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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 09/02/23 dans Messages
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Bonsoir ô toi astram ! Bon, je continue mon accumulation de ma première année pour j'espère faire mieux par la suite, après avoir noté ici et la ce qui est mieux en RGB/HOO/SHO...autre Temps d'intégration pas immense pour cette double nébuleuse du Lion 35x300" Ha 30x 300" SII 30x300" OIII Assemblage pix avec méthode RGB space (Enter into space) + colormasks Luminance Ha seule Askar FRA300 + HEQ5 Pro + QHY183M Filtre 7nm J'ai encore, et de très LOIIIIINNNN beaucoup de progrès à faire sur cette première SHO...mais je vous la partage, allez-y, c'est pas grave tant que les critiques sont constructives !!4 points
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Bonsoir à tous Il y a longtemps que je n'ai pas posté car vacances obligent , c'était plus ou moins vacances jusqu'à hier, rien d'autre à part mon ami Bardoin, un peu de soleil et repos. Le soleil devient plus rare, je reprends progressivement les activités sur le split ring. Je travaille sur les deux cages secondaires (mon télescope et celui de mon collègue). Les anneaux sont finis en ajustement et peinture. La peinture aluminium, je ne maitrise pas. J'ai bien mis le primer qui va bien avec la peinture spéciale alu, j'ai bien laissé sécher mais ça reste fragile. Tant pis, elles en verront d'autres je suppose. Je commence à assembler. Je sépare les anneaux de 4 entretoises en inox et j'ai aussi utilisé des 8 pions de centrage en inox pour le montage-démontage rapide avec centrage des attaches de tubes serrurier. J'ai imprimé les attaches de tube en ABS et les supports d'araignée en PET carbone 20%. J'ai acheté celui de chez "form futura" (CarbonFil) qui, contrairement à celui de ColorFabb, s'imprime très simplement, qui ne bouche pas les buses de 0.4mm, et est quasi indestructible ! bon le prix c'est autre chose. J'ai aussi monté le PO avec 2 tiges filetées inox traversantes plus une vis centrale décalée pour former un triangle, et donc une surface plutôt qu'une ligne. C'est extrêmement rigide, je ne suis pas sûr d'avoir recours à des renforts attachés aux tubes serrurier. Une cage "pleine" conventionnelle est bien plus rigide mais ça fera sûrement l'affaire. En tout cas j'ai fait un essai avec l'APN monté sur le PO ça m'a l'air bien costaud et rigide. Comme vous pourrez le voir sur la photo, des vis dépassent des attaches-tube, elles sont vissées dans des billes inox taraudées de 10mm qui servent de rotules. Ces rotules sont "pcré-ontraintes" juste au dessus de leur rayon par des vis pointeau elles aussi à bille montée sur ressort. Le tout est maintenu par deux pions de centrage de part et d'autre et serré par une molette (corps en alu anodisé rouge et vis en inox). Je travaille ce soir sur le moyeu porte secondaire qui sera imprime en PET carbone. Bien sûr, quand je fais ces pièces en plastique, les points d'attache sont toujours renforcés par des inserts RIVCKLE en inox pour les taraudages et les guidages. Cette technique marche super bien. La platine PO est en ABS mais je vais la refaire en PET carbone, pour une meilleure rigidité. Je vous laisse regarder le résultat, c'est pas parfait mais je suis content. Bon, le PO, il est lourd --> 900gr. L'ensemble pèse 1.8kg. On peut faire mieux très certainement en réduisant l'épaisseur des anneaux qui ici fait 13mm et avec un PO plus performant, mais plus cher. à bientôt pour la suite...3 points
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Orage dans les Graves Capture faite le 1er septembre 2023 à Ayguemorte-les-Graves, Gironde, France, de retour d’animation astronomique. Canon 400D avec objectif 18-200 mm, focale à 18 mm, ouvert à f/5.6 – ISO 400 – pose unique 10s Image cropée3 points
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Oui! 7331 est une tache floue depuis chez moi à 400mm! Mais en y passant du temps et tous les grossissements possibles ( de 5 à 1mm de pupille de sortie) on y déniche des détails et des extensions insoupçonnées ) . Pareil pour m66 et 66, m106 etc… y a des galaxies je passe dessus sans les voir. Je refait le cheminement étoile par étoile au faible grossissement, je la trouve, et en l’observant j’y trouve des détails : ngc7741 je la voyais pas au départ, et ensuite je me suis rendu compte qu’elle était barrée . Et j’ai compris que si je retourne la voir en montagne plutôt que chez moi, j’ai toutes les chances d’y trouver des détails.3 points
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Salut, Je suis resté "à l'ancienne" avec un simple cahier, mais je suis quand même "moderne" car j'utilise aussi un dictaphone . On trouve désormais ces petites bébêtes numériques pour pas cher, et c'est tellement plus sympa à utiliser, surtout en hiver. On peut se laisser aller, l'œil à l'oculaire....3 points
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Bonjour à tous, Alors durant la nuit du 20.08 j'avais fait 2 heures sur cette galaxie que je n'avais pas eu le temps de traiter. Donc, avec la TSA 120 et la 2600, j'avais fait 42x180s dessus :2 points
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Bonjour à tous, Je vous présente ma version de la nébuleuse sombre Barnard 150, alias la nébuleuse de l’hippocampe dans la constellation de Céphée. Imagée sur 3 nuits sans lune en début de semaine. Acquisition avec un Newton ONTC 200 F5, et le correcteur Starizona Nexus 0,75, soit une focale de 750mm, équipée de la 2600 mono et de filtres Antlia Pro. Le tout sur monture AZEQ6 Concernant les exifs, 15h40 de poses réparties ainsi : RGB : 24x300s pour chacun des filtres Luminance : 116x300s Traitement avec pixinsight et finitions sous Lightroom. J’espère qu’elle vous plaira. Le lien vers la full : https://astrob.in/p036g2/0/2 points
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Je me fait des croa et je viens de reprendre toutes les notes prises depuis 2020 pour faire un tableau Excel de tout ça : date, lieu, scope, nom (M, ngc, arp, surnom), constellation, taille et Mg, avec les notes sur l’objet ( grossissement, impressions, filtre etc ) et lien vers le dessin fait le cas échéant. c’est pas très joli mais ça peut se classer par ordre croissant/alphabétique selon la colonne qu’on veut avec Excel je pense y ajouter (en rouge pour le voir bien) les objets dont je vois des dessins ou des croa ici et que je veux observer quand le moment sera le bon j’airais aime la même chose en php pour écrire et consulter directement depuis mon tel ou tablette lors de l’observation mais pour avoir fait ce genre de tableau interactif il y a longtemps en php/mysql c’est chiant et faut reprendre les codes quand php change…. Pour ça ( mais c’est un peu hs) j’utilise l’outil liste d’observation de sky d’safari c’est formidable : les objets sont faciles à ajouter, et ensuite tu le sélectionne dans la liste et ça te pointe l’objet sur la carte. Tu peux aussi choisir que tous les objets de la liste soient entourés en orange sur la carte2 points
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Bonsoir, Je me rends compte en consultant mes notes passées (et notamment à mes débuts) que je n'ai pas été très rigoureux sur ce que j'ai noté tant en matière de descriptions des objets que du matériel utilisé ou du lieu... du coup j'ai par exemple des listes d'objets par nuit mais c'est sans grande utilité... Aujourd'hui j'essaye d'être plus précis pour garder une trace de ma soirée et réaliser des CROA qui tiennent la route, quand soudain je me suis posé cette question : Et vous que faites-vous de vos observations?1 point
