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ckt21

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  1. Ouep, complètement ! la photo arrivera donc plus tard ! 😁
  2. ckt21

    Ngc246

    Version 1.0.0

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    NGC246
  3. En manque d’inspiration hier soir alors que le ciel s’annonçait limpide, je feuillette les splendeurs du ciel profond pour trouver ma cible. Du coup, une petite nébuleuse planétaire me fait de l’œil… Adjugé, vendu ! Ce sera NGC246, la nébuleuse du crâne. Une nébuleuse planétaire située à plus de 1 500 années-lumière et dont la « bulle » mesure quasi 3 années-lumière. Pas facile, il a fallu 1h15 pour la sortir. En bonus, NGC247, petite galaxie située à proximité immédiate ! Sous un très bon ciel, ce peut-être une cible intéressante en visuel avec un télescope d’au moins 300mm. Image réalisée avec un Vespera I
  4. Dans l’œil du JWST. une conférence de Benjamin Charnay (observatoire de Paris - Lira), donnée à Dijon le 14 octobre 2025 https://youtu.be/JwizCdgRPlg?si=xhhKODkP8hRTVEQw
  5. Elle s’en va… la voilà maintenant a quasi 170 millions de km de la terre !
  6. Eh ben celle-là, j’aurai mis du temps pour la sortir ! De semaines que j’essaye de l’imager avec le Vespera avant une ultime tentative qui s’avérera concluante, le 4 novembre dernier. Pourquoi la misère ? Car malgré le calage de la cible, impossible de réaliser plus d’une seule et unique image… que ce soit en mosaïque ou non, avec le filtre dual band ou non… alors si quelqu’un a une astuce… peut-être était-elle trop basse sur l’horizon ? Bref, c’est dans une nuit proche de la pleine Lune (on ne peut pas tout avoir), qu’elle se sera démasquée pendant environ 1H00. Le filtre dual band a été utilisé. NGC 7293 (ou Hélix) est une nébuleuse planétaire située à 650 années lumière environ. Très difficile à résoudre en visuel, le résultat ne saute pas aux yeux en photo non plus ! A retenter dans un ciel sombre (et donc sans Lune) et sur une plus grande durée.
  7. De bien belles taches ce 7 novembre ! vespera I
  8. Les aurores polaires, c’est pas que sur Terre ! Et la mécanique est plutôt… complexe ! 😁 une belle conférence de Laurent Lamy, astronome au Laboratoire d’Astrophysique de Marseille pour démystifier tout ça
  9. Et pour ce jeudi 30, je rajoute une petite vue de R2 Swan (bon, juste une photo ).
  10. Et la comète de ce dimanche 26/10 ! (Avec une vue au tel)
  11. Je commençais à me morfondre devant cette sinistre météo. Et puis, ce soir, en fermant les volets, je remarque quelques étoiles. Quoi ?? Quelques étoiles ?? Le Bouvier est bien visible alors ni une ni deux, je sors le Vespera. Et je suis chanceux : un créneau d’un quart d’heure pour capturer la petite Lemmon qui a bien augmenté en luminosité par rapport à la semaine dernière. 1 heure après, il tombait quelques gouttes ! 😅 vivement la prochaine éclaircie ! jeremy
  12. J’ai fait différents essais entre 10 et 30 secondes. ici, ce sont 3 minutes au total avec des poses de 10 secondes
  13. Et celle du 14/10 (plus propre que celle de la veille)
  14. Et une petite version de 8 minutes avec des poses unitaires de 20 secondes, ce lundi 13 octobre vers 20h15
  15. Bon, elle gagne en magnitude la p’tite Lemmon ! Prise hier soir avec mon Vespera I et environ 7 minutes de pose. Je vais tester des poses un peu plus longues pour essayer de faire ressortir un peu la queue. Vue aux jumelles au coucher du soleil. Difficile de l’observer vers 4h en raison du brouillard qui envahit tout…
