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matière dédicacée... nom officiel


Paul_Wi11iams

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le Guide du Routard galactique parle de "depositoire", nous dit Paul Wi11ams. En français c est ça :

 

http://littre.reverso.net/dictionnaire-francais/definition/dépositoire/21067

 

pas de lien d usage avec le "depository" anglais

 

en effet.

Le mot recherché était dépositaire.

Un taux personnel d'erreurs reste dans la moyenne pour Webastro qui est déjà relevé par rapport à certains forums.

 

 

donc antonyme de Wiki

Ne voulant pas être tartipoise (tartipois ?), je pense que le terme "matière codée" le rejoindra sous peu.

Attention de ne pas entacher la nouvelle expression d'une erreur impromptue...

 

décidément.

Modifié par Paul_Wi11iams
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case réservée pour travailler la définition du terme qui semble être (suivant la proposition de Syncopatte) Matière codée.

 

D'abord, il faudrait chercher quelque chose sur la traduction entre wikitionnaires, ce qui risque d'être un sujet à part entière.

 

A défaut d'une réponse toute trouvée, j'ai posté la question sur le site du Wiktionnaire.

https://fr.wiktionary.org/wiki/Wiktionnaire:Wikid%C3%A9mie/avril_2014#proposer_traduction_d.27un_terme_technique_anglais

 

 

https://en.wiktionary.org/wiki/Wiktionary:Information_desk#What_are_the_rules_for_translation_of_new_technical_terms_between_languages_.3F

 

Il suffit de suivre les liens pour voir que c'est effectivement un gros travail. Mais c'est comme tout, une fois qu'on sait faire, c'est plus facile la fois d'après

@+

 

 

L=481

Modifié par Paul_Wi11iams
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En cryptographie, on utilise souvent le terme "stégano" pour indiquer qu'un message a été dissimulé dans un contenant qui présente une autre apparence. Si le message est crypté, on utilise la racine "Crypto". On parle par exemple de "stéganographie" ou de "cryptographie".

 

Dans notre cas, la "matière codée" est relative à une matière à l'origine du vivant, dont la racine est "Bio". Nous pourrions donc appeler plus généralement l'art d'enregistrer un message dans de l'ADN la Biostéganographie ou biocryptographie.

 

La matière ainsi codée devriendrait de la matière biocodée.

 

L'avantage est que cela peut se traduire dans toutes les langues sans difficulté et que n'importe qui , par l'analyse des racines, peut s'imaginer ce que ces mots signifient sans même les connaître.

 

Ces termes, sans être utilisés, sont sous entendus dans quelques documents et brevets :

 

http://www.google.st/patents/WO2000068431A2?cl=fr

 

http://www.technologyreview.com/view/412610/the-emerging-science-of-dna-cryptography/

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En cryptographie, on utilise souvent le terme "stégano" pour indiquer qu'un message a été dissimulé dans un contenant qui présente une autre apparence. Si le message est crypté, on utilise la racine "Crypto". On parle par exemple de "stéganographie" ou de "cryptographie".

 

Dans notre cas, la "matière codée" est relative à une matière à l'origine du vivant, dont la racine est "Bio". Nous pourrions donc appeler plus généralement l'art d'enregistrer un message dans de l'ADN la Biostéganographie ou biocryptographie.

 

La matière ainsi codée devriendrait de la matière biocodée.

 

L'avantage est que cela peut se traduire dans toutes les langues sans difficulté et que n'importe qui , par l'analyse des racines, peut s'imaginer ce que ces mots signifient sans même les connaître.

critère intéressant.

D'un point de vue francophone, on a tendance à penser à la traduction uniquement par rapport à la langue anglaise. La vraie portabilité va bien plus loin.

C'est vrai que j'ai toujours pris l'usage de racines latines ou grecques comme un état de fait sans demander pourquoi. Et oui, c'est juste. En apprenant le Français, j'ai bien remarqué que plus un mot était abstrus, plus il était facile à comprendre sans chercher dans un dictionnaire. En voilà l'explication.