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- Prologue “Courons vers l’horizon, il est tard, courons vite, Pour attraper au moins un oblique rayon !” Baudelaire, “Le coucher du soleil romantique” Ça farte tranquille sur l’autoroute, ce dimanche d’août 2023. Exécutant un plan longuement mûri, implacable, je file sur Valdrôme et ses rencontres Astrociel organisées par la vénérable Société Astronomique de France. En ligne de mire : une petite station de montagne à la jointure du Vercors et des Baronnies provençales, désaffectée de sa fonction première de station de ski faute d’enneigement, mais où il reste possible de venir paresser en famille l’été venu. Au menu : activités ludiques pour petits et grands (tir à l’arc, mini-golf, Déval’kart et tyrolienne), astronomie pour tous les autres 😎. Je glisse ainsi béatement, habité par cette bienheureuse perspective et pour tout dire en ne pensant à rien, jusqu’au sud de Grenoble. Il faudra se réveiller un peu plus tard pour négocier 2 heures de petites routes de montagne, mon GPS, dans un de ses fantasmes de machine, ayant décidé de traverser le Vercors par je ne sais quelle face, sûrement pas la face nord quand même, mais par le chemin des écoliers. C’est splendide, parfois vertigineux, mais fastidieux. Dans certains hameaux on peut lire « Route de la Clairette ». C’est amusant me dis-je, venir d’Alsace et de sa route des vins pour enquiller celle de la Clairette. Le Destin, sans doute. Arrivée au camp de base, enfin, et plus tard que prévu. Un panneau proclamant fièrement « Déval’kart » accueille le voyageur. Ah si, il y a aussi une banderole « Rencontres Astrociel 2023 », ouf. Le kart qui dévale, j’en ai ma dose pour aujourd’hui. Je traverse l’endroit, il y a quantité de camping-cars, de caravanes et autres tentes, et surtout d’instruments pour la plupart bâchés sous le soleil finissant. Ça fleure bon la star-party. Je rejoins mon emplacement et pars en quête de l’ami Xavier, pas revu depuis le dernier voyage au Chili, en 2018. Curieux : le camp est pratiquement déserté. J’avise deux pékins un peu plus loin, attablés autour d’une carte genre Taki ou Vlasov, un truc d’astro quoi. Les hèle aimablement : vous n’auriez pas vu un certain Xavier ? Un grand, avec une casquette chilienne vissée sur le crâne, enfin sûrement… « Ah oui Xavier, me répondent-ils (ben oui), mais tu viens de Strasbourg ? Tu es Vesper sur les forums ? Ça alors ! On est alsaciens ! ». S’ensuivent quelques bavardages et remarques qui réchauffent le coeur du voyageur esseulé. Après la route des vins, la route de la Clairette, puis des Alsaciens : cette fois c’est le Destin, c’est clair ! Mais voilà un accueil qui fait plaisir, vraiment. Bref, un peu plus bas à l’apéro je retrouve le complice des aventures australes, on rit, on mange, on boit (enfin moi). On plante ma tente. Le soir s’avance, Xavier part faire un de ses légendaires cycles de sommeil. Moi je suis simplement hébété de fatigue, comme souvent. La nuit se lève, si on peut dire, et les instruments se débâchent aussi. Je pars faire un tour du camp, il y a du beau monde : foison de gros dobsons d’un côté du parking, pléthore d’astro-photographes aux lunettes courtes de l’autre. Ah c’est bien, on ne sera pas éblouis par les écrans, la répartition des activités semble géographiquement claire. Et c’est une belle nuit qui se profile : apparaît un ciel de montagne à la voie lactée bien marquée, les magnitudes 6 et plus sont acquises sans aucun doute. Il y a du vent, mais il fait encore chaud. J’hésite à monter mon instrument. Il y a l’hébétude du voyage, je suis encore hanté par les panneaux qui défilent, les bandes blanches qui s’étirent, les toutes petites routes du Vercors (mais splendides, l’ai-je dit ? Ah oui). Et puis il y a ce vent. Quelques bonnes bourrasques, quand même… Je cède à la fatigue et à la facilité : ce début de soirée sera consacré à une courte excursion aux jumelles, autour de ma tente, avant de me coucher. Dans les oculaires desdites jumelles ça claque gentiment, il y a du peps, le ciel est bon, pour sûr. De nombreux Messiers sortent facilement. La Lagune est visible à l’œil nu, il me semble que le Cygne aussi, et aux jumelles c’est certain : il y a de petites flaques de lumière. M24, splendides poussières de diamants… Je remonte tranquillement la voie lactée, puis les globulaires d’Ophiucus, moui, et là un peu plus haut c’est sûrement M11. Il n’y a pas à dire, c’est tout de même un peu autre chose que mon ciel de moyenne campagne, bon sang je devrais monter le 300, quand même. Mais le vent… Mais la fatigue… Je continue aux jumelles, toujours remontant : M71, tout petit point stellaire, le Cintre pas très loin, puis Albiréo, allongée, Epsilon de la Lyre itou, et par là ça doit être M56… Dans le Cygne, M39. De l’autre côté bien sûr M13, bon là c’est easy. Mais je m’endors sur mes jumelles et préfère rejoindre mon crissant matelas pneumatique, qui me semble subitement d’un confort inouï. J’ai simplement pu vérifier que le ciel est bon, on passera aux choses sérieuses demain, ou plutôt aux choses non-sérieuses, aux choses futiles : les seules qui comptent vraiment. Demain oui, moisson d’étoiles. A suivre : - Carpe noctem - La nuit du bolide - Nuits publiques et jours indolents1 point
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Bonjour a tous Hier soir j ai eu aprés un début de nuit turbulent ,vers minuit cela c est bien amélioré avec un exellent seeing. Bon toujours avec mon vieux C8 des années 80 et mon vieux Canon 600D en mode video Encore une fois cela ne révalise pas avec les caméras planétaires mais au moins cela restera un souvenir de l opposition 2023 . Bons cieux a vous1 point
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Photos transmises à Didier. ☺️ C'est l'occasion de vous montrer l'avion de chasse qui est en ma possession depuis peu de temps, fruit de l'excellent travail de Didier et de Franck (Mirrosphère). Le tout installé sur une terrasse spéciale Astronomie comme par hasard... En tout cas, c'est une petite merveille à la foi esthétique et optique. 😍😍 Bref que du bonheur !! Arnaud dobson 400/1600 mm... 😄1 point
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A mon avis, tu as trouvé, pour ma part je fait très attention à mon alignement, j’essaie en premier de poser mon télescope de niveau, pour le choix des étoiles je prends en principe des étoiles aux 4 coins du ciel et si possible à des altitudes différentes. Un oculaire de 14 normal ou de 12 réticulé. Et la précision est au rendez-vous. J’ai pas de problème de déconnection, smartphone en mode sans veille et fixé au tube avec un support vtt. Bravo pour ton CROA. Denis1 point
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bonjour a tous session V.A la nuit dernière au MAK 127/1500 avec réducteur 0.5x et zwo 224MC sur monture AZ les poses relativement courte (2sec) et le champs de la 224 empêche la capture de certaine cibles (manque d'étoiles pour l'empilement) mais a coté de ca, y'a moyen de bricolé 😅 pas de filtre une cinquantaine de dark entre 250 et 300 images de 2 sec empilée pour chaque cibles gain : 134 image fenêtrée sur le logiciel a 130/140 % pour cacher la rotation de champ 😅 M 57, avec la timide galaxie IC 1296 (dur de la voir,micro tachouille) M82 M106, pas top coté signal M13 M 102 avec deux tachouilles NGC 5867 et pgc 2508806 bonne journée a tous1 point