  16. Après avoir vu un post de @Skywatcher707 😉, me voilà décidé à tenter l’expérience cométaire avec mon Vespera I. Son nom ? C/2025 A6 (Lemmon). Elle se trouve en ce moment dans la constellation du lynx et il a bien fallu attendre 3h30 du matin pour l’avoir à une hauteur raisonnable. La poisse… c’est pas possible à 22h30 ? 😅 Et comme je n’allais pas attendre sans rien faire, j’en ai profité pour claquer 2 autres petites cibles (NGC7331 pour voir où on en était de la récente supernova et une cible toute classique : M31). Pour la comète, j’ai joué sur les temps d’exposition en variant entre 5 et 30 secondes par pose et en allant jusqu’à 15 minutes. Le changement n’est pas flagrant alors voici 2 petites images.
  17. J’ai tout laissé en automatique, j’ai juste repris la photo pour rehausser la netteté
  18. Le soleil du 31 août a présenté de nombreuses taches à sa surface ! vespera I
  19. Oui, on a observé un peu plus de 3H (plutôt 4h d'ailleurs) Oui, au 250 il y aura des choses à voir sans aucun doute. Après, tout dépend des oculaires que l'on met derrière. On est sur Auxonne (pas très très loin).
  20. Cela fait un moment que dans notre contrée de Bourgogne, on n'avait pas eu plus de 3h de ciel dégagé cet été ! Alors on se retrousse les manches et se donne rendez-vous entre astrams du village (2 en tout, seuil inférieur limite pour boire une bière en même temps : il parait que ça aide à voir les nébuleuses). Et les nébuleuses, il en sera question dans cette séance d'observation ! Bon, déjà la Lune bien entendu, histoire de se casser les yeux un bon coup. Toujours chouette. A chaque fois que je la regarde, je me dis que c'est une mine d'or d'observation et qu'on a souvent tort de négliger ce terrain de jeu. Une fois la nuit à peu près noire, on choisit de se concentrer sur M8. Son positionnement est formidablement bon puisque proche de la Lune qui, cette nuit là, se trouvait entre le Scorpion et le Sagittaire. Donc pas de surprise, si on distingue parfaitement l'amas au 20mm, la nébuleuse au 7mm + OIII est bien plus délicate... Après concertation, on s'autorise à penser que c'est pas la bonne zone pour ce soir. On va aller tordre le cou du cygne, ou plutôt du nôtre car la constellation est au zénith en ce moment. On n'a pas tenté Albiréo. C'est pas un défi ça ! Non, non, non : on est joueur, on va aller taper de la tachouille et même pas peur de la Lune ! On va commencer par se mettre en jambe avec la blincking (nébuleuse clignotante ou NGC 6826). Petite nébuleuse planétaire à magnitude 8,8. Avec le 500, ça passe large. Et c'est assez amusant à regarder car on perçoit nettement une étoile plus que la nébuleuse sauf lorsque que vous clignez des yeux ou cela fait ressortir le halo gazeux situé autour. On y va jusqu'au 7 mm. Très sympa. Je l'ai pas dit avant (par honte), mais on n'a pas trouvé M20. Juste le petit amas. C'est la faute à la Lune, on en est sûr !!!!!! Bref, on est allé se faire cuire un œuf suite à ce rendez-vous manqué... On va donc taper sur l’œuf en question ! PK 80-6.1, la nébuleuse de l’œuf. Eh ben, pas simple... Elle n'est pas si difficile à localiser, mais elle aurait eu la bonne idée d'être un peu plus lumineuse.... Magnitude 12,5, quelle idée ! Enfin, après quelques minutes de recherche minutieuse au 9mm (on est comme ça, on s'embête pas à dégrossir le champ, on claque direct dans le détail), on finit