 

 

Ces termes, sans être utilisés, sont sous entendus dans quelques documents et brevets :

 

http://www.google.st/patents/WO2000068431A2?cl=fr

 

http://www.technologyreview.com/view/412610/the-emerging-science-of-dna-cryptography/

Il est certain que plus on compacte un message, plus on s'approche de l'échelle moléculaire. C'est vrai que l'ADN est cité en exemple d'un message compacte et copiable. Mais l'ADN / ARN et protéines ne sont pas les seules molécules. Je trouve que le label "bio" est trop contraignant pour ce qui est un message inscrit dans la matière.

 

Hier soir j'ai reçu d'autres suggestions en dehors de Webastro, et vais refaire une liste pour voir ce qu'elles donnent par rapport aux critères de portabilité que tu as si bien fait ressortir en début de message.

 

Merci

 

Je suis plutôt pris aujourd'hui.

Je vais quand même résumer

Après avoir crée une définition dans le Wiktionnary anglais, je croyais que tout allait être facile pour la traduction. Mais les gens de Wiktionnaire m'ont alerté sur la création de traductions de terminologie qui, paraît-il, ne va pas de soi.

On est presque obligé de passer par un fait accompli assez détestable.

Au lieu d'exposer un terme à la critique comme je fais ici, on est obligé de faire apparaître le nouveau mot sur un site. Puis dire: "Ah ! ce mot existe. Je peux donc le mettre dans le Wiktionnaire". En plus il vaut mieux s'arranger que quelqu'un d'autre le fasse, ce qui va dans le sens de promouvoir le copinage !

 

C'est un véritable terrain piégé. Par exemple, j'ai fait apparaître "ma" définition du Wiktionnary anglaise ici sur Webastro. Du coup, on s'est un moment demandé si le texte de la définition ainsi "paru ailleurs" avait fait l'objet d'une violation de droit d'auteur.

 

Ce soir, j'espère créer un amorce "stub" dans le Wikipedia anglais en vue de le traduire vers le Wikipedia français. Ensuite, il suffit de faire en sorte que quelqu'un dise "Ah! c'est déjà dans le Wikipedia, je peux mettre la définition dans le Wiktionnaire". Tu imagines la tentation de se créer de multiples identités pour mieux jouer. Il doit y en avoir qui ne s'en privent pas...

 

Cependant, à l'intention des Wiktionnariens et Wikipediens susceptibles de passer ici, je comprends le problématique. Le but est bien sûr de protéger ces ouvrages de la volatilité, de leur conférer un statut et une réputation qui concurrence leurs homologues papier.

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Il est certain que plus on compacte un message, plus on s'approche de l'échelle moléculaire. C'est vrai que l'ADN est cité en exemple d'un message compacte et copiable. Mais l'ADN / ARN et protéines ne sont pas les seules molécules. Je trouve que le label "bio" est trop contraignant pour ce qui est un message inscrit dans la matière.

 

L'article de Nature ne mentionne pas l'ADN, ça vient de toi.

En plus tu présentes ça comme un tout nouveau concept alors qu'il n'en est rien:

Ce texte est applicable à Voyager qui date un peu quand même !

voyager-disques.jpg

Plaque.jpg

 

Arrêtes d'en revenir sans arrêt à l'ADN là ou les scientifiques qui ont signé le texte de Nature parlent de matière au sens large et de message au sens large.

C'est pour ça que ta définition a été rejetée par l'équipe de wikipedia: tu prends une référence que tu trahis.

Wikipédia a lu la référence dont tu te réclamais et a pondu une définition plus fidèle au texte, ça colle bien avec l'article contrairement à ce que tu veux sans cesse y ajouter.

 

Remarques, continues à répéter, peut être que plus tu réécris et plus c'est vrai :D

 

Bon ciel

Modifié par Leimury
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Du coup, on s'est un moment demandé si le texte de la définition ainsi "paru ailleurs" avait fait l'objet d'une violation de droit d'auteur.