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Arriver à accepter qu'une dépense, parfois importante, effectuée par sa compagne ou compagnon, dans un domaine qui ne vous intéresse pas particulièrement, est certainement chose difficile, et on jugera plus vite ses achats comme futiles... J'avoue que je pourrais avoir du mal à comprendre que l'on puisse dépenser plusieurs centaines d'euros pour un oculaire, alors que l'on peut observer dans un modèle à 50 euros... Si je n'étais pas retombée dans la " marmite astro"..1 point
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Il y a surement un peu de vrai dans cet l'article, notre vision de la vie en couple dès le jour zéro de notre union, était que si on faisait comptes séparés, même si la différence de revenus est importante ce ne serait pas un critère pour nous car on s'est dit que ce serait un source perpétuelle de conflit inutile, notre entourage nous a bien aidé à prendre cette décision . Concernant les dépenses futiles comme l'astro, chacun ses passions et peu importe si l'une d'entre elle coute 4 fois plus cher tant que cela a zéro impact sur les dépenses familiales courantes. Attention fonctionner avec comptes séparés et un compte commun pour dire qu'on partage un peu est une illusion selon moi car au final on ne se mouille pas vraiment Ceci dit si on regarde les causes de divorce, l'argent ne compte que pour 7%, si on cumule infidélité / égoïsme / jalousie = 60%. Oui moi aussi, mais si tu vends un Noblex même avec des traces tu n'aura peut être pas une décôte aussi importante que tu imagines car ce n'est pas un oculaire Televue et donc ce n'est pas comme si il y en avait d'autres dans les PA. J'avoue que ne connaissais pas avant que tu en parles, par contre les Docter oui je savais que c'était du très haut de gamme comme leur grandes jumelles que j'ai pu utiliser à un moment1 point
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Je n'observe que la Lune. Je consigne les nouveautés des observations dans un livre, le manuel d'observation lunaire, qui est prévu pour ça. Si j'observe une formation non reconnue par l'UAI, j'enrichis ma base de données perso comme l'autorise l'Atlas Virtuel de la Lune ; je pourrai également utiliser le module "note" de l'AVL.1 point
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Pareil chez moi...durant ma première année d'observation, je crois que la principale satisfaction était de consigner l'objet.." ha je l'ai trouvé"!..... Au détriment du " descriptif"... Et je trouve difficilement le vocabulaire pour le faire...parfois peut-être une inhibition du fait d'observer avec un petit diamètre...comme s'il n'y avait à voir que des " tâches floues" ...ce que je trouve plutôt réducteur et péjoratif... Une mention que j'ai noté très souvent!...parfois un peu..... rageusement.. et maintenant que j'ai trouvé le meilleur ciel... Que du bonheur de pouvoir retrouver mes observations antérieures sous un " nouveau jour"... " peut mieux voir" ...une bonne devise aussi...mais je pense aussi à l'assiduité de l'observation...prendre son temps, tester différents grossissements...etc Merci pour l'info ; je vais aller voir ça1 point
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Merci pour ta description précise d'archivage et aussi pour cette astuce de Skysafari que je ne connaissais pas et qui me sera bien utile!!!1 point
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Pas normal, le débit maxi de l'ASiair en Wi-Fi (sans routeur donc) est déjà de 13Mo/s, donc non pas normal. Dans l'appli ASiair, tu dois voir une adresse IP dans les paramètres réseau et "Wired connected". Est-ce que l'ASiair reconnait le Dob Skywatcher ? Si oui alors aucune contre-indication.1 point
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Bonjour, je vous propose une image du Mur de NGC7000 en LRVBSHO, les détails de prise de vue : RVB : 1h par couches HSO : 250' 100' 100' TN200@ 5.2 Paracorr II , ZWO 533MM LRGBSHO Baader Piloté à distance sous NINA. Traitement Pix & PS interprétation toute personnelle des couleurs Tjrs en click click pour la full.1 point
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Ah ben là, y'a plus rien du tout ! N'a tout cassé le chef ! Plus d'accès par Jeux ( même message d'erreur ) et plus de rubrique Astro-Quizz sur Forums ... Bref, c'est cuit . En même temps, quand on s'appelle Créateur de bugs ! Edit : J'ai le même message d'erreur ( voir au dessus ) une fois sur deux lorsque je clique sur Forums. @Créateur de bugs au sec.... ! Edit : On peut repasser par Forums. La rubrique Astro-Quizz est revenue.1 point
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Bonjour! Merci pour le partage de ce CROA montagnard... Ce doit être un cadre majestueux pour observer un ciel qui doit être sublime.... L'anecdote du petit garçon avec sa lunette en plastique...... espérons que ce qu'il a vu dans le grand telescope ne le dégoûtera pas de l'astro!1 point
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En tant que débutante, je pense manquer un peu de légitimité (je n'ai pas de points de comparaison à part ce que j'ai pu observer rapidement dans des manifestations de l'AFA), mais j'y penserai. On ne trouve en effet pas beaucoup de retours sur ce télescope, mais sur son petit frère le 130 un peu plus (j'avais notamment vu sur Twitter je ne sais plus quel astrophysicien bon vulgarisateur en dire du bien), et sur le jumeau du 130 (https://shop.astronomerswithoutborders.org/products/awb-onesky-reflector-telescope), de même fabrication, distribué uniquement aux Etats-Unis par une organisation humanitaire tandis que Skywatcher le distribuait sous un autre nom dans le reste du monde, on trouve beaucoup de choses pour peu qu'on lise l'anglais. C'est sur la base de ces retours, en plus du fait qu'il répondait à mes contraintes, que je me suis décidée.1 point
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Bonjour, Je suis débutante, je ne me suis pas présentée (c'est mal) et je n'ai pas encore fait de CROA (c'est très très mal) mais je lis le forum régulièrement et je vois dans ce sujet deux-trois interrogations auxquelles je peux apporter mon tout petit témoignage. D'abord l'encombrement (pas besoin de compétences en astronomie ici). En plus de critères financiers, c'était mon principal problème, je vis dans un petit appartement, en ville, il me fallait donc un télescope que je puisse emporter dans mes valises, en train (je n'ai pas de voiture), quand j'ai l'occasion de partir en vacances sous de jolis ciels, et que je puisse ranger une fois de retour chez moi. Après pas mal de recherches, j'ai choisi le Skywatcher Flextube Heritage en 150/750 (un Dobson, donc). Replié, le tube trouve sa place sans difficultés dans un placard. J'ai eu du mal à trouver l'info sur les divers forums que j'ai lus, je l'écris donc noir sur blanc au cas où d'autres se poseraient la question : la base se démonte sans difficultés (on dévisse l'écrou central, puis quatre vis PZ, c'est tout). Du coup elle tient au fond d'une valise, et se remonte en deux minutes à