par tomber sur un tout petit truc nébuleux. Et puis on met le 7mm et là, ça change un peu la vision de la bestiole : on perçoit assez nettement ces 2 excroissances gazeuses en haut et en bas. Cool comme objet ! On continue dans la gastronomie céleste avec NGC 7026 : la nébuleuse du .... cheeseburger. Est-ce par rapport à l'odeur du fromage ? Pourtant, ça ne sent rien, une nébuleuse ! Noooon, c'est par rapport à sa ressemblance avec un sandouich ! Pas si évidente à trouver car il faut un bon ciel (ou du moins pas de Lune) pour vraiment voir les 2 petites étoiles repères qui doivent être aux alentours de la magnitude 4. La nébuleuse est à mag 10,9, donc largement jouable. La taille est raisonnable également. On la trouve. On la regarde. On l'observe. On commente. On échange des idées. On met le 7mm. On constate. Le cheeseburger est évident ! En vision décalé, on a vraiment ces deux tranches de pain qui se dessinent (on n'a pas vraiment pu faire le comparatif avec la tranche de fromage car dans la conception de la nébuleuse, il n'a pas encore été inséré). Mais vraiment sympa comme objet en tout cas. Pas loin, y a NGC 7048. On va quand même pas se priver ! Sympa aussi, bien entendu, l'OIII est toujours de mise. On passe au suivant. NGC 6905, la nébuleuse de l'éclair bleu. Ca donne envie de se faire foudroyer ! C'est dans le dauphin donc un peu plus bas. On perd en altitude sur l'escabeau (oh, une marche seulement). C'est entre la pointe de la tête du dauphin et M27. Donc commençons par trouver M27 ! Quelle claque comme à chaque fois ! L'OIII couplé au 9mm me faire encore perdre des cheveux... Quelle beauté... Je regrette tellement de ne pas avoir pris un bout de papier et un crayon pour la dessiner. Sans doute mal et moche, mais juste pour le souvenir ! Une fois remis de nos émotions, passons à cette charmante nébuleuse ! Pile poil entre M27 et l'étoile à la pointe de la tête du dauphin qu'on a dit ! Ok, on positionne le télescope et paf, pile poil dessus avec le 7mm. C'est pas un coup de maître, ça ??? Et elle est choupinette cette nébuleuse, très riche en détail. La vision décalée aide à mettre le nez sur quelques finesses. Les nuages arrivent, je regarde ma montre : 1H30... J'avais pourtant dit que je ne rentrerai pas après minuit... Je crains le réveil et la remontrance de madame (il n'en sera rien au final). La fatigue se fait sentir surtout que l'on a enquillé 2 soirées nuit des étoiles à Dijon. 400 personnes le vendredi soir alors qu'il a plu, donc couché à plus de 2H00 et beaucoup le samedi soir (parce que c'était juste un peu nuageux), ajoutons le temps du rangement, ce qui fait un coucher à 4H30... Et on remet ça mercredi... et puis samedi... Quand on aime on ne compte pas ! Alors on finit avec deux derniers objets plus classiques : M2 dans le Verseau. Assez sympa avec le 7mm mais il a fallu jongler entre les nuages. Et puis les dentelles pour chatouiller une dernière fois les ailes du Cygne. Jolies, mais on a eu de meilleurs résultats. Et maintenant, retour à la maison et au lit !
  21. La Société Astronomique de Bourgogne organise la Nuit des Etoiles à Dijon. Le programme est là : https://www.facebook.com/events/3257071451136064?acontext={"event_action_history"%3A[{"surface"%3A"home"}%2C{"mechanism"%3A"surface"%2C"surface"%3A"groups_highlight_units"}]%2C"ref_notif_type"%3Anull} ou là : https://sab-astro.fr/nuits-des-etoiles/
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  22. ckt21