 

un droit d auteur pour un nom commun ? c est le monde moderne ?

Le but est bien sûr de protéger ces ouvrages de la volatilité

 

pas vu souvent un livre s'evaporé...

 

 

.

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L'article de Nature ne mentionne pas l'ADN, ça vient de toi.

En plus tu présentes ça comme un tout nouveau concept alors qu'il n'en est rien:

http://www.omegalima.com/ET/Plaque.jpg

 

 

D'abord, ce n'est pas moi qui ramène le sujet de l'ADN.

Où est-ce que j'aurais évoqué l'ADN comme un nouveau concept ?

 

 

C'est à Fred76 à qui je répondais, et c'est lui qui parlait de "bio" et moi qui répondais dans le sujet qu'il présentait. Ensuite, Fred76 évoquait ce qui a pu être publié sur les messages matériels dans leur ensemble, pas spécifiquement l'article de Nature qui date de dix ans.

Enfin, il a dit quelque chose de très intéressant sur les racines des mots. Et c'est peut-être le plus important de son intervention.

En attendant, c'est toi qui ramène ce joli artwork que sont ces plaques de Voyager dont tu as déjà parlé et que je disais anecdotique, pas du tout dans le sujet.

Tiens, si tu aimes Voyageur dans son rôle interstellaire, tu aimeras un bouquin SF de Star Trek, un peu capilotracté, voire pas du tout crédible, dans lequel un futur Voyageur revient reprogrammé par des robots extraterrestres. Pour quelques réponses Google DuckDuckGo, voir ici

Modifié par Paul_Wi11iams
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Les plaques de Voyager - ou de n'importe quel autre système similaire jeté dans l'espace dans le genre bouteille à la mer - n'ont rien de "matière dédicacée" ! Ce ne sont que des plaques gravées et donc pas besoin d'inventer des nouveaux termes pour ça. On a tout ce qu'il faut pour les désigner : livre, peinture, gravure, disque microsillon, ou plus généralement artefact (à prendre au sens large artis (artificiel) et factum (effet, objet, fabrication).

 

Là où la technologie a vraiment apporté un plus, c'est dans la fabrication d'ADN portant un message codé. L'ADN est très stable, facile à décoder, facile à fabriquer, facile à dupliquer, très robuste contre les agressions extérieures et même autoréparable dans certains cas. Il permet des combinaisons variées (AT, TA, GC et CG) ce qui permet donc un codage en base 4. Si on utilise de l'ARN on peut même coder en base 6 (AU, UA, GC, CG, GU et UG). Le système en double hélice permet une redondance de l'information.

 

C'est tout l'avantage de se servir des bases ADN/ARN pour coder de façon efficace de l'information dans de la matière, bien plus efficacement qu'en gravant des trous ou des bosses dans un disque de plastique (CD/DVD), en aimantant des zones d'un disque de métal (disque dur), ou en changeant l'état électronique d'un transistor (mémoire flash des clefs USB, disques SSD).

Modifié par Fred_76
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Les plaques de Voyager - ou de n'importe quel autre système similaire jeté dans l'espace dans le genre bouteille à la mer - n'ont rien de "matière dédicacée" ! Ce ne sont que des plaques gravées et donc pas besoin d'inventer des nouveaux termes pour ça. On a tout ce qu'il faut pour les désigner : livre, peinture, gravure, disque microsillon, ou plus généralement artefact (à prendre au sens large artis (artificiel) et factum (effet, objet, fabrication).

On a dû poster en même temps et sommes bien du même avis.

 

Là où la technologie a vraiment apporté un plus, c'est dans la fabrication d'ADN portant un message codé. L'ADN est très stable, facile à décoder, facile à fabriquer, facile à dupliquer, très robuste contre les agressions extérieures et même autoréparable dans certains cas.

Je suis d'accord pour la méthode. Je me méfie seulement d'un terme dictionnaire qui se limite à l'ADN. Et ce fil partait bien de la question sémantique.