l'arrivée. Montée, elle n'est pas non plus vraiment encombrante. J'ai fait les petites choses indiquées sur divers forums pour optimiser mon télescope : lui fabriquer une jupe (mousse EVA + velcro, pas difficile) et mettre du ruban teflon sur la vis qui sert pour la mise au point (cette chose-là a sans doute un nom...), qui a un peu de jeu. Ensuite, la table. Sur place, j'ai piqué dans la maison une chouette table basse bien adaptée, mais en réalité la plupart du temps j'ai posé le télescope sur le sol (des dalles) et j'ai observé assise sur un tabouret bas, ce que j'ai trouvé plutôt confortable. Sur un sol moins stable, une simple planche avec trois pieds suffiraient je pense à bien le stabiliser. Qu'est-ce qu'on voit dedans ? Je précise que j'ai inauguré mon télescope dans une zone avec peu de pollution lumineuse, où on voit nettement la voie lactée avant même que nos yeux soient habitués à l'obscurité. Et qu'après des années d'observations aux jumelles, c'est Saturne et Jupiter que je voulais voir en priorité (j'aurais bien fait aussi la lune, mais elle n'était pas là) - rien d'original, donc. Dans cette optique, j'avais acheté un oculaire 5 mm pour compléter ceux de 10 (qui sera à changer - le moment venu je vous poserai la question) et de 25 fournis avec le télescope. Saturne était bien nette, avec ses anneaux, bien réelle, flottant dans le noir, magnifique comme toujours, petite mais plus jolie que ce que j'ai parfois vu dans des appareils bien plus gros aux soirées d'observation organisées par l'AFA (peut-être une question de ciel aussi). J'ai passé des heures à la regarder. Jupiter se levait tard (et il faut tout de même avoir une vie sociale en journée...), donc je l'ai regardée bas sur l'horizon, à une heure où l'humidité commençait à monter, pas dans les meilleures conditions donc mais elle était très lumineuse (un peu trop presque) et je voyais clairement ses bandes nuageuses. J'ai aussi cherché (et parfois trouvé) quelques objets du catalogue Messier mais il va me falloir un peu d'entraînement pour bien me repérer (et Saturne me faisait des appels du pied pendant que j'errais au milieu des étoiles en me demandant "mais il est où le machin flou et blanchâtre ?"). Je connaissais quelques gros objets du catalogue Messier de mes observations aux jumelles, mais les petits sont bien cachés, et j'avais renoncé à emporter les jumelles en plus du télescope, qui m'auraient peut-être aidée. Le repérage et le suivi des objets "faciles" se fait sans difficultés, le télescope se sort et se range presque aussi vite qu'une paire de jumelles, pour un astam débutant et nomade, ou manquant de place, c'est assez idéal. Et pour des enfants peut-être aussi (vite installé, vite observé). J'avais lu çà et là que collimater un télescope c'était comme accorder un violon, mais les gens qui écrivent ça n'ont clairement jamais accordé un violon de leur vie : à la réception du télescope j'ai trouvé que tout n'était pas bien dans l'axe, j'ai utilisé l'oeilleton fourni, j'ai remis ça comme ça m'a paru bien (en prenant en compte cette histoire d'offset des télescopes à distances focales courtes) et le test de l'étoile m'a paru passer nickel. ... Et là d'un coup c'est le drame, je m'aperçois que mon post est à la fois une présentation, un CROA, un test et une réponse à un post, j'ai peur de me faire pourrir pas les modérateurs 😅 Je m'arrête là donc, en espérant avoir un peu aidé. Désolée pour le bavardage et... bons ciels !1 point
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Le saviez-vous ? Nul besoin de vaisseau spatial compliqué et cher pour se rendre sur Mars. Et pour cause, avec ma bonne vieille astrocamionette je m'y suis rendu pour un weekend loin du monde (non) et plus près des étoiles (ça oui). Mars donc, pour celles et ceux qui ne connaissent pas, en plus d'être une superbe planète rouge et une barre chocolatée, Mars c'est une petite bourgade du plateau ardéchois sise à 1000m d'altitude, connue pour son pont du XVIIIe siècle, ses vaches à cornes, et son observatoire astronomique... l'observatoire "Hubert Reeves" organisait donc tout un weekend autour de l'astronomie sur ce site exceptionnel. Au programme, deux jours et deux nuits d'animations et d'observations, à destination du grand public (venu en très grand nombre) mais aussi de l'amateur plus exigent avec des intervenants et conférenciers de qualité. Jugez plutôt : - La recherche des exoplanètes, où en sommes-nous ? – Avec : Florian Rycke-Philipot (Doctorant, LESIA, Observatoire de Paris) – Systèmes compacts, planètes ultra-chaudes, super-Terres, depuis la détection de la première planète autour d’une autre étoile de type solaire en 1995, la recherche des planètes extra-solaires a explosé. À quoi ressemblent les plus de 5000 exoplanètes détectées ? Et surtout, que reste-t-il à découvrir ? - En route vers Mercure – Avec : Dominique Delcourt (Directeur de Recherches, CNRS) – Découvrez la mission BepiColombo pour l’exploration de la planète Mercure (la plus proche du soleil), menée conjointement et pour la première fois par les agences spatiales européenne et japonaise. - Le milieu interstellaire, les mystères de la poussière d’étoile – Avec : Axel Rymar (Doctorant en Astrophysique, Université Paris-Saclay) – Le milieu interstellaire, environnement complexe composé de gaz et de poussière, joue un rôle crucial dans l’évolution des galaxies. Mais, il cache aussi des réponses aux questions fondamentales de l’humanité, notamment celle de notre composition élémentaire. - La révolution du télescope spatial James Webb – Avec : Richard Johan (Astronome, Centre de Recherche Astrophysique de Lyon) – Découvrez le défi de la réalisation du télescope spatial James Webb, le plus grand télescope spatial actuellement en opération, ainsi que ses premiers résultats scientifiques, des objets de notre système solaire aux galaxies les plus lointaines de l’Univers. Je ne m'étendrai pas sur les conférences en elles-mêmes : elles étaient excellentes et les quatre conférenciers (certains plus aguerris que d'autres à l'exercice) étaient particulièrement intéressants, compétents et accessibles. Quatre conférences, quatre fois la salle archi comble : le public ne s'y est pas trompé. 👍 Le première journée donc, j'arrive deux bonnes heures avant la première conférence pour deux choses, à commencer par la visite de l'observatoire. La visite est assurée par Camille, salarié de l'observatoire à la grosse barbe et la voix qui porte, qui nous présente le travail effectué sur place : photométrie, spectrométrie, stages découverte, mission pro-am... et nous présente aussi le bel instrument sous la coupole : un Ritchey-Chrétien de 600mm à f8 sur une monture Alcor-System NOVA 200 à entraînement direct de fabrication française (si vous voulez vous équiper comme eux : https://www.astroshop.de/fr/telescopes/ritchey-chretien-officina-stellare-rc-600-4800-pro-rc-cga-ota/p,56211 sans oublier la monture : https://www.astroshop.de/fr/equatorial-avec-goto/monture-alcor-system-direct-drive-nova-200/p,61595 ). Du très beau matos, très performant mais à la maintenance visiblement assez compliquée. A la fin de la visite, je tombe sur un collègue du club ! Quelle surprise, je ne savais pas qu'il venait, et encore moins qu'il était également membre du Club Astronomique de Mars (CAM) et qu'il participait aux observations avec son 250 flextube Goto ! 