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À propos de yapo
- Date de naissance 11/12/1971
A propos
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Résidence
montreuil-sous-bois
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Intérêts
ciel profond
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Occupation
animateur sportif
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Matériel
dobson 445mm coulter
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Réfracteur à lentille unique du XVIIe siècle
yapo a répondu à un sujet de ovi_astro dans La médiathèque
Juste une petite question, c'est du plan-convexe ou du biconvexe pour les lentilles-objectifs ? -
Réfracteur à lentille unique du XVIIe siècle
yapo a répondu à un sujet de ovi_astro dans La médiathèque
J'imagine qu'à cette époque, il n'y avait aucun protocole de test (autrement que de constater la qualité de l'image), si ? -
Un compagnon utile en cas de marathon. Juste un petit correctif pour M48, découvert par James Bradley en 1727 donc un peu avant Messier.
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Sur Simbad par exemple (la base de données sans doute la plus complète), en tapant la référence de l'objet dans la case "Identifier", tu obtiendras ce à quoi cela correspond, ses coordonnées célestes, son type, etc. https://simbad.cds.unistra.fr/simbad/sim-fid
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J'en utilise une (compensée) sur un dobson de 450mm (et d'autres instruments plus petits) et bien sûr c'est sur les planètes que c'est idéal (voire transcendant). En ciel profond (mon domaine de prédilection), cela reste spectaculaire sur les objets brillants et les amas globulaires plus particulièrement. Sur le reste des objets faibles, il y a de la perte d'information mais cela peut rester agréable esthétiquement (par exemple sur les dentelles du Cygne) malgré la perte -apparemment- plus marquée. Les lois de la physique attestent de la division en deux du flux lumineux (moins les petites pertes dues aux multiples relais optiques) mais la physiologie et la recombinaison neuronale de l'image compensent en partie la perte de détection (de l'ordre de racine de 2?). De plus, selon que l'on se situe en vision centrale ou périphérique avec des visions différentes (photopique ou scotopique), les sensations de confort, de gain ou de perte apparaissent également non-linéaires et en tout cas spécifiques. Tout ça pour dire que je partage ton sentiment et que je le justifie comme ça 😄. PS: des reflets, y en a (halos fantômes plus étendus), surtout en planétaire, en ciel profond c'est marginal) et cela peut gêner la concentration mais quand on regarde un détail sur une planète, on peut en faire facilement abstraction. Je n'ai pas d'expérience sur d'autres binos non-compensées ou bien haut de gamme pour comparer.
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Très belle image. Par contre, je me demande qui l'a baptisé du nom de Dreyer ? Parce qu'on pourrait affubler le nom du compilateur du NGC et IC à chacun des 13226 objets des catalogues ou tout aussi bien rendre à César ce qui lui appartient (Barnard en l'occurrence, le découvreur d'IC 447)... Dreyer lui même a découvert une vingtaine de nebulae mais aucune dans la Licorne : il doit y avoir une raison qui m'échappe.
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J'ai testé bleu léger, bleu profond et même bleu "CMOS" (de Baader, validé par un observateur -enfin c'est leur propre pub), sans résultat probant. Je l'ai fait de manière ni très qualitative ni quantitative, donc si il y a un gain, il doit être subtile (en tout cas bien inférieur à un filtre interférentiel et une nébuleuse émissive, ce qui n'est pas étonnant photométriquement parlant). Faudra que je m'y attelle plus sérieusement à l'avenir. Et il faut soigneusement sélectionner les nébuleuses éclairées par des étoiles O ou B exclusivement. Mêmes les nébuleuses des Pléiades ne semblent pas homogènes de ce point de vue là par exemple.
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C'est une nébuleuse par réflexion (reflet des lumières stellaires sur des poussières) donc les filtres interférentiels sont peu (ou pas) efficaces. M78 et ses résurgences proches (NGC 2064, 2067, 2071) sont vraiment diaphanes et douces (sans contraste tranché) donc ta description n'est pas étonnante. Il faut jouer (un peu) sur les grossissements et justement les autres émergences nébuleuses peuvent aider à "sculpter" la forme cométaire de M78 : leur proximité met en relief le fond de ciel en fait constitué de chenaux sombres. Mais bien sûr, un excellent ciel y aide ! Faut persévérer et y retourner, peut-être l'année prochaine et d'ici là en essayer d'autres plus difficiles pour se rendre davantage compte du potentiel de M78 et son voisinage.
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Pour une détection initiale, c'est sûr que non. Mais pour percevoir leur couleur ensuite, c'est sûr que oui. Une fois qu'on a passé la première étape, on peut attaquer la deuxième. Les cônes (cellules de la rétine) sensibles aux couleurs sont moins affectés par les lumières parasites. Il y a quelques "trucs" contre-intuitifs en observation visuelle (comme grossir les objets faibles par exemple) et la vision des couleurs avec repère en fait certainement partie.