 

Il permet des combinaisons variées (AT, TA, GC et CG) ce qui permet donc un codage en base 4. Si on utilise de l'ARN on peut même coder en base 6 (AU, UA, GC, CG, GU et UG). Le système en double hélice permet une redondance de l'information.

On quitte un peu le sujet, mais la chose est passionnante, et c'est là où j'ai envie d'en venir une fois la partie dictionnaire entérinée.

Je ferais attention pour la redondance quand même. Un ADN qui voyage est complètement passif, pas de réparation à chaud, et un rayon gamma cassant la hélice attaquerait les deux brins en même temps. Je n'ai aucune qualification dans le domaine, mais en agronomie il y a un problème pour le stockage de semences pour cause de simple radioactivité de fond et bien local: Pour se réparer, la vie ne doit pas être dormante.

Par conséquent, une bonne option serait de mettre de millions d'exemplaires diffusés dans une même "bille".

Pour mieux visualiser un projet, et juste à titre d'exemple, imaginons des billes (comme des roulements à bille) de 1gramme. On les constitue à froid par un processus d’électrolyse, tout en brassant de l'ADN dans tout leur volume.

Ensuite, utiliser un canon electro-magnétique (un moteur linéaire) de 10km sur la surface lunaire par exemple (ou dans la ceinture d'astéroïdes) pour les faire atteindre la vitesse de libération du système stellaire d'où on expédie.

Pas plus vite que ça, et on vise approximativement des familles d'étoiles cibles de la bonne âge. Sinon, mettons-les carrément sur une orbite galactique. C'est plus aléatoire, mais ils vont se trouver ralentis dans les traversées de bras avec des chances de trouver un lieu atterrissage.

 

A taille de système stellaire similaire, on devrait s'insérer sur une orbite elliptique de type cométaire. On se met dans le "nuage d'Oort" du coin. Ensuite une partie de nos petits se trouveront collé dans de futures comètes ou des astéroïdes glacés.

La "civilisation" destinataire effectue travaille au détecteur de métaux, c'est à dire induction, ou par radar profond.

Observe aussi ce qui arrive dans le cycle de dégazage d'une comète. Nos billes décollent un peu. Les gaz s'en vont. La comète s'éloigne de l'étoile se réfroidit et nos billes se redéposent. Le cycle se réproduit jusqu'à ce que nous avons un noyau mort avec toutes les billes à la surface.

Comme un trottoir sale après la fonte de la neige.

C'est très intéressant parce que nous n'avons plus "que" à aller ramasser les billes !

 

Ceci nous indique aussi où chercher dans notre système solaire.

 

C'est juste à titre d'exemple et écrit à main levée.

Ensuite il faudrait faire un petit tableau de tableur et insérer des chiffres pour voir quel taux de réussite on pourrait obtenir en envoyant, par exemple, une tonne de billes par an.

 

En inversant la démarche, on peut calculer quelle nombre de tels objets nous sommes susceptibles de trouver dans un corps glacé de notre système solaire.

 

En général quant on poste sans préparer et relire, on prête le flanc à toutes sortes de critiques. Mais ce que j'écris est juste un "brouillon ouvert". Et encore une fois, pas dans le sujet du fil de départ.

 

 

C'est tout l'avantage de se servir des bases ADN/ARN pour coder de façon efficace de l'information dans de la matière, bien plus efficacement qu'en gravant des trous ou des bosses dans un disque de plastique (CD/DVD), en aimantant des zones d'un disque de métal (disque dur), ou en changeant l'état électronique d'un transistor (mémoire flash des clefs USB, disques SSD).

 

Quand j'en parlais plus haut en répondant à je ne sais plus qui, c'était pour donner des ordres de grandeur pour nos densités de stockage. Pas pour viser telle ou telle méthode. Honnêtement, je pense que le manque de longévité des médias de stockage est juste le reflet de notre manque d'exigence en tant que consommateur, pas un problème intrinsèque dans l'ensemble des technologies de stockage.

Modifié par Paul_Wi11iams
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Les plaques de Voyager - ou de n'importe quel autre système similaire jeté dans l'espace dans le genre bouteille à la mer - n'ont rien de "matière dédicacée" !

 

Et en quoi la matière trucmuche ne serait pas une bouteille à la mer?

 

Puis, l'histoire de codage ADN?

S'il me faut un labo pour lire un numéro de téléphone, je pense que le bottin est plus pratique (même qu'il y a des adresses postales).

 

Patte.

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Non mais tu comprends rien !

Le monsieur a dit que c'était trop facile, n'importe qui sait lire de l'ADN.

D'ailleurs quand tu ouvres un lecteur MP3 il n'est pas rare d'y trouver de la matière fécale encodée de façon numérique, la révolution et en marche !

 

Ils forment un groupe qui s'entraîne souvent.

Ils inscrivent les infos dans de l'ADN "ouech ouech, bien ou bien ?" et ensuite ils crachent le plus haut possible.

 

Bon, pour l'instant ils ne sont pas encore arrivés à la vitesse de libération mais ils persévèrent avec une opiniâtreté en rapport avec leur génie.

 

Le seul problème c'est quand ça retombe :be:

 

PS: Marrant ce post mais qu'est ce que ça fout en science ?

C'est de la sociologie ?

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Et en quoi la matière trucmuche ne serait pas une bouteille à la mer?

 

Puis, l'histoire de codage ADN?

S'il me faut un labo pour lire un numéro de téléphone, je pense que le bottin est plus pratique (même qu'il y a des adresses postales).

 

Patte.

Le botin justement est passé d'usage en à peine dix ans pour être remplacé par pagesjaunes.fr

L'encodage génétique pourrait venir aussi rapidement que le séquençage génétique qui était hors de prix il y a peu.

 

Quant aux laboratoires, il fallait bien un labo pour le premier transistor.

En appliquant la même argumentation à l'époque il ne fallait surtout pas quitter les lampes triodiques moyen d'amplification fiable et éprouvé.

J'aurais pu dire la même chose pour le premier laser, le premier LED etc.

Par contre, je suis prêt à partager ton point de vue pour la bouteille à la mer. Le tout est de choisir la bouteille à la mer la plus efficace. L'efficacité pourrait être mesuré en Joule / bit arrivé à destination. Et pour les objets encodés, on pourrait très bien se trouver à plus d'un bit / Joule.

C'est là où le tableau que j'ai suggéré pourrait devenir intéressant.

On entre des informations (telles que la taille du message et le taux de perte d'objets) et on sort un résultat dans cet unité.

Ça va être davantage arithmétique et beaucoup moins mathématique que le papier de Nature que nous avons lu.

C'est aussi l'unité qui permettra de calculer le point de rentabilité où la méthode "postale" est mieux que l'émission électromagnétique.

Modifié par Paul_Wi11iams
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Tiens, quelqu'un pour s'amuser à traduire Finnegans wake en ADN?

 

Je ne sais pas (ça ne chauffe pas encore assez sous mon scalp), mais une BD (sans texte) sous format pdf (ça prend moins de place) ne serait pas plus explicite?

 

Encore faut-il que les Zitis aient des yeux pour lire.

Ou alors une bande son en MP3?

Encore faut-il des oreilles.

Ah? Une missive en braille?

 

Pffff, c'est compliqué!

Finalement, le truc de Carl Sagan n'était pas si mal fichu.

 

Même si ça ne sert strictement à rien à part jeter l'argent par la fenêtre des profondeurs de l'espâââce.

 

Patte.

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Le botin justement est passé d'usage en à peine dix ans pour être remplacé par pagesjaunes.fr

 

Attends un peu que le parlement européen et l'ICAAN aient fini de discuter.

Il se pourrait bien qu'internet merdouille tellement qu'on en revienne au papier pour deux trois trucs :be:

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