😃 La deuxième activité que je voulais faire avant les conférences, c'était l'observation solaire. Trois instruments étaient installés à cet effet : un C8 avec un filtre de pleine ouverture pour la lumière blanche, un PST Coronado (que je connaissais déjà et dont l'observation m'avait enchanté) et une Lunt. De belles tâches solaires étaient visibles en lumière blanche mais c'est surtout l'observation en H alpha avec la Lunt qui m'a impressionné. Les éruptions solaires sont impressionnantes et la surface de notre étoile montre de superbes grumeaux et aspérités. L'effet de relief est saisissant, à mille lieues devant ce que montre un Coronado ! Quelle claque ! Pour ce samedi, la suite des observations devra attendre la nuit. Après donc les deux conférences et un rapide retour au camping pour avaler un repas express, je reprends donc vers 22h la route de l'observatoire avec mon vélo. Et déjà, en sortant du camping, la Voie Lactée me saute aux yeux comme rarement ! Quel ciel ils ont les marsois (oui on ne dit pas martiens visiblement...). J'arrive à l'observatoire et là, c'est le choc... Quelle foule😬 !! Le site, pourtant immense, est rempli de spectateurs. Il doit y avoir un bon millier de personnes sur ce haut plateau aux confins de l'Ardèche et de la Haute-Loire, tous venus pour découvrir les trésors du ciel. Dans l'absolu, c'est très bien que ce genre d'évènement attire autant de monde. Mais très égoïstement, je ne peux m'empêcher d'être déçu de voir les files d'attentes interminables pour observer dans n'importe quel instrument 😄. Je retrouve mon copain rencontré l'après-midi, il pointe Saturne avec son dob 250 depuis déjà 45min et la file d'attente ne désempli pas. Les spectateurs sont ravis du spectacle proposé visiblement, les "wouah" "ooooh" fusent d'un peu partout dans le champ. Ne me voyant pas faire la queue une heure pour voir M13 pendant 30 secondes, je m'allonge dans l'herbe près de l'observatoire où un animateur nous fait voyager dans le ciel avec son pointeur laser et son micro. Cette "lecture du ciel" est très intéressante, et il est abordé à la fois la technique de la recherche et les contes et légendes liées à certaines constellation. Le bonhomme maîtrise son sujet, nous transporte et nous faire rire. Un grand bravo à lui ! Du coup la soirée a bien avancé et le gros de la foule est parti. Je retourne du côté des télescopes et me glisse dans les (plus courtes) files d'attentes. Tout le monde pointe les classiques de l'été et l'allumage intempestif des phares sur le parking (une bonne partie des visiteurs ne se sont pas garés face à la forêts comme demandé, mais face aux télescopes...) ne permet pas d'observer de manière qualitative. j'en profite donc pour prendre en main tous les instruments et discuter avec leurs propriétaires. Première constatation : sur des objets comme Dumbell, l'amas d'Hercule ou la Lyre, un 300 en montre quand même un peu plus qu'un 250. Sur tous les objets, la différence - sans être énorme - est notable. Sur M57 par exemple, je vois plus de nuances de densité dans l'anneau, dumbell est plus claire et plus contrastée, je vois plus d'étoiles dans M13. Par contre, deuxième constatation : un dobson 300 en tube plein c'est énorme 😮! Un 250 fait petit à côté et clairement pour mon utilisation éventuelle ça serait trop compliqué. J'ai pu passer un petit moment à prendre en main un KEPLER 300 deluxe, c'est très agréable à manier c'est sûr, par contre c'est vraiment trop gros pour moi. Mais, j'ai pu aussi utiliser assez longuement un ES 300 Ultra light, et là, c'est pas la même histoire 😍! Si à l'oculaire l'expérience a été identique, à l'utilisation c'est tout de même bien plus gérable. Rien que d'aspect il fait plus petit, le montage / démontage se fait très rapidement et une fois démonté il ne prend pas de place (moins que mon mak + sa monture). Je le mets clairement sur ma wishlist (chérie, papa, maman, si vous me lisez...), pour aller titiller de la nébuleuse sur mon site de crête habituel il m'a l'air tout indiqué . La deuxième nuit d'observation sera beaucoup plus intéressante Déjà, il y a peut-être cinq fois moins de monde et même au 915, l'attente n'est pas longue. Allez oui, je l'ai mis en titre pour venir chatouiller les astrams atteints de diamétrite (je sais qu'ils sont nombreux) et je n'en ai toujours pas parlé. Je vais donc commencer par raconter mes observations avec ce géant d'acier. Il s'agit donc d'un dobson goto de 915mm de diamètre à f3.5 fabriqué par Fullum Optics. Vous en apprendrez un peu plus en consultant cette vidéo : Ce géant d'acier était clairement le plus prisé des deux soirées, forcément. L'engin impressionne avec ses treillis métalliques et sa finition "full black". De plus, la motorisation est rapide et le monstre pivote avec dynamisme, évoquant plus un obusier ou un dispositif anti-aérien qu'un télescope😆. Mais à l'oculaire alors ? Et bien, je dois dire que j'ai été un peu frustré. Le seul oculaire disponible dessus était d'une très grande focale, et j'ai fait l'erreur de demander de pointer M101 assez tôt : le fond de ciel était très clair et la galaxie ne ressortait que très peu. Plus tard par contre, par nuit noire, j'ai pu voir M110, la galaxie satellite d'Andromède, comme sur une photo ! Vraiment, vous tapez "Messier 110" sur google images, vous mettez l'image en nuances de gris et vous avez le rendu à l'oculaire. Petit passage ensuite sur M57, très beau avec des nuances de couleur visibles assez nettement dans l'anneau. Une belle expérience mais qui mériterait d'être prolongée avec des oculaires de plus courte focale !! Idem pour Saturne et Jupiter à la suite, l'image est superbe mais le ciel aurait permit de grossir bien d'avantage. Si ce n'est pas l'instrument qui m'a le plus marqué ce soir, je me suis laissé dire que pour les nébuleuses étendues c'est un autre monde, notamment les dentelles du cygne... Avec un peu de chance et le concours des copains, j'aurai peut-être l'occasion de tester plus longuement tout ça J'ai passé pas mal de temps avec un astram rencontré la veille qui s'occupait d'un C8 sur monture à fourche. Lorsque je suis arrivé, il pointait le double amas de Persée tandis que tout le monde pointait soit Saturne, M13, M57, M27 ou Albiréo. Je me suis dis "Tiens, ça change, voilà un homme de goût assurément" 😄. Le double amas rentre au chausse-pied dans le champ du C8 équipé qu'il était de son oculaire 30mm / 80°. L'image était très belle quoi que peut-être moins piquée qu'avec mon maksutov, avec m'a-t-il semblé un peu de diffusion sur les étoiles les plus brillantes. Néanmoins, le spectacle de cet objet est toujours superbe. Après un rapide tour sur Dumbell M27, qui en montre un peu moins que les dobson 300, je lui propose de pointer M8, la nébuleuse du lagon, en plein dans le sagittaire. Visible à l'oeil nu sous ce superbe ciel, je lui montre au laser et il la pointe avec facilité. Les principales étoiles de cette pouponnière son bien visibles et le voile de la nébuleuse ressort assez bien autour de l'étoile 9 Sgr. L'occasion de montrer cet autre type d'objet au public, moins spectaculaire certes que les classiques mais qui nous a permis de faire le lien avec la première conférence de l'après-midi sur les nuages interstellaires. Une passerelle très intéressant entre la science "dure" (même vulgarisée) et la "poésie" de ce délicat voile bleuté à l'oculaire. Le collègue pointe ensuite son C8 sur un amas globulaire que je ne connaissais pas : M71, l'amas de la pointe de la flèche dans la constellation du même nom. Une chouette petite concentration d'étoiles en limite de visibilité à l'oeil nu (je ne l'ai pas vu personnellement). Je lui montre à mon tour un amas que j'aime beaucoup, M10 dans le serpentaire. Ce dernier amas est très agréable à observer car même s'il est bien moins spectaculaire que M13, il est assez dense pour bien ressortir sur le fond de ciel et le C8 arrive à résoudre déjà pas mal d'étoiles dans ce bel objet. Le public a pu se rendre compte également qu'un amas globulaire pouvait ressembler à autre chose que M13 pointé par tous les télescopes et certains se sont étonnés de la diversité de formes et de tailles apparentes pour des objets "similaires". Durant ces observations nous avons discuté avec un couple de jeunes gens qui nous ont dit avoir ramené leur paire de jumelles TS Optics 25x100 mais ne pas oser l'installer car ils ne savaient pas s'en servir. Ni une ni deux, nous leur proposons d'aller les chercher et de les aider dans l'installation et leur montrer des choses très intéressantes avec leur instrument, offre tout à fait désintéressée bien évidemment... 😇 Un petit quart d'heure plus tard les voilà de retour et c'est parti pour l'installation de la grosse paire de jumelles sur leur trépied vidéo. Je n'avais jamais testé un tel instrument : quel pied ! j'ai vu avec ces jumelles ma plus belle galaxie d'Andromède. Le bulbe galactique est bien lumineux et l’ovoïde laiteux se détache très nettement sur une portion appréciable du champ (environ 2,5° je pense). Superbe. Nous leur montrons (et profitons 😎) également le double amas de Persée. Lui qui rentrait tout juste dans le C8 explose littéralement la rétine dans les grosses jumelles. Quel pied ! D'ailleurs la qualité optique m’apparaît excellente avec des étoiles parfaitement ponctuelles. Voir ces jeunes gens s'émerveiller pour la première fois avec leur instrument était un réel plaisir. Ils "complexaient" un peu d'avoir "seulement" des jumelles, fussent-elles grosse, par rapport à tous les télescopes présents. Nous leur avons montré que certains objets sont bien plus intéressants avec un tel engin qu'avec nos télescope. En tout cas moi, je suis conquis ! D'ailleurs, je suis tellement conquis par les jumelles d'une manière générale qu'avec le recul je crois que mon meilleur moment de la soirée a été le début, quand j'attendais qu'il fasse "vraiment" noir. Je me suis installé tout seul tout au bout du champ avec mes jumelles 12x60 hors d'âge dans une main, le "Guide des étoiles et planètes" de Delachaux et Niestlé dans l'autre et suis parti en voyage, à l'aide des cartes superbement précises du livre éclairées de ma lampe rouge, à la découverte des objets les plus remarquables de la Voie Lactée. Je débute mon voyage tout près de l'horizon et découvre pour la première fois les amas ouverts M7 et M6. Je remonte le fil de notre galaxie et tombe sur une amie bien connue, M8 ou la nébuleuse du lagon, bien brillante avec sa petite voisine du dessus, la nébuleuse trifide M20, plus délicate à déceler. Je remonte encore et tombe nez à nez avec M24, cet immense amas ouvert grouillant d'étoiles et me laisse happer un moment par sa richesse. Il est peut-être un de mes objets préféré avec des jumelles, mais se perdre parmi ses milliers d'étoiles avec un télescope à plus fort grossissement est une expérience tout aussi grisante. Je repère sur les cartes qu'à sa gauche et avant de tomber sur le petit "V" écrasé d'Albaldah, se trouve M25, un petit amas ouvert que je ne connaissais pas. En symétrie presque parfaite mais à droite de M24, je découvre également M23, autre amas ouvert qui se montre presque comme un amas globulaire dans le grand champ de mes jumelles. Je fais un moment des allers/retours entre ces trois amas quand je repère dans le bord inférieur du champ un amas qui m'a l'air bien délimité. Rapide coup d'oeil aux cartes : il s'agit de M22, amas globulaire de belle magnitude. Je poursuis ma remontée de la Voie Lactée et tombe avec bonheur sur M17, la nébuleuse Omega et la célèbre M16, nébuleuse de l'Aigle, belles tâches blanchâtre avec des étoiles visibles aux jumelles pour cette dernière. Sur la route je passe rapidement et sans m'en rendre compte plusieurs fois sur M18 ou amas du Cygne Noir, qui se perd aisément au milieu de la densité d'étoiles de son environnement. Initialement, j'avais pris Oméga pour M18 et M16 pour Oméga, et avait donc toutes les difficultés à trouver cette nébuleuse de l'Aigle. En montant toujours un peu plus le long de la voie lactée, j'en étais venu à discerner (surtout en vision décalée) un amas assez faible, en me disant que c'était bien faible pour la "célèbre" nébuleuse de l'aigle. Après consultation des cartes, l'erreur est corrigée et cette petite nébulosité est en fait NGC 6539, petit amas globulaire très peu visible, et je remets ainsi les nébuleuses à leur place . Ce voyage à travers la Voie Lactée sur plus de 25° de hauteur m'a occupé une grosse heure et demie et je m'en souviendrai certainement un moment. Il fut donc une superbe entrée en matière pour cette belle soirée d'observations et de partage, soirée qui a clôturé deux jours d'un voyage à travers notre passion commune. Merci à celles et ceux qui m'auront lu jusque là, j'espère que ce n'est pas trop indigeste j'ai écrit comme ça venait en me remémorant encore tout à fait ce superbe weekend Un grand merci aux équipes de Planètes Mars et au bénévoles du CAM pour leur gentillesse et leur disponibilité, et à l'année prochaine !!0 point
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Depuis quelques temps je cherchais une petite lunette grand champ, facile à utiliser, à transporter et surtout pas trop coûteuse 🙂. L’occasion c’est enfin présenté il y a trois semaines avec un ancien modèle Orion ST80 (80/400). Je l’ai montée sur un trépied VELBON DV7000 (pas celui de la photo). le temps étant très moyen, je l’ai pour le moment utilisée que trois fois… mais trois soirs vraiment surprenants. Avec mon oculaire ES24/68 ou mon Panoptic 22, le spectacle grand champ est garanti. Une vue de la Voie lactée superbe.Une recherche de cibles extrêmement facile. Un vrai plaisir. Première fois que je peux voir les dentelles dans un même champ… et oui je sais que beaucoup disent que les dentelles sont inaccessibles avec un instruments inférieur à 200mm, mais avec un bon ciel, un bon filtre OIII et un bon oculaire, même au 80mm le spectacle est garanti. De belles vues des nébuleuses M27/M57 (avec filtre OIII), des galaxies M81/82, Andromède (bien plus sympathique que dans mon dobson du fait du champ), des amas M13/M92/M56/M39/M52M103, du double amas de la Persée… Une lunette aussi surprenante en planétaire. Oui elle souffre de chromatisme, c’est pas une APO,… mais les vues de Jupiter et Saturne avec mon TV Radian 6mm (x66) sont vraiment sympathiques. Prochaine fois j’essaye de monter à x80. En conclusion, une petite lunette vraiment super. Balade dans le ciel nocturne garantie aussi bien pour les débutants que plus expérimentés. Le chercheur 8x40 d’origine lui par contre n’est pas vraiment super. Je vais le changer par un Telrad.0 point