    CROA du 28 juin

    Ça donne quelque chose d’assez sympa au 500. C’est bien reconnaissable en tout cas. Les filtres apportent aussi du + dans l’observation. Oui ! et en plus, 0 éclairage entre le 1er mai et le 31 août. Que demander de plus !
  23. ckt21

    CROA du 28 juin

    Le bon moyen pour lutter contre la chaleur, c'est de passer une soirée (ou plutôt une nuit en ce moment) à observer le ciel. Soirée un peu improvisée dans le Val de Saône de la Côte d'Or et cette fois, je ne sors pas mon 400 mais irais profiter du 500 d'un voisin. On est plutôt bien équipés dans la rue de notre village Début d'observation vers 23h15. On se rend bien compte que le ciel n'est pas encore totalement noir. Peu importe, le scorpion est idéalement placé en ce moment pour aller lui fouiller entre les pinces. Déjà, M4 pour commencer. Cible facile car cet amas globulaire est situé juste à côté d'Antares. Il est mieux de ne pas les avoir dans le même champ pour mieux profiter de l'amas. Direction ensuite M80. Là encore, un petit amas globulaire sympathique et qui a mérité de petits grossissements (9 et 7 mm) pour mieux le définir en étoile. Le cœur reste cependant assez inaccessible. Ensuite, on tente M62. Problème, la constellation est très basse pour le 500, on ne pourra pas exploiter cette région cette fois-ci. Alors on remonte un peu en se décalant du côté d'Ophiucus et de la queue du Serpent. M19 pour commencer. Un amas globulaire sympa aussi, ne pas hésiter à grossir pour lui faire cracher ses étoiles. On remonte du côté de M9 avec un triplet. On tombe sur NGC 6356. Jolie petit cible mais là encore, il faut jouer avec les grossissements pour essayer de le définir. Tout juste en dessous, M9 se dévoile et on a plus l'impression d'avoir dans les yeux un amas ouvert plutôt que globulaire. Difficile de bien définir le cœur de l'amas malgré les grossissements. Encore un peu en dessous, NGC6342. On ne sait pas trop à quoi s'attendre car c'est une cible que l'on a vu sur le pocket sky atlas mais sans avoir aucune info sur l'objet. Au final, c'est un petit amas à 9.66 de magnitude et 27000 années d'une lumière éparpillée. Elle vaut le coup d’œil mais il faut la voir avec un bon ciel et un diamètre d'au moins 300 mm je pense. En parlant de ciel : on remarque que le ciel est plutôt de qualité et la mesure SQM le confirme : on tape à 21.33. Dans le Val de Saône, c'est plutôt pas mal ! La Voie Lactée se dessine très bien dans le ciel. On remonte encore un peu avec un petit challenge nébuleuses planétaires. Et on cible NGC 6309, juste au dessus de Sabik, toujours dans Ophiucus. C'est une petite tachouille sympa. On peut très vite passer dessus avec un 20mm mais par chance, elle est située juste à côté d'une étoile qui facilité son repérage. En grossissant et en sortant d'abord l'OIII puis l'UHC, la structure allongée devient évidente. Pas suffisant pour nourrir notre appétit ! Direction NGC 6572, "L'émeraude". Un bien joli nom pour une NP. La magnitude à 8.1 laisse imaginer un astre largement à portée. Et pourtant, pas si simple que ça à trouver... L'utilisation des filtres n'a pas amélioré la vision. Mais bon, on l'aura quand même vue ! On poursuit sur les nébuleuses planétaires avec cette fois NGC6781 : "le nid de l'aigle". Et dans quelle constellation à votre avis ? Eh bien dans... l'aigle ! Une jolie petite surprise pour cette nébuleuse que chacun de notre côté, n'avions pas eu l'idée de pointer. Au 500, elle est évidente et le filtre OIII laisse entrevoir des détails quant à sa structuration. Par contre, on perd trop de lumière en grossissant. Le 20mm était mieux que le 9mm. Le Sagittaire monte. On repart sur des classiques et en partant de l'Aigle, on se dirige vers M17. Toujours top. On poursuite la descente vers M20/21 et vers M8 et un petit détour sur NGC 6544. Le temps commence à se faire sentir mais le Sagittaire est une sacrée mine d'or, je ne vous l'apprends pas. Aller, le ciel est bon, on va finir sur les dentelles du cygne. Une belle claque optique ! Le ciel est toujours top et le filtre OIII et nous avons les dentelles d'un grand soir. Elles sont juste magnifiques, bien structurées, détaillées, bref un régal ! Bon aller, cette fois on finit sur M27. J'aime beaucoup cette nébuleuse et avec un ciel comme celui-là, impossible de ne pas lui rendre visite. Elle claque au 7mm, alors on prend le temps de la déguster. Et puis, on se dit que ce serait trop bête de partir sans voir un autre classique : M57. Bien belle aussi, on resterait bien les yeux plongés dedans. Mais voilà, le ciel commence à s'éclaircir avec la levée progressive du jour. Les nuits sont courtes mais celle-ci a été particulièrement belle !
  24. En fait, le projet a commencé... en 2016 ! Mais il y a un sacré bon boulot qui a été fait, alors ça valait bien le coup d'attendre 9 ans !
  25. Bon, vue le 5 janvier avec mon Vespera I. 452 poses de 10 secondes (1h15’20’’) avec un ciel pourri (un peu de pollution lumineuse, du vent, ciel pas transparent… bref, pas top).
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