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J'ai vécu exactement le même sentiment il y a près de 40 ans dans des conditions identiques (même instrument, même nébuleuse), et j'ai mis une semaine à l'admettre que c'était ce petit nuage grisâtre la brillante nébuleuse d'Orion. Une grosse déception suivie d'une envie irrépressible d'en voir plus : sado-masochisme sans doute. Pour la vision de couleurs en ciel profond visuel, le sujet est assez complexe et les avis pas forcément unanimes, sans doute à cause d'une relative disparité dans les capacités visuelles de chacun en étendue et sensibilité spectrale (certain-e-s perçoivent jusqu'au rouge du H-alpha alors que d'autres jamais). Mais globalement, la couleur verdâtre d'Orion et de quelques nébuleuses planétaires brillantes est assez facilement perceptible, pour autant que l’œil dispose à loisirs d'un référentiel neutre (un fond de ciel éclairé par la lune ou une page blanche éclairée de matière neutre à côté de l'oculaire) afin de mieux pouvoir juger les différences de teintes perçues.
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Alors résultats des tests effectués sous l'excellent ciel de Stellarzac fin décembre 2024 avec un OVNI-B. J'ai considéré les magnitudes V (Tycho/Hipparchos), G (gaia), RP (gaia) et "ovni" (pondération des courbes de réponses G, RP et de transmission intensificateur gen-3). A l’œil nu, j'atteignais 6.6 en magnitude V dans la Petite Ourse en vision décalée pendant environ 50% du temps d'observation. Avec l'OVNI-B derrière un objectif de F=27mm ouvert à 1.2 (G=1.2x estimé en comparant champ apparent et champ réel), toujours dans la Petite Ourse (champ réel=34°), les étoiles les plus faibles perçues étaient HD 166179 et SAO 508 dont les plus fortes valeurs sont V=9.1, G=8.46, RP=7.98 et ovni=8.15. Avec l'OVNI-B derrière un objectif de F=75mm ouvert à 4.0 (G=3x estimé, champ réel=13°), les étoiles les plus faibles perçues étaient TYC 4660-0171-1 et SAO 3039 dont les plus fortes valeurs sont V=10.8, G=9.98, RP=9.47 et ovni=9.78. Sans surprise, ce sont des étoiles jaunes ou rouges (F, G et M). J'ai simulé sur SkySafari ce que ça donne même si c'est plus représentatif qu'exact. Petite Ourse à l'œil nu. Petite Ourse à l'OVNI-B et F=27mm. Petite Ourse (autour de la Polaire car le champ se réduit) à l'OVNI-B et F=75mm.
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Eh ben heureusement que Bruno a une bonne mémoire parce que je n'aurais sans doute pas pensé à t'y orienter moi même. Un fichier informatique ou bien des fiches (genre QCM) peuvent être utiles. Une version informatique (fichier excel) plus élaborée (et plus personnelle) que j'utilise est disponible ci-dessous. Il y a un onglet pour les dates des observations et un onglet pour chaque famille d'objet (j'ai laissé des exemples perso pour illustrer). Parfois quelques colonnes avec menu déroulant pour éviter de retaper des choses un peu standardisées "à la Ciel Extrême". Il y a aussi des onglets aides-mémoires avec quelques formules pour les oculaires et instruments, parfois utiles sur le terrain. Soit je note directement dans le fichier quand je suis dans mon spot habituel avec un ordinateur de terrain, soit je note sur la fiche de dessin quand je suis en vadrouille (et j'informatise plus tard) . https://www.webastro.net/applications/core/interface/file/attachment.php?id=247042&key=9bf7c93500573b711573270b3a6463ff
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J'arrive après la bataille, c'est là si c'est ce à quoi tu penses (ça avait dû paraître dans AstroCiel) : http://www.astrosurf.com/cielextreme/articles-astro-ciel.html rubrique 12 & 13 Mais on a tous commencé à un moment au début (moi même dans un autre siècle) par un "objet faible et diffus" puis ensuite on ajoute des graduations (très, peu, beaucoup, extrêmement, etc.), puis ensuite on différencie les zones d'un objet, puis ensuite .... (etc. etc.) 😀
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Pour ceux qui n'ont pas de beau temps, Abell 12 (à côté de Mu Ori) en moins de 5' de poses avec filtre depuis l'alti-plano séquano-dionysien (Montreuil). Etonnant ce Seestar à travers une bonne pollution lumineuse.
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Couleurs nébuleuse ou autres astres du ciel
yapo a répondu à un sujet de StarLord22 dans Support débutants
Il y a un kit de motorisation en solde actuellement chez Optique Unterlinden pour 60€. J'ai quasi la même configuration que toi (150/750, monture eq3.2 et moteurs) et avec une mise en station correcte, on peut faire des poses de 30 secondes sur un APN (j'ai un ancien 350D) et obtenir de la couleur assez facilement avec de l'imagerie de base. Mais comme l'a souligné Bruno, en améliorant les conditions d'observation (sans pleine Lune), la couleur verte de la nébuleuse devrait ressortir dans ce télescope.