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Bonjour, je vais vous demander d'être tolérant avec moi, car la dernière fois ou j'ai fait du planétaire c'était avec un traitement sous IRIS... Pour vous dire que j'arrive de loin. Donc, j'ai pas mal joué avec les temps d'exposition ce matin, le gain de la 662 au bout d'une barlow 2x sur le C14 EdgeHD donc 8M de focale. Je vous livre les 3 meilleures images de la vingtaine d'enregistrement de 60 Sec chacune (les détails sont dans les coins): et je me suis essayé à faire une animation (peux mieux faire je sais) a+ Serge0 point
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Salut, oui, je ne pouvais pas m'empêcher de lancer ce sujet avec un clin d'œil au copain Julien @180Vision... 😁 Mais c'est "setup I" puisque je n'en ai qu'un. Parce que Julien, lui, il cherche à guider à 15.10^-6 seconde d'arc. Donc, je ne voulais pas être en reste, et, après avoir lu avec avidité ce qu'a écrit Julien, @Colmic je me suis levé un peu plus tôt ce matin, et j'ai fait des tests avant de virer les caméras pour faire un peu de planétaire en essayant d'avoir une approche un peu scientifique. En plus, à 03h30 du matin, on est sûr de ne plus avoir de turbulences internes au tube. Donc, c'est le bon moment pour évaluer ma Titan (équipée d'une vis O&V). Pour rappel, on en avait déjà parlé ici il y a 10 ans: En 10 ans, les outils à notre disposition ont changé donc je me suis dis, comme Julien avec sa G11 de voir comment je pourrai jouer avec les paramètre de PHD2 pour affiner le guidage. Donc, pour commencer, j'ai mis le Gemini en "Comet rate" avec le RA Divisor à 37490 afin d'avoir la bonne vitesse sidérale 😝(j'aurais dû bosser pour Losmandy, moi!) Ensuite, je pointe vers AZ 165° EL 45° et je lance le Guiding Assistant de PHD2. Pour rappel, je guide un C14 avec un AOG (donc 3910mm de focale). Mais là, sachant que ma MES est nickel, je laisse tourner le guiding assistant pendant un tour complet de VSF (319 Sec) pour me faire une idée de mon EP: là, pas de surprise vu la MES, la DEC est stable, et je peux voir l'amplitude de l'EP en RA, soit 15" d'arc Peak to Peak. On peut noter, au passage, que les mouvements en DEC reflète en fait les mouvements de l'étoile guide dus à la turbu. On regarde maintenant les résultats du guiding assistant (arrivé à son terme) Donc, il me donne des trucs intéressants (étant plus intelligent que moi au niveau du guidage) comme: MinMo en RA à 1.14 et 1.75 en DEC surement trop de backlash en DEC mais j'ai pas envie de faire d'opération commando lampe de poche entre les dents à cette heure matinale. temps de pose de 1.5 à 3.5 Sec Je jette un œil à la calibration c'est bon. Donc, je fais ce qu'il me demande et je fais un premier essai de guidage avec Minmo préconisé Agr=100 Hystersis=10 avec des temps de pose à 3 Sec puisque Colmic à écrit que c'était mieux et qu'il en connait un rayon: Conclusion, 1" en RA, bof bof On baisse le temps de pose à 1.5Sec "juste pour voir" en gardant le reste pareil: 0.87"en RA c'est déjà mieux mais toujours bof bof, mais bon, ça évolue dans le bon sens (noter que pour le DEC, c'est pareil). On change l'hystérésis à 0 pour voir: c'est pire, donc on revient à 10 d'hystérésis mais en augmentant l'agressivité à 120: c'est mieux, on se rapproche de l'erreur RMS de la DEC et la dispersion sur le "target" commence à ressembler à un joli tir groupé. Voilà pour mes essais. Il m'en reste plein d'autres à faire. Par contre, reste à voir comment un meilleur RMS peut se traduire en HFR sur l'image et si c'est bien corrèlé , mais c'est facile à tester, en changeant de réglages de guidage tous les 5 poses et on compare avec l'image principale ensuite. Dans l'idéal, je veut arriver à une erreur RMS en RA égale à celle de DEC qui pour moi donne une image de la turbu. Donc aucun sens déjà de vouloir guider plus finement que le "mouvement naturel" de quelques étoiles sur le capteur de guidage alors que les autres étoiles sur le capteur principal font autre chose... Cette nuit là le RMS de la turbu était aux environs de 0.55-0.60" d'arc. Il me reste à continuer à faire des test de paramétrage pour arriver à une valeur aussi bonne en RA. Quand aux valeurs proprement dites, c'est entre les mains de dieu, du hasard et des jetstreams. Je suis intéressé par vos commentaires sur cette intervention soporifique.🥱 a+ Serge0 point
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La figure F/S45 indique une pente marquée vers 900 000 ans du "standard coalescence time" , c'est-à-dire de l'intervalle entre deux coalescences (pages 2 et 3). La coalescence est le moment où un gène ancêtre donne naissance à deux descendants distincts. Un calcul probabiliste permet de calculer le nombre de générations qui séparent les descendants de leur ancêtre.0 point
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Salut, Je te ferai si tu veux des images de Jupiter et Saturne avec le vespera, mais cela n'a aucun intérêt (comme avec les autres smart télescope). Ces matériels sont faits pour du CP, et la Lune et Soleil juste pour avoir l'image (ils sont proches et mesurent 0,5 degrés sur le ciel). Pour les planètes tu prends une 70 AZ ou un Mak 127. Bon ciel.0 point
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Cool. Merci de te sacrifier! si tu t'occupes de Josiane je veux bien m'occuper de sa place pour le match0 point
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Moi j'aime bien même s'il manque un peu de rouge ou de vert mais tu devrais avoir 3 nuances de couleurs. En tout cas tu as vu le ciel... Moi j'attends ce weekend, paraît que ça revient mais ça fait 3 semaines que ça doit revenir alors... Et ce matin gros orage entre 5h et 7h, si je sors ce soir, cha va être humide...0 point
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Super, merci à tous les deux ! Je suis rassuré qu’il y ait une solution. j’essaie ça dès que possible.0 point
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Bonjour, Enfin une belle matinée, sans nébulosité et sans vent! J'ai pu faire toute la panoplie : Quarks Ha et Ca, et LB au Continuum avec la Bresser 150/1200 et le Sol'Ex sur SW72 ED. Voilà une sélection Vue complète du disque en Ha grâce au Sol'Ex Le disque complet en Ca (Quark) image composite de 4 Groupes de taches AR 3413 et 3415 en Ha (3 images compositées) et en LB et 2 groupes de protubérances Bonne fin de journée Philippe0 point
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Les NCN se sont terminées la veille et je suis de passage en Charente pour une seule nuit, celle du lundi 21 Août. Je sors mon dobson 250mm dans le jardin, avant un chaleureux repas en famille, pour espérer faire une observation rapide entre 22h et minuit. En fin de repas les discussions vont bon train et la question des phénomènes OVNI est soulevée. Le sujet m'intéressant particulièrement, j'expose ce que j'ai entendu récemment mais les cousins me pressent pour sortir. Ils ont hâte d'observer ! Cela me fait particulièrement plaisir car il y a quelques années c'est moi qui les poussais à sortir pour voir Saturne ou Jupiter dans mon téléscope, maintenant c'est eux qui sont en demande ! Je sors de la maison puisqu'on me met pratiquement dehors ! Et je constate un ciel magnifique. Seules les lumières d'Angoulême forment un petit dôme de lumière, le reste est bien sombre. Beaucoup d'étoiles sont visibles. Je vise l'étoile Arcturus pour faire l'alignement du Quickfinder et du chercheur droit. J'ai à ma disposition un 28mm, un 24mm et une Barlow x3 pour obtenir un 8 mm. Je profite d'être sur Arcturus pour leur montrer un astérisme rigolo "le chapeau de Napoléon", qui n'engendre pas l'enthousiasme des cousins. Je vise du coup le couple galactique M51 et leur demande de me décrire ce qu'ils voient et je suis très content car ils me décrivent parfaitement ce que j'observe. Je leur explique quel type d'objet ils sont en train de voir et pourquoi c'est fabuleux qu'avec un instrument modeste on puisse voir des objets au-delà de notre propre galaxie. Les cousins me quittent et je reste seul, seul face à la voûte céleste mais quand même accompagné du cri des chouettes qui brisent le silence de la nuit avec de longs KKkkkSSSSsssss, toutes les 5 secondes ! Mon objectif est de faire du galactique, puisque je me suis rempli les yeux de nébuleuses de tous types aux NCN, et principalement ce soir, de visiter les objets du Dragon. 23h37 - M51 / NGC 5194 galaxie du « Tourbillon » - Const. Chiens de chasse Au 24mm les 2 bulbes sont bien visibles. La plus petite galaxie est bien brillante en son cœur et je vois un halo nébuleux autour. Pour celle du dessus, la plus grosse, sa nébulosité est étendue et circulaire avec une impression d'irrégularités et de zones plus sombres mais les bras ne sont pas visibles. J'observe ensuite une très belle étoile double, Iota du Bouvier appelée Asellus Secundus. Au 24mm : C'est un très joli couple composé d'une étoile bien brillante jaune et de son compagnon orangé, lui beaucoup plus faible. Minuit - M101 - Const. Grande Ourse Galaxie vue comme une pâle tache informe assez vaste au 24mm, logée au milieu d'un triangle formé par 3 étoiles. Un pâle point brillant semble apparaître en vision décalée. Je n'affirme pas avoir aperçu la supernovae sur cette soirée d'observation. Mais j'ai pu l'observer au NCN. 00h06 - NGC 5377 - Const. Chiens de chasse Au 24mm cette galaxie est vue comme une très faible tâche. Elle me semble en fuseau. Entourée d'un groupement d'étoiles triangulaire sur sa gauche et d'une étoile sur sa droite. Au 8mm elle s'épaissit et devient un peu irrégulière et enflée. Son cœur semble très brillant comme si une étoile pâle brillait à l'intérieur. Un cri de chouette aigu déchire l'obscurité, je sursaute!!! Oh27 - NGC 5448 - Const. Grande Ourse Au 8mm cette galaxie est vue en vision décalée comme un fuseau un peu épais mais très pâle et assez allongé. Je note que c'est un objet faible. 0h36 - NGC 5676 - Const. du Bouvier Au 24mm, je détecte cette galaxie entre une étoile orangée relativement brillante et une petite étoile qui me semble bleue. C'est une tache pâle un peu épaisse. Le 8mm ne m'apporte pas d'information supplémentaire. 0h48 - NGC 5689 - Const. du Bouvier Détectée au 24mm. Au 8mm cette galaxie présente une forme ovalisée aplatie, le cœur me paraît plus brillant. J'ai soudain envie d'aller voir à quoi ressemble la petite galaxie nichée sous l'amas d'Hercule. Un arrêt sur celui-ci me semble obligatoire ! 0h58 - M13 / NGC 6205 - Const. d'Hercule Classique parmi les classiques! Au 28mm, c'est une boule granuleuse sans trop de détails. Au 8mm, c'est pas mal du tout! Je ne m'attarde pas trop car ce n'est pas mon objectif ! 0h59 - NGC 6207 - Const. d'Hercule Au 8mm la galaxie est vue en vision décalée. Je trouve qu'elle a un aspect cométaire. Elle est aplatie, assez pâle et me semble aussi étendue que les 2 étoiles de brillance identique qui la bordent. Elle est relativement faible. Je suspends pendant un instant mes recherches car j'entends des pas froisser les herbes un peu en contrebas. Ça pourrait être ceux d'un homme mais le plus probable c'est que ce soit un animal ! Le bruit cesse. Donc je repars à la chasse ! Je me casse littéralement les dents sur l'objet Draco Dwarf Galaxy dans le Dragon. J'ai identifié le champ de façon sûre, mais je ne vois rien ! 1h43 - NGC 6503 - Const. du Dragon Superbe galaxie au 28mm ! Longue et épaisse, elle s'insère dans un champ d'étoiles très esthétique ! Notamment avec les 2 étoiles bien brillantes du champ et les 4 petites étoiles qui forment un arrondi sur la droite. Le 8mm l'éteint. Elle est plus grosse dans le champ mais sans plus de détails... 2h08 - NGC 5982/5985/5982 - Const. du Dragon NGC 5982 est la galaxie la mieux perçue du trio mais elle est extrêmement faible!!! Détectée au 28mm, mais grossir ne m'apporte rien. NGC 5985 Cette deuxième galaxie du trio est très très faible!!! Détectée en vision décalée comme un rectangle diffus... Quand à NGC 5981, elle reste invisible. 2h32 - NGC 6340 - Const. du Dragon Au 8mm cette galaxie m'apparaît comme une faible nébulosité proche d'un doublet d'étoiles. 2h38 - NGC 5866 / M102 - Const. du Dragon Superbe galaxie ! Détectée avec le 28mm, puis observée avec le 8mm. Elle est ovale avec le cœur légèrement plus brillant. Elle est logée entre 2 étoiles. C'est très beau ! 2h43 - NGC 5907 - Const. du Dragon Au 28mm c'est une fine aiguille assez longue, assez pâle mais superbe qui s'offre à moi ! Au 8mm elle prend une grosse partie du champ mais est moins évidente à voir! Je suis impressionné par sa finesse! Je termine cette série sur cette très belle vision. La fatigue m'emporte, il est temps de ranger le matériel. (Je profite de ce CROA pour saluer toutes les personnes avec qui j'ai échangé et partagé durant ces fabuleux moments que furent les NCN 2023, un CROA devrait arriver bientôt! @Jean de Nîmes, @Messier31, @Le Den, @jps81, @senegaulois30, @astacho, @Timken, @Anto, @Jcco, @Patcubitus...)0 point
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Bonjour à tous, Voilà ma première version de IC1396 et ma première vrai photo SHO. 📆 : 05/11/2022 🔭 : 72ED+red + monture AM5 + Asiair + EAF 🎯 : 120mini en parallèle 📸 : ASI1600MM Pro 👓 : Filtres SHO ZWO 📺 : SIRIL + photoshop 300s Bin 1 pour chaque couche. Entre 70 et 90 images par couche. Une 50aine retenue par filtre. Donc en tout environ 12h 40 flats de chaque couche J'ai eu beaucoup de mal avec les couleurs. J'ai joué sur les histogrammes de SIRIL et photoshop couche par couche. Je pense que c'est encore perfectible. Il y a entre autre une grande zone en bas à droite très magenta. En traitement que localement les zones magenta j'arrive à: Bon ciel ⭐0 point
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De toutes les façons, à ce moment là, il n'y avait pas de modèle SW en France, seul le modèle Orion existait. Les astrams français qui ont pu l'avoir (hormis commander à l'étranger et le commerce en ligne était embryonnaire) ont eu le modèle Orion via le Chasseur d'Etoiles (SPJP Paralux), tube seul sans anneaux ni queue d'aronde (vendus à part) et qq revendeurs qui commandaient chez eux (comme Devaux-Chevet). Ensuite, le modèle SW (bleu) est arrivé via l'importation/distribution Medas et ensuite le modèle Gold/Champagne dit "Pro Series".0 point
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Éblouissant ! Tout. - T'es sûr ? - Plus que certain. Ney0 point
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Merci pour ton avis ! Comme c'était mon premier du genre j'avais peur qu'il ait l'air brouillon, là ça m'encourage à poursuivre, l'exercice est très formateur 😊. Oui la modestie du diamètre et du grossissement limite les possibilités mais oblige à se concentrer sur ce qu'on voit vraiment et j'aime beaucoup.0 point
Ce classement est défini par rapport à Paris/GMT+01:00
