange. Pas de réponse. J’attends le lendemain (quel courage) et leur téléphone dès la première heure pour savoir s’ils acceptent l’échange et si le 300 est toujours dispo. Yes ! Allez c’est reparti, l’aprèm aller-retour et on remplace le 250 par le 300, qui rentre toujours bien dans la Clio (je suis habitué à déplacer du matériel, je connais bien son proverbe « elle a tout d’une grande ! ». Là je suis happy, mmmmmmmmm à moi LE GROS DIAMETRE, je supprime surtout le regret « je pouvais prendre la taille au-dessus ». Les cartons sont un poil plus grands, ma femme ne remarquerai même la différence de taille : 5. LE MONTAGE On m’a dit que le montage était digne d’un meuble Ikea, ce que je confirme. La seule « difficulté » lolesque éprouvé était de savoir la position nord/sud est/ouest de la structure par rapport aux trous de la base. De plus cette dernière est déjà montée. Quelques photos pour illustrer les étapes du montage : Montage d’une face Préparation de l’autre Montage de l’ensemble Les accessoires Mise en place du porte-oculaire Le tube bien emballé Test de fainéantise si je souhaite déplacer la base via un petit chariot sur roulettes (ce que je n’ai jamais fait, la base reste largement transportable) Et jump dans la Clio 3 pour bien vérifier que la base rentre Et oui le coffre ferme finger in the nose! Quelques photos du tube monté Zut j’ai zappé l’astro … Euh j’ai oublié de mettre la chaussette Astrozap Chiotte les mecs, elle s’enfile par derrière, je suis obligé d’enlever le tube de la base (comme si ce n’était pas une opération que j’allais souvent faire!) 2x photos parce qu’il veut faire le beau : A noter que j’ai toujours ma voiture en mode commercial, je pense qu’il est possible de garder la banquette arrière relevée. Quelques jours passent pour avoir le temps idéal à sortir l’engin. Allez hop c’est parti on charge la grosse berta !
    0 point
Ce classement est défini par rapport à Paris/GMT+01:00
×
×
  • Créer...

Information importante

Nous avons placé des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer ce site